lundi 12 mars 2018

Challenge Manga Suki : Février
Partie I


Bonjour à tous ! On se retrouve à nouveau pour une série de textes passionnés sur tout plein de mangas différents qui ont remué les petits cœurs en ce mois de l'Amour. Comme je suis un peu sadique, j'avais choisi de renier les lectures douces qui mettent du baume au cœur, pour se concentrer sur la tragédie, les larmes qui roulent et les cœurs -peut-être le votre-, que l'on entend se fracasser.

Aujourd'hui, je laisse la parole à cinq lecteurs, à commencer par un joli texte qui m'a remuée...

Bonne lecture ! 💕

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offre également un voyage entre les pages de Animeland...

Lorsque que j'ai lu le premier volume d'Orange à sa sortie en librairie, j'ai eu une réaction de rejet tant les thématiques abordées me touchaient personnellement. Ce n'est que l'an dernier que la lecture d'un article m'a donné envie de me pencher à nouveau sur la série. Dans ce billet publié sur Manga Suki (excellent blog, vous connaissez ?), Rose abordait des shojos l'ayant impactée dans sa vie. Littéralement charmé par ses mots à travers lesquels je la découvrais autant que je me reconnaissais, je me suis relancé dans l’œuvre d'Ichigo Takano. Au final, je l'ai dévorée tant bien que mal en me laissant envahir de toutes sortes d'émotions suscitées par cette romance tragique.

Le choix de me replonger dans les aventures de Naho et ses compagnons s'est donc imposé au moment où Rose nous a conviés à parler d'un amour beau à en pleurer. Plutôt que relire les cinq tomes qui composent l'histoire principale, j'ai préféré me tourner vers une découverte totale avec la lecture d'Orange – futurs -, qui fait office de sixième volume à la série. Pour la petite anecdote en ce mois de l'amour, c'est la merveilleuse petite hôtesse des lieux en personne qui m'a offert ce livre. Je ne pouvais décidément que m'orienter vers sa lecture dans le cadre du Challenge Manga Suki.

Orange - futurs – est centré sur Suwa, personnage à travers lequel je... ne me reconnais pas le moins du monde. Il me fait un peu de peine à aimer Naho tout en étant au second plan. Il essaie de faire de son mieux mais bon, il est un peu lourd... À la place de la jeune fille, je ne l'aurais pas supporté longtemps tant ses bonnes actions ont tendance à me faire déprimer à la fois pour sa pauvre personne et parce qu'il rappelle sans cesse Kakeru. C'est important d'être entouré, mais il y a des douleurs qu'on aimerait garder pour soi. Et justement, dans la série principale, je me suis reconnu dans la protagoniste. C'est à travers ses yeux à elle que j'ai appréhendé le déroulement du récit. Autant dans ses actions que dans la force de sa volonté, c'est Naho qui a guidé ma lecture. Alors en voyant Suwa se rapprocher d'elle de la sorte, j'ai pu me mettre à sa place. Et aussi étonnant que ça puisse paraître avec tout ce que j'ai déclaré sur le grand lourdingue, j'aurais réagi de la même façon qu'elle du début à la fin de l’œuvre.

Naho est en second plan, on ne connaît pas ses pensées intimes jusqu'au final... Et pourtant je la comprends tellement. C'est un sentiment à la fois déprimant et réconfortant pour tout avouer, un peu comme si vous étiez confronté à une douleur tenace et qu'on vous soufflait à l'oreille d'une douce voix « tu n'es pas seul, courage... ». Un exemple tout bête qui se déroule en second plan : elle se fait draguer par un type qui ressemble physiquement à Kakeru. C'est quelque chose que je comprends si bien... Elle sait qu'elle ne doit pas craquer, que ça la ferait souffrir plus qu'autre chose. Elle décide de ne pas céder à la tentation, à cette fausse solution de facilité ; et elle fuit comme elle le peut. C'est si touchant de lire ça... Ichigo Takano me fait éprouver des émotions tellement fortes sans même expliciter les actes et les pensées. Plus que jamais avec Orange – futurs -, les non-dits de l'autrice me murmurent bien des choses à l'oreille.

