tag:blogger.com,1999:blog-35533724383851505612024-03-27T20:44:24.467+01:00Manga SukiManga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.comBlogger751125tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-13223492106686695742024-03-22T19:04:00.003+01:002024-03-27T20:05:18.926+01:00La pause thé 🍵 Limit tome 01<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJUmjaLMe43W_HvAyDhLuiBDi1dChALqe0yBpGw7bKXZZx-SlGsgu-PkQrHkob3t_UE-byu0YkqeU7aznzbr7jQ-YPx1LNR9qfn5Ws5XjAo7E-tqi67kxCCGUOsMY6dYVMhO_ZCrquG4oVawzsTAxFAlpuer-w8hTUmWN_TToR0kgQrfLWESkCo0H2eDSb/s1920/lapausethe%CC%813.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1080" data-original-width="1920" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJUmjaLMe43W_HvAyDhLuiBDi1dChALqe0yBpGw7bKXZZx-SlGsgu-PkQrHkob3t_UE-byu0YkqeU7aznzbr7jQ-YPx1LNR9qfn5Ws5XjAo7E-tqi67kxCCGUOsMY6dYVMhO_ZCrquG4oVawzsTAxFAlpuer-w8hTUmWN_TToR0kgQrfLWESkCo0H2eDSb/w640-h360/lapausethe%CC%813.jpeg" width="640" /></a></div><p style="text-align: justify;"><span> </span>Longtemps absente de nos contrées, <i>Keiko Suenobu</i> est pourtant l'autrice de l'acclamé <u style="font-weight: bold;">Life</u>, manga dramatique sur le harcèlement scolaire sorti dans les années 2000 aux éditions Kurokawa. Ce manga, que l'on peut seulement lire au format numérique aujourd'hui, a beaucoup fait parler de lui pour la tonalité brutale et le sérieux avec lequel il traitait de son sujet, rarement abordé de front de cette façon. Amatrice d'émotions fortes et de petits tremblements dans mon quotidien paisible, j'ai toujours été très curieuse de découvrir cette mangaka qui semble si talentueuse. C'est aujourd'hui possible avec <u style="font-weight: bold;">Limit</u>, un manga fait de survie et de relations humaines. </p><span><a name='more'></a></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><i><span> </span><span style="color: #6aa84f; font-family: Satisfy; font-size: x-large;"><b>M</b></span>izuki </i>est une jeune lycéenne sans attaches et sans ambitions particulières. Elle s'estime chanceuse de faire partie du groupe des "populaires" aux côtés de son amie, la très jolie et accomplie<i> Sakura</i>. Elle ferme les yeux sur les petites brimades que cette dernière fait subir à ses camarades car, tant qu'elle est l'abri de toute vague, <i>Mizuki</i> se sent en paix. Tout va brutalement changer pour elle le jour où, lors d'un voyage scolaire, sa classe toute entière est victime d'un grave accident de la route. Perdue au beau milieu de la nature et sans ressources, <i>Mizuki</i> n'a d'autre choix que de tout faire pour survivre jusqu'à l'arrivée des secours. Mais est-elle vraiment seule au beau milieu des inquiétantes ombres de la forêt... ?</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgl4zhP5Tc4CMsa70d6FtEcMM2DEz7uJ19zcjEVMqMmKF4YP11kmc04vH-eVmrgYvWYDDH1OvGCR0akRK-76nJEXVePPFs1ABU8u1L-SwXs8reAUjiOat7F6DrcvcFj_AMH6AUsyVjB1n4ck6iHYSDr1v2k38_pzW-AkABsz_7LbxWIg-Yq305TJdwTUhga/s700/limit%20chap%201%20keiko.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="445" data-original-width="700" height="203" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgl4zhP5Tc4CMsa70d6FtEcMM2DEz7uJ19zcjEVMqMmKF4YP11kmc04vH-eVmrgYvWYDDH1OvGCR0akRK-76nJEXVePPFs1ABU8u1L-SwXs8reAUjiOat7F6DrcvcFj_AMH6AUsyVjB1n4ck6iHYSDr1v2k38_pzW-AkABsz_7LbxWIg-Yq305TJdwTUhga/s320/limit%20chap%201%20keiko.jpg" width="320" /></a></div> <span style="color: #6aa84f; font-family: Satisfy; font-size: x-large;"><b> B</b></span>ien que les scénarios de survie soient éloignés de mon esthétique "girly" générale, ces derniers ont toujours eu une place chère à mon cœur. J'apprécie particulièrement lorsque la dimension psychologique prend une part importante du récit et cela semble être le cas de <u style="font-weight: bold;">Limit</u>. Très rapidement, un portrait honnête de l'héroïne est brossé. On connait ses faiblesses, ses peurs; bref, on a une image claire de son degré d'humanité. Lorsque la catastrophe survient, on ressent clairement un changement complet d'ambiance et le lecteur est plongé dans un territoire hostile et inconnu. Le dessin expressif et l'utilisation des ombres de <i>Keiko Suenobu</i> illustre parfaitement ce revirement de ton et aide à l'immersion totale. Sur le bout de mon siège, je tourne rapidement les pages, avide de savoir ce qui va arriver à notre héroïne et dans quelle mesure cet accident va changer le cours d'une vie bien tracée. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8GFqqLEfcYwVM5XigS8hMoGWTgftGFXQQ9pf1daHTr34ahyphenhyphenKOwn5YBspV2B8W8wBIe0RDOZvd11QOWBPWRAK-lzY04CtVE5loZ5F1If3UldEegEjtcARHTOKMf1WbHpQnVyYFycxezhyphenhyphenJwVdF5BxbmpQqxpJ-dhIUy0U0COf4MP4NPR6gNsY_Ug9RYmFT/s2239/limit%20chapitre%201.webp" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2239" data-original-width="1600" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8GFqqLEfcYwVM5XigS8hMoGWTgftGFXQQ9pf1daHTr34ahyphenhyphenKOwn5YBspV2B8W8wBIe0RDOZvd11QOWBPWRAK-lzY04CtVE5loZ5F1If3UldEegEjtcARHTOKMf1WbHpQnVyYFycxezhyphenhyphenJwVdF5BxbmpQqxpJ-dhIUy0U0COf4MP4NPR6gNsY_Ug9RYmFT/w143-h200/limit%20chapitre%201.webp" width="143" /></a></div><span> </span><span style="color: #6aa84f; font-family: Satisfy; font-size: x-large;"><b>E</b></span>n installant rapidement ses protagonistes et leurs caractéristiques bien tranchées, l'autrice attise immédiatement la curiosité du lecteur et montre son intention de ne pas le laisser souffler quelques minutes. J'ai adoré cette introduction très particulière pour une héroïne car cela relevait complètement de l'inattendu, pour nous lecteurs qui sommes davantage habitués à suivre un.e gentil.le figure pleine de rêves et d'altruisme à ne plus savoir qu'en faire. Sans pour autant pouvoir être qualifiée de mauvaise, <i>Mizuki</i> n'est pas non plus une héroïne à laquelle on a envie de ressembler. Obsédée par son statut social, la lycéenne ne semble jamais montrer sa véritable personnalité et navigue entre ce qu'elle veut montrer d'elle-même aux autres et quelques miettes de ce qu'elle désire cacher qui lui échappent. Victime de brimades plus jeune, <i>Mizuki</i> est effrayée de connaître à nouveau une brutale mise à l'écart et se méfie des relations humaines, qu'elle pense superficielles et amenées à se terminer quand l'un des deux partis n'est plus utile à l'autre. J'ai aimé faire la connaissance de cette héroïne "grise" et cela m'a plu de peiner à la comprendre également. L'accident semble en faire une nouvelle personne, toujours déterminée à donner une certaine image d'elle-même, mais fait également ressortir un sens de la justice qu'elle semblait s'acharner à taire. Son ambivalence en fait pourtant une pale héroïne face à sa camarade <i>Kamiya</i> qui semble bien plus avoir les choses en main. J'ai des idées bien butées sur ce que j'aimerais voir de cette étrange protagoniste et, si <i>Keiko Suenobu </i>me donnera certainement tort durant la suite de son récit, j'aimerais suivre une <i>Mizuki</i> davantage manipulatrice, plus désespérée et mesquine, comme semblait se montrer son caractère dans la première partie du récit. Bien qu'elle n'ait jamais été écrite comme profondément "méchante", j'avoue que j'ai regretté de la voir si rapidement se métamorphoser en quelqu'un de plus vertueux, comme si tous ses efforts pour être proche de <i>Sakura</i> avaient fondus ; quand bien même la situation explique facilement ce revirement.<span> Peu importe la trajectoire que cela prendra, j'ai toutefois confiance pour voir une belle évolution du personnage dans les tomes qui suivront.</span></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span><span style="color: #6aa84f; font-family: Satisfy; font-size: x-large;"><b>L</b></span>es autres protagonistes restent pour le moment relativement prisonniers de cases dont on ne voit aucune fissure. Nous avons une blessée, une vraie survivaliste qui porte l'ensemble à bout de bras et celle qui supporte la situation en faisant ressortir toute sa folie jusqu'ici contenue. Le petit groupe de survivantes s'organise bien et les enjeux autour de ces dynamiques sont intéressants dans la mesure où, alors qu'elles sont brutalement jetées hors du cercle social dans lequel elles ont grandi, elles font tout pour en former un nouveau. La loi du plus fort continue alors d'imposer sa tyrannie, mais cette fois-ci, c'est <i>Himezawa</i>, jeune fille brimée par sa classe, qui va se positionner en haut de l'échelle et prendre les décisions au sein de cette communauté nouvelle. Si ce retournement scénaristique apporte des éléments intéressants et surtout un caractère très addictif, dans le sens où l'on ne sait jamais ce qui peut arriver aux héroïnes tant sa rationalité est questionnable, j'ai regretté la facilité avec laquelle la victime devient bourreau. Transformer cette pauvre fille, pour laquelle on devrait avoir de la compassion, en folle furieuse est un choix qui a assurément ses raisons, mais je trouve que c'est faire preuve de facilité. Peut-être est-ce une forme d'insensibilité de ma part, mais j'ai eu du mal à comprendre cette jeune fille dont on voit trop peu les souffrances passées. Cela donne une impression d'excès au personnage de <i>Himezawa</i> et elle semble en faire trop pour finalement peu de choses. Mais, encore une fois, il ne s'agit que du premier volume et je suis convaincue que ce la <i>mangaka</i> saura apporter quelques nuances dans ce portrait pour l'instant assurément trop brut. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQ3I-HFfe6PA3sIkrUHgROzIfdIn-90IbEgewYofsUKnl4dotQIDc1MoaoXHxDxI2HwZqof-ARX1kLHT-a68OLM23OBY2pYLCEJuyEgsC74n9fD2k3nSzIt7WYdulsxNZR-2osPnOn6kzojotCk9K4qZS_HHqyKAE4KGyZu-CLZgxniy4NkjRjbG_H8wXi/s2317/limit%20chapter%201%20suenobu.webp" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="2317" data-original-width="1600" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQ3I-HFfe6PA3sIkrUHgROzIfdIn-90IbEgewYofsUKnl4dotQIDc1MoaoXHxDxI2HwZqof-ARX1kLHT-a68OLM23OBY2pYLCEJuyEgsC74n9fD2k3nSzIt7WYdulsxNZR-2osPnOn6kzojotCk9K4qZS_HHqyKAE4KGyZu-CLZgxniy4NkjRjbG_H8wXi/w138-h200/limit%20chapter%201%20suenobu.webp" width="138" /></a></div><span> </span><span style="color: #6aa84f; font-family: Satisfy; font-size: x-large;"><b>C</b></span>'est surement cela qui me donne le plus envie de continuer à suivre la série ; plus que de voir comment les héroïnes vont composer avec la situation, j'ai vraiment l'envie de voir l'évolution de ces personnages fragiles et la destruction de leur carapace et idéologie sociale. Ce sera avec un vrai plaisir que je poursuivrai cet angoissant manga, d'autant plus que les dernières pages m'ont vraiment prise par surprise. J'étais tellement prise dans ma lecture que je ne m'étais pas rendue compte que j'approchais si dangereusement de la fin du volume ! Malgré ses mineurs défauts, <u style="font-weight: bold;">Limit</u> a donc été une très bonne découverte pour moi et j'ai hâte de poursuivre ma lecture. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Avez-vous déjà lu ce manga ? N'hésitez-pas à me faire part de vos premières impressions !</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">En vous remerciant du fond du cœur d'avoir lu mes ressentis jusqu'au bout, je vous souhaite une douce soirée, accompagnée bien entendu d'un délicieux thé bien chaud ! </div><div style="text-align: justify;">Roseline 🍵</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYYLapt0uJ9a-i63kiOH22ATkTxTZHcD9S6t4ndIoJAtmZCUz5KBkA8E7lEZU3ngPltDq4vQppB6dRljbIHbSuOUuLVYb0BU1sJ_YbxhvtFdfJ6AVdPsFXmusz0VCj5x_9_VILSKh-s5-Wwho7lBDGcqz0S11ZwrKMxFQCg3K5WgA7Ce3ocp8ehaLmHx3t/s1500/limit-1-pika.webp" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1500" data-original-width="1083" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYYLapt0uJ9a-i63kiOH22ATkTxTZHcD9S6t4ndIoJAtmZCUz5KBkA8E7lEZU3ngPltDq4vQppB6dRljbIHbSuOUuLVYb0BU1sJ_YbxhvtFdfJ6AVdPsFXmusz0VCj5x_9_VILSKh-s5-Wwho7lBDGcqz0S11ZwrKMxFQCg3K5WgA7Ce3ocp8ehaLmHx3t/w144-h200/limit-1-pika.webp" width="144" /></a></div><b><u>Limit, tome 01</u></b><div><br /></div><div>titre vo : リミット</div><div>statut : série terminée au Japon (6 tomes)</div><div>scénario : SUENOBU Keiko<br />dessin : SUENOBU Keiko<br />éditeur français : Pika<br />collection : shôjo<br />traduction : CABLE Emeline<br />publication : février 2024<br />prix unitaire : 7€20<br /></div>Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-20346485046209530722024-02-27T10:30:00.105+01:002024-03-04T11:22:35.269+01:00Yurika Fukahori ~âme de feu et de rosée~<div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjD9zP8MGbrbuqtVFxMe26uc-H-VVhwSnekmDPhK_yeadjASksQqAR2xh9BocJwBSeWSIFDEQILd4upWrfkqs0fXxwkSErrPZsuQPQg_QqIyv3q47Npd5ReSIwxSix4uqefh529DxVqIRwG6l-NSgxIhlz3W6ZJD6ZRsq2LXYGoDSgWJvOTJTlrNkgjkjU5/s1920/bannyurika.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1080" data-original-width="1920" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjD9zP8MGbrbuqtVFxMe26uc-H-VVhwSnekmDPhK_yeadjASksQqAR2xh9BocJwBSeWSIFDEQILd4upWrfkqs0fXxwkSErrPZsuQPQg_QqIyv3q47Npd5ReSIwxSix4uqefh529DxVqIRwG6l-NSgxIhlz3W6ZJD6ZRsq2LXYGoDSgWJvOTJTlrNkgjkjU5/w640-h360/bannyurika.jpeg" width="640" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> <span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><b>T</b></span>andis que <u style="font-weight: bold;">The blue flowers and the ceramic forest</u> vient tout juste de sortir aux éditions Mangetsu, j'avais très envie de me replonger (comme je le fais déjà si souvent et sans réelle raison particulière autre que le plaisir de ressortir ce manga de cœur et d'âme) dans une autre œuvre de l'autrice avant de m'attaquer à de nouvelles émotions qui seront, à ne pas en douter, très fortes pour moi. Je parle bien entendu de <u style="font-weight: bold;">Kids on the slope</u>, merveilleux<i> manga </i>de <i>Yuki Kodama</i> qui a été publié en 2012 chez nous aux éditions <i>Kazé manga</i>. Tandis que je m'interrogeais sur la dimension qu'allait prendre mon article (il y a tant à dire sur ce fabuleux récit !), <i>Yurika</i>, une des héroïnes du titre, est passée faire un petit tour dans mon esprit, s'imposant alors comme un sujet que j'ai personnellement trouvé intéressant, tant le personnage apparaît comme absent de la vision globale qu'ont les lecteurs de l'œuvre. Je vous propose ainsi de vous pencher un peu plus près de cette belle jeune femme au tempérament de "<i>feu et de rosée</i>"...</div></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span><a name='more'></a></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> <span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><b>A</b></span>vant propos, laissez-moi vous parler un peu de ce délicat <i>manga</i> qui va être au centre de nos discussions aujourd'hui. <u style="font-weight: bold;">Kids on the slope</u> prend place dans le Japon des années 60, où la jeunesse, partagée entre les valeurs de ses aînés et ce que l'occupation américaine lui a laissé de plus attrayant navigue avec plus ou moins de difficultés. Nous faisons la rencontre de <i>Kaoru</i>, un jeune homme de famille plutôt aisée, tandis qu'il se crée malgré lui une amitié naissante avec <i>Sentaro</i>, un camarade aux allures débridées qui va élargir ses horizons en lui partageant son amour pour le<i> </i>jazz. L'article qui va suivre détaille une grande partie de l'histoire aussi, si ce n'est pas encore fait, je vous recommande grandement la lecture du récit avant de lire les (trop nombreuses) lignes qui vont suivre !</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: large;"><b><br /></b></span></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Satisfy; font-size: x-large;"><b>A lucky star's above</b></span></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Satisfy; font-size: x-small;"><b> </b></span></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitUHOW5Y7LXOmvMHESJ5q0w8sQ8Eibjsu_3er5OYqB0Cp6bhoHQ3cfQ6Is2rvB3TVjNp-LdSCZZHPL7gJ_Gx0EDDXHMJPSE9JKZvvq5N8L2CWGFEpORA9e1xefo0jdoL-tGdTl7kR-4jqAmgWbe77ipjvm27_EqZ14TQ0OcRVlD0Yc0vPbp04n9TOYIg/s488/29.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="236" data-original-width="488" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitUHOW5Y7LXOmvMHESJ5q0w8sQ8Eibjsu_3er5OYqB0Cp6bhoHQ3cfQ6Is2rvB3TVjNp-LdSCZZHPL7gJ_Gx0EDDXHMJPSE9JKZvvq5N8L2CWGFEpORA9e1xefo0jdoL-tGdTl7kR-4jqAmgWbe77ipjvm27_EqZ14TQ0OcRVlD0Yc0vPbp04n9TOYIg/s16000/29.png" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div></span></div><div style="text-align: justify;"><span> </span><span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><b>N</b></span>ous faisons la rencontre de <i>Yurika</i> tandis qu'elle se trouve en mauvaise posture. Alors que <i>Kaoru, Sentaro</i> et <i>Ritsuko</i>, son amie d'enfance, profitent d'une journée à la plage, ils tombent sur la jeune femme en proie à de lourds dragueurs. Comme dans un vieux film romantique, la scène semble hors du temps lorsque ses yeux rencontrent ceux de <i>Sentaro</i>. Pour le jeune homme, la sentence est tombée; c'est le coup de foudre. Immédiatement dépeinte comme une jeune femme douce qu'il faut protéger du monde extérieur, <i>Yurika</i> est montrée sous des airs plus qu'angéliques, apposant sur son joli visage un sourire radieux dont on ne voit nulle trace de l'embarras dans lequel elle se trouvait un peu plus tôt. Lorsque le petit groupe la retrouve au sein de leur lycée, la jeune fille fait preuve d'une grande sociabilité; on la retrouve entourée d'un grand cercle d'amies et elle n'hésite pas à aller à la rencontre de ses sauveurs. Une attitude sous laquelle on décèle une certaine habitude d'être entourée et appréciée. </div><div style="text-align: justify;"><span> </span></div><div style="text-align: justify;">Sous les yeux enivrés de <i>Sentaro</i>, <i>Yurika</i> apparaît tel un ange aux ressemblances troublantes avec la vierge Marie, tout à fait à son opposé de par sa situation familiale comme sociale. Elle est tour à tour calme, attentionnée, mais se montre tout à fait passionnée et exigeante lorsqu'il s'agit de son art, dans lequel elle nourrit aussi bien une sensibilité certaine qu'une grande confiance en ses talents. Se dégage de toutes ses particularités une certaine pureté propre à une adolescence dorée dans laquelle elle est de toute évidence choyée. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Satisfy; font-size: x-large;">Was I the moth or flame</span></div><div style="text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizEnpohhvjtyPFFqcluTWB3uW8lca1GY_viF6yez5ukO-9_oIHitr28_q8a9YeSEwMxGn7a48An1eAHjiZ2Wx1VwZ4r5UP4kiwfvmI4OFTrcwktTm6_gG4SSE9RU1iEg5efk7BXEfORUPfrOOW38Aqo61xEyntXQKcgCatjxW0srDUbw28W2h88HHCY8je/s824/26bea47818a13685d5850ad25eeaa5a7a75a83e2_206662_880_1400.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="386" data-original-width="824" height="188" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizEnpohhvjtyPFFqcluTWB3uW8lca1GY_viF6yez5ukO-9_oIHitr28_q8a9YeSEwMxGn7a48An1eAHjiZ2Wx1VwZ4r5UP4kiwfvmI4OFTrcwktTm6_gG4SSE9RU1iEg5efk7BXEfORUPfrOOW38Aqo61xEyntXQKcgCatjxW0srDUbw28W2h88HHCY8je/w400-h188/26bea47818a13685d5850ad25eeaa5a7a75a83e2_206662_880_1400.png" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span><span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><b>À</b></span> priori, nous avons donc affaire à une personnalité plutôt différente de nos deux protagonistes. Ne va-t-elle donc pas ruiner l'harmonie musicale qui s'installe tout juste entre <i>Kaoru</i> et <i>Sentaro</i> ? C'est bien peu connaître notre flamboyante héroïne. Car ce que l'on voit, face à ces délicates premières planches, n'est que bien peu de surface d'un caractère toujours évolutif et empli de surprises. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Au contact de ses nouveaux amis, la jeune femme se montre en effet plutôt surprenante. Simple et avenante, parfois taquine envers un <i>Sentaro</i> complètement désemparé, elle se fait rapidement une place en tant qu'amie de choix dans le petit groupe. De plus, loin de mépriser leur intérêt musical qui est pourtant à contre courant de la vieille blessure due à l'occupation américaine du pays, <i>Yurika </i>s'avère finalement plutôt connaisseuse, ayant des grands frères passionnés de ce genre musical. Tout comme elle se montre peu farouche lorsqu'il s'agit d'évoquer le thème d'un de ses tableaux, la jeune fille de bonne famille n'a pas froid aux yeux dans ses activités et n'hésite pas à se salir les mains pour prouver qu'elle est capable, tout autant qu'un homme, de littéralement gravir des montagnes.</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Un brin féministe, notre héroïne ne supporte en effet pas la moindre provocation venue du sexe opposé. Contrairement à ses camarades tâtonnants, <i>Yurika</i> semble avoir une vision claire de ce qu'elle veut devenir, mais surtout du genre de personne qu'elle aspire à être, sûre de ses convictions et n'ayant pas peur de leur donner de l'ampleur. C'est ainsi que sa rencontre avec <i>Jun'ichi</i>, ami trompettiste plus âgé de <i>Sentaro</i> et <i>Ritsuko</i>, démarre sous de mauvaises auspices. Se sentant provoquée par les moqueries de ce dernier, qui la taquine automatiquement en raison de ses airs de "jeune fille de bonne famille", elle prendra la moindre de ses paroles comme une attaque personnelle, comme un défi qui lui faut terrasser pour l'honneur, bien que le choc des milieux puisse la faire hésiter aux premiers instants. C'est ainsi que <i>Yurika</i>, agacée par l'attitude un brin misogyne de son interlocuteur, entre dans le bar où ses amis performent par pure fierté. C'était sans compter sur les yeux hypnotiques de <i>Jun</i>, qui s'adonne à la chanson "<i>but not for me</i>", lourde de sens quant à la situation de ce duo si peu assorti, et ses charmes de musicien. <i>Yurika</i> est emportée malgré elle par ce coup de foudre auquel la moindre résistance est inutile, son cœur ayant déjà été dérobé.</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Satisfy; font-size: x-large;">This is the time a feller needs a friend</span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJCmN1aZ42mYcmuB7qUvxQLSaC2Li8uMTz7HC-xYGm7lPWhD1yWSO6Cya_52zhnj1C4CpaUqWyc863A_u0TztwS3Gi2CK28FgpMa0bufC_Foid00r7wGM3V4QGVRcXpWiSKYy5e9F_4gyIGejVIsSxmAY3LwIZcqFmQVPntK7XkgNICjm04bbrvmqvNXMW/s887/5bfe26d701f1568bad57b9a8b05bdd9fe3a5ccc2_218895_887_1400.