Ce tome-ci, pas de réelle histoire (quoi que, il n'y en a jamais vraiment eu :p), on se contentera d'excellents chapitres sans liens entre eux. Dans les premiers chapitres qui constituent ce volume, on retrouve l'humour totalement idiot de l'auteur et c'est tant mieux, car l'on ne rit que d'autant plus. On sent que Kento Shinohara s'amuse à mettre en scène des personnages qui ne devraient pas être là (comme Romane par exemple, mais chacune de ses apparitions sont excellentes!) ainsi qu'à créer des jeux stupides auxquels vont devoir faire face les membres du Sket. Autre point positif: l'auteur ne s'éparpille pas trop malgré l'abondance de gags, ce qui nous permet d'apprécier encore plus le titre.
La deuxième moitié du tome comporte une histoire atypique dans le monde de Sket Dance. Sans pour autant aller jusqu'à dire que les chapitres se montraient touchants, j'ai beaucoup aimé cette petite touche de fraîcheur. Un jeune élève demande une requête particulière aux membres du Sket: le rendre populaire. Ces chapitres démontrent que sous les gags constants, l'auteur sait aussi jongler avec des émotions qui nous changent de l'ordinaire. J'ai beaucoup aimé cette petite diversification!
La fin du tome reprend l'étape obligatoire de tout shônen qui se respecte, à savoir, le tournoi. Mais il ne faut pas oublier que nous sommes dans Sket Dance. Ainsi, les défis annoncés ne peuvent en rien être qualifiés de "banals", mais il faut le reconnaître, c'est bien pour cela que ça fait envie! Le ton s'annonce une fois de plus décalé pour des épreuves qui ne se passeront certainement pas comme on peut l'imaginer...
Au final...
▲ Une suite qui conserve son humour complètement idiot ▲ Des personnages qui se dévoilent petit à petit, par le biais des gags ininterrompus ▲ Le tournoi, en fin de tome, qui annonce un volume suivant plein de ressources! |
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