Je ne peux donc pas dire que j'ai été déçu que Suwa occupe le premier rôle, je l'aime bien le grand dadais quand même... Mais c'est la fin du premier chapitre dédiée à son histoire qui reste gravée dans mon cœur : Naho et Kakeru sont faits l'un pour l'autre, ils s'aiment plus que quiconque. Je suis ravi qu'Orange continue après ce tome 6. Très honnêtement, j'aimerais revoir Naho vêtir ses habits de petite héroïne, et qu'elle soit heureuse dans les bras de son bel amoureux brun. Une note positive ne fait jamais de mal, et c'est ce qu'elle mérite après tout ce qu'elle a éprouvé. Les amours tragiques c'est bien deux minutes mademoiselle Manga Suki !


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Pour cette première participation au challenge, j'ai choisi de lire le manga "A Fleur de Peau".

A Fleur de Peau est l'histoire de Natsume, jeune mannequin de 12 ans, obligée de déménager dans la campagne avec ses parents. La bas elle fera la connaissance de Koichiro, un garçon qui marquera sa vie à tout jamais.

Beau, envoûtant, poétique, tant d'adjectifs qui pourrait qualifier ce manga. Si le coup de coeur n'a pas été au rendez vous, j'ai apprécié malgré tout ma lecture pour la maturité des personnages, la complexité de leurs relations ainsi que la beauté qui émanait de chaque page. C'est sans doute le shojo le plus adulte qui m'a été donné de lire et c'était sans compter sur les thèmes qu'abordent ce manga. Tantôt dure, tantôt douce, l'histoire m'aura fait passé par un tas d'émotion indescriptible.

Mais je n'oublie pas également la grande place qu'ont les personnages et notamment nos protagonistes Koichiro et Natsume : deux êtres qui s'aiment mais qui ne peuvent s'empêcher de se déchirer. L'évolution de leurs sentiments a été mené d'une main de maître, d'une finesse incroyable. Les événements qu'ils vont vivre n'est pas des plus faciles mais c'est ce qui leur permettra de grandir et malheureusement par la même occasion de se perdre. Parce que oui, ce manga est avant tout une histoire d'adolescents qui se cherchent constamment, qui cherchent un but à leur existence, qui cherchent à comprendre ce qu'est l'amour, qui se questionnent sans arrêt sur leur avenir. On a des personnages avant tout humain et c'est ça qui rend le manga si intéressant.

Il est difficile pour moi de décrire ce manga comme je le voudrais car ça été une lecture assez spéciale donc tout ce que je vous conseillerai c'est de le lire par vous même pour vous faire une idée et vivre cette aventure déchirante mais à la fois captivante.

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Le Chant d’Apollon paraît pour la première fois au Japon en 1977, écrit et illustré par Osamu Tezuka (et ma première lecture de cet auteur, au passage). Il s’agit d’un manga assez court qui met en scène Shogo Chikaishi, un jeune homme « détestant l’amour » et psychologiquement instable suite à une enfance difficile à cause du rejet de sa mère, condamné par une mystérieuse déesse à vivre une éternité de romances qui se termineront tragiquement avant de recommencer encore et encore. Shogo traverse ainsi les lieux et les époques, en rêve ou dans la réalité, de la Deuxième Guerre Mondiale à un monde de science-fiction, l’auteur en profite aussi pour varier les décors et les genres malgré le roulement inlassable de son scénario.