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="565" data-original-width="887" height="255" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJCmN1aZ42mYcmuB7qUvxQLSaC2Li8uMTz7HC-xYGm7lPWhD1yWSO6Cya_52zhnj1C4CpaUqWyc863A_u0TztwS3Gi2CK28FgpMa0bufC_Foid00r7wGM3V4QGVRcXpWiSKYy5e9F_4gyIGejVIsSxmAY3LwIZcqFmQVPntK7XkgNICjm04bbrvmqvNXMW/w400-h255/5bfe26d701f1568bad57b9a8b05bdd9fe3a5ccc2_218895_887_1400.png" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><span> <span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><b> </b></span></span><span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><b>A</b></span>insi, <i>Yurika</i> se lie rapidement d'amitié avec ce petit groupe. Bien qu'elles semblent diamétralement opposées, <i>Ritsuko</i> et la jeune femme dont nous nous intéressons vont tisser des liens authentiques, dûs à la simplicité de <i>Yurika</i>, qui va lui offrir des petits cadeaux fait main aussi bien que des conseils sincères lors de plusieurs passages importants du récit. Lorsque la petite <i>Mukae</i> perdra toute confiance en elle et ses sentiments amoureux, <i>Yurika</i> n'hésitera pas à plonger dans les poubelles pour retrouver le cadeau déchu, ainsi que redonner un peu de courage à son amie. Lors de leurs rares accroches, la jeune femme restera un soutien solide pour les garçons, encourageant discrètement mais sans faille leur envolées musicales lors du festival de leur école. Tandis qu'elle s'éloigne peu à peu de l'histoire principale et du groupe central de personnages en raison de son départ de la petite ville côtière, <i>Yurika</i> montre l'étendue de son affection pour ses camarades de lycée en revenant aider <i>Kaoru</i> dans ses recherches, lorsque <i>Sentaro</i> disparait de leur vie. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span>L'évolution de cette affection est subtilement démontrée par la <i>mangaka</i> en jouant avec les expressions de la jeune femme au dos du livre. Elle est au départ représentée dos aux protagonistes, avec un visage légèrement tourné vers eux, appuyant le fait qu'elle se montre d'abord intriguée par eux, par l'animation dont ils font preuve. Au fur et à mesure, elle est représentée de plus en plus proche du groupe, souriante et confiante tandis qu'elle est dessinée à leurs côtés, et non plus dans un petit coin, telle une beauté inapprochable. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Avec <i>Sentaro</i>, les choses sont un peu plus compliquées, moins légères. Si au départ, <i>Yurika</i> se montre très avenante envers celui qui l'a secourue sur la plage, elle commence à montrer quelques réserves en se rapprochant de <i>Jun'ichi</i>, car c'est également à cet instant qu'elle comprend les sentiments que nourrit son ami à son égard. Tentant de le repousser gentiment en ne cessant de parler de <i>Jun</i> à ce dernier, elle finit par se montrer plus ferme lorsque <i>Sentaro</i> découvre la liaison de ses deux amis. Il vit cela comme une trahison et bien que <i>Yurika</i> reste très ferme sur ses positions, le lecteur devine la peine et la culpabilité qu'elle subit de séparer ainsi les deux jeunes hommes. <br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Après avoir retrouvé <i>Jun</i> dans sa vie, <i>Yurika </i>semble changer du tout au tout. Alors qu'on la voyait sans cesse entourée d'un cercle d'amies au début du récit, elle se montre soudainement solitaire et parle peu à son entourage. Pour autant, elle apparait plus sure d'elle-même et de ses choix que jamais auparavant dans le récit. Elle semble s'être trouvée aux côtés de l'homme qu'elle aime après les épreuves dont elle n'était visiblement pas coutumière, confinée dans le cocon protecteur dont faisait office sa famille. On découvre par la suite comme ses relations avec ses parents sont conflictuelles lorsqu'elle suit un autre chemin que celui qu'ils désiraient. Cachée des autres, presque reniée au sein de son foyer, la jeune femme poursuit tout de même sa volonté et son idée du bonheur. Ainsi, on peut se demander si cet air si gai, cette sociabilité extrême n'était pas un moyen pour <i>Yurika</i> de cultiver cette image de "jeune fille de bonne famille" que lui imposait sa naissance. La légitimité de ses précédentes amitiés - que l'on ne voit d'ailleurs plus à partir de l'instant où sa réputation au sein de l'établissement se dégrade, se pose. D'autant plus qu'elle semble bien plus naturelle avec ceux qui ne s'intéressent pas à sa famille, avec les hommes au contact desquels elle ne se sent pas dans l'obligation d'être parfaite. Ce côté rebelle de sa personnalité, c'est avec <i>Jun'ichi </i>qu'il va exploser, prendre toute sa place dans ce petit caractère auparavant bien ordonné. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Satisfy; font-size: x-large;">Although I can't dismiss the memory of his kiss, </span></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Satisfy; font-size: x-large;">I guess he's not for me</span></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Satisfy;"> </span></div><div style="text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOr70mO4DwwSKDbDI2nKqWMLYz6gU1dqSVsyaqwGnC7LVRnaU6MNZZB0Z0S93EiCP4uJ9eDIBO95BPGryeqD77A3eCB0Xqw7V2vqXxGfh28xrjlLyY60zeqT_7V8Z3sweN5qwqFrc0pvwMGoEERQSpVlG1wpDLzEjDQmE6wjuQV99M1KY7l68ZnzFjatCR/s797/n028.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="797" height="256" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOr70mO4DwwSKDbDI2nKqWMLYz6gU1dqSVsyaqwGnC7LVRnaU6MNZZB0Z0S93EiCP4uJ9eDIBO95BPGryeqD77A3eCB0Xqw7V2vqXxGfh28xrjlLyY60zeqT_7V8Z3sweN5qwqFrc0pvwMGoEERQSpVlG1wpDLzEjDQmE6wjuQV99M1KY7l68ZnzFjatCR/w640-h256/n028.jpg" width="640" /></a></div><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span><span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><b>A</b></span>lors qu'elle fait sa rencontre dans un bar enfumé empli d'amateurs de jazz, à mille lieux de son environnement cotonneux habituel, <i>Yurika</i> ne peut résister au charme du musicien. Comme hypnotisée par cette chanson, la jeune femme va naturellement chercher à se rapprocher de son interprète, oubliant alors tous les préjugés qu'elle avait pu avoir après une première rencontre quelque peu houleuse. La jeune femme fait alors preuve d'une certaine timidité à son égard, montrant qu'elle est avant toute chose une lycéenne comme les autres, aveuglée par un amour sincère qui semble guidé par la pureté. De nature très romantique, <i>Yurika</i> s'enthousiasme de petites choses qu'elle nomme bien volontiers sous l'étiquette du destin, comme le rapprochement de son nom avec celui de la boutique des parents de <i>Jun</i>, qu'elle fréquentait sans avoir idée du lien qui les unissait. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Après un baiser frivolement échangé de la part du jeune homme, ce dernier disparait soudainement, laissant <i>Yurika</i> en proie à de centaines de questions. Ses airs romanesques prendront des nuances mélancoliques lorsqu'elle peindra en pensant au jeune homme, qu'elle n'a de cesse d'évoquer lors de ses conversations avec ses camarades. Son caractère romantique parait sous un jour plus pur encore lorsque l'on découvre le nombre de lettres qu'elle a pu lui adresser, désireuse de mettre un mot sur ce qui s'est passé entre eux un peu plus tôt. Cette naïveté de sa part démontre une certaine inexpérience en la matière et attendrit la vision que peut avoir le lecteur de cette héroïne troublée, représentée comme cherchant sans arrêt le regard de cet homme montrant pourtant peu de respect pour elle. Lorsqu'il disparait sans laisser de nouvelles à quiconque, sa personnalité légère semble soudainement trempée de larmes et de mélancolie, marques d'un premier amour qui touche à sa fin sans jamais avoir eu la chance de débuter. Vulnérable, semblant fragile comme un papillon de nuit vivant ses dernières heures, <i>Yurika</i> est perdue concernant ses sentiments et laisse son grand manque d'affection dicter sa conduite. Un instant, la jeune femme se rapproche alors sensiblement de <i>Sentaro</i>, mais n'osera jamais céder complètement aux avances du jeune homme et laissera cet acte flottant, telle une erreur qui a entachée une relation amicale à laquelle elle tenait. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Lorsque <i>Junichi</i> réapparait dans sa vie, <i>Yurika</i> parait plus intense encore, se languissant des sentiments qu'elle n'a pas eu le temps de faire éclore, à fleur de peau. C'est dans ce contexte que sa vie va alors prendre une toute nouvelle direction. <br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Satisfy; font-size: x-large;">With love to lead the way </span></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhm3RytvUMpv2fEp7WEAjuz7K6El1S8GmDr_gcJqiUdZhI_dFqvRTz65arx2jSA_JF6_1AESQd6TIDYfaPbzaooeipc4tA-JXKylJN1N7M3lJscrZMzDQy6Rks-cehJuy8A6PfKGncldUcPbH1EjFbgd8iRyi3cmZlkkKWBThMMZuPeVuEkQtAFMFEvqjZd/s736/607b3b0b0a5a89b2ace8b1ff369d7e55a45aabe4_50578_743_1200.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="406" data-original-width="736" height="221" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhm3RytvUMpv2fEp7WEAjuz7K6El1S8GmDr_gcJqiUdZhI_dFqvRTz65arx2jSA_JF6_1AESQd6TIDYfaPbzaooeipc4tA-JXKylJN1N7M3lJscrZMzDQy6Rks-cehJuy8A6PfKGncldUcPbH1EjFbgd8iRyi3cmZlkkKWBThMMZuPeVuEkQtAFMFEvqjZd/w400-h221/607b3b0b0a5a89b2ace8b1ff369d7e55a45aabe4_50578_743_1200.png" width="400" /></a></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span><span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><b>L</b></span>es deux jeunes gens se retrouvent alors que <i>Jun</i> semble brisé par des années de violentes manifestations étudiantes ayant pris trop de place dans sa vie. L'indifférence dont il témoigne à son amie la laisse dans l'incompréhension et remet en doute tout ce qui s'était passé entre eux jusqu'alors. Les sentiments meurtris, <i>Yurika</i> se montre dans sa plus grande fragilité, désireuse d'être enfin aimée correctement. Néanmoins, c'est sa fierté qui s'exprimera le plus bruyamment, la poussant à se rendre chez <i>Jun'ichi</i> afin d'exiger des explications. Cette scène montre que c'est un personnage qui se fiche du qu'en dira t'on et de la dangerosité dans laquelle cette situation pourrait bien la mettre, socialement parlant. Par défi, elle va donc rentrer dans l'appartement de <i>Jun</i> et finira par faire fondre les réticences du jeune homme à ouvrir son cœur. Si elle est d'abord effrayée par l'attitude brusque du jeune homme, <i>Yurika</i> montre la confiance qu'elle lui accorde en restant à ses côtés et finit de le convaincre en coupant brutalement ses longs cheveux, geste démontrant toute la détermination qu'elle a de prouver qu'elle n'est pas seulement la fleur fragile que <i>Jun</i> voit en elle. Si cet acte peut sembler anodin aujourd'hui, la symbolique reste très forte puisqu'elle démontre son envie de se défaire de son image de fille de bonne famille et se coupe par le même temps des attentes sociales qui pèsent sur sa féminité. Dans un même temps, ce nouveau style capillaire montre également la dualité du personnage qui, si elle parait très sûre d'elle, n'en conserve pas moins l'innocence d'une jeune fille amoureuse et qui, par cet acte, souhaite tirer une croix sur cette déception sentimentale et repartir de zéro. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Si cette coupe brutale dans son quotidien marque une nette amélioration dans ses liens avec<i> Jun'ichi</i>, qui passe de l'admiration mutuelle à un véritable fondement de relation amoureuse, elle souligne également un changement plus marqué dans la personnalité de <i>Yurika</i>. Sûre de ses choix, la jeune femme laisse davantage parler son cœur et ouvre ses portes à une liberté longtemps désirée. Elle contredit ses professeurs, appuie ses convictions. Son entourage scolaire, qui la voyait jusque là comme une princesse douce et silencieuse, la trouve changée et peine à la reconnaître. "<i>Elle n'est plus du tout comme avant, genre fille de bonne famille..." </i>sont les paroles que l'on entend être murmurées plus ou moins discrètement dans les couloirs de l'établissement. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Loin des regards, <i>Jun</i> et <i>Yurika</i> posent les fondements d'une relation saine où la confiance et la sincérité prennent tous les draps. Comme tout au long de sa série, l'autrice illustre ces changements subtils dans leurs rapports en positionnant <i>Yurika</i>, au dos de la couverture des volumes, l'air apaisé et tournée dans la même direction que l'homme et la nouvelle vie qu'elle a choisie. Elle s'occupe de remettre sur pieds <i>Jun</i>, qui peine à se défaire de son violent passé d'activiste. Cet altruisme à son égard lui coûte cependant sa relation, déjà fragile et incomplète, avec sa famille. Ses parents, outrés de la voir négliger sa scolarité et s'enticher d'un homme plus âgé et pas forcément recommandable, vont rejeter en bloc la maturité nouvellement acquise de la jeune femme. Ils vont alors tenter de la présenter à de nouveaux jeunes hommes, plus proches socialement de ce qu'ils attendent de leur petite fille qu'ils ont toujours choyée. Tandis que la jeune femme s'était dirigée vers sa vie adulte, ses parents tentent de la tirer en arrière, en faisant preuve d'un manque de confiance évident en lui organisant un rendez-vous avec un gynécologue. Ce point marque une rupture définitive entre les membres de la famille, que l'on comprend très inquiets à l'idée de perdre leur fille, non pas par affection, mais bien par peur du qu'en-dira-t-on. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">L'idée de s'enfuir commence à germer dans l'esprit de la jeune fille. Emportant tous ses maigres biens jusqu'à la gare, elle accompagne <i>Jun</i>, qui désire de repartir de zéro dans une autre ville. Son éducation aisée qui l'avait conduite à un certain avenir et sa détermination à suivre l'homme qu'elle aime s'entrechoquent et l'arrivée soudaine de ses parents sur le lieu la font flancher. Le sourire plein de larmes qu'elle adresse à son amant montre tout son altruisme tandis que, comme une héroïne de tragédie, elle s'apprête à sacrifier sa vie pour le laisser se reconstruire. Le jeune homme finit par l'emmener malgré tout avec lui, un acte qui, pour la première fois, montre la réciprocité de ses sentiments.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Le volume dix du manga (malheureusement et honteusement jamais publié en français) dévoile le quotidien du couple et se montre essentiel pour pleinement apprécier l'évolution du caractère de la jeune femme. Une fois installés dans un petit appartement, le quotidien aisé de<i> Yurika</i> semble un lointain rêve mais, certaine de ses choix, rien ne pourrait l'abattre. Loin de rester passive, elle se montre un véritable pilier financier pour son compagnon et touche enfin à une véritable indépendance, sur tous les points. Elle renoue avec ses talents artistiques tout en conservant son naturel enthousiaste, rêveur et sociable. Si la vie en ménage semble lui convenir, <i>Yurika </i>ne s'oublie donc pas dans cette euphorie nouvelle et conserve son âme romantique et passionnée. Elle fait preuve d'une grande liberté de caractère lorsqu'elle menace de quitter <i>Jun</i>, qui la néglige pendant un moment. De ce fait, l'autrice démontre à quel point son héroïne a grandi et n'a plus vraiment besoin du soutien d'un homme pour faire sa vie. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Son histoire se clôture lorsqu'elle vient en aide à <i>Kaoru</i> dans ses recherches pour retrouver <i>Sentaro</i>, qui s'est enfui suite à un accident de la route qui a blessé sa petite sœur. On la retrouve confiante, plus souriante que jamais et désormais maman de deux petites filles, démontrant que son pari de rester aux côtés de <i>Junichi</i> s'est révélé concluant. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhOXikIzCiEhb_MAnM_BcpH0Kw3hkYh-ff_a68Tl_L2KXGOV8RJ2ZZ809CwP9nZylEER5YRH-eTBfMlaTm6CRRkbZ-7vLZfEODphlms1QoVukkHE4nmQKGWMmaEGbBusVhtXWQ_T4nhi2ZQBVSB2XfLiq0tCrI6p_OQ42QHS0HIRo5wEmjiJDVqrSYekSGI/s850/__fukahori_yurika_sakamichi_no_apollon_drawn_by_kodama_yuki__sample-a328dd1e2aba9ec83535e2ac34e1b611.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="850" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhOXikIzCiEhb_MAnM_BcpH0Kw3hkYh-ff_a68Tl_L2KXGOV8RJ2ZZ809CwP9nZylEER5YRH-eTBfMlaTm6CRRkbZ-7vLZfEODphlms1QoVukkHE4nmQKGWMmaEGbBusVhtXWQ_T4nhi2ZQBVSB2XfLiq0tCrI6p_OQ42QHS0HIRo5wEmjiJDVqrSYekSGI/s320/__fukahori_yurika_sakamichi_no_apollon_drawn_by_kodama_yuki__sample-a328dd1e2aba9ec83535e2ac34e1b611.jpg" width="320" /></a></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span style="color: #b4a7d6; font-family: Cookie; font-size: x-large;"><b>C</b></span>omme dit plus haut, j'ai eu envie d'écrire cet article car peu de personnes évoquent le personnage de <i>Yurika</i> lorsqu'ils discutent de cet excellent manga. Reléguée au rang d'élément perturbateur dans la vie des deux héros masculins, la jeune femme est plus souvent vue comme une problématique scénaristique plutôt qu'un réel personnage en soit. Pourtant, je me suis toujours passionnée par son destin à la fois simple et si riche en contradictions, révoltes et passions. Je trouve qu'il s'agit d'un personnage merveilleusement bien écrit, entre l'idole et la simple femme victime d'une société qui nous coupe les ailes. Si elle reste simple amatrice et ne joue pas d'un instrument, la liberté et le caractère passionné de <i>Yurika</i> en font une parfaite personnification du jazz. J'espère que, si ça n'était pas déjà le cas auparavant, vous l'aimerez un peu plus lors de votre prochaine relecture. </div><div style="text-align: justify;"><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><iframe allowfullscreen="" class="BLOG_video_class" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/o661KZwx2JQ" width="320" youtube-src-id="o661KZwx2JQ"></iframe></div></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Avez-vous lu cet excellent manga ? Que pensez-vous du personnage de <i>Yurika</i> et de son apport au récit ? </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Merci d'avoir lu jusqu'au bout ce (toujours trop) long article qui m'a vraiment jailli du cœur. Cela faisait longtemps que j'avais envie d'écrire à nouveau sur <u style="font-weight: bold;">Kids on the slope</u> et je suis ravie d'avoir pu le faire sous cet angle. À très bientôt pour de nouveaux billets, j'espère vous y croiser !</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Roseline 🍵</div><div>
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com5tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-9502955396250220682023-12-15T18:00:00.023+01:002024-03-04T11:23:25.334+01:00Colette - le carrefour des désirs brisés <p style="text-align: justify;"><span></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgliLuGNF5slJhl_vYmkl1ye-g47smVkN3-VJPihmXxIz4StdJHGeqvgBvMhwEE89QduKaTN47dw2W6xE0lApms03NXNjylCxPq-kCo4JFHcjTiXA227OdfucRDfbZDLmKxgj9jLXesD1S3jRHzyr4WzsVoU85aAvpYyrX9fuSa72fG57_qfpYnwc9623hU/s995/24_10_2023_Annonce_Pika_Colette_Memoires_dune_maison_close_affiche.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="635" data-original-width="995" height="408" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgliLuGNF5slJhl_vYmkl1ye-g47smVkN3-VJPihmXxIz4StdJHGeqvgBvMhwEE89QduKaTN47dw2W6xE0lApms03NXNjylCxPq-kCo4JFHcjTiXA227OdfucRDfbZDLmKxgj9jLXesD1S3jRHzyr4WzsVoU85aAvpYyrX9fuSa72fG57_qfpYnwc9623hU/w640-h408/24_10_2023_Annonce_Pika_Colette_Memoires_dune_maison_close_affiche.jpg" width="640" /></a></div><br /><div style="text-align: justify;"> Paris, XXe siècle. Dans l'air, de lourds effluves de parfum bon marché agressent chacun de vos sens dans une ruelle faiblement éclairée, habitée par les rires racoleurs des femmes qui tentent de vous faire entrer dans leur établissement. Vos pas vous mènent à l'un de ces bordels, Les nuits de l'oeuf et, accoudée à l'enseigne défraîchie, une employée vous y observe de ses yeux sombres dans lesquels brillent une féroce intelligence. Il s'agit de Colette, une femme à la fois libre et esseulée, et si vous prenez le temps de l'écouter, son histoire pourrait bien vous inspirer les plus belles et torturées lignes de Littérature... </div><p></p><span><a name='more'></a></span><p style="text-align: justify;"> Après la ressortie inespérée mais plus que bienvenue de l'excellent <u><b><a href="https://manga-sukii.blogspot.com/2015/06/sakuran.html" target="_blank">Sakuran</a></b></u> de la même autrice, les éditions Pika continuent sur leur bonne lancée en publiant l'un des derniers mangas de Moyoco Anno, à savoir le <u style="font-weight: bold;">Colette - mémoires d'une maison close</u><span>, </span>dont il est question dans cet article. L'annonce de ce beau bébé de plus de 500 pages m'a transportée de joie, car <a href="https://manga-sukii.blogspot.com/2016/09/memoirs-of-amorous-gentlemen-petit.html" target="_blank">j'avais déjà lu</a> il y a quelques années les premiers chapitres de ce manga sulfureux et ô combien obsédant. Armez-vous d'une boisson chaude et prenez une pose confortable, j'ai beaucoup de bonnes choses à dire sur l'une des meilleures parution manga -si ce n'est la meilleure, de l'année !