Source: Kaze.fr
J'avoue que je ne suis pas des plus inspirées pour décrire mon ressenti sur ce quatrième tome, mais j'ai tout de même plusieurs points à évoquer...
"Cette impression que tu me donnes... Qu'un jour, tu ne seras plus là... Même si tu dois me mentir... Fais-là disparaître."
Concernant Teru, depuis qu'elle a découvert le secret de Daisy, la jeune fille sent les changements et redoute la disparition de celui-ci dans sa vie. A dire vrai, j'avais un peu peur que l'on tourne en rond après cela, mais Kyosuke Motomi laisse à Teru son optimisme et son adorable humour. De son côté, Kurosaki accorde un peu plus de vérité à sa petite protégée. L'image de Daisy, celle qui le montrait comme un véritable ange gardien, s'effrite peu à peu pour faire apparaître une vérité un peu plus sombre, loin de ce que notre héroïne pouvait imaginer...
Le temps d'un chapitre, on va également s'intéresser au frère de Teru, Soichiro, et sur ce qu'il aura laissé derrière lui. En plus d'apporter de l'humour au récit, qui se faisait plus sérieux, ces scènes nous permettent de voir quel genre d'homme il était, à savoir... Un parfait idiot. Néanmoins, j'ai beaucoup apprécié de le voir sous une autre facette que celle que l'on avait pu voir grâce aux souvenirs de Kurosaki.
Un nouveau personnage fait son apparition, à savoir le directeur de l'école de Teru. Personnellement, le contraste entre sa "véritable apparence" et celle qu'il prend lors des moments importants m'a beaucoup amusée. Le cercle d'amis de Kurosaki s'étend de plus en plus et étrangement, aucun n'est vraiment normal... Il me tarde d'en connaître de nouveaux ^^ .
Encore une fois, j'ai beaucoup aimé le soutien que lui apportent les amis de Teru, en particulier l'intarissable Rena, qui fait une nouvelle fois preuve de sa générosité désintéressée qui amuse tant. Me concernant en tout cas, je la trouve vraiment charismatique, bien qu'en soit, elle n'apporte pas tant que ça au récit.
Au final...
▲ On remarque toujours autant les personnages, pétillants de vie ▲ On en découvre un peu plus sur Soichiro ▼ Quelques scènes où l'on patine un peu |
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