La raison pour laquelle j’ai choisi ce titre ce mois-ci me semble sauter aux yeux : la passion et la douleur qu’elle peut engendrer est le thème principal de ce manga. Shogo ne vit pas qu’une romance tragique, il en vit 5, ou alors, il vit sa romance tragique 5 fois et chaque fois un peu plus intensément. La passion amoureuse et l’amour maternel sont les thèmes centraux, mais l’auteur ne s’y limite pas et s’étend sur de nombreuses autres formes « d’amour » et du manque de celui-ci : l’auteur nous démontre alternativement comment l’humain détruit (par la guerre, par la pollution) et construit (par le respect de la nature, par les liens sociaux, par la passion). L’érotisme est aussi un point central de ce manga, souvent lié à la nature, dans le cadre désert d’une île sauvage ou de la montagne ; ou au retour vers celle-ci, quand l’être de science-fiction tente de redevenir humain afin de connaître l’amour charnel, par exemple.

Le premier point fort de ce manga, c’est son rythme. En effet, l’histoire est construite sous forme d’un enchaînement de tableaux bien différents : on pourrait s’attendre à un récit confus, mais en s’assurant que les premiers tableaux soient courts et que leur longueur ne s’allonge qu’au fur et à mesure de l’intrigue, l’auteur ne nous perd pas. Le premier chapitre nous permet de comprendre la forme du récit, et les suivants nous permettent de comprendre de plus en plus le fond. Cela crée une gradation d’intensité : plus les chapitres sont longs plus l’on s’attache aux personnages, évidemment, et l’effet boule de neige nous entraîne. On ne referme plus le livre jusqu'à la fin qui ferme la boucle avec magnificence.

Ensuite, malgré son âge Le Chant d’Apollon est aussi un plaisir par ses illustrations : le style « rétro » est très reconnaissable mais même si l’on n’est pas forcément fan (comme c’est mon cas), l’auteur fait preuve de beaucoup d’ingéniosité avec des métaphores visuelles (un ovule devient une reine, par exemple) et des grandes illustrations contenant beaucoup de symbole. De plus le style reste assez simple et permet de ne pas se perdre dans les nombreuses scènes d’action et de rester très propre.

Le Chant d’Apollon a quarante et un ans, il faut donc le replacer dans son contexte avant de démarrer la lecture. Mais bien sûr ça ne suffit pas pour empêcher l’œuvre de vieillir : les grands messages sont certes puissants, mais bien qu’impressionnants d’originalité pour l’époque, certains peuvent avoir un peu souffert du temps ou en tout cas paraître simpliste dans le contexte d’aujourd'hui.

Le style très dramatique peut aussi ne pas plaire à tout le monde, comme je l’ai dit Tezuka joue ici beaucoup sur l’intensité : visages qui pleurent sur une page, grande explosions… Il y a une idée de toujours plus qui n’a pas gêné ma lecture mais m’a parfois fait sourire.

En conclusion, c’est une vieille œuvre à remettre dans son contexte mais avant tout une œuvre intense avec beaucoup de grands messages qui ne seront jamais obsolètes et une maîtrise du rythme qui nous entraîne sans nous laisser de répit. C’est une œuvre importante qui mélange les codes et les genres pour décrire d’une manière très personnelle et très belle les grands traits humains.

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Cléopâtre est un manga de Machiko Satonaka paru en 1976. Bien qu'elle jouisse au Japon d'une grande renommée et que son travail y a été récompensé à plusieurs reprises, seuls deux de ses titres ont à ce jour été publiés en France. La Vie de Raffaello SANTI dit Raphaël en 2014, puis Cléopâtre en 2015, ont tous deux été publiés aux Editions Black Box.

Comme vous vous en doutez, il s'agit ici de l'histoire de la grande Cléopâtre VII, Reine d'Egypte. Quand bien même l'oeuvre est très renseignée et fait référence à de nombreux faits historiques réels, le manga consiste avant tout en une adaptation très romanesque de sa si fascinante vie sentimentale.

A tout juste 18 ans, Cléopâtre échappe, grâce à l'aide précieuse de Rei, à une tentative d'assassinat orchestrée par sa belle-mère. Elle décide alors de se rendre à Rome afin d'obtenir de Jules César l'aide qui lui est nécessaire pour retrouver son trône. L'homme est immédiatement charmé par la belle Cléopâtre, et il n'est pas le seul ! Marc Antoine, présent également, est lui aussi subjugué par la reine. De retour en Egypte, Jules César et Cléopâtre deviennent très amoureux l'un de l'autre mais, déjà, le Général doit retourner à Rome.