</p><p style="text-align: justify;"><span> Colette est une jeune femme qui travaille dans une des plus célèbres maisons closes de Paris. Cet établissement, qui a pour particularité d'assouvir les désirs les plus extravagants de tous ses clients, est habité par des femmes aux rêves désincarnés qui luttent pour trouver un sens à leur vie. Pour Colette, sa seule source d'espoir se trouve dans les bras de Léon, son amant qui lui promet de racheter un jour sa liberté. Mais, bientôt, elle va se trouver forcée de trouver un nouveau sens à sa vie, loin des différents hommes qui tentent de la lui définir. </span></p><p style="text-align: justify;"><span><span> </span>Nul besoin de préciser que dans un tel contexte, les perversités des clients sont dévoilés sans fards. Dans cet endroit où le temps semble s'arrêter, les clients ; souvent des hommes de bonne famille que l'on imagine à mille lieux de nourrir de telles pensées, laissent ainsi parler des facettes étonnantes et semblent se libérer du poids et des exigences morales de la société bien pensante aristocratique. </span><span>Que les fantasmes de ces messieurs nous paraissent malsains, extravagants ou carrément nocifs, j'ai apprécié le fait que Moyoco Anno laisse au lecteur le soin de se faire son propre jugement en tenant un discours neutre. </span>Allant plus loin encore dans sa démarche, <b><span style="color: #45818e;">l'autrice en tire une véritable réflexion passionnante sur la perversité de l'Homme</span></b>. Qu'est-ce qui fait qu'un désir soit plus dégradant qu'un autre ? Les pervers, ces hommes si passionnés qu'ils parviennent à matérialiser leurs rêves, ne sont-ils pas, en un sens, à admirer ? Que l'on adhère ou pas au pratiques décrites, l'autrice interroge sur la normalité et le courage qu'il faut pour <b><span style="color: #45818e;">verbaliser l'hors norme</span></b>. De nombreux portraits variés et inspirés se croisent donc en ces pages et si les clients restent ce qu'ils sont - des hommes étranges, parfois malsains, mais surtout seulement de passage, il était intéressant de deviner les motivations qui les poussaient à aller dans un tel établissement.</p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEicSjH6peKb4CAxKoVrHfIag1R8rsElKjruaKUXzURHGjytGWPb-9DFv8SA9ZAHgpoQNLsacq0XlGcMev5CX1z_E0-4B5fakvJ4AN4IcDtyItUyalcdOrNKZLwR1I-ahmq3Aa-15BqMF9Qb7Vn3ybpU4Y0wf9VybTIUlv4VCSKMT4gE4aShgioxsDCWM6UI/s1600/8115253da4bc191a88a29f520e8c9811%20-%20Copie.jpg" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="1086" data-original-width="1600" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEicSjH6peKb4CAxKoVrHfIag1R8rsElKjruaKUXzURHGjytGWPb-9DFv8SA9ZAHgpoQNLsacq0XlGcMev5CX1z_E0-4B5fakvJ4AN4IcDtyItUyalcdOrNKZLwR1I-ahmq3Aa-15BqMF9Qb7Vn3ybpU4Y0wf9VybTIUlv4VCSKMT4gE4aShgioxsDCWM6UI/s320/8115253da4bc191a88a29f520e8c9811%20-%20Copie.jpg" width="320" /></a></div><p style="text-align: justify;"><span> </span>Utilisant délicieusement toute la perspicacité de son écriture, <span style="color: #45818e;"><b>Moyoco Anno dessine merveilleusement ce bordel</b></span> dans lequel on sent toutes les effluves et l'on entend tous les cris -de plaisirs comme d'une colère trop longtemps contenue. Il y règne une agitation permanente, l'atmosphère y semble lourdement fardée, peut-être pour dissimuler le parfum trop fort de désespoir. Si toutes les travailleuses paraissent pleinement consciente de la cage dont elles sont prisonnières, elles s'accrochent toutes malgré elles à un espoir qui semble, pour le lecteur, bien peu prometteur. Mais ces miettes sont ce qui les fait tenir et rend les personnages tous très attachants. La galerie est variée et si, comme dans tout rassemblent humain, des rivalités et jalousies entachent le tableau, il subsiste une très belle sororité, notamment entre Colette et ses plus proches collègues. J'ai adoré ces dernières, que la douleur sous-jacente rapprochait. Mignot permet par exemple l'arrivée de scènes plus légères, plus digestes, tout en se montrant très touchante à certains passages. La fatalité qui les possèdent toutes a quelque chose de très triste pour le lecteur qui est frontalement confronté à cette opposition entre les désirs assouvis des clients et ce désespoir permanent pour les prostituées qui ont si peu en leur possession qu'elles n'ont plus rien à perdre. L'autrice illustre cela de façon très intelligente, avec une description des fantasmes masculins prenant beaucoup de place sur la page, tandis que les rêves et attachements de ces femmes paraissent minuscules (les petites boites qui contiennent toutes leurs possessions), parfois illusoires avec le personnage de Carmen qui rêve de revoir un amant dont on doute de l'existence réelle. Elles semblent alors devenir actrices de leur propre vie, dépossédée d'humanité tandis que les corps et scènes d'intimité s'enchainent sans aucune passion. Dans cet échange de services, les femmes se mettent entre parenthèses et s'oublient pour mieux préserver leur santé mentale, un élément qui est traité avec beaucoup d'humanité à travers le personnage de Carmen, qui se perd dans ses fantaisies et vit clairement très mal sa situation. </p><p style="text-align: justify;"><span> </span>Ce qui parait sauver ces âmes meurtries reste donc les liens humains entre même sexe, voire des relations physiques entre elles. Les scènes liant Ivy et Colette paraissent ainsi libératrices dans un ouvrage où l'intimité éclate de façon brutale et contrôlée. Leurs instants partagés paraissent ainsi doux et l'on ressent vraiment l'envie qu'ils se prolongent. L'autrice a parfaitement réussi à maitriser ce changement de ton, qui est très visible en comparaison avec le reste de ce qu'elle dépeint. Sans nier l'apport des hommes dans leur vie, l'autrice nous montre une société qui résonne avec la lectrice, où les femmes sont davantage libres entre elles. C'est une image qui varie en fonction des différentes étapes dans la vie de Colette et elle est ainsi mouvante dans le même temps que nos réflexions. </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2Eq6b5BLA0RcxN2ofRgyUnqPS1QO_uFt70qOEVUFbuJFZBUx-7i72XIY-2DztQnlU54eV5tOkYbejO0Y_TX2X6tmQkB4Iyyn16iNZber2L7RgU2dPtoZJ3mar9nN8OjQu78VkjHGZoD8EP69BdL-lDCj1eqD2wWi3yc8hhEvv5gG3eos2nXy1oZti8Qh5/s718/tumblr_oc3i1p2lD81tve8k2o1_500.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="718" data-original-width="500" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2Eq6b5BLA0RcxN2ofRgyUnqPS1QO_uFt70qOEVUFbuJFZBUx-7i72XIY-2DztQnlU54eV5tOkYbejO0Y_TX2X6tmQkB4Iyyn16iNZber2L7RgU2dPtoZJ3mar9nN8OjQu78VkjHGZoD8EP69BdL-lDCj1eqD2wWi3yc8hhEvv5gG3eos2nXy1oZti8Qh5/w223-h320/tumblr_oc3i1p2lD81tve8k2o1_500.png" width="223" /></a></div><p style="text-align: justify;"> <span> Voici le contexte posé, maintenant, je pense qu'il est temps que l'on aborde la question de Colette, ne croyez-vous pas ? Provinciale tombée dans le piège du luxe du Paris de la belle époque ainsi que dans celui des hommes et de leur amour de la chair, Colette est une héroïne passionnante, qui brille dans toute son ambivalence. Sa relation toxique avec Léon, son premier amant, la place d'abord dans une position de victime mais rapidement, le lecteur se rend compte qu'elle est en même temps consciente de son sort et pleinement maitresse de son destin. Si elle s'est vendue pour subvenir aux besoins de Léon, c'est de son plein gré qu'elle est venue à cette conclusion tant et si bien que, des années plus tard et la Passion amenuisée, la jeune femme ne sait plus où se positionner. Elle qui se figure son environnement comme une grande pièce de théâtre dans laquelle elle jouerait un rôle bien précis, voit son horizon changer le jour où Léon l'abandonne subitement. Par le concours d'un de ses clients, dont on reparlera plus tard, Colette voit de nouvelles portes s'ouvrir devant elle et commence alors un passionnant voyage interne au bout duquel elle espère se trouver. De toutes les héroïnes de Moyoco Anno, Colette est rapidement devenue ma préférée. <b><span style="color: #45818e;">Sensible et désabusée, c'est une femme de son époque, victime de la perversité des hommes comme de ses propres vices et faiblesse dans une société patriarcale où l'argent domine tout</span></b>. J'ai beaucoup aimé la voir s'épanouir et trouver une lumière à laquelle s'accrocher, tant et si bien que la conclusion m'a peinée car je n'avais pas envie de la laisser partir. Peut-être que, moi aussi, j'étais sous le charme de sa coupe à la garçonne et de ses manières détachées.</span></p><p style="text-align: justify;"><span> </span> Même si en tant qu'individu normalement constitué, il est difficile de ne pas haïr Léon, je trouve que c'est un personnage merveilleusement bien écrit. Pathétique et fainéant, il profite de la richesse des femmes qui l'entourent jusqu'à les vider de leur sang. Vampire métaphorique, le jeune homme possède dans le même temps une beauté et un flegme captivant. Le lecteur comprends aisément l'attirance que Colette éprouve pour lui, tout en le trouvant viscéralement répugnant. J'ai beaucoup aimé le chapitre qui s'intéresse davantage à son enfance, qui tente d'expliquer ce qui l'a poussé à vouloir les regards se tourner vers lui. Mais il n'en reste une très bonne description d'un homme manipulateur et narcissique comme il en existe malheureusement tant. À mes yeux, Léon reste tout du long une énigme que je ne suis pas sure d'avoir vraiment envie de décoder. En parallèle, Nana, la prostituée de luxe qui l'accompagne parfois, a été un excellent mystère que j'ai adoré tenter de décoder. Se jouant de lui comme il l'a fait à tant de femmes, on sent clairement qu'elle a l'ascendant sur Léon et c'est jouissif pour le lecteur de voir les choses se tourner contre lui de cette façon. Belle et terriblement intelligente, Nana (dont le nom est probablement inspirée de celui de l'héroïne du roman éponyme de Zola), affole le cœur faible des hommes et profite totalement de sa situation, de la même manière que Léon auparavant. J'ai beaucoup aimé cette héroïne captivante et si différente de Colette. J'avais même envie d'en lire beaucoup plus à son sujet.</p><p></p><p style="text-align: justify;"><span></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB46jmwr-xOX1KGkbHW02uUd-tlWeffI2U00sTl6MwFHGD0VOQrHfdcHafrnJ_GD87RSWiMPHMTmAQek0l7F-oK9421NoprFnRx7tFii-6EnjW7aHCUvjzvnrrLiS9Up3xU1_BuWcQbHIZ-9EHoJKB3gQfi8OjA2YM6bioVwzO2IRTxpoSHe8DKRL621Oe/s320/memoirs-of-amorous-gentlemen_image2.png" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="320" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgB46jmwr-xOX1KGkbHW02uUd-tlWeffI2U00sTl6MwFHGD0VOQrHfdcHafrnJ_GD87RSWiMPHMTmAQek0l7F-oK9421NoprFnRx7tFii-6EnjW7aHCUvjzvnrrLiS9Up3xU1_BuWcQbHIZ-9EHoJKB3gQfi8OjA2YM6bioVwzO2IRTxpoSHe8DKRL621Oe/w200-h200/memoirs-of-amorous-gentlemen_image2.png" width="200" /></a></span></div><span> Parmi les clients réguliers de Colette se trouve Sakae, un jeune étranger qui va la pousser sans trop y réfléchir à écrire sur sa vie. Perdue dans les mots qui débordent de sa bouche trop longtemps maintenue close, Colette commence à narrer son quotidien, puis finit par y trouver un sens plus profond. <b><span style="color: #45818e;">Véritable délivrance à un quotidien trop dur à supporter, </span></b></span><b><span style="color: #45818e;">l'écriture apparait comme salvatrice</span></b>. En mettant des mots sur la violence omniprésente qui l'entoure, Colette finira par trouver sa voie et envisager un futur plus radieux. L'écriture comme échappatoire aux douleurs et porte d'entrée d'un monde sans entraves, c'est une idée qui m'a charmée. J'ai toujours un faible pour ce genre de déclaration d'amour aux mots, aussi est-ce un des aspects que j'ai le plus aimé de ma lecture. Dans l'ensemble, l'ouvrage est très référencé avec la mention de nombreux écrivains français de l'époque et de thèmes populaires, ce qui permet une immersion complète. Colette elle-même tire son nom et quelques traits de caractère à l'écrivaine éponyme qui a vécu dans le Paris de la Belle Époque. <p></p><p style="text-align: justify;"><span> Préparez-vous à être émerveillé(e) en ouvrant ce livre rempli de beauté et de sensibilité. <b><span style="color: #45818e;">Moyoco Anno signe ici son chef d'œuvre graphique le plus abouti et organise ses planches comme des compositions florales </span></b>réfléchies pour sublimer l'ensemble le plus possible. L'autrice est ici en pleine possession de son médium dans un mélange entre pudeur et choc parfaitement utilisé pour tour à tour déranger, puis fasciner. Je trouve que l'autrice a énormément évolué dans la globalité sur son dessin, qui est vraiment somptueux et très expressif. On sent qu'elle s'amuse à croquer ces femmes (magnifiquement) peu vêtues dans des lingeries délicates et forcément très sensuelles sous sa plume. J'ai adoré les détails floraux et dentelles se cachant dans la pliure du livre afin de ne pas casser la composition de la planche et faciliter ainsi la lecture. C'est un détail intelligent et très joli, pour ne rien gâcher.</span></p><p style="text-align: justify;"><span> L'ouvrage se positionne sur les standards de la collection Graphic et est plutôt joli. <b><span style="color: #45818e;">Le grand format est très appréciable</span></b> pour apprécier au mieux le trait délicat de l'autrice et le livre est plutôt solide. </span></p><p style="text-align: justify;"><span><span> À la fois délicat et bouleversant, le nouveau chef d'œuvre de Moyoco Anno est un indispensable de cette fin d'année. Elle écrit avec merveilles et cynisme le quotidien d'une femme enfermée dans sa condition féminine, aspirant à connaître la raison de son existence. Je serai pendant longtemps hantée par les regards sensuels de cette fabuleuse héroïne et, tout comme avec le merveilleux<b> <u>Sakuran</u></b>, je risque bien de flâner entre ces pages pendant longtemps.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span><span><u><b>Colette - mémoires d'une maison close, volume unique</b></u></span></span></p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJOeFV_7tGh8xTCpF8zv-XKlNliZrZ8xJCajKoH9z205mgOuOLKCnoWfcj1FrsiirQOv7_g22dSgU5RMOG2io6rRMaEOqu1hNh2xYZcGzmmzAi-sgSuaELE8FueZ4VkHI6r26U5_9T8hqYlL9RL_ZF77mPoFUHd1WA4Cmux2h95KNv2bfZ-ZrQMfjPOPQy/s1548/Colette-pika.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1548" data-original-width="1108" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJOeFV_7tGh8xTCpF8zv-XKlNliZrZ8xJCajKoH9z205mgOuOLKCnoWfcj1FrsiirQOv7_g22dSgU5RMOG2io6rRMaEOqu1hNh2xYZcGzmmzAi-sgSuaELE8FueZ4VkHI6r26U5_9T8hqYlL9RL_ZF77mPoFUHd1WA4Cmux2h95KNv2bfZ-ZrQMfjPOPQy/w143-h200/Colette-pika.jpg" width="143" /></a></div><br />Titre vo : 鼻下長紳士回顧録<p></p>
<p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Scénario : ANNO Moyoco</p>
<p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Dessin : ANNO Moyoco</p>
<p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Éditeur : Pika</p>
<p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Collection : Graphic</p>
<p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Traducteur : Jacques Lalloz</p>
<p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Publication vo : novembre 2013 à mars 2018</p>
<p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Publication fr : novembre 2023</p><p style="font-family: "Helvetica Neue"; font-size: 13px; font-stretch: normal; line-height: normal; margin: 0px;">Prix unitaire : 25€00 </p><p> </p><p style="text-align: justify;">Un grand merci aux éditions Pika pour m'avoir permis de découvrir ce merveilleux titre ! Merci beaucoup de m'avoir lue jusqu'au bout et à bientôt !</p><p style="text-align: justify;">Roseline 🍵</p>Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-34442550068543601222023-11-11T10:30:00.033+01:002023-11-11T10:30:00.121+01:00Rosen Blood - un amour empoisonné<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh67MtXwvG4DHYj_UKiOdWD3x5f1S8VVFKIbGclS18hPKh0cdT0zd2FFhCHYIvKnu2YQs74cWPJxZKnmtq3e9pLPKrkztaXluDR3EWlY8TqRFIEKQGTBs6NbWc_f7QuhO4uCAwknhFwiv4HgnpuRFzp7etoPkWU8GeWGgO4x3UNwW5LUAKA5lY2HyHThAbs/s1124/F9HU6UtWUAAtIYo.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="773" data-original-width="1124" height="440" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh67MtXwvG4DHYj_UKiOdWD3x5f1S8VVFKIbGclS18hPKh0cdT0zd2FFhCHYIvKnu2YQs74cWPJxZKnmtq3e9pLPKrkztaXluDR3EWlY8TqRFIEKQGTBs6NbWc_f7QuhO4uCAwknhFwiv4HgnpuRFzp7etoPkWU8GeWGgO4x3UNwW5LUAKA5lY2HyHThAbs/w640-h440/F9HU6UtWUAAtIYo.jpg" width="640" /></a></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Vous êtes depuis longtemps, déjà, sur la route. Personne ne sait au juste où se trouve votre destination... Peut-être l'ignorez vous également. Mais bientôt, vous êtes arrêtés par une forêt de ronces sombres, menaçantes mais aussi étrangement fascinantes. Il vous est impossible d'en détourner les yeux. Dissimulé bien au delà de ses épines, un château qui semble figé dans le temps vous accueille de ses bras décharnés. Dans son enceinte fantomatique se trouve quatre jeunes hommes dont la beauté éblouissante renferme quelque chose de sinistre. Bienvenue dans l'univers de <u><b>Rosen Blood</b></u>, le manga dont nous allons discuter aujourd'hui...</div><span><a name='more'></a></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Issu des pages de l'illustre magazine <i>Princess</i> dont nous viennent plusieurs excellents <i>shôjos</i> mangas (<u style="font-weight: bold;">Black Rose Alice</u>, <u style="font-weight: bold;">L'infirmerie après les cours</u>, <u style="font-weight: bold;">Le requiem du roi des roses</u> ...), <u style="font-weight: bold;">Rosen Blood</u> est la troisième série de l'illustratrice <i>Kachiru ISHIZUE </i>dont on avait déjà croisé la route en France avec son <i>manga </i><u style="font-weight: bold;">Illegenes</u>. Tout comme ce dernier, le titre dont nous allons parler s'intéresse clairement à un public féminin ou du moins réceptif aux codes visuels et narratifs du <i>bishônen </i>ainsi que des jeux de drague plus connus sous le terme d'<i>otome games</i>. Je tenais à faire ce petit avant propos car, s'il est loin d'être parfait, je pense que le titre a souffert d'une mauvaise réception vers un public ne lui convenant pas. Sans pour autant chanter ses grâces aveuglement, il est à mon avis important de garder en tête le public cible de cette œuvre pour l'apprécier davantage et succomber, à notre tour, aux charmes vampiriques de ses occupants. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Tandis qu'elle est en chemin pour trouver un poste en tant que domestique, Stella est victime d'un accident de fiacre. Elle se réveille entre les murs d'un grand château abimé par les années dans lequel vivent quatre jeunes hommes. Ils lui proposent un emploi dans leur demeure et si tout semble se dérouler au mieux pour Stella, la jeune femme va rapidement se rendre compte que quelque chose ne tourne pas rond dans cette maison, à commencer par ses habitants qui lui nourrissent un intérêt charnel bien peu humain. Le lecteur le comprends très aisément (si la couverture ne suffisait pas à confirmer nos doutes), Stella se retrouve piégée dans un manoir rempli de vampires. Pour calmer leur faim, les créatures envoûtent les jeunes filles du village voisin et les transforment en cristaux qu'ils font fondre sous leur diabolique langue. Pour notre héroïne, le charme du maitre de maison, le ténébreux Levi, a déjà tissé une toile trop robuste pour qu'elle puisse s'en sortir. Éperdument amoureuse de cette créature qu'elle sait pourtant dangereuse, la domestique fait le choix de rester à ses côtés malgré sa nature démoniaque, dans l'espoir de pouvoir le rassasier et, peut-être, redonner un semblant d'humanité à ce groupe disparate. </div><center><table><tbody>
<tr><td><div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiG0zbstbLoM9D49MnVwqbHAAGkLQU_Ep55Bzey_ygbR_JUUBidhl-wYhZM_oLYgnub80-K5KCiSGGC1-3sZUb55CGj_PmserjcJz2FuAcNwqArGmP3LrKPAmSruBj5XP8zYfzsZD_N4TP0VSr_TCIFDyLtJxlwfOVinevj-T-3t8V7EJicRC79N72fS89O/s1600/9782811650728-P002.jpg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="582" data-original-width="387" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiG0zbstbLoM9D49MnVwqbHAAGkLQU_Ep55Bzey_ygbR_JUUBidhl-wYhZM_oLYgnub80-K5KCiSGGC1-3sZUb55CGj_PmserjcJz2FuAcNwqArGmP3LrKPAmSruBj5XP8zYfzsZD_N4TP0VSr_TCIFDyLtJxlwfOVinevj-T-3t8V7EJicRC79N72fS89O/w213-h320/9782811650728-P002.jpg" width="213" /></a></div>
</td><td><div class="separator" style="clear: both;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsZSIRa6K7mU2una6_ihi0eoDJBnoTMeDMNl6iXV225G_LxudlbTyoUxEWc9XxlBZabb5B7kgJ_R9maasS6_BDDtvSkbjK6sh8N3r_-xocPKhyiqQyGXFW4Vq_fwEfH8shCHDcUeWNi8zTY4M-dgvbg-xqczL7wPKDWBst0lpgvNXLTnIucM-C0BZZrbWx/s1600/9782811650728-P004.jpg" style="display: block; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="2107" data-original-width="1400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgsZSIRa6K7mU2una6_ihi0eoDJBnoTMeDMNl6iXV225G_LxudlbTyoUxEWc9XxlBZabb5B7kgJ_R9maasS6_BDDtvSkbjK6sh8N3r_-xocPKhyiqQyGXFW4Vq_fwEfH8shCHDcUeWNi8zTY4M-dgvbg-xqczL7wPKDWBst0lpgvNXLTnIucM-C0BZZrbWx/w213-h320/9782811650728-P004.jpg" width="213" /></a></div></td></tr></tbody></table></center><div style="text-align: justify;"><div><span> </span> Il est plaisant de plonger dans les recoins obscurs de cette vieille maison aux accents gothiques, qui se fait particulièrement mystérieuse dans son premier volume. J'ai beaucoup apprécié cette ambiance sombre qui rend la découverte du manoir charmant. Sans avoir autant de caractère que la maison Usher, cette demeure entourée de ronces participe à donner au récit des notes de conte de fées cruel. Tandis qu'elle se lie à chaque membre à sa façon, l'héroïne Stella va leur permettre de fermer des plaies depuis longtemps ouvertes et de les rapprocher de leur humanité perdue. J'ai un petit faible pour les histoires de "famille choisie", donc ce côté de l'historie m'a ravie... Si l'on fait bien entendu l'impasse sur la toxicité des hommes qui veulent tous la "posséder" physiquement ou la figer dans une posture maternelle forcée. Bien sûr, je n'étais pas sans ignorer que voir quatre beaux gosses aux envies toxiques tourner autour d'une frêle créature faisait partie du contrat quand j'ai acquis la série (mais ça fait toujours un peu mal). Dans un même temps, l'ambiguïté des personnages, particulièrement celle de Friedrich qui est certainement le plus dangereux de tous, participait à rendre ce récit addictif et les regrets qui habitent le vampire ont certainement fait de lui le plus intéressant. Tous avaient une bonne raison de vouloir garder Stella près d'eux malgré le caractère impossible d'une relation saine. Non sans rappeler la lumineuse héroïne de <u style="font-weight: bold;">Fruits Basket</u>, Stella possède en effet un caractère doux poussant son entourage à s'éloigner de leur part d'ombre et faire de leur mieux pour rendre fière cette mère de substitution.</div><div><br /></div><div><span> </span> La figure féminine est ainsi maternelle, lorsqu'elle n'est pas source de désir primaire ou tout simplement diabolique. On constate malheureusement une simplicité narrative trop évidente, notamment dans les sentiments des héros qui se tournent un peu trop facilement tous vers Stella. J'aurais aimé à plusieurs reprises plus de profondeur, être davantage dans leurs pensées. Comprendre un peu mieux Gilbert, le plus effacé, mais surtout le héros de cette histoire, Levi, que j'ai l'impression d'effleurer seulement. J'ai été en revanche plus agréablement surprise par Yoel et son évolution dans l'histoire, mais aussi par Friedrich qui, comme dit plus haut, se montre plus gris et peine à s'accorder dans l'ambivalence que représentent ses émotions. Tantôt manipulateur dangereux, puis amoureux éploré dont on doute de la sincérité, le jeune homme est indubitablement mauvais et si je savais qu'il ne représente pas une vraie perspective d'avenir pour Stella, j'ai aimé le suivre dans son cheminement intérieur ambigu. Malheureusement, il manque peut-être un petit quelque chose pour que les personnages semblent réellement "vivants" et c'est ce que j'ai regretté dans le titre car, comme bon nombre de ses composantes, il y a une vraie richesse qui est palpable dans la totalité de l'œuvre. Indépendamment de l'aide qu'elle apporte à la famille, l'héroïne a un réel rôle à jouer dans l'histoire et son propre passé, ce qui m'a surpris au vu du peu de caractère qu'elle montrait dans les premières pages. J'ai aimé l'évolution de l'intrigue autour de son personnage et ce que cela apportait à l'histoire dans sa globalité. </div><div><br /></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYKEJ1fqwIDnxsDlt2aCnPnQNaZuEoIzMxmHLYbajXITMXF04sLTyCurWCycKy6qIa7bMKN1kskM8tykljJ2CIlQXkZNHhIzkLqA38Nis_xXj1EI-TAsVjIcBq8T3Zf4mrIsb8xhZEN4dfy8o_xA1zSnN81tSIvrZ5OxnAL3r4CVaO-W4UZWzDP43OaWk1/s460/F9HUzEvWUAA_zBH.jpg-large.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="460" data-original-width="373" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYKEJ1fqwIDnxsDlt2aCnPnQNaZuEoIzMxmHLYbajXITMXF04sLTyCurWCycKy6qIa7bMKN1kskM8tykljJ2CIlQXkZNHhIzkLqA38Nis_xXj1EI-TAsVjIcBq8T3Zf4mrIsb8xhZEN4dfy8o_xA1zSnN81tSIvrZ5OxnAL3r4CVaO-W4UZWzDP43OaWk1/w259-h320/F9HUzEvWUAA_zBH.jpg-large.jpg" width="259" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><span><span> <span> </span>La romance tient une place prédominante dans le titre, principalement celle qui unit Levi et Stella dès les premières pages de l'intrigue. </span></span><span>Nous nous retrouvons ainsi dans un schéma plutôt traditionnel de l'amour vampirique qui va se découper en deux temps : d'abord effrayée par la véritable nature </span>de celui en qui elle a placé sa confiance, l'héroïne va ensuite s'abandonner au plaisir macabre de cette faim défendue. Ainsi, la relation amoureuse entre Stella et Levi n'a rien de particulièrement innovant et suit des schémas auxquels les lecteurs assidus de romances sont habitués. Mais cela fonctionne parfaitement, tant la sensualité des regards échangés et des moments intimes est visible derrière la page. Cette histoire interdite va d'abord fleurir dans les coins ombragés, avant d'exploser au regard de tous et semant de multiples graines de jalousie sur leur passage. J'ai aimé le soutien qu'ils s'apportaient mutuellement et cette entente parfaite qui est rarement troublée, si ce n'est par des éléments extérieurs et indépendants de leur volonté. Je ne tenais pas particulièrement à la voir aux côtés d'autres personnages, preuve que la <i>mangaka</i> a su manier ses cartes avec adresse. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div><span><span><span> </span></span></span>En dehors de l'évolution de la principale relation amoureuse qui tourne à l'impossible, on sent un réel potentiel derrière le scénario qui se profile. Il est évident que l'autrice a le désir de partager différentes réactions et réflexions des quatre vampires face à leurs sentiments amoureux naissants et en cela, c'est réussi. Seulement, l'intrigue principale met trop de temps à se mettre en place et, une fois qu'elle se dévoile entièrement, le récit arrive déjà à sa conclusion, faisant naître un sentiment de déception pour le lecteur, qui voit une partie de l'œuvre être tuée dans l'œuf. À trop vouloir travailler le psyché de ses personnages (ce qui est, pour certains, fait de façon trop superficielle), l'autrice semble en avoir oublié de résoudre les problématiques qu'elle avait mises en place, ce qui donne un résultat malheureusement inachevé au titre. C'est d'autant plus frustrant qu'il commençait à présenter de très bons éléments scénaristique vers son troisième tome. Plusieurs questions restent sans réponse et si j'aime habituellement faire courir ma créativité face aux conclusions ouvertes, il y a de telles zones d'ombres que même l'imagination la plus aguerrie ne peut se permettre de telles fantaisies. Si la conclusion reste quand même très satisfaisante (j'ai beaucoup aimé le choix final et l'idée de cette famille recomposée qui se concrétise), j'aurais surement aimé que l'on en sache plus sur Rose, celle qui était derrière tout ça, et ses motivations. </div><div><br /></div><div><span> J'ai eu un grand coup de cœur pour le trait de Kachiru Ishizue. Ses personnages sont beaux, charismatiques et piègent immédiatement le regard. Ses travaux en tant que <i>chara-designeuse </i>font d'elle une artiste en pleine possession de son médium et des thématiques visuelles choisies. J'ai adoré son utilisation du noir ainsi que certaines envolées graphiques vraiment réussies. Les planches sont un véritable bonbon empoisonné pour le lecteur, qui ne peut en détacher les yeux. Rien que pour cet élément, la série vaut la peine d'être lue à mon sens !</span></div><div><br /></div><div> Divertissante romance gothique, <u style="font-weight: bold;">Rosen Blood</u> se présente comme un très bon choix de lecture automnale. Si le tout reste perfectible, ses défauts sont rapidement oubliables et je pense que j'en garderai un agréable souvenir. Je suivrais à la trace les pas de cette autrice qui détient une foule de promesses entre ses doigts talentueux ! <br /></div><div><br /></div><div>Avez-vous lu cette histoire ? Vous êtes-vous abandonné.e aux bras d'un mystérieux vampire et y avez-vous laissé quelques gouttes de sang ?</div><div><br /></div><div>En vous souhaitant une belle journée, je vous remercie infiniment d'avoir lu ce billet jusqu'au bout.</div><div>Roseline 🌹☕</div><div><br /></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjaKUKReQurVsB0nHhg62Zth2qtTMz4Cb0tWFqCRYo3VLvb58yuNDh-gWuTBX5JTir-WkT9KuZzgHQZBlJKxM-Zbs5_RolhlNxR0QI-szEsIXC_VvYL2bnO78FZUfiY7PC_IwssA6Sips4acCSpn3sETLZ7laXzR6y28A-LRMgNo-hplGO0XUui3VVKzK8j/s1245/37_metadata-image-48574094.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1245" data-original-width="830" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjaKUKReQurVsB0nHhg62Zth2qtTMz4Cb0tWFqCRYo3VLvb58yuNDh-gWuTBX5JTir-WkT9KuZzgHQZBlJKxM-Zbs5_RolhlNxR0QI-szEsIXC_VvYL2bnO78FZUfiY7PC_IwssA6Sips4acCSpn3sETLZ7laXzR6y28A-LRMgNo-hplGO0XUui3VVKzK8j/w133-h200/37_metadata-image-48574094.jpg" width="133" /></a></div><b><u>Rosen Blood, série terminée en 5 tomes</u></b></div><div style="text-align: justify;"><b><u><br /></u></b></div><div style="text-align: justify;">titre vo : <span style="font-family: "PingFang SC"; font-size: 13px; text-align: left;">ローゼンブラッド~背徳の冥館~</span></div><div style="text-align: justify;">scénario : KACHIRU Ishizue</div><div style="text-align: justify;">dessin : KACHIRU Ishizue</div><div style="text-align: justify;">éditeur français : Pika</div><div style="text-align: justify;">collection : Purple Shine (Shôjo)</div><div style="text-align: justify;">traducteur : LE DIMNA Lea</div><div style="text-align: justify;">publication : septembre 2021 à avril 2023</div><div style="text-align: justify;">prix unitaire : 7€20<br /><div><br /></div></div>Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2Château perdu dans les ronces du Temps48.856614 2.352221920.546380163821155 -32.8040281 77.166847836178846 37.5084719tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-33025891961033447622023-03-26T17:00:00.027+02:002023-12-07T20:03:20.734+01:00La pause thé 🍵 - Navillera tome 01<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjrbS5B3jdjAsc1q-dDvw7Q8PGp2906vegPX585LrrCth0thcKD85j5LtZFqekM__a6OXfSpqa_3KsCG6mpHnbTHk0ruHJpGTUcRht__m9HviuQTOLqoxRn3TC-jY_4Wh289D7HnWc-NsVdfecWRUQb3679-4XF6ySVcZpmlP5WHyqF59JC7_Xg_DNe6w/s1260/pausethe%CC%811.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="1260" height="325" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjrbS5B3jdjAsc1q-dDvw7Q8PGp2906vegPX585LrrCth0thcKD85j5LtZFqekM__a6OXfSpqa_3KsCG6mpHnbTHk0ruHJpGTUcRht__m9HviuQTOLqoxRn3TC-jY_4Wh289D7HnWc-NsVdfecWRUQb3679-4XF6ySVcZpmlP5WHyqF59JC7_Xg_DNe6w/w640-h325/pausethe%CC%811.jpeg" width="640" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">C'est le début du printemps, les jours s'allongent, la lumière s'immisce dans les intérieurs tout comme dans les esprits, où bourgeonnent et se rappellent à notre mémoire des rêves depuis longtemps endormis... Ça n'est sûrement que purement personnel, mais à cette période, je suis toujours très motivée pour me lancer dans de nouveau projets et quel meilleur titre pour accompagner mes excès de bonnes volontés que <u><b>Navillera</b></u>, je vous le demande ? </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><span><a name='more'></a></span><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span>Publié à l'origine sur la plateforme <i>Piccoma</i>, <u style="font-weight: bold;">Navillera</u> est un <i>webtoon</i> né des forces combinées des artistes <i>Jimmy</i> et <i>HUN</i>, ayant été publié entre 2016 et 2017. En France, le titre est disponible depuis octobre dernier par le biais des éditions <i>K-books</i> et compte à son actif deux volumes reliés. Peut-être connaissez-vous déjà l'œuvre par le biais de son adaptation télévisée, disponible sur <i>Netflix</i> depuis 2021 et portée par <i>PARK In Hwan</i> et <i>SONG Kang </i>dans les rôles titres. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Retraité depuis de longues années, <i>Deokchul </i>mène tranquillement son existence, entouré d'une famille aux carrières accomplies. Seulement, le décès d'un ami proche va lui faire réaliser qu'au crépuscule de sa vie, il n'est pas aussi heureux qu'il pourrait l'être et qu'un grand regret obscurcit la toile de sa vie : celui de ne jamais avoir tenté le ballet, un art le faisant rêver depuis sa jeunesse. Malgré la ferme opposition de sa famille, le vieil homme va tenter de réaliser ce souhait tant qu'il en est encore temps. C'est ainsi qu'il fera la connaissance de <i>Chaerok</i>, un jeune <i>ballerino </i>désabusé qui suite à une blessure peine à retrouver la passion qu'il entretenait autrefois pour la danse. Ainsi commence la collaboration de cet étrange duo dysfonctionnel qui va, de fil en aiguille du récit, s'apporter mutuellement joie et confiance. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Malheureusement, la première approche de <i>Deokchul </i>vers cet art est peu engageante. Si ce qu'il en voit l'enchante et le conforte dans l'émerveillement qu'il a ressenti pour le ballet dans son enfance, son entourage s'oppose fermement à ce qu'il s'essaie à cette discipline. De nombreux arguments sont apportés sur la table, le ramenant cruellement à son âge avancé et aux dangers que cela pourrait amener. Mais derrière toutes les injonctions qui sont prononcées, subsiste une problématique plus profonde, celle de la peur du regard des autres et de la différence. Paniqués par ce que la société pourrait penser d'eux, les enfants du vieil homme lui présentent tous les arguments possibles et imaginables afin de lui faire renoncer à l'idée. On ressent à la lecture la réelle pression que peut mettre le pays sur le dos de ses citoyens, pour qui l'excellence n'est plus un but à atteindre, mais bien un mode de vie à ingérer à tout prix. Le fils ainé de <i>Deokchul</i> se montre particulièrement réfractaire à cette idée, presque effrayé par l'image que pourrait renvoyer ce vieillard, bien connu de son quartier. Pour beaucoup, il est inimaginable de voir ce retraité tenter de danser parmi des jeunes dont la vigueur n'est, à son contraire, pas à prouver. Le portrait qui est ainsi fait de ce vieil homme aux yeux rêveurs, aussi doux qu'amer, est ainsi régulièrement brisé par l'image que se font les autres de lui. Si <i>Deokchul</i> est empli de volonté et d'amour pour le ballet, la volonté sera-t-elle suffisante pour lui permettre de réaliser ce rêve ? </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxvE0Ht1TYM2j4x3xF5172ruz_cz07Zllejhb8-Q1xKvHR752czL7z7vDR8Q1e47m5sHqjz7a7gVzK4xeOv4qpBUdMbPaVf9JVy8u7CpuWvET_zxmXn_mxiAOjluDRMVFtg9n60Zgugc09cuD3iO-xBePKqfyHCW8M4d0jk_XR2bAEN7zuGo_hq-32EQ/s1230/5adce7fecec52da6c319eb51fd3fbf6a.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="501" data-original-width="1230" height="163" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxvE0Ht1TYM2j4x3xF5172ruz_cz07Zllejhb8-Q1xKvHR752czL7z7vDR8Q1e47m5sHqjz7a7gVzK4xeOv4qpBUdMbPaVf9JVy8u7CpuWvET_zxmXn_mxiAOjluDRMVFtg9n60Zgugc09cuD3iO-xBePKqfyHCW8M4d0jk_XR2bAEN7zuGo_hq-32EQ/w400-h163/5adce7fecec52da6c319eb51fd3fbf6a.jpg" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><i><span> </span>Chaerok</i>, bien que considérablement plus jeune, n'est pas à l'abri de telles contraintes et vit ainsi son enfance et adolescence balloté de sport en sport. Son père aspire à le voir en grand athlète, ce qui inflige évidement beaucoup de pression à l'enfant, qui ne parvient malheureusement pas à atteindre les idéaux de son paternel. C'est une fois qu'il est trop tard, lors du décès de sa mère, que le jeune homme va enfin s'autoriser à tester la danse, un domaine pour lequel ils partageaient tous les deux un grand intérêt. Alors qu'il éprouve pour la première fois une véritable passion pour une discipline sportive, <i>Chaerok</i> voit son chemin obstrué par le regret de ne pas avoir su chérir cette envie du vivant de sa mère. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span>Le titre excelle dans ce cruel tableau du temps qui passe, de l'acceptation de la vieillesse par la société, aussi bien que par nos proches, puis par nous même. <u style="font-weight: bold;">Navillera</u> invite ainsi le lecteur à réfléchir à sa propre situation ainsi qu'à ses rêves et envies déchues. N'est-il pas encore temps de se lancer dans ce vieux projet recouvert de poussière ? Pourrons-nous encore, moralement comme physiquement, tenter cette nouvelle discipline dans quelques années ? De nature plutôt mélancolique, je suis toujours plutôt sensible et sujette aux regrets et j'essaie ainsi d'y être le plus attentive possible. C'est donc tout naturellement que le <i>webtoon</i> a réellement remué quelque chose en moi, me poussant à tenter de nouvelles choses et à réfléchir à ce que je peux encore faire, maintenant. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Le duo de "ratés" formés par les deux protagonistes est rapidement attachant. Difficile de ne pas se sentir touchés par cet assemblage atypique et leurs craintes, qui résonnent largement à travers nos propres peurs liées au futur. J'ai pris plaisir à voir <i>Chaerok</i>, au départ réfractaire à l'idée, s'ouvrir peu à peu au rêve de son "apprenti" et prendre le vieil homme sous son aile, renouant par le même biais avec son art. <i>Deokchul</i> est néanmoins à mes yeux le plus émouvant des deux et force le respect de par sa grande volonté. Le fait qu'ils prennent chacun soin de l'autre, dans la sphère artistique comme personnelle, ajoute une touche très humaine et lumineuse. Il semble y avoir un équilibre parfait entre les deux protagonistes, entre rigueur et petites attentions. J'ai adoré voir <i>Deokchul</i> s'occuper du jeune homme comme s'il s'agissait de son fils. Je suis certaine que le titre nous réserve encore quantité d'adorables scènes de ce genre !</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizgXUx_iXmCuzj0xNQFlrWC9sdMr-tl5nv84WkDE2KNtBxPlnroXuu2nFYD_kGyMjcI8UirdyzKB1OwMWfgHNSjZHJkIDm0wqSyX9QSYhIx5BWkZWHEGHc1KMI-0h_xVWerKLXYMVfUWZdRxFutbTwb90-zjU01tNWV81n2ybvGoRjwqMuX7MdKmX1SA/s900/navillera-news.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="390" data-original-width="900" height="174" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizgXUx_iXmCuzj0xNQFlrWC9sdMr-tl5nv84WkDE2KNtBxPlnroXuu2nFYD_kGyMjcI8UirdyzKB1OwMWfgHNSjZHJkIDm0wqSyX9QSYhIx5BWkZWHEGHc1KMI-0h_xVWerKLXYMVfUWZdRxFutbTwb90-zjU01tNWV81n2ybvGoRjwqMuX7MdKmX1SA/w400-h174/navillera-news.jpg" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Je n'ai pas eu l'occasion de lire l'oeuvre dans son support original, aussi je ne peux pas dire grand chose sur la transposition, si ce n'est qu'elle me semble fluide et discrète. Il est parfois difficile à croire que le titre est un <i>webtoon</i>, de base. Si l'on voit pour le moment assez peu de scènes de danse, le dessinateur a fait le choix de leur configurer plus de puissance que de grâce, ce qui a au départ un peu dérouté ma vision de cet art. Dans sa globalité, j'ai plutôt apprécié le trait de <i>Jimmy</i>, le design de ses personnages ainsi que la colorimétrie du titre.</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Ainsi, si la vie vous parait un peu trop belle en ce moment, je vous recommande chaudement la lecture de <u style="font-weight: bold;">Navillera</u>, qui vous fera, au choix, pleurer lamentablement ou redonner confiance en une humanité pleine de saveurs et de beauté. C'est une œuvre douce et chaleureuse qui change agréablement de ce que l'on est habitués à voir en termes de sorties de <i>webtoon</i> au format papier. L'avez-vous déjà lu ? Avez-vous envie de renouer avec vos doux rêves d'enfants ? Quelle relation avez-vous avec votre vie, ici et maintenant ? </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">En vous souhaitant une douce fin d'après-midi, merci infiniment de m'avoir lue jusqu'au bout. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">Roseline. 🍵</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/vols/Navillera_1_kbooks.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="568" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/vols/Navillera_1_kbooks.jpg" width="142" /></a></div><i></i><p><b><u>Navillera, tome 01</u></b> </p><blockquote><i>scénario : HUN</i><div><i>dessin : Jimmy</i></div><div><i>éditeur vf : Kbooks</i></div><div><i>traducteur : Gwenaelle Pompilio</i></div><div><i>date de publication : 05 octobre 2022 </i></div><div><i>prix public : 14€95</i></div><div><i><br /></i><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"></div></div></blockquote><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div></div>Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-7546712883701839992022-06-15T19:30:00.018+02:002022-06-22T19:38:55.039+02:00Lectures d'une nuit d'hiver (janvier à mars 2022) <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizACWWj8AMsIZl-mRjhVQHbass8BmW6NabAEKlX8PiAjSqp9AHPHL3VYRhKzo2q5Qke_qRF1sp0c40TbYS2R8KnApmbybtjiB88m9jVCfgTwNqHd31MkPXLe1qD-cmos6YLqJyf8KflPPUUvPqTSr2v-ipA01qYOoc5u79nH6Zg6TN9HBSSL20L8nMDA/s1260/bann.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="1260" height="326" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizACWWj8AMsIZl-mRjhVQHbass8BmW6NabAEKlX8PiAjSqp9AHPHL3VYRhKzo2q5Qke_qRF1sp0c40TbYS2R8KnApmbybtjiB88m9jVCfgTwNqHd31MkPXLe1qD-cmos6YLqJyf8KflPPUUvPqTSr2v-ipA01qYOoc5u79nH6Zg6TN9HBSSL20L8nMDA/w640-h326/bann.jpeg" width="640" /></a></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Cela faisait quelques heures que la nuit, déjà, était tombée. Il faisait froid, la brise hivernale avait déposé de glacials baisers sur le rebord de la fenêtre près de laquelle vous vous teniez, emmitouflé sous un épais plaid et enserrant fermement, tel un trésor réconfortant, la boisson chaude qui vous servait alors de compagnon pour la nuit. Bien installé, l'esprit un peu rêveur et prêt à s'égarer dans d'inconnues contrées, vous aviez ouvert un livre, armés pour affronter les affres d'un nouveau voyage ... </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><span></span><span><a name='more'></a></span><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Bonjour, cela fait longtemps ! Si je n'ai pas été très présente sur le blog l'année passée, c'était davantage par contraintes professionnelles que par désintérêt, car les mois passés ont été riches en belles découvertes enflammant toujours un peu plus une passion qui n'a jamais manqué de bûches à consumer. Les amateurs sont unanimes sur ce fait : 2021 aura été une année exceptionnelle pour le manga, que ce soit en termes de ventes tout comme de par ses sorties toujours plus nombreuses, le retour inespéré d'artistes ayant déserté les étagères de librairies depuis bien trop d'années ou encore des titres que l'on n'aurait jamais simplement espéré tenir dans nos mains avides de nouveaux périples. Dans cette plaisante euphorie quelque peu submergeante, je me suis souvent perdue et, dans un même temps désireuse de parfaire ma culture manga, j'ai surtout lu beaucoup de "vieux" titres qui ont longtemps attendu dans un petit coin de ma tête en ébullition. Si je ne suis donc peut-être pas très au fait avec les récentes sorties, j'espère que ce petit échantillon des lectures qui ont égayé les trois premiers mois de mon année sauront vous inspirer et éveiller votre curiosité. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Les éditeurs ont frappé fort dès le début d'année avec une multitude de nouveautés alléchantes. Si j'ai cédé à plusieurs d'entre elles, j'en ai pour le moment lu assez peu, malgré toutes mes bonnes résolutions propres à l'arrivée d'une nouvelle année. Néanmoins, ces dernières ont toutes été d'agréables lectures qu'il me tarde de prolonger avec les tomes suivants. En voici une sélection !</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;">🌙<span style="font-family: Cookie; font-size: x-large;"> </span><span style="font-size: x-large;"><b><span style="font-family: Amatic SC;"><span style="color: #8e7cc3;">Nouveautés 2022</span> </span></b></span>⭐ </div><div style="text-align: center;"><br /></div><table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiv3jzXK77QLBG-FBSF-WC48z8BfBpxk6WAQtUyMwFTMS9qRLZrZoS4scehiToXucQyxGn1ho7iHyUStY53WwlQhmJP21dViR1wsgpyGy1_4ZVjorUMTu4feXYBr5eG-LWNMO0VCvjHFInkdwBF5mDSn2PJKqproE7P7dW2iL5uLJ88QF8b-JRPa_X-xw=s615" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="209" data-original-width="615" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiv3jzXK77QLBG-FBSF-WC48z8BfBpxk6WAQtUyMwFTMS9qRLZrZoS4scehiToXucQyxGn1ho7iHyUStY53WwlQhmJP21dViR1wsgpyGy1_4ZVjorUMTu4feXYBr5eG-LWNMO0VCvjHFInkdwBF5mDSn2PJKqproE7P7dW2iL5uLJ88QF8b-JRPa_X-xw=s16000" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><u style="font-style: italic;">La danse du soleil et de la lune</u><span style="font-style: italic;">, manga de MATSUURA Daruma, 2 tomes publié aux éditions Ki-oon (en cours - 7€90 l'unité)</span></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><span> </span><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh1F_VuBtCelaDV_IBLSMnoSDRkaNyQSbDM3cxo-BdaZUhw9s88vIKjcEHaZG9SrAtxJCAIWIkGV5mWMlxL1jFSg-tCweVxLeKvc2ym0y8vPLS-3X69uQLu802UGMKepgirlM2iIk5cD86niX06dbgWGpcZ_cw_JC4LI0bpBy_j0WyyPKZ6CjSZjW7t0g=s554" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEh1F_VuBtCelaDV_IBLSMnoSDRkaNyQSbDM3cxo-BdaZUhw9s88vIKjcEHaZG9SrAtxJCAIWIkGV5mWMlxL1jFSg-tCweVxLeKvc2ym0y8vPLS-3X69uQLu802UGMKepgirlM2iIk5cD86niX06dbgWGpcZ_cw_JC4LI0bpBy_j0WyyPKZ6CjSZjW7t0g=w144-h200" width="144" /></a></div>Konosuke est un samurai fauché et jouissant d'une mauvaise réputation et pour cause : à son contact, le métal se tord automatiquement, une véritable honte pour le guerrier qui ne peut même pas dégainer de sabre. Acculé et haï par ses pairs, Konosuke se laisse dépérir alors qu'il est sauvé par une mystérieuse jeune femme. Une fois réveillé, il découvre qu'il est désormais fiancé avec une sublime femme, dont il ne connait rien. Qui est-elle et pourquoi a-t-elle choisi un samurai déshonoré tel quel lui ?</i></div><div style="text-align: justify;"><i><br /></i></div><div style="text-align: justify;"><span> <span> </span></span>Parmi les (trop nombreuses) nouveautés de ce début d'année figurait <u style="font-weight: bold;">La danse du soleil et de la lune</u>, marquant le retour de la talentueuse autrice <i>Daruma MATSUURA</i>, à qui l'on devait déjà en France le séduisant <i>thriller</i> <u style="font-weight: bold;">Kasane</u>. Ce dernier m'ayant particulièrement tenu en haleine et surtout retenu mon attention pour la beauté hypnotique de son trait, j'étais très curieuse et impatiente de découvrir ce que pouvait proposer l'autrice dans un registre qui lui était jusqu'alors étranger. Subjuguée, j'ai été dans l'obligation d'affirmer que le talent fait indéniablement partie du trousseau de la <i>mangaka. </i></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Dès les premières lueurs de la série, le scénario se fait engageant, on ne peut plus énigmatique et l'on se met à tourner les pages frénétiquement, dans l'espoir d'apercevoir une ébauche de réponse quant aux mystères de la chair maudite de <i>Konosuke</i>. Plus encore, l'élégante fiancée m'a fascinée et j'étais sans cesse ramenée aux ambigus regards qu'elle porte à notre malchanceux <i>samurai.</i> Qui est-elle, comment connait-elle <i>Konosuke</i> et pourquoi avoir choisi ce faux <i>samurai</i> dans la tourmente comme époux ? Tandis que ses mobiles ne semblent pas être prêts à se dévoiler, la <i>mangaka</i> place dans un premier temps son couple au plus près du lecteur et fait évoluer son protagoniste au contact de <i>Tsuki</i>, sa belle épouse. Léger et touchant, le quotidien des époux est amusant à suivre, rendant le dernier chapitre du tome plus surprenant encore. Cet ultime morceau d'un livre que j'ai dévoré amène la série vers d'autres rivages davantage tournés vers l'aspect fantastique de la série que je trépigne d'impatience de découvrir. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgERreCXca7W5YcwtwkP3xC1kl6FLY7nYwab7ovir9eGBUEt6M4pC9dROshKSDCqNcgR8r0LF6lNIr8dP9i0POK0IzJNV8Strr_FWKk2Uy0DY1KLF_X15M62uW0wyW7iHPZrEmVjftLwPtb0D8Ls4HhMKptrZheFfjEAjTcUvVngMoo50s-BHNXzt_m7A=s615" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="209" data-original-width="615" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgERreCXca7W5YcwtwkP3xC1kl6FLY7nYwab7ovir9eGBUEt6M4pC9dROshKSDCqNcgR8r0LF6lNIr8dP9i0POK0IzJNV8Strr_FWKk2Uy0DY1KLF_X15M62uW0wyW7iHPZrEmVjftLwPtb0D8Ls4HhMKptrZheFfjEAjTcUvVngMoo50s-BHNXzt_m7A=s16000" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><u style="font-style: italic;">Sans complexe ?</u><i>, manga de IKUEMI Ryo, 3 tomes publiés aux éditions Akata (terminé - 8€05 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><div><br /></div><i><div style="text-align: justify;"><i><div style="text-align: right;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/series/sans-complexe-1-akata.jpg" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="567" data-original-width="400" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/series/sans-complexe-1-akata.jpg" width="141" /></a></div>Tsubomi est une jeune femme sans histoires qui entre tout juste dans la vie active. Alors qu'elle mène une vie banale et sans but, elle apprend que sa cousine, qu'elle a perdu de vue depuis longtemps est devenue une célébrité. Cette nouvelle va alors lui donner un coup de fouet et bouleverser les croyances qu'elle avait établi sur son quotidien. </i></div></i><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">J'ai eu la chance de pouvoir lire, il y a quelques années, le sublime <u style="font-weight: bold;">Puzzle</u>, né des mains expertes de la grande <i>Ryo Ikuemi</i> et ce titre demeure depuis dans mon esprit de manière permanente, tant il avait su me toucher et même m'impressionner de par son écriture audacieuse et pleine d'originalité. Naturellement, j'avais de hautes attentes concernant <u style="font-weight: bold;">Sans complexe ?</u>, qui n'ont malheureusement pas été récompensées. Sans être mauvais, ce titre marquant le grand retour de l'autrice dans nos librairies française n'a pas su me toucher particulièrement et bien qu'il présente l'avantage de mettre en scène une héroïne au psyché intéressant, je dois avouer ne pas m'être sentie investie dans ma découverte, qui d'une façon étrange m'a laissée très froide. La lecture est pourtant fluide et véhicule des messages positifs, qui donnent envie de se dépasser. Je dois avouer avoir du mal à mettre des mots sur mon ressenti mitigé, mais pour résumer la chose, je suis un peu passée à côté, la faute à des comparaisons un peu idiotes à l'excellence de son titre précédemment paru chez nous. Si je dois en retenir du positif toutefois, bien qu'elle n'a pas su se faire apprécier de mon oeil critique, <i>Tsubomi</i> représente une petite touche de nouveauté et je suis heureuse qu'un personnage si "ordinaire" existe, car je suis certaine que nombreuses seront les lectrices à reconnaître un petit quelque chose emprunté à leur propre personnalité.</div><div style="text-align: justify;"><span style="background-color: #fcff01;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div></span><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnQPC8WDXmDrdYLKskbBsyE9G6Ux21nPsd6_3PBKn_IFoj1osxG8OFwXetBzqUBkiBoORYmAUudIhi1pVqhuhAOzLGXfFUgo6FdKEuy__zInuhWisu4sLhDMlFW77p32do1HCdhthrjtuJqdzvd3qOmbwQwZXUJPXIMuqAD3mCWmvcZanfXlSzYRSYkQ/s1260/lectures%20d'hiver%20(6).jpeg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="1260" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnQPC8WDXmDrdYLKskbBsyE9G6Ux21nPsd6_3PBKn_IFoj1osxG8OFwXetBzqUBkiBoORYmAUudIhi1pVqhuhAOzLGXfFUgo6FdKEuy__zInuhWisu4sLhDMlFW77p32do1HCdhthrjtuJqdzvd3qOmbwQwZXUJPXIMuqAD3mCWmvcZanfXlSzYRSYkQ/w640-h218/lectures%20d'hiver%20(6).jpeg" width="640" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><u style="font-style: italic; text-align: justify;">Horimiya</u><span style="font-style: italic; text-align: justify;">, manga de HAGIWARA Daisuke & HERO, 4 tomes publiés aux éditions Nobi Nobi (en cours - 7€20 l'unité)</span></td></tr></tbody></table></div><div style="text-align: justify;"><i><span><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/series/horimiya-1-pika.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="578" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/series/horimiya-1-pika.jpg" width="145" /></a></div><br /></span>Au lycée, il y a deux sortes de personnes : d'un côté Hori, la jolie idole de sa classe, et de l'autre Miyamura, le "geek" renfermé aux airs lugubres. Pourtant, loin des regards et protégé par la discrétion de leur foyer, ils sont tout autre. Que va-t-il se passer lorsque ces deux êtres que tout semble opposer vont découvrir leur secret respectif ?</i></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>À moins que vous ayez passé les derniers mois reclus dans une caverne (pas de jugement, chacun son mode de vie hihi), vous n'avez pas pu passer à côté du véritable raz-de-marée qu'a été <u style="font-weight: bold;">Horimiya</u>, pétillante comédie romantique que la récente adaptation animée a propulsé sur les devants de la scène. Sans être réfractaire, je dois avouer que je n'en attendais pas grand chose et, bien que l'on reste sur quelque chose de plutôt classique, j'ai été assez charmée par la fraicheur qui se dégage de ces deux personnalités fortes et par la candeur de leurs interactions, qui s'imposent comme étant toutes naturelles. Tandis que <i>Hori</i> est un personnage calme dont j'ai apprécié la simplicité, les traits de <i>Miyamura</i>, plus originaux, font le sel du <i>manga</i> et apportent un peu de nouveauté à un ensemble très sympathique, amusant et sans prise de tête. Une lecture agréable qui sent bon le printemps et les coeurs qui s'accélèrent au rythme des rapprochements des deux futurs amoureux.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigrGkWKOVqWHdb_j64r2Eu0dbIiQtqRRrMJi_Qfb0z8xyLO5mufY66XnpVHzf9NNNb3CTrrSWjOQ7V3ig_mY9Oas5ad-jUwf8aC-hI-lsYySQHP5ZF53_NcRVPg2sKrq8iCzF_BsjhbZtmCH1gjBrpm3BJK7OL_9T7eTm_qt4V-Ls8CvKMvQ4o2ZRSDQ/s1260/lectures%20d'hiver%20(7).jpeg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="1260" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigrGkWKOVqWHdb_j64r2Eu0dbIiQtqRRrMJi_Qfb0z8xyLO5mufY66XnpVHzf9NNNb3CTrrSWjOQ7V3ig_mY9Oas5ad-jUwf8aC-hI-lsYySQHP5ZF53_NcRVPg2sKrq8iCzF_BsjhbZtmCH1gjBrpm3BJK7OL_9T7eTm_qt4V-Ls8CvKMvQ4o2ZRSDQ/w640-h218/lectures%20d'hiver%20(7).jpeg" width="640" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><u style="font-style: italic; text-align: justify;">Mobuko no koi</u><span style="text-align: justify;">, </span><i style="text-align: justify;">manga de TAMURA Akane, 1 tome publié aux éditions Noeve Grafx (en cours - 7€95 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/series/Mobuko_no_Koi__1_noeve.jpg" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="545" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/series/Mobuko_no_Koi__1_noeve.jpg" width="136" /></a></div></div><div style="text-align: justify;"><i><br /></i></div><div style="text-align: justify;"><i><span> </span>Réservée à l'extrême, Nobuko Tanaka est une jeune étudiante qui, persuadée de n'être qu'un rôle secondaire dans sa propre vie, laisse toujours passer les désirs des autres avant les siens. Pourtant, victime de sentiments naissants à l'encontre d'un de ses collègues, elle s'interroge : un personnage secondaire a-t-il droit à l'amour ?</i></div><div style="text-align: justify;"><i><br /></i></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Mon histoire avec <u style="font-weight: bold;">Mobuko no koi</u> commençait d'ores et déjà sous de bonnes auspices : <i>Akane Tamura</i>, avec son joli trait délicat, est en effet une ancienne assistante de <i>Jun Mayuzuki</i>, une autrice ô combien chère à mon cœur. S'il est effectivement plutôt aisé de reconnaitre quelques traits du passage de son maître d'art dans ses travaux, la jeune autrice ne se cache pas sous ce patronage et développe rapidement un caractère qui lui est propre et si charmant que j'ai passé un délicieux moment en compagnie de personnages si humains et attachants. J'ai vraiment fondu pour <i>Nobuko</i>, à travers laquelle je me suis reconnue sur bien des points, transfigurant cette "lecture doudou" en rapport presque autobiographique de certaines scènes de ma vie. C'était à la fois troublant et tout aussi amusant de voir l'autrice mettre le doigt avec bienveillance sur tant de maladresses. En refermant le volume, j'ai curieusement senti une grande force m'envahir et l'envie, tout comme l'héroïne de dépasser mes petites peurs et cette timidité qui entrave certaines actions de ma vie quotidienne. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Outre ce caractère personnel qui m'a intimement reliée à l'œuvre, la série a tout d'une agréable comédie romantique amusante, aux personnages centraux comme secondaires rapidement attachants et très bien dessinée. Certaines scènes m'ont réellement enchantée dans leur composition intime - notamment le dernier chapitre, où <i>Nobuko</i> tente de retirer délicatement les lunettes de <i>Irie</i>; un caractère essentiel à mon sens dans une romance digne de son nom et qui est maîtrisé d'une main des plus habiles. Je ne peux exprimer combien j'ai hâte de continuer à suivre, avec autant d'amitié que d'auto dérision, cette adorable héroïne. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPOcdtS0RxpRnDG0gK_3ITQPV0oYDDNwIr7amGQnTvFAPL6LoiyxT1_OM21NyM6UzSidvJ_buFSribShp0dZkxsnyBXEpAgG0lc3Up_JV4CDfiyNcyEsf479d4hRVDPY0b-5XDhMTXMGjnV81fOyV8F7Lc6_UVPkjObJlYsyzq3phw8Q0s-hxcCRdA5A/s1260/lectures%20d'hiver%20(8).jpeg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="1260" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPOcdtS0RxpRnDG0gK_3ITQPV0oYDDNwIr7amGQnTvFAPL6LoiyxT1_OM21NyM6UzSidvJ_buFSribShp0dZkxsnyBXEpAgG0lc3Up_JV4CDfiyNcyEsf479d4hRVDPY0b-5XDhMTXMGjnV81fOyV8F7Lc6_UVPkjObJlYsyzq3phw8Q0s-hxcCRdA5A/w640-h218/lectures%20d'hiver%20(8).jpeg" width="640" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><u style="font-style: italic; text-align: justify;">La sorcière aux champignons</u><i style="text-align: justify;">, manga de </i><i style="text-align: justify;">HIGUCHI Tachibana, 2 tomes publiés aux éditions Glénat (en cours - 6€90) </i></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><i><span> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/series/sorciere_aux_champignons_1_Glenat.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="512" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/series/sorciere_aux_champignons_1_Glenat.jpg" width="128" /></a></div></span><span> </span>Au fin fond d'une forêt demeure Luna, une sorcière vivant recluse en raison des champignons vénéneux qu'elle sème malgré elle sous chaque pas. Crainte de tout le village, la jeune femme se love dans sa solitude malgré son fort désir de venir en aide aux autres. Un jour, une rencontre lui promet pourtant un tout autre destin que celui qu'elle s'était imaginé...</i></div><div style="text-align: justify;"><i><br /></i></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Sous sa jolie jaquette faite de vernis pailleté, le nouveau <i>manga</i> de <i>Higuchi Tachibana </i>(l'autrice de <u style="font-weight: bold;">L'académie Alice</u>, dont je vous parle un peu plus bas !) est tout aussi magique qu'il l'annonce. J'ai ainsi instantanément été victime de la sorcellerie de cette adorable guérisseuse que l'on a envie de choyer avant toute chose. Je me suis rapidement sentie bien dans cet univers bucolique fantastique, qui regorge d'une richesse que l'on ne lui soupçonnait pas. La <i>mangaka</i> fait preuve ici d'une imagination débordante pour construire un univers empoisonné mais aussi doux qu'une pâtisserie. Ce premier volume est ainsi composé de nombreuses notes, croquis et annotations sur l'environnement de <i>Luna</i>, des bonus enrichissants, mais démontrant surtout l'ampleur du travail tout aussi bien que la grande imagination d'une autrice dont les pieds ne sont certainement pas rivés au sol. J'ai été littéralement enchantée par certains passages d'une grande poésie, notamment l'idée du croquis prenant vie, conférant romantisme et rêverie à une histoire qui était déjà construite comme un véritable conte de fées.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Le récit, quant à lui, semble se terminer à l'issue de ce premier volume qui pourrait presque se suffire à lui-même. Heureusement pour mon petit coeur comblé auquel une rupture trop brutale avec cet univers aurait été néfaste, l'autrice amène une nouvelle intrigue au cours des dernières pages qui pourrait transformer l'univers de <i>Luna</i>. Je dois bien avouer ne pas tenir en place !</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><i>🌙 </i><b><span style="font-family: Amatic SC; font-size: x-large;"><span style="color: #8e7cc3;">DÉCOUVERTES & CONTINUITÉS</span> </span></b><i>⭐</i></div><div style="text-align: justify;"><i><br /></i></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEihhyXEAssdnZ7fiTnsD5RAyBgDDTc6kHv2-A3lbYA-mM467Nw2UBq2VROrXbHWKGaI7mxo0PbPOwVX_FW6IbKsNZK6SluVQqUjJV89ukmk_85Ot9-5nOXcnSXn85qdoMcdfsOvPvenK-KxPFdrQLTlbGiS4FWA0P_3klfUcRXSDwOU71LJM0Uz6k5BNA=s629" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEihhyXEAssdnZ7fiTnsD5RAyBgDDTc6kHv2-A3lbYA-mM467Nw2UBq2VROrXbHWKGaI7mxo0PbPOwVX_FW6IbKsNZK6SluVQqUjJV89ukmk_85Ot9-5nOXcnSXn85qdoMcdfsOvPvenK-KxPFdrQLTlbGiS4FWA0P_3klfUcRXSDwOU71LJM0Uz6k5BNA=s16000" /></a><br /></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i><u>L'académie Alice</u>, manga de HIGUCHI Tachibana publié aux éditions Glénat et terminée en 31 volumes (6€90 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><div><br /></div><div style="text-align: justify;"><span><table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/vols/academie_alice_03.jpg" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="319" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/vols/academie_alice_03.jpg" width="128" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: x-small;">3/31 tomes lus</span></td></tr></tbody></table><br /> </span>Parmi les amateurs de<i> manga</i>, beaucoup réservent à <u style="font-weight: bold;">L'académie Alice</u> une place de choix, ce qui a toujours beaucoup attisé ma curiosité, petit être faible que je suis. Je me suis autorisée à consacrer l'année 2022 à quelques petites folies et je suis très heureuse d'avoir ajouté ce titre à la liste, car la lecture du premier tome a été un véritable délice. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> L'introduction du <i>manga</i> est si efficace que j'ai dévoré le tome d'une rapidité qui m'est inhabituelle. Le concept des "Alice" - pouvoirs surnaturels variés qui amènent les détenteurs à se regrouper dans une mystérieuse académie, sans être particulièrement original, est mené de main habile par une autrice que l'on sent aimer profondément les personnages auxquels elle a donné vie. Ainsi, le tout est très vivant et amusant, porté par une héroïne particulièrement rigolote à laquelle on s'attache immédiatement. Malgré tout, <i>Higuchi Tachibana</i> ne semble pas vouloir laisser reposer son titre sur quelques joyeusetés et enrubanne son <i>manga</i> de beaucoup de secrets et d'éléments un peu plus sombres, ce qui m'a ramenée avec délice à un titre qui a tout mon coeur, <u style="font-weight: bold;">Fruits Basket</u>. Evidement, la barre est placée bien haute, mais quelques passages, notamment dans le volume 2 avec <i>Mikan</i> et son professeur, m'ont tant enchantée que je ne me fais pas trop de soucis quant à ma future appréciation du <i>manga</i>, que j'imagine bien continuer à être excellente. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDRucDwAMECqNlyDaQoyKoZuLhvYK3PlFAHzCgVzIhjlhXLSyopEoTjxnU0GoO5srAsurrGXYFmLLas-66Oif6GFBfObnwVCMlMCRz3XpM6EFOHhRLN2di843oaa4Pmc7iKfOQmIjLIlQxYYK3b8EXoq6LeN6o9zGivD81twwOennaHevUqIiTolnXMg/s629/lectures%20(6).jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDRucDwAMECqNlyDaQoyKoZuLhvYK3PlFAHzCgVzIhjlhXLSyopEoTjxnU0GoO5srAsurrGXYFmLLas-66Oif6GFBfObnwVCMlMCRz3XpM6EFOHhRLN2di843oaa4Pmc7iKfOQmIjLIlQxYYK3b8EXoq6LeN6o9zGivD81twwOennaHevUqIiTolnXMg/s16000/lectures%20(6).jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i style="text-decoration: underline;">L'apprentie geisha</i><i>, one-shot de KAMIMURA Kazuo publié aux éditions Kana (12€70)</i></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><div style="text-align: right;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/series/apprentie-geisha-kana.jpg" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="423" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/series/apprentie-geisha-kana.jpg" width="141" /></a></div><span> </span>Ça n'est pas la première fois que l'immense artiste <i>Kazuo Kamimura</i> met en scène une <i>geisha</i> dans un de ses récits, sans pour autant en faire le centre de son histoire. Avec <u style="font-weight: bold;">L'apprentie geisha</u>, sorti en 1974 au Japon, c'est chose faite et l'auteur nous propose de suivre le parcours d'une jeune apprentie jusqu'à sa montée en popularité dans le quartier réservé. Comme à son habitude, l'auteur ne s'embarrasse pas réellement d'un scénario trop rigide, mais laisse son héroïne et ses pensées vagabonder, côtoyer des personnalités inspirantes, curieuses, qui vont former son parcours tout aussi bien que sa carrière. Pour le lecteur, c'est souvent une invitation à contempler les sentiments dans leur caractère le plus brut, non sans poésie.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Ayant à la fois un grand intérêt pour le sujet et une profonde affection pour cet auteur de génie, j'attendais beaucoup de ce titre mais je dois avouer ne pas avoir été complètement satisfaite. Bien qu'ayant des qualités évidement propres aux talents de conteur du <i>mangaka</i>, le <i>one shot</i> m'a paru plutôt anecdotique, presque dépouillé de toute la poésie qui habite habituellement la plume du dessinateur. Le titre ne m'a donc pas complètement transportée, bien que j'ai aimé sa vision de la <i>geisha</i>, un peu plus nuancée que celle de la "miséreuse" auquel le public est habitué. Ici, <i>O-tsuru</i> a l'envie de devenir <i>geisha</i> et emmène le lecteur de par sa passion. Celle-ci se fait par ailleurs très attachante, peut-être une de mes héroïnes préférées de l'auteur tant sa joie de vivre est communicative. J'ai aimé le fait qu'on ne s'épanche pas sur ses amours, mettant en avant la dualité de ce métier jouant sur les charmes et l'art de l'amour. En reste un joli <i>one shot</i> comportant des scènes particulièrement élégantes, bien que l'auteur ne soit pas forcément à l'apogée de son talent. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhvMVcJci71z6SufkM5a9zzDk-4VrOxDo_NQWb0LqaaTv0xC_QWoCM312b1UFTpZrY34zw_-paT8mVDpbbVchCpuAZ-VSinZNycf4MVTrSfLkc3V8ZPOb3wqWzyNT30Ajxu74VvRcBb45whKUfLZ-xzKocjC_-ATXd5wmW2CVx_YzbxhN2syyqvvxvWw/s1260/lectures%20d'hiver%20(9).jpeg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="1260" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhvMVcJci71z6SufkM5a9zzDk-4VrOxDo_NQWb0LqaaTv0xC_QWoCM312b1UFTpZrY34zw_-paT8mVDpbbVchCpuAZ-VSinZNycf4MVTrSfLkc3V8ZPOb3wqWzyNT30Ajxu74VvRcBb45whKUfLZ-xzKocjC_-ATXd5wmW2CVx_YzbxhN2syyqvvxvWw/w640-h218/lectures%20d'hiver%20(9).jpeg" width="640" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i style="text-align: justify;"><u>Dans le sens du vent</u>, manga de IRIE Aki, 5 tomes publiés aux éditions Soleil (en cours - 7€99 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><i><br /></i></div><div style="text-align: justify;"><table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/vols/dans-le-sens-du-vent-5-soleil.jpg" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="539" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/vols/dans-le-sens-du-vent-5-soleil.jpg" width="135" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i><span style="font-size: x-small;">5/5 tomes lus</span></i></td></tr></tbody></table><span> </span><span> </span>Avec les bourrasques auxquelles j'ai eu le droit en début d'année, mes pensées ont rejoint le tempétueux <u style="font-weight: bold;">Dans le sens du vent</u>, un excellent <i>manga</i> sur lequel je n'étais pas à jour dans ma lecture. Le premier volume m'avait particulièrement plu, avec son scénario hétéroclite mais si agréablement surprenant. J'avais alors arrêté ma lecture sur un suspense de grande échelle, avec un <i>Michitaka</i> dont l'innocence était remise en cause par son frère médusé. Qu'elle n'est donc pas ma surprise, en ouvrant le second volume, de constater que l'intrigue policière s'est vue complètement remisée sur le côté, afin de faire part belle à l'aspect touristique du <i>manga</i>. J'ai été plutôt déroutée de ce brutal changement de registre, qui casse complètement tout cette ambiance noire de <i>thriller</i> qui avait été tissée précédemment. Ma reprise avec le titre a donc été difficile, bien que je dois avouer adorer tout ce qu'il m'a appris sur la beauté sauvage de l'Islande. Il m'était de plus compliqué de bouder mon plaisir tant l'autrice a une parfaite maîtrise de ses attachants personnages tout aussi bien que sa plume, offrant de somptueux paysages qui m'ont fait frissonner. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Passé cet étonnant tome, la suite de l'histoire reste mieux calibrée et j'ai moins eu la sensation d'une intrigue négligée, la <i>mangaka</i> semblant trouver alors l'équilibre parfait entre les différences facettes de son œuvre. La construction du récit, naviguant dès lors entre d'amusantes tranches de vie, enquêtes et <i>road trip</i>, est si particulière qu'il est difficile de lui résister, au point où plus rien ne me perturbait particulièrement à l'issue du quatrième tome. De toute manière, j'étais trop préoccupée par ces protagonistes parmi les plus charismatiques qu'il m'ait été donné de rencontrer. <i>Aki Irie</i> dispose d'un talent sans bornes quand il s'agit de dévoiler toute la dualité de ses héros, particulièrement <i>Michitaka</i> qui est un antagoniste (?) tellement intriguant et fascinant qu'il pourrait presque être le frère caché de celui de <u style="font-weight: bold;">Monster</u>, c'est dire ! Bien qu'il faut peut-être s'accrocher pour saisir toute la beauté atypique de ce titre, je ne peux donc qu'en recommander la lecture.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj07e0M6MhQZZgH9D1DSDJIpvxmK27pYObPv0jxy7rLzjjWCJdXm3bjej-zFa8gmkjB7Ca7DZpPKe7TT8boashjwDsXt33RNVDtsjwC4ojsTi2TWWgHODrlProiIXMf-4tcLepqn5I1j7RuJu4biG2A0W_M8j2aJ96dwMfm7ZUzg5sDb8xr4VaezDGE3Q/s629/Lectures%20fe%CC%81vrier%20(4).jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj07e0M6MhQZZgH9D1DSDJIpvxmK27pYObPv0jxy7rLzjjWCJdXm3bjej-zFa8gmkjB7Ca7DZpPKe7TT8boashjwDsXt33RNVDtsjwC4ojsTi2TWWgHODrlProiIXMf-4tcLepqn5I1j7RuJu4biG2A0W_M8j2aJ96dwMfm7ZUzg5sDb8xr4VaezDGE3Q/s16000/Lectures%20fe%CC%81vrier%20(4).jpg" /></a><br /></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><u style="font-style: italic;">Divine Nanami</u><i>, manga de SUZUKI Julietta publié aux éditions Delcourt/Tonkam et terminé en 25 volumes (6€99 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><br /><div style="text-align: justify;"><table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg275217mP_PlxCkiXWdzzKS8bTq8u4BKKfn0WbBn5n9_hRq7YOWPvs90cXZcMy5TXca8TmDuqMPWQK3QagKLfXetynDNbaUZEBkPqjVHRWW29TbwMtzPT7a8HAJTA6aOrSxJHFSCwvlB3BG6wShm9FOhH0m5ffYvI6Uz2r1LWThT0OPEd-_3icp8vGjA/s685/divine-nanami-5-delcourt.jpg" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="685" data-original-width="432" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg275217mP_PlxCkiXWdzzKS8bTq8u4BKKfn0WbBn5n9_hRq7YOWPvs90cXZcMy5TXca8TmDuqMPWQK3QagKLfXetynDNbaUZEBkPqjVHRWW29TbwMtzPT7a8HAJTA6aOrSxJHFSCwvlB3BG6wShm9FOhH0m5ffYvI6Uz2r1LWThT0OPEd-_3icp8vGjA/w126-h200/divine-nanami-5-delcourt.jpg" width="126" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i><span style="font-size: x-small;">5/25 tomes lus</span></i></td></tr></tbody></table><span> <span> </span></span>J'avais profité il y a de cela déjà deux ans (!) d'une grande vague de réimpression de la part des éditions <i>Delcourt/Tonkam</i> pour enfin découvrir le support original de l'anime <u style="font-weight: bold;">Divine Nanami</u> qui avait fait fleurir une partie de mes années collèges. Si vous l'ignorez encore, j'aime à égayer mes mois de thèmes de lecture particuliers et janvier se portant sur l'univers fascinant des <i>yokai</i>, ce <i>manga</i> de <i>Julietta Suzuki</i> m'a semblé tout indiqué pour démarrer l'année en douceur. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> <span> </span></span>On y suit une jeune lycéenne, <i>Nanami</i>, qui à la suite d'un parcours de circonstances, va se retrouver à gérer un vieux temples miteux et ses quelques habitants <i>yokai</i>, ces esprits japonais dont les originales spécificités ont quelque chose de fascinant pour le lectorat occidental. Entre découverte de cet étonnant monde parfois bien dangereux pour une humaine et la chaleur de son coeur empli de bonté, la série se fait tour à tour extrêmement divertissante, puis très chaleureuse, avec son lot de message d'acceptation de l'autre qui n'a pas manqué de beaucoup me plaire. <i>Nanami</i> tout comme ses "serviteurs" y<i>okai</i> sont très attachants et je recommande vraiment cette lecture pour qui aurait envie de mettre la main sur un titre "<i>boostant</i>", qui donne envie de donner le meilleur de soi-même. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvIl_74VgODTpMO_TKrdUj4hwXPzLzVlUCYc5gStWv4ncc8YOvk_JCpKk41LDIB2i0gu1LaGHDKMRYeGp4_LxXt3PaWu5qJcZUW20UWfLmUUgHYaybtj4yXcy_EBHEM_W8_wbb8YBV1c_RrDYIPTp7mBeaTSOVYejIgBki6-ToZWaRYBv_N-T9xQ_VEQ/s1260/lectures%20d'hiver%20(10).jpeg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="1260" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvIl_74VgODTpMO_TKrdUj4hwXPzLzVlUCYc5gStWv4ncc8YOvk_JCpKk41LDIB2i0gu1LaGHDKMRYeGp4_LxXt3PaWu5qJcZUW20UWfLmUUgHYaybtj4yXcy_EBHEM_W8_wbb8YBV1c_RrDYIPTp7mBeaTSOVYejIgBki6-ToZWaRYBv_N-T9xQ_VEQ/w640-h218/lectures%20d'hiver%20(10).jpeg" width="640" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><u style="font-style: italic; text-align: justify;">Kowloon Generic Romance</u><span style="text-align: justify;">,</span><i style="text-align: justify;"> manga de MAYUZUKI Jun, 5 tomes publiés aux éditions Kana (en cours - 7€45 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><div><span> <table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/vols/Kowloon_Generic_Romance_4_kana.jpg" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="561" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/vols/Kowloon_Generic_Romance_4_kana.jpg" width="140" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: x-small;"><i>4/5 tomes lus</i></span></td></tr></tbody></table><br /> <span> </span></span>À chaque nouvelle sortie, renouer avec <i>Jun Mayuzuki</i> est un de mes plus grands plaisirs du mois. Depuis la parution française de son superbe <u style="font-weight: bold;">Après la pluie</u><span>,</span> dont la lecture m'avait tant bouleversée et continue de le faire encore aujourd'hui, je me jette sur chaque nouveau tome de son excellente nouvelle série, <u><b>Kowloon generic romance</b></u>. Lire cette autrice disposant d'un immense talent et d'une sensibilité rejoignant la mienne demeure ainsi toujours un grand moment de lecture pour moi. Et si je vois sa précédente œuvre comme une gemme absolue, tant elle avait comblé toutes mes attentes, jusqu'à celles que je m'ignorais alors, <u style="font-weight: bold;">Kowloon</u> est encore bien meilleur sous plusieurs points de vue, malgré un attachement émotionnel forcément un peu moins grand. </div><div><br /></div><div> Avec son troisième volume, <i>Jun Mayuzuki</i> semble décidée à faire souffrir son lectorat. Étoffant son intrigue de plus en plus nébuleuse, le <i>manga</i> se teinte de beauté tandis qu'il épaissit le mystère entourant les origines de <i>Reiko</i> et sur les manigances que semblent fomenter les habitants du quartier. C'est avec un plaisir sadique que j'ai vu le couple se rapprocher, puis se déchirer, leurs sentiments contraires et leurs incompréhensions les empêchant de vivre ce qui pourrait être.. Ou vivre à nouveau ce qui a été ? L'autrice joue à merveille avec les nerfs du lecteur sur l'ambiguïté étouffant <i>Reiko</i>, sur ce qu'elle a été, sur celle étant peut-être à son origine (est-elle amnésique ou bien est-ce un clone de la vraie <i>Reiko </i>? Dans quel cas, où est passée l'originale ?), rendant le récit passionnant et donnant à la protagoniste une dimension inattendue et touchante. Le volume entraîne une nuée de réflexions immersives sur le rapport ténu entre la nostalgie et l'amour, mais aussi, donc, sur l'identité, le regard des autres et l'affirmation de soi. Fidèle à ses habitudes, l'autrice joue toutefois habilement avec plusieurs registres, passant aisément du tragique haineux à des scènes plus légères. J'ai refermé le volume, encore en proie à un songe, une fièvre étrange née des envolées ultra-poétiques d'une artiste qui ne cesse jamais de faire rêver. <u style="font-weight: bold;">Kowloon generic romance</u> parvient toujours à m'enlever à ma réalité, pour me faire atterrir dans la moiteur de ce petit quartier pittoresque, aux abords un peu insalubres, mais dans lequel je me sens étrangement si bien. Une ambiance que je n'arrive à retrouver nulle part. </div></div><span></span><div style="text-align: center;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_DS5gw-0s_3RxqH_tavOFJrNHTZJ0jArDTlLktftiijhQrbMsdb4ofJkAYR2G2oFxS7s0nFTF1chaV6oxzidk_ZdN3m0xiDBLN9sztraje2nqcQdJVdJNdyJul69MfKjn9W24uMLsUA6KcBcLCtst6DdJzxbF9wYTbAQ_Ei98mgBLpHGU1IT1d1Zzdw/s629/Lectures%20fe%CC%81vrier%20(5).jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_DS5gw-0s_3RxqH_tavOFJrNHTZJ0jArDTlLktftiijhQrbMsdb4ofJkAYR2G2oFxS7s0nFTF1chaV6oxzidk_ZdN3m0xiDBLN9sztraje2nqcQdJVdJNdyJul69MfKjn9W24uMLsUA6KcBcLCtst6DdJzxbF9wYTbAQ_Ei98mgBLpHGU1IT1d1Zzdw/s16000/Lectures%20fe%CC%81vrier%20(5).jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i><u>Un pont entre les étoiles</u>, manga de Kyukkyupon publié aux éditions Akata et terminé en 4 tomes (8€05 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5QC0zUuOyXuSlaSqFt68SFk1zzsxWS9CWVGyARL8uhIEQA5Yb0G8ZGRGjevyyEfwiTo4aZ7uAu-z359c7b7mpXfllNF8Pm6dKUHX3s13kApV12vQhvkg4pqAkKu4zq1OITYQCz9p1TOoB_fqwvmRjD1r9J01lPxyWihkBVc8j9WLAzvel0ZPmzKNXdg/s500/pont-etoiles-1-akata.jpg" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="353" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5QC0zUuOyXuSlaSqFt68SFk1zzsxWS9CWVGyARL8uhIEQA5Yb0G8ZGRGjevyyEfwiTo4aZ7uAu-z359c7b7mpXfllNF8Pm6dKUHX3s13kApV12vQhvkg4pqAkKu4zq1OITYQCz9p1TOoB_fqwvmRjD1r9J01lPxyWihkBVc8j9WLAzvel0ZPmzKNXdg/w141-h200/pont-etoiles-1-akata.jpg" width="141" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i><span style="font-size: x-small;">4/4 tomes lus</span></i></td></tr></tbody></table><span style="font-weight: bold;"> <u>Un pont entre les étoiles</u></span> aura été une solaire découverte au cours de mes nuits froides d'hiver et bien que j'avais quelques réserves quant à mon appréciation finale, j'ai été surprise de voir mes larmes s'échapper à flot à de nombreux passages ! Si ses capacités lacrymales peuvent vous rebuter, rassurez-vous, le <i>manga</i> possède son lot de qualités, notamment un contexte historique très riche, offrant une vision inédite de la seconde guerre mondiale pour le lecteur occidental. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Le <i>manga</i> propose de suivre le parcours de deux enfants voués à être ennemis en raison de leur patrie respective. Entre candeur propre à leur jeune âge et remises en question des valeurs qu'on leur a inculqué, le titre propose des interrogations intéressantes, qui renvoient à l'absurdité d'une guerre provoquée pour des ambitions n'étant pas les leurs. Il était extrêmement intéressant, parfois même révoltant de voir les mœurs évoluer petit à petit, sans jamais inculper un camp ou un autre. J'ai beaucoup aimé voir l'héroïne grandir au fil du récit, observer les fissures dans la sphère de ses convictions. Au final, résulte un très joli message de paix où personne n'est glorifié ni vraiment à blâmer. J'ai eu un petit coup de cœur pour <i>Kyukkyupon</i>, une autrice passionnée par son sujet (né des expériences de sa propre grand-mère) que l'on découvre tout juste en France. Son trait est détaillé, empli d'architectures pittoresques sublimes. Les fortes émotions qu'elle place dans les prunelles de ses candides héros sauront indubitablement vaincre le cœur du plus endurci. À la finale, je recommande chaudement cette série pleine d'humanité et de bienveillance qui m'a enchantée. </div><br /><div style="text-align: center;"><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdNle-NrMt5uQU4M3CtBzKhJ_5M_FCdypmljXW8J6j2pGw0bOCtxDwaFdJIjIE0r9oeDiSMi1PHTi0xH0hqq1PhcBbbjQwHpTRDD869UEhHwyoK9b1UYgfY6dsAhaNWzwC1kpopHylM9pjwMM604nfsDsxLnTW_UUZbl00ncQGr63S0H3NKqKfQ8-elA/s629/lectures%20(5).jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdNle-NrMt5uQU4M3CtBzKhJ_5M_FCdypmljXW8J6j2pGw0bOCtxDwaFdJIjIE0r9oeDiSMi1PHTi0xH0hqq1PhcBbbjQwHpTRDD869UEhHwyoK9b1UYgfY6dsAhaNWzwC1kpopHylM9pjwMM604nfsDsxLnTW_UUZbl00ncQGr63S0H3NKqKfQ8-elA/s16000/lectures%20(5).jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><u style="font-style: italic;">Pour Sanpei</u>, <i>manga de KONO Fumiyo publié aux éditions Kana et terminé en 2 tomes (10€20 l'unité)</i></td></tr></tbody></table></div><div style="text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/series/pour-sanpei-1-kana.jpg" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="423" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/series/pour-sanpei-1-kana.jpg" width="141" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i><span style="font-size: x-small;">2/2 tomes lus</span></i></td></tr></tbody></table><span> </span>J'aime beaucoup <i>Fumiyo Kono</i>, bien que "aimer beaucoup" soit une faible association de mots pour exprimer tout le réconfort et la volonté que me donne cette autrice. Aussi, pour commencer mon année en douceur, j'ai décidé de faire de <u style="font-weight: bold;">Pour Sanpei</u> ma première lecture de 2022. Je me félicite encore à la fin de l'hiver d'avoir eu ce petit éclair de génie qui m'a clairement accompagnée bien plus longtemps que le temps d'une lecture. Finalement trop bref instant échangé avec un retraité désoeuvré suite au décès de sa femme et qui va devoir réapprendre à vivre aux côtés de son fils et de sa famille, le <i>manga</i> a envahi mes pensées.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Avec ce diptyque, l'autrice réussit le tour de force de nouer le lecteur avec une personne âgée, peu importe qu'elle soit notre âge au moment de notre rencontre avec ce dernier. A travers son quotidien fait de reprisages et de petits plats, la <i>mangaka</i> mijote un tranche de vie sincère dans lequel la petite famille un peu bancale se fait rapidement une place dans notre coeur, soulevant au passage quelques souvenirs poussiéreux qui ne manqueront pas de laisser un sourire ému sur le visage. J'ai encore une fois été admirative de la force de frappe de <i>Fumiyo Kono</i>, qui touche constamment là où ça fait mal, sans jamais pousser le lecteur dans des retranchements où il se sentirait "forcé" de rendre les armes face aux larmes. Le <i>manga</i> dresse donc un tendre portrait, parfois amusant et didactique même, l'autrice glissant de nombreuses astuces afin de tenir correctement un ménage. Le <i>manga</i> sort alors de son cadre de divertissement pour se métamorphoser en vrai guide de vie à la mise en page extrêmement ingénieuse, en faisant une œuvre hybride absolument charmante. En plus d'un délice réconfortant, subsiste en prime un message positif incitant à toujours aller de l'avant, car les plus belles surprises se cachent souvent là où on les attend le moins. Et si vous ne connaissez pas encore le titre ou bien l'autrice, j'espère que ce <i>manga </i>sera tout cela pour vous. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi62t_HIGUIPB1Tgd7GPrA8Owr-eiJ7MinXxKUIUkE_YXUqgLOUyVOcjTQcnsxwM70PfswSAz-HdtHpsvQMW8yXTPtN5MTFU8xkgdl37bXBvrP0Ec1VYnbvl4VQsT2UyWCcuIb3T1uus9BszkSwHKyW8CrHYoCfeeLoi5G5Kr-fzg6lfFmFtCRhAAC95g/s629/Lectures%20fe%CC%81vrier%20(1).jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi62t_HIGUIPB1Tgd7GPrA8Owr-eiJ7MinXxKUIUkE_YXUqgLOUyVOcjTQcnsxwM70PfswSAz-HdtHpsvQMW8yXTPtN5MTFU8xkgdl37bXBvrP0Ec1VYnbvl4VQsT2UyWCcuIb3T1uus9BszkSwHKyW8CrHYoCfeeLoi5G5Kr-fzg6lfFmFtCRhAAC95g/s16000/Lectures%20fe%CC%81vrier%20(1).jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><u style="font-style: italic; text-align: justify;">Veil</u><i style="text-align: justify;">, manga de Kotteri, 3 tomes publiés aux éditions Noeve Grafx (en cours - 13€90 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><span><br /><table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://www.manga-news.com/public/images/vols/veil_3.jpg" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="550" height="200" src="https://www.manga-news.com/public/images/vols/veil_3.jpg" width="138" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: x-small;">3/3 tomes lus</span></td></tr></tbody></table></span><span> </span>Comment mieux commencer son année qu'aux côtés de "elle", "lui" et de leurs discussions futiles mais ô combien charmantes ? Après la délectable dégustation des deux premiers volumes, sortis en France en novembre 2020 pour le lancement des éditions <i>Noeve Grafx</i>, il est dérisoire de dire à quel point j'avais envie de poursuivre mes discussions avec ce couple charismatique et sensuel. Ce troisième tome, proposé dans un luxueux coffret "blanc gracieux" ne déroge pas aux règles de charme et de délicatesse qui avaient été érigées en pièce maîtresse par ces prémices ravissants. A mi-chemin entre l'objet-livre, le <i>manga</i> et l'<i>artbook, </i><u style="font-weight: bold;">Veil</u> est encore une fois un délice des sens, une symphonie d'humour si fin que l'on craint d'être de trop entre les regards langoureux que se donnent les deux amoureux, épris de la malice, du velours de la voix taquine et de la sensualité de l'autre. <i>Kotteri</i> est décidément une grande autrice, jouant avec autant de simplicité que de maitrise dans les rapports entre ses deux personnages, formant un duo iconique qui me donne assurément le sourire. Le volume se clôt avec beaucoup de poésie sur un chapitre débordant de romantisme qui a achevé la naissance, non pas d'étoiles dans les yeux, mais bien d'une immense galaxie amoureuse et admirative. S'il y a un <i>manga</i> à ne pas rater ces derniers mois, il s'agit bien de celui-ci. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> Ici s'achève donc cet immense pavé. J'ignore si vous avez réussi à en voir le bout (si tel est le cas, vous avez tout mon respect héhé), en tout cas j'ai pris plaisir à renouer avec ce format, qui subira surement quelques changements dans les mois à venir. Bien qu'il soit sorti un peu tard et n'est plus tellement de saison, j'espère qu'il vous aura donné un peu d'inspirations pour vos prochaines lectures ou tout simplement donné envie de vous replonger dans ce vieux titre que vous aviez aimé il y a bien longtemps ...</span></div><div style="text-align: justify;"><span><br /></span></div><div style="text-align: justify;">Que les belles lectures accompagnent vos journées et forgent les plus beaux rêves de vos nuits !</div><div style="text-align: justify;">Suki. </div><center></center>Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-72060679951614720372022-04-30T12:00:00.001+02:002022-04-30T12:00:00.183+02:00[Semaine du Shôjo 2022]le personnage de shôjo m'inspirant le plus<p style="text-align: justify;"><span><span> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqKka6B98VZrJd2py1N6_NBBMBShMmo9qZsVPWO2qvroqVoEUoDSNwXtwWSNAnB3a50XqR7c00LINzMk2agFs1Wo76UxQ0Lc0BdgOjpc0lys0Rm3rOJ6l1V7VyW22qMeQDMoxNuFs7hLtel7tYbaermT0TXh2x07dGXH7wwEnMZG9LBSqVg0ty2AQzww/s629/clubshojo2022.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqKka6B98VZrJd2py1N6_NBBMBShMmo9qZsVPWO2qvroqVoEUoDSNwXtwWSNAnB3a50XqR7c00LINzMk2agFs1Wo76UxQ0Lc0BdgOjpc0lys0Rm3rOJ6l1V7VyW22qMeQDMoxNuFs7hLtel7tYbaermT0TXh2x07dGXH7wwEnMZG9LBSqVg0ty2AQzww/s16000/clubshojo2022.jpg" /></a><br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span>C'est le printemps, les fleurs commencent à porter timidement d'éclatantes couleurs, contrastant avec un ciel qui n'en est qu'aux balbutiements de son joli bleu estival, les oiseaux testent leurs gammes.. Mais c'est également l'arrivée d'une nouvelle édition de "La Semaine du Shôjo" sur l'inspirant nid à découvertes qu'est <a href="https://club-shojo.com">Club Shôjo</a> ! Malgré mon inactivité, j'ai eu la chance et le plaisir d'être conviée à participer à leur événement interblog de l'année, portant sur le thème de l'inspiration. L'année est passée sans que j'écrive beaucoup de mots par ici, mais j'ai tout de même beaucoup lu, voyagé, </span>réfléchi auprès d'œuvres d'exceptions dont j'ai hâte de vous parler ! Et comment annoncer de meilleure façon mon retour qu'en écrivant sur un <i>manga</i> ayant ravi mon cœur il y a quelques récentes années, et qui continue de nourrir mon pensées ainsi que ma façon de vivre depuis ? Une œuvre qui m'a donné la sensation de m'avoir changée, aidé à grandir, le tout dans un mélange de bonne humeur, de destinée tragique et de personnages ô combien attachants. Vous l'avez ? Je vais aujourd'hui vous parler de <u style="font-weight: bold;">Fruits Basket</u> et plus particulièrement de son iconique héroïne : <i>Tohru Honda</i>. </p><span><a name='more'></a></span><p style="text-align: justify;"><br /></p><span></span><p style="text-align: justify;"><span> </span>Avant de commencer, je souhaite tout de même vous parler un peu plus en détail de cet événement très enrichissant. Tout au long de la semaine du 25 avril au 1er mai, <a href="https://club-shojo.com">Club Shôjo</a> vous propose plusieurs pistes de réflexions en explorant le <i>shôjo manga</i> dans toute l'étendue de sa diversité (et je peux vous affirmer qu'elle est très large !). L'année dernière, j'avais eu l'opportunité de vous parler de <a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2021/05/semaine-du-shojo-2021-quel-shojo.html">deux <i>mangas</i> m'ayant permis de m'évader</a>, alors que nous étions encore en proie à une certaine pandémie empêchant drastiquement le voyage physique. En 2022, une vingtaine de lecteurs participeront à cette nouvelle interrogation. Si vous désirez en savoir plus, n'hésitez pas à consulter le <a href="https://club-shojo.com/semaine-shojo-2022-programme/">programme</a> de l'événement. Et maintenant, passons à ma réponse !</p><p style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiitAP5g3aykTJS4yCqnONpMXEUUIiMttLJmjRI_OGfOH4P0sC3ILOaZkIjX_NDaDNmUwG6mYfuaeDsqOmO8dDzQNI8cyx-z-12vWb8ZdVuvn3Y5gS3uVy_qHqa12ZYhDD3TqG_rHCna-MA6G2_gM35ulcB-TIV4neJ4h995H4tKclifqU5iNUv0S47sQ/s2996/53297.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2169" data-original-width="2996" height="232" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiitAP5g3aykTJS4yCqnONpMXEUUIiMttLJmjRI_OGfOH4P0sC3ILOaZkIjX_NDaDNmUwG6mYfuaeDsqOmO8dDzQNI8cyx-z-12vWb8ZdVuvn3Y5gS3uVy_qHqa12ZYhDD3TqG_rHCna-MA6G2_gM35ulcB-TIV4neJ4h995H4tKclifqU5iNUv0S47sQ/s320/53297.jpg" width="320" /></a></div><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-weight: bold;"> <u>Fruits Basket</u></span> est un <i>shôjo</i> de <i>Natsuki Takaya</i>, édité entre 1998 et 2007 au sein du magazine <i>Hana to yume</i> et terminé en 23 volumes. En France, il est publié aux éditions <i>Delcourt/Tonkam</i>. La série débute tandis que <i>Tohru Honda</i>, notre lycéenne d'héroïne, se retrouve à la rue après la perte de sa mère, qui constituait son unique famille. Surprise par un de ses camarades de classe, le très populaire <i>Yuki Sôma</i>, la jeune fille finira par se faire héberger par la famille de ce dernier, auprès de qui elle découvrira une foule de portraits débridés et fantasques, mais aussi brisés par quelque chose, un secret que personne n'évoque. Pour cause; les membres de cette réputée famille sont tous possédés par les douze signes du zodiaque chinois : au contact du sexe opposé, ils se transforment immédiatement en l'animal qui leur a été attribué ! Commence alors cette cohabitation détonnante, dans laquelle <i>Tohru </i>mettra toutes ses forces afin de réduire l'affliction noircissant le cœur de ses sauveurs. </p><p style="text-align: justify;"> Nous ouvrons donc le <i>manga</i> sur une héroïne dont la vie a été sectionné brutalement : alors qu'elle est si jeune, elle a en effet été déracinée de sa famille après l'accident de voiture ayant coûté la vie de sa mère, qui était son pilier. Contrainte à quitter son foyer, vivant à peine de quelques petits boulots tout en menant de front sa vie lycéenne et sociale, nous faisons connaissance avec la jeune fille alors qu'elle habite dans une tente. Ça, le lecteur le découvre rapidement, mais pourtant, qu'elle n'est pas sa surprise en découvrant une <i>Tohru</i> rayonnante, affichant un large sourire dès sa première apparition. Alors qu'est-ce qui pourrait bien encore la faire sourire ainsi ? </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhShBLDj2AzvfMDvrAd0guNeVeNwOmeRE4SXhm2VEQbAl_1okyJz-J_D2GuHfKZ7I8BezsZjZUVgtd_4P2Zr89KSqVou3J9xmtVfNtyy84cfu97skHMHMi9MszihrdJAfiemPa2e38J5uXYnZrVoiYe5cO7GdUAatDQwWhj8L3yN1ujI1wf0e3N4-gs4w/s2500/335113.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2500" data-original-width="2120" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhShBLDj2AzvfMDvrAd0guNeVeNwOmeRE4SXhm2VEQbAl_1okyJz-J_D2GuHfKZ7I8BezsZjZUVgtd_4P2Zr89KSqVou3J9xmtVfNtyy84cfu97skHMHMi9MszihrdJAfiemPa2e38J5uXYnZrVoiYe5cO7GdUAatDQwWhj8L3yN1ujI1wf0e3N4-gs4w/s320/335113.jpg" width="271" /></a></div><p style="text-align: justify;"><span> </span>Alors que l'on pense avoir affaire avec une énième héroïne du genre (ne vous détrompez pas toutefois, j'adore la protagoniste "type" du <i>shôjo</i> et sa candeur), <i>Tohru</i> surprend tant sa palette d'émotions est grande. Certes, elle est immensément gentille, serviable et, cerise sur le gâteau, une véritable fée du logis. En contrepartie de l'hébergement de la famille <i>Sôma</i>, la jeune fille s'occupe donc du foyer, dépoussiérant tout aussi bien les murs crasseux qui n'ont connu que de négligents locataires, que les cœurs solitaires de ses amis. En découvrant la malédiction qui touche ces derniers, <i>Tohru</i> sera également mise face à de profonds troubles les dévorant depuis le plus jeune âge, comme la dépression, l'envie, la jalousie et la peur du regard des autres. Mais elle est également tendre, compréhensive et très empathique envers la souffrance de ses proches. Loin de les observer de loin, <i>Tohru</i> devient très rapidement actrice de leur destin, se battant de toutes ses forces afin de leur donner les armes pour vivre sans avoir à renier leur nature véritable, mais principalement à faire leurs adieux à cette souffrance qui a toujours été leur compagne la plus intime. Les soutenant à chaque étape de leur parcours envers l'acceptation, l'héroïne fait figure d'une véritable mère pour ces orphelins qui ne peuvent légalement en porter le nom, mais qui souffrent constamment du rejet parental. </p><p style="text-align: justify;"><span> </span>Si elle parait douce comme un agneau, toujours pleine de ressources lorsqu'il s'agit de réconforter sa nouvelle famille, une amie sur qui l'on peut toujours compter (etc... ses qualités ne sont pas en manque, cet article n'a pour but que de vanter les mérites de ma parfaite petite <i>Tohru</i>), la protagoniste, entre deux maladresses, est maitresse d'une force incommensurable, qui surprend tant elle parait peu inhérente à son caractère. Lorsqu'il s'agit de défendre ses camarades face à <i>Akito</i>, redoutable chef de famille régnant avec cruauté sur le clan <i>Sôma</i>, la jeune fille semble devenir toute autre et réagit avec une impulsivité ne lui étant pas coutumière. Sans jamais se départir de son admirable empathie, elle force à l'admiration en tentant de se rapprocher de ce dirigeant malveillant et aux paroles empoisonnées. D'une curiosité insatiable, mais sans jamais dépasser les limites de l'intimité personnelle, <i>Tohru</i> cherche toujours à comprendre l'autre, savoir ce qui le pousse à agir d'une certaine façon, sans jamais émettre le moindre jugement. </p><p style="text-align: justify;"></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHj_EsoOQPkC5bXOHB6uj0XyIrqOb2cr81_FhgEpKEXKxNoSKRfBeVMeO6tcoqZkvgCEDz_LyhAyTYULDcmElP-LmCIu7ptqJpdZ3r1t5tAeID0eb1v4x6vDQw1cwJigQhMOn1FNAbeJfPEBn7GfQ88jHEfxUxTkMTodH0weUc2vQDccQbCj4fUe3xqg/s3000/336474.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="3000" data-original-width="2406" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHj_EsoOQPkC5bXOHB6uj0XyIrqOb2cr81_FhgEpKEXKxNoSKRfBeVMeO6tcoqZkvgCEDz_LyhAyTYULDcmElP-LmCIu7ptqJpdZ3r1t5tAeID0eb1v4x6vDQw1cwJigQhMOn1FNAbeJfPEBn7GfQ88jHEfxUxTkMTodH0weUc2vQDccQbCj4fUe3xqg/s320/336474.jpg" width="257" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> C'est donc un personnage que l'on peut très aisément qualifier d'admirable. Véritable force de la nature, elle n'abandonne jamais et se bat pour son idée de la justice et du "vivre ensemble", tout en conservant cette pointe de gentillesse que j'aime tant. Mon affection n'a été qu'encore plus grande lorsque, après avoir découvert ce qui troublait son cœur, j'ai appris à connaître la "vraie" <i>Tohru. </i>Il me semble qu'il est difficile, malgré toutes ses grandes qualités, de s'identifier à un personnage autant immaculé qu'elle, aussi, ce lourd conflit se jouant en son sein semble arrondir les angles de son absolue perfection. Je ne vais pas trop en dévoiler ici, mon désir n'étant pas de gâcher votre potentielle lecture, si cela n'est pas déjà fait. Mais on prend soudain conscience qu'elle est tout autant brisée que ses protégés, faisant toujours passer les sentiments de ses proches afin de mieux étouffer les siens, pourtant grandissant dans la douleur d'un deuil qui n'a jamais débuté. C'est à cet instant, dans toute l'ampleur de ses doutes, ses craintes et son incapacité à se construire un futur lui semblant crédible, qu'elle devient une <i>véritable</i> héroïne. La force et le courage dont elle a fait preuve afin de se libérer de ces chaînes qui ont toujours entravé chacune de ses décisions m'a émue et fait naître une nuée d'émotions puissantes en moi.</div><p></p><p style="text-align: justify;"></p><p style="text-align: justify;"><span> </span>Bien que je ne peux mettre en relations ses sentiments avec les miens (car heureusement pour ma santé mentale, ma vie est plus stable), voir cette jeune fille briller dans toute sa fragilité, se relever sans cesse, m'a donné beaucoup de volonté à en faire de même. À toujours donner ce que j'ai de meilleur en moi, à exprimer une totale confiance à mon entourage, proche ou non. À la sortie du nouvel <i>anime</i> en 2019, j'ai été surprise de constater que beaucoup de spectateurs n'aimaient pas son personnage, trop "femme au foyer", trop "soumise" aux hommes qui l'ont hébergée, trop "naïve". À tous ces gens, j'ai envie de dire qu'ils n'ont rien compris de ce qui fait la suprématie d'une personne. Car la force, la vraie, ne se trouve pas dans la puissance des coups donnés, ni dans l'éloquence d'une langue joliment affutée, encore moins dans le "<i>badass</i>" qui semble dicter l'image d'une féminité dite "parfaite" de nos jours. L'absolu, à mes yeux, se trouve dans les sourires d'une pureté sans égale qu'affiche <i>Tohru</i>. La bonté, voilà ce qu'est la vraie force, la seule qui devrait compter en ce monde. Car après tous les revers d'une vie qui l'a certainement malmenée depuis son plus jeune âge, cette héroïne a la force de se relever, peu importe le nombre de fois que cela sera nécessaire, sans jamais éprouver l'envie de porter un regard amer sur ce et ceux qui l'entourent. Voir la vie sous son plus bel éclat, de façon permanente et avoir cette confiance vierge, comme neuve à la vie, voilà ce qui m'inspire. Tout comme <i>Tohru</i>, j'aspire à être une <i>bonne</i> personne, de celles qui, par de petites gentillesses pouvant paraître anodines, peuvent améliorer la journée, ne serait-ce qu'un instant, de quelqu'un. Rien ne me rend plus heureuse que de sourire à la vie, à la beauté de ce qu'elle offre, pour ceux qui savent voir, en dépit de ses petits coins mal éclairés. Moi aussi, je veux avoir le pouvoir de faire fleurir la gentillesse qui est en moi et l'afficher courageusement comme une de mes forces, chérir cet optimisme parfois moqué. </p><p style="text-align: justify;">Je conclus cet article avec la sensation d'en avoir trop peu dit. Je ne pense pas avoir réussi à retranscrire l'infinie bonté de ce personnage, encore moins tout ce que cette solaire personnalité m'a apporté et continuera de le faire, j'en suis sure, pendant encore plusieurs années. </p><p style="text-align: center;">🌸🍵🌸</p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://club-shojo.com/wp-content/files/images/illu-semaine-shojo-2022-550x275.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="275" data-original-width="550" height="200" src="https://club-shojo.com/wp-content/files/images/illu-semaine-shojo-2022-550x275.png" width="400" /></a></div><p style="text-align: justify;">Parce que l'inspiration, c'est comme le bonheur, ça se partage : voici les articles des autres créateurs de contenus et de jolis mots. N'hésitez-pas à passer les lire !</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 Les animes & co</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 <a href="https://bazardjado.wordpress.com/2022/04/25/semaine-du-shojo-2022-quel-personnage-de-shojo-tinspire-le-plus-quel-personnage-de-shojo-serait-ton-modele/">Le bazar de Djado</a></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://lesblablasdetachan.wordpress.com/2022/04/28/semaine-du-shojo-2022-quels-personnages-de-shojo-tinspirent-le-plus/">Les blablas de Tatchan</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://apprentiotaku.wordpress.com/2022/04/25/semaine-du-shojo-2022-quel-personnage-de-shojo-tinspire-le-plus/">Le blog de l'apprenti otaku</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://brightopenworld.wordpress.com/semaine-du-shojo/">Bright open world</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://fouchapelier.wordpress.com/2022/04/25/semaine-du-shojo-2022-chez-le-chapelier-fou/">Le chapelier fou</a><br /></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span>Les chroniques d'un ange</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://chroniquesdunvagabond.wordpress.com/2022/04/27/trait-pour-trait-lautobiographie-comme-une-therapie/">Chroniques d'un vagabond</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span>Don'tforget3oct</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸<a href="https://espritotaku.fr/2022/04/26/yona-la-princesse-guerriere/"> </a></span><a href="https://espritotaku.fr/2022/04/26/yona-la-princesse-guerriere/">Esprit otaku</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://shiawase.wordpress.com/2022/04/26/sujet-annexe-8/">Euphoxine</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span>La forêt des lectures</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span>June wonderland</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="http://lekitsunelit.monespace.net/2022/04/28/fruits-basket-la-semaine-du-shojo/">Les lectures du kitsune</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span>Little big dam</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span>La mangasserie</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span>Mirrors</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://nostroblogs.wordpress.com/2022/04/27/a-la-recherche-du-personnage-modele/">Nostroblog</a><br /></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span>Papa lecteur</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://www.lepasseurlunaire.fr/article-shojo/">Le passeur lunaire</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://mapetitemediatheque.fr/2022/04/semaine-shojo-2022-quel-personnage-de-shojo-tinspire-le-plus-quel-personnage-de-shojo-serait-ton-modele/">Ma petite médiathèque</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://swordy.fr/la-semaine-du-shojo-2022-ces-personnages-qui-minspire-le-plus/">Swordy</a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span><a href="https://violettescribbles.com/culture/manga/manga-shojo-josei-10-heroines-qui-mont-le-plus-inspire/">Violette Scribbles</a><br /></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: center;">🌸 </span>Yaoi cast</p><p style="text-align: justify;"><br /></p><p style="text-align: justify;"><br /></p><p style="text-align: justify;"><br /></p>Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-76797009926780610882021-05-02T18:09:00.001+02:002021-05-02T18:09:58.042+02:00[Semaine du Shôjo 2021] - quel shôjo t'invite le plus à l'évasion ?<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoZ1q6yDl1d1Qggc0i246xSikfhJbz-DTLyn3IYmeUXLMlnIrHwySkAzB5eS0GoglB-MHbBncQ7mB1saryybS_GqOukKFt1pZHMAO3l5dJ5PSxUutBKITID8NeDQ5KFRmQfb1g2ggyxG50/s629/semaineshojo21.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoZ1q6yDl1d1Qggc0i246xSikfhJbz-DTLyn3IYmeUXLMlnIrHwySkAzB5eS0GoglB-MHbBncQ7mB1saryybS_GqOukKFt1pZHMAO3l5dJ5PSxUutBKITID8NeDQ5KFRmQfb1g2ggyxG50/s16000/semaineshojo21.jpg" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">Cette année encore, j'ai été invitée par <a href="https://club-shojo.com/" target="_blank">Club Shôjo</a> à répondre à une épineuse question : quel shôjo te donne le plus envie de voyager ou t'invite le plus à l'évasion ? Une interrogation devant laquelle plusieurs lecteurs se seront posés, donnant lieu aux réponses les plus diverses. J'ai fait le choix de vous parler de deux petites pépites malheureusement assez peu connues, qui traitent du voyage sous une forme très poétique.</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><span><a name='more'></a></span><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span>Avant toute chose, si vous n'êtes pas familiers avec la semaine du shôjo, il s'agit d'un événement annuel rassemblant plusieurs blogueurs autour d'une problématique mettant en avant plusieurs facettes de ce genre éditorial et faisant la part belle aux découvertes. Cette année, l'événement se déroulait du 26 avril au 02 mai et vous proposait tout un beau <a href="https://club-shojo.com/semaine-shojo-2021-programme/" target="_blank">programme</a> de petites curiosités, que je vous laisserai le soin de découvrir. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://club-shojo.com/wp-content/files/images/visuel_sds_2021-550x275.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="275" data-original-width="550" height="160" src="https://club-shojo.com/wp-content/files/images/visuel_sds_2021-550x275.png" width="320" /></a></div><div style="text-align: center;"><b><i><span style="color: #e06666; font-family: Amatic SC; font-size: large;"><br /></span></i></b></div><h3 style="text-align: center;"><b><i><span style="color: #e06666; font-family: Amatic SC; font-size: x-large;">Le voyage comme ticket vers la maturité </span></i></b></h3><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span>N'étant malheureusement pas (encore ?) familière avec les <i>shôjos</i> de type <i>isekai</i> où le voyage prend tout son sens, je me suis naturellement tournée vers un petit joyau de ma bibliothèque : <u style="font-weight: bold;">Voyage au bout de l'été</u>. Dans ce <i>one-shot</i> de <i>Keiko NISHI</i> publié aux éditions <i>Akata</i>, nous poursuivons les rêves déchus de deux êtres que peu de choses rassemblent. <i>Makoto</i> est un jeune fonctionnaire bien droit dans ses bottes qui dessine en secret un <i>shôjo manga</i> qu'il peine à assumer, tandis qu'il fait la rencontre d'une jeune lycéenne, <i>Kureha</i> qui semble avoir fugué de chez elle. Ensemble, ils vont se lancer dans un périple vers <i>Tokyo</i> afin de tenter d'atteindre la publication du <i>manga</i> de <i>Makoto</i>, qui a beaucoup touché la jeune fille. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Si le voyage est ici à prendre au premier degré, ce que je trouve plus intéressant encore de relever est la nature de ce voyage et ce qui en découlera sur les protagonistes. Plus que le fait de prendre la route d'un point a à un point b, il est passionnant d'observer les changements qui s'opèrent sur ces deux âmes errantes qui se dénudent petit à petit. Ce voyage de leur ville de départ jusqu'à Tokyo sera pour eux deux réparateur, <i>Kureha</i> trouvant en la présence du <i>mangaka</i> en herbe un point d'attache là où sa famille s'éparpille au vent. Outre le courage de dépasser les préjugés selon lesquels un homme ne peut écrire une romance, <i>Makoto </i>acquerra une certaine validité en tant qu'homme après avoir subi une enfance compliquée aux côtés d'une mère qui aurait préféré avoir un enfant du sexe opposé. Si mon résumé peut amener naturellement le manga vers une vision sombre, il n'en est rien, <i>Keiko NISHI</i> maîtrisant parfaitement son récit afin de le diriger vers une lumière bienfaitrice, à grand renfort d'un humour fin et bon enfant. <br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span>Malgré tout, le couple ne sera pas le seul élément moteur du <i>manga</i>. L'autrice nous fait faire un petit bout de chemin avec le reste de la famille de <i>Kureha</i>, le voyage ayant ici pour fonction de faire des rencontres essentielles, les sortant des cadres bien établis qui entravaient jusqu'ici leur liberté. Le petit frère rencontre par exemple son harceleur, qui au gré de quelques aventures, finit par devenir son ami. La grande sœur, toujours responsable et modèle, aide un criminel à poursuivre sa fuite. Enfin, le grand-père, au coucher de soleil de sa vie, plaque tout afin de retrouver son premier amour. Tous feront un voyage, peu importe la distance, qui changera leur perception de la vie, durant au moins une petite période.</div><h3 style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #e06666; font-family: Amatic SC; font-size: x-large;"><i>Le voyage comme salvation</i></span></h3><div><span style="color: #e06666; font-family: Amatic SC; font-size: x-large;"><i><br /></i></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span>Par cette idée de voyage qui se ferait davantage dans l'esprit que dans le réel, j'ai fait le lien avec un <i>manga</i> d'une autrice qui m'est chère : <u style="font-weight: bold;">Au fil de l'eau</u>, de <i>Aoi IKEBE</i>. Dans ces deux titres, les personnages voyagent (au sens propre comme au figuré) afin d'échapper à un quotidien qui n'est pas tendre avec eux ou ne convient pas à l'éclosion de leurs rêves. Dans les deux cas, il y a un réel contraste entre la beauté de leurs songes, une certaine noblesse d'âme et les lieux où ils résident ou encore leur train de vie. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> Au gré des pages de ce brillant <i>one shot</i>, nous faisons la connaissance de plusieurs habitants d'un petit quartier presque abandonné, se situant tout près d'une rivière particulièrement malodorante. Ici, tous les jours, une vieille femme s'assieds sur un banc, tout près de la crasse, et rêve à de belles choses. Elle qui habite seule dans un minuscule appartement, est habitée de rêveries grandioses, où s'impose son amour pour des romans comme <i>Les quatre filles du Dr. March. </i>Son image se superpose à celle de<i> </i>quatre sœurs et leur servante, dressées de leurs plus belles robes dans une somptueuse demeure et goûtant à longueur de journée aux mets les plus fins. Sortant ainsi de son quotidien peu enviable, elle trouve la paix dans cet univers fictif avec lequel elle se sent curieusement en symbiose, tandis qu'en réalité ses pieds touchent presque les détritus qui l'entourent. Mais si l'on s'accorde un petit pas sur le côté, le lecteur avisé saura comprendre, tout comme la vieille dame, le charme de ce petit coin de verdure bercé par ce qui semblerait presque être un providentiel rayon de lumière.</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"> A travers les autres habitants du quartier insalubre, la <i>mangaka</i> dresse de touchants portraits de rêveurs coincés dans une réalité qui n'est pas à la hauteur de leur somptueuse imagination. Malgré tout, l'autrice parvient à faire de son œuvre quelque chose de très positif, où le voyage de l'esprit tient plusieurs rôles salvateurs. Parfois, il permet de divertir, de sortir de son morne quotidien, de se recentrer sur la beauté des choses (l'exemple avec l'ouvrier, admirant l'éclat du verre sous les sons d'une entreprise intimant aux salariés de faire monter le chiffre d'affaires, est sublimement parlant). En somme, <i>Aoi IKEBE</i> habille le rêve de différentes formes et couleurs, mais ne fait pas de cette forme de voyage une fuite de la réalité. Elle le présente comme une pause, ramenant aux plaisirs simples, ressourçant le voyageur éreinté et permettant de mieux revenir au réel. D'ailleurs, ça n'est pas pour rien que le <i>manga </i>se referme sur... un personnage qui prend l'avion, démontrant que les rêveries sont parfois un beau ticket vers un futur souriant.<br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">☆☾☆</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> </span>Si vous n'avez pas déjà lu ces deux <i>mangas</i>, je vous invite grandement à le faire, car ils m'ont tous deux beaucoup touchés, particulièrement le second et continuent, en pensée, à me faire voyager vers leur ambiance toute particulière. </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> Pour finir, voici la liste des articles des autres participants à l'événement, avec des réponses bien différentes des miennes ! En vous souhaitant une bonne lecture :) </span><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span><a href="http://lesanimesetco.eklablog.fr/" target="_blank">l</a><a href="http://lesanimesetco.eklablog.fr/" target="_blank">es animes & co</a> • <a href="http://antrelouve.canalblog.com/archives/2021/04/30/38948231.html" target="_blank">l'antre de la louve</a> • <a href="https://lesblablasdetachan.wordpress.com/" target="_blank">les blablas de tachan</a> • <a href="https://apprentiotaku.wordpress.com/2021/04/26/semaine-du-shojo-2021-quels-shojo-te-donnent-le-plus-envie-de-voyager-ou-tinvitent-le-plus-a-levasion/" target="_blank">le blog de l'apprenti otaku</a> • <a href="https://brightopenworld.wordpress.com/" target="_blank">bright open world</a> • <a href=" https://fouchapelier.wordpress.com/2021/04/26/la-semaine-du-shojo-chez-le-chapelier-fou-edition-2021/" target="_blank">le chapelier fou</a> • <a href="http://angel-chronicles.eklablog.com/semaine-du-shojo-2021-quel-shojo-te-donne-le-plus-envie-de-voyager-ou--a207516240" target="_blank">les chroniques d'un ange</a> • <a href="https://chroniquesdunvagabond.wordpress.com/" target="_blank">chroniques d'un vagabond</a> • <a href="https://shiawase.wordpress.com/2021/04/28/sujet-annexe-7/" target="_blank">euphoxine</a> • <a href="https://laforetdeslectures.wordpress.com/" target="_blank">la forêt des lectures</a> • <a href="https://www.youtube.com/watch?v=N1pMy5C_Dj4" target="_blank">june wonderland</a> • <a href="http://lekitsunelit.monespace.net/2021/05/01/basara/" target="_blank">les lectures du kitsune</a> • <a href="https://www.leyzia.fr/japon/le-shojo-qui-ma-donne-envie-de-voyager/" target="_blank">leyzia</a> • <a href="http://maruna-critique-tout.eklablog.fr/participation-la-semaine-du-shojo-2021-avec-club-shojo-a207488570" target="_blank">maruna critique tout !</a> • <a href="http://gekkou.free.fr/index.php/manga-la-semaine-du-shojo-2021-quel-shojo-te-donne-le-plus-envie-de-voyager/" target="_blank">mirrors</a> • <a href="http://moonyko.fr/" target="_blank">moonyoko</a> • <a href="https://papalecteur.wordpress.com/2021/04/30/la-semaine-du-shojo-2021/" target="_blank">papa lecteur</a> • <a href="http://mapetitemediatheque.fr/2021/04/semaine-shojo-2021-quels-shojo-te-donnent-le-plus-envie-de-voyager-tinvitent-le-plus-a-levasion/" target="_blank">ma petite médiathèque</a> • <a href="http://seventh.eklablog.com/" target="_blank">seventh</a> • <a href="https://songedunenuitdete.com/2021/04/26/la-semaine-du-shojo-2021-9e-edition/" target="_blank">songe d'une nuit d'été</a> • <a href="https://violettescribbles.com/culture/manga/10-shojos-pour-voyager-et-sevader/" target="_blank">violette's scribbles</a> • <a href="http://yaoi-france.kazeo.com/decouvrez-3-mangas-shojo-bl-qui-invitent-a-l-evasion-a207563386" target="_blank">yaoi cast </a><br /></span></div><i><div><br /></div></i><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><center><table><tbody><tr><td><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg6AL0SsbwWNpP_-rpc2q1HMspLeCdXoNJqE3KfyMGyKowz_kUxCCFeBUBqqsIv5b2hhNSexdw4zRKP2Vo_OxwtmC_cvIKGdmrBM4nALoB0S35IF5NqenhnkA0-EDHi8WmzF4HvEjxdaa-P/s1000/voyage_au_bout_de_l_ete_7824.jpg" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="1000" data-original-width="636" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg6AL0SsbwWNpP_-rpc2q1HMspLeCdXoNJqE3KfyMGyKowz_kUxCCFeBUBqqsIv5b2hhNSexdw4zRKP2Vo_OxwtmC_cvIKGdmrBM4nALoB0S35IF5NqenhnkA0-EDHi8WmzF4HvEjxdaa-P/s200/voyage_au_bout_de_l_ete_7824.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i style="text-align: justify;">Voyage au bout de l'été, <br />manga de Keiko NISHI (2008),<br /> disponible en France aux éditions Akata (6€99)</i></td></tr></tbody></table></td><td><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSmPBeIVMFKb67oANVZuzzRVoscZzJpop7n_6bBMzA_3HOHqGEQP8NGSwyPkwo69JErvt2z9uo6nP-6pLimaZhlt3H-FzrwjLNnzh1iphV9ZTNo_WertZfrAE2vux0zHXCSGlsm-qBQXX5/s565/au-fil-de-leau-komikku.jpg" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto; padding: 1em 0px; text-align: center;"><img alt="" border="0" data-original-height="565" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSmPBeIVMFKb67oANVZuzzRVoscZzJpop7n_6bBMzA_3HOHqGEQP8NGSwyPkwo69JErvt2z9uo6nP-6pLimaZhlt3H-FzrwjLNnzh1iphV9ZTNo_WertZfrAE2vux0zHXCSGlsm-qBQXX5/s200/au-fil-de-leau-komikku.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i style="text-align: justify;">Au fil de l'eau, <br />manga de Aoi IKEBE (2012),<br /> disponible en France aux éditions Komikku (16€00) </i></td></tr></tbody></table></td></tr></tbody></table><i style="text-align: left;"><div style="text-align: justify;"><i> </i></div></i><div style="text-align: justify;"><br /></div></center><br /></div></div>
Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-17906285164398826622020-12-10T18:35:00.004+01:002020-12-15T11:33:55.752+01:00Calendrier de l'Hiver 2020 - partie II<p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKPj9z25PLTg6MPWstRUBHXFFwYE1-lGx-fxaa6hk0qtT8bnasEH9T4S3zCabTiExQWXFEzSWCN6QqZ-O8yLrq1ExSucR-oHSORpojdUsIbw4jOdvtUVysueRJ8IqrsZ_Ur_d-VR4AKrLY/s629/Calendrier+2.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhKPj9z25PLTg6MPWstRUBHXFFwYE1-lGx-fxaa6hk0qtT8bnasEH9T4S3zCabTiExQWXFEzSWCN6QqZ-O8yLrq1ExSucR-oHSORpojdUsIbw4jOdvtUVysueRJ8IqrsZ_Ur_d-VR4AKrLY/s16000/Calendrier+2.jpg" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><i>petit tour d'horizon de ce qui aura ravi mon cœur en 2020</i></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><i><br /></i></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span><a name='more'></a></span><i><br /></i></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><span> Voici venue la s</span>econde partie de mon (gros) retour sur l'année qui est sur le point de s'achever (entendez-vous le soupir de soulagement collectif ?). Heureusement, les livres sont toujours là pour nous faire voyager, nous émerveiller, étendre notre imagination et donner la clé permettant d'accéder à des possibilités infinies, que ce soit l'ouverture à de nouvelles passions ou bien nous permettre de vivre de grandes émotions, par le biais d'un tout petit ouvrage. Une magie qui aura sans doute aidé beaucoup d'entre nous à passer ces jours curieux dans de meilleures auspices. Je profite donc de ce moment pour vous présenter à nouveaux sept titres ayant allumé des petites étoiles dans mes mirettes. </div><p style="clear: both; text-align: center;"><br /></p><p style="clear: both; text-align: center;"><span style="color: #8e7cc3; font-family: Quicksand; font-size: x-large;"><u><b>Jour 7 : HAPPY MANIA</b></u></span></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0lvuPUsj9eLpGLwCldT7S_lSQtQ5m6V3zl36Xspi4P6SEzWGXsaKJmO4zK_DflRy_1bLwQT4B6_DF4_LUw0CT43i0h2Q-uiPzyV6yUdC9JrO_EeHrFQYFci_0AgxC9WseBH4CkfJYjsVZ/s629/Jour+7.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0lvuPUsj9eLpGLwCldT7S_lSQtQ5m6V3zl36Xspi4P6SEzWGXsaKJmO4zK_DflRy_1bLwQT4B6_DF4_LUw0CT43i0h2Q-uiPzyV6yUdC9JrO_EeHrFQYFci_0AgxC9WseBH4CkfJYjsVZ/s16000/Jour+7.jpg" /></a><br /></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de ANNO MOYOCO, publié aux éditions Pika et terminé en 8 volumes (commercialisation stoppée)<br /><br /></i></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><span> </span>A 24 ans, <i>Shigeta </i>n'a jamais réussi à se faire un "vrai" petit ami qui lui revient après un soir et elle s'en lamente sans cesse. Trouver le prince charmant est pour elle une véritable obsession. Elle virevolte et s'agite sans réaliser que <i>Takahashi</i>, son collègue au physique malheureusement peu attrayant, aurait pourtant toutes les qualités de celui qu'elle recherche si durement. </div><div style="text-align: justify;"><span><br /></span></div><div style="text-align: justify;"> Vous pourrez chercher dans tout le catalogue français dans toute sa diversité, vous ne trouverez peut-être pas plus (génialement) <i>cash</i> que <i>Moyoco Anno</i>. J'adore cette autrice de tout mon cœur, aussi, je ne me suis pas beaucoup mouillée avec ma lecture de <u style="font-weight: bold;">Happy Mania</u>, joyeux bordel amoureux qui m'aura parfois presque fait larguer des larmes tellement j'ai ri ! Si le tout est un peu répétitif (<i>Shigeta </i>pense avoir trouvé l'Amour et les désillusions s'enchaînent comme des petits beurres à l'heure du goûter), cela ne m'a pas empêchée d'enchaîner les tomes sans crainte, l'autrice maîtrisant parfaitement son petit théâtre de marionnettes qui n'iront visiblement pas très loin dans leur recherche de bonheur, pour notre plus grand plaisir. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Je ne vais pas mâcher mes mots, <i>Shigeta </i>est un personnage parfaitement insupportable, la femme à laquelle on a peur de ressembler, mais je l'ai adorée. Son caractère impertinent et naïf m'aura provoqué bien des surprises et des régals. Un <i>manga </i>délibérément provocateur sur le sexe, la solitude et autres galères, mais surtout sur l'amour. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><b><span style="color: #8e7cc3; font-family: Quicksand; font-size: x-large;"><u>Jour 8 : SOLANIN</u></span></b></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh649e0K30Iz354KBC8l9AERneZ97ljMVcobHRyqELNO88rosLlDgEHb73U2eQFIuap4xcn-wA0PvZlAXI5M8L5bMUrnCQ4gec2IW-YPfP27_Oi4Vy5v4sc4tGQpmgVoGTx5AAefhqDfEuK/s629/Jour+8.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh649e0K30Iz354KBC8l9AERneZ97ljMVcobHRyqELNO88rosLlDgEHb73U2eQFIuap4xcn-wA0PvZlAXI5M8L5bMUrnCQ4gec2IW-YPfP27_Oi4Vy5v4sc4tGQpmgVoGTx5AAefhqDfEuK/s16000/Jour+8.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de ASANO Inio, publié aux éditions Kana et terminé en 1 volume (19€90)</i></td></tr></tbody></table><br /><div style="text-align: justify;"> <i>Meiko</i> et <i>Naruo</i> habitent un petit appartement dans lequel ils cohabitent avec leurs rêves périmés et leurs désillusions. Du jour au lendemain, <i>Meiko</i> va donner sa démission à son travail, sans trop de raison, et décide de se laisser du temps pour elle. Ce geste irréfléchi va donner l'envie à <i>Naruo</i> de reprendre en main ses vieux rêves. </div><div style="text-align: justify;"><span><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Je pense que, comme certaines rencontres dans la vie, il existe un lien invisible et mystérieux entre une personne et un ouvrage; un lien permettant aux deux parties de se retrouver à un moment significatif, qui fait la différence. D'une façon presque mystique, <u style="font-weight: bold;">Solanin</u> est arrivé dans ma vie pile au bon moment et est devenu une lecture très chère à mon cœur; début de mon admiration sans borne, comme beaucoup de ses lecteurs d'ailleurs, pour le maître <i>Inio Asano</i>. Ce livre m'est arrivé entre les mains comme un délicieux réconfort. Après m'être posée les mêmes questions que <i>Meiko</i> sur le travail, ma vie actuelle et plein d'autres choses contraignantes, voir le personnage prendre son quotidien fermement dans ses mains, afin d'en faire quelque chose de ferme, personnel, de réel, a eu un effet quasiment cathartique sur moi-même. <u style="font-weight: bold;">Solanin</u> a assurément remué quelque chose en moi et étrangement, bien que le livre ne soit pas vraiment ce que l'on peut qualifier de joyeux, sa tonalité positive latente m'a fait du bien. Je me suis sentie très proche de <i>Meiko</i> dans plusieurs aspects de sa personnalité, ce qui a évidemment accentué mon affection pour le titre. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Avec une force brute qu'on lui cède bien volontiers, le <i>mangaka</i> s'empare de beaucoup de thèmes forts sur la vie en société, la difficulté de s'insérer à celle-ci alors qu'elle nous parait pourtant si hostile, le désir d'exprimer sa vraie nature dans un monde qui favorise les faux-semblants. Puis, surtout, il s'agit d'un <i>manga</i> sur les difficultés que l'on peut avoir à se laisser grandir. Parce que, au fond, qui sait à quoi devrait ressembler la "véritable" vie d'adulte ? A travers le couple très touchant que forment <i>Meiko</i> et <i>Taneda </i>(un personnage dont les réflexions sur une vie paisible m'ont beaucoup remuée), le lecteur s'interroge et rit aussi beaucoup. Personnellement, j'irais jusqu'à dire que j'ai <i>vécu</i> le livre, parce que j'y <i>étais</i>, je passais par tout ça. Les personnages secondaires apportent également leurs lots d'artifices au <i>manga</i>, l'auteur semblant ici signer son amour pour les vies "décalées" mais dans lesquelles tout le monde peut pourtant se reconnaître. Je suis très admirative de la façon dont le <i>mangaka</i> parvient à faire sonner ses notes si dures d'une façon que l'on perçoit pourtant plutôt positivement. Le <i>manga</i> m'a donné l'étrange envie de me dépasser. Un chef d'œuvre absolu, mêlant rêve et désillusion à la perfection. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #8e7cc3; font-family: Quicksand; font-size: x-large;"><u><b>Jour 9 : SENGO </b></u></span></div><div style="text-align: center;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeqHrKJIfk4MdmL5zgrVSlVWr2J42cN1WpkRVUyAhjbTOeOaOfCIgqNmaIwh7z3PiOFuEO6_4gtCQ7V6MexTrm-HcKRrXWL7dERoly-PPasL7Pm5DapR2J33dvDwtFJG80D88CYzmHNLQC/s629/Jour+9.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeqHrKJIfk4MdmL5zgrVSlVWr2J42cN1WpkRVUyAhjbTOeOaOfCIgqNmaIwh7z3PiOFuEO6_4gtCQ7V6MexTrm-HcKRrXWL7dERoly-PPasL7Pm5DapR2J33dvDwtFJG80D88CYzmHNLQC/s16000/Jour+9.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de YAMADA Sansuke, 4 tomes publiés aux éditions Casterman (en cours - 9€95 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>1945. C'est dans un Japon dévasté et occupé par l'armée américaine que se retrouvent par hasard le turbulant<span> </span><i>Kadomatsu</i> et le désabusé <i>Toku. </i>Entre combines et misère, les deux ex-soldats tentent de survivre et de retrouver un semblant de vie. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Étant curieusement adepte des récits touchant de près ou de loin à la seconde guerre mondiale (ne me demandez pas pourquoi, il s'agit d'une affection pour cette époque que j'ai du mal à expliquer moi-même), je me voyais difficilement faire l'impasse sur le très bon <u style="font-weight: bold;">Sengo</u>, un titre encensé par de nombreux lecteurs et professionnels du milieu. Et effectivement, le <i>manga</i> de <i>Sansuke Yamada</i> est extrêmement bon, son amertume laissant un goût d'excellence en bouche. Le livre se divise de façon étrange entre un humour très bien fichu et des scènes qui se veulent, logiquement vu le contexte, très crues et difficiles à lire. Le <i>mangaka</i> conserve ce décalage avec un certain talent, le second tome en étant un exemple particulièrement choquant, à mon sens. Les deux hommes étant hantés par leur passé militaire, chacun de leur façon, on suit en même temps que leur parcours, celui de leurs fantômes. Les deux personnalités sont attachantes dans leur genre et offrent un panel de scènes plutôt mémorables.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Un point que j'apprécie est la place que procure l'auteur à la femme de cette époque. Évidement, on retrouve ici des figures victimes de leur situation; forcées à avoir recours à la prostitution pour beaucoup; des histoires tristement vues et revues, mais qui procurent toujours beaucoup d'émotions, d'autant plus que l'auteur en fait de véritables guerrières au tempérament imposant le respect. Un <i>manga</i> qui dénote réellement du paysage actuel en France et qui séduira les amateurs de comédie au même titre que les amoureux de tragédie. <br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #8e7cc3; font-family: Quicksand; font-size: x-large;"><u><b>Jour 10 : ARIA </b></u></span><br /></div><div style="text-align: justify;"><span><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiehxB2myVlfs-8yih-3hcZa6RYrQacNilTlH9ojU3GcTVhVDVvaTCVBV2FfCm0DHkandLn82Wu7C-I9JoVt6WwHJ3gYAFbhcxzabNIGFfOWMkSgtCHZa2H6H9rnk1Q_sFxOH9Kp-VhRh79/s629/Jour+10.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiehxB2myVlfs-8yih-3hcZa6RYrQacNilTlH9ojU3GcTVhVDVvaTCVBV2FfCm0DHkandLn82Wu7C-I9JoVt6WwHJ3gYAFbhcxzabNIGFfOWMkSgtCHZa2H6H9rnk1Q_sFxOH9Kp-VhRh79/s16000/Jour+10.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de AMANO Kozue, 5 tomes publiés aux éditions Ki-oon (en cours - 15€00 l'unité)<br /><br /><br /></i></td></tr></tbody></table> Nous sommes au XIVe siècle, alors que la planète Mars est désormais habitable et abrite une magnifique cité conçue sur le modèle de Venise. C'est ici que <i>Akari</i>, d'origine terrestre, débarque afin d'apprendre le métier de ondine, celle qui navigue en gondole sur les fleuves de <i>Neo-Venise</i> et montre les richesses de la ville aux touristes venus du monde entier. Pour débuter son apprentissage, elle rejoint l'agence Aria, une société tenue par Alicia, qui n'est autre que l'ondine la plus talentueuse de la ville... <br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><div> Quelle merveille qu'est <u style="font-weight: bold;">Aria</u> en ces temps troubles pour nous tous. Avec dextérité, curiosité et bienveillance, <i>Kozue Amano</i> en fait un <i>manga</i> qui est à mon sens sans aucun défaut, si ce n'est qu'il nous habite durant des jours (ce qui n'est pas un réel défaut, vous en conviendrez, c'est au contraire la marque des grands) de par l'émerveillement qu'il procure. Je connaissais déjà l'autrice par l'adorable <u style="font-weight: bold;">Amanchu</u>, une autre petite pépite qui devrait être lue de tous, mais je trouve que son talent est encore plus déployé avec ce titre-ci. Par le biais de son héroïne qui découvre, au même rythme que le lecteur, le renouveau de la planète Mars, nous sommes plongés avec émerveillement dans cet univers élégant, inspiré d'un Venise qui ferait naître des étoiles dans les yeux de plus d'un. J'admire réellement cette autrice pour son talent à nous faire apprécier les petites choses de la vie, celles que l'on vit tellement souvent que l'on néglige par la force du temps, mais qui regorgent pourtant de beauté. À chaque fois que je termine un tome de <u style="font-weight: bold;">Aria</u>, l'envie d'honorer et de vivre à leur juste valeur ces petits moments quotidiens, d'apparence insignifiants, mais pourtant si riches de beauté, me saisit. C'est peut-être idiot ou naïf, mais ce <i>manga</i> me donne envie, sans répit, de profiter de la vie et d'apprécier tout ce que la nature nous offre. </div><div><br /></div><div> C'est avec tout autant d'élégance et d'une pincée de poésie que la <i>mangaka</i> dépeint le métier d'ondine, ainsi que le quotidien de nos petites héroïnes, qui brillent chacune par une personnalité bien distincte. Pour parler plus simplement, elles sont toutes adorables, attachantes et