Je ne vous cache pas qu'au départ je ne pensais pas publier de texte en février tant, a priori, le thème ne m'inspirait pas… Et puis j'ai réalisé que cette oeuvre attendait bien sagement d'être lue à son tour et qu'elle ne pouvait que coller au thème ! La vie sentimentale de Cléopâtre est on ne peut plus tragique. Très amoureux l'un de l'autre, Jules César et elle ne peuvent cependant pas vivre ensemble. Jules César est, qui plus est, déjà marié et Cléopâtre ne pourra qu'être sa maîtresse. La reine est sans cesse en proie à la jalousie et souffre énormément de cet amour fou qu'elle ressent. Leur relation se termine dans le plus grand des fracas et, si Cléopâtre décide de renoncer à l'amour, celui-ci continuera à la mener par le bout du nez et à la faire souffrir, telle une malédiction.

Il s'agit d'un très joli manga dont j'ai beaucoup apprécié la lecture. L'auteure a un style qui me plaît beaucoup et j'ai trouvé certaines planches particulièrement jolies. Elle a très bien su retranscrire la beauté légendaire de Cléopâtre dont on tombe nous aussi inévitablement un peu sous le charme.

Il reste un point que j'aimerais aborder dans cette courte critique car, sans être forcément négatif, il peut surprendre : l'histoire relatée dans ce One-Shot s'étale sur une vingtaine d'années. Elle est assez dense et très peu de place est laissée à la contemplation. Le récit va très vite et les ellipses temporelles ne sont pas mentionnées alors on peut se sentir étonné parfois par la rapide évolution émotionnelle de Cléopâtre...


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C’est avec un immense plaisir que je vous retrouve pour ce mois de février, qui est bien évidemment sous le signe de l’amour. Ainsi la thématique imposée ne pouvait pas mieux tomber, puisqu'elle fut propice à ma nouvelle orientation de lecture. Effectivement, pendant des années j’ai délaissé le genre shojo, que je trouvais souvent trop classique et peu à mon goût. Mais depuis quelques mois, je me remets peu à peu à ce rayon. Notre jeune blogueuse voulait quelque chose de touchant, poignant et affligeant ? Et bien j’ai réussi à vous trouver cette pépite, et j’ai ainsi entamé la lecture du premier tome de Close To Heaven de Mikimoto Rin, aux Éditions Pika. À noter que cette licence comptera 9 tomes au total.

Au cœur de ce récit, nous avons une jeune lycéenne du nom de Ninon, plutôt réservée et discrète, mais toujours accompagnée de sa fidèle perruche sur son épaule. De l’autre, un jeune homme dénommé Kira, plus décontracté et sociable. Alors si je m’arrêtais là, vous pourriez vous dire que c’est un résumé des plus classiques et sans grand intérêt. Cependant, Ninon va apprendre ce que tente de cacher son voisin. Et c’est justement cela qui va donner ce ton tragique à l’œuvre !

Alors oui, je suis « une mélodrame » dans l’âme ! J’aime quand les choses se passent mal, et se ternissent. Donc je suis persuadée que cette œuvre me plaira jusqu'au bout. Cependant, je ne sais pas comment vous en parlez, sans trop vous en dire, alors je vais tenter d’être brève et concise. Pour ce qui est du cadre, c’est un « school life » des plus standards. Cependant, ce qui fait le charme de cette série, c’est les traits de caractère de nos deux protagonistes. Moi qui avais peur d’avoir des protagonistes platoniques, je fus agréablement surprise.

Donc, pour commencer, j’aime beaucoup Ninon, d’une part pour sa spontanéité et sa bienveillance, mais également pour son entêtement et sa détermination. Parce qu’elle se bat pour ses convictions et ses principes. Et ce sont des choses essentielles à la construction de soi, surtout durant la période de l’adolescence. 

De l’autre nous avons un Kira sociable et enjoué, mais seulement en apparence, car au fil des pages il se révélera être plus sensible qu’a l’accoutumé. Et bien que ce ne soit que le premier tome, nos deux protagonistes ont déjà un semblant de relation. Car, leur amitié commence par une ambiance tragique et sensible, et je sens que celle-ci va prendre plusieurs détours ! 

Ainsi avec ces deux protagonistes, la lecture reste dynamique et stimulante, et ceux durant l’intégralité du tome. De plus, cette œuvre apporte des sentiments différents au lectorat, nous pouvons passer de la surprise à la gaieté, tout comme à la frustration ou à la tristesse. Et j’apprécie quand un manga véhicule plusieurs émotions. La lecture quant à elle, est rythmique en continu. On ne sait jamais à quoi s’attendre de ce duo, et ils ont parfois des réactions très surprenantes. Ainsi j’ai passé un agréable moment, tantôt je riais aux éclats, tantôt je fondé en larmes. 

Pour terminer, il me reste un point à aborder, et celui-ci est de grande importance. Si j’ai avant tout choisi ce titre, c’est surtout pour le chara-design des personnages. Je suis restée estomaquée devant les scans disponibles sur le net. Je ne m’attendais aucunement à tant de détails, que ce soit au niveau des personnages, qu’aux arrières fonds (souvent bien vide et peu approfondi). J’ai réellement eu un coup de cœur pour la finesse du crayon de Mikimoto. Chaque planche propage une telle émotion, tout est accentué au niveau des regards, ou de la gestuelle, et cela n’est pas pour me déplaire, au contraire ! 

Je pense m’arrêter ici, et j’espère avoir été des plus succinctes. Je pense me procurer la suite très prochainement, pour toutes les raisons que je viens de vous citer plus haut. Mais, si je devais faire un bref résumé (pour vous convaincre de le lire ou de le relire !) je dirai que ce titre possède un graphisme minutieux et délicat, et que les thèmes abordés son rempli d’humanités et de bienveillances. Mais surtout, car notre duo est charismatique et saisissant !


La suite sera mise en ligne demain matin ! J'espère que vous prenez autant de plaisir que moi à lire ces textes de passionnés et à remplir vos wish list ! 


1 commentaire:

  1. Ce mois-ci aussi on a droit à de très bons textes. =)

    J'ai lu Orange - futurs même si j'hésitais au départ comme je trouvais que la série se concluait bien en 5 tomes, mais j'ai beaucoup aimé lire ce tome et découvrir plus en détails le personnage de Suwa. On savait déjà qu'il avait un grand coeur, mais là ça m'a vraiment fait mal de voir qu'il a fait tous ces sacrifices pour le bonheur de ceux qu'il aime. ça nous a également permis de voir pourquoi la Naho du futur a dû passer certains éléments sous silence, et comment elle a fait son deuil vis-à-vis de Kakeru.

    Je ne connais pas A fleur de peau mais malheureusement il ne m'intéresse pas et je ne suis vraiment pas fan des dessins. Pareil pour Cléopâtre. ^^'

    J'ai entendu parler de Close to Heaven, mais je n'ai pas l'impression que ce soit un manga qui puisse me plaire. J'en ai un peu marre des héroïnes réservées et discrètes, on en retrouve trop souvent dans le genre shôjo, et au final, même si elles font preuve de détermination, c'est un genre de personnage avec lequel j'ai du mal et que j'apprécie peu. Du coup malgré les éloges de Euphox sur ce manga, et le côté tragique de la romance, je doute de le lire un jour.

    Je ne connaissais pas du tout Le chant d'Apollon. Le début du résumé m'a rappelé l'histoire de Leon dans Violet Evergarden (lol), mais je doute de le lire en raison de son caractère érotique. ^^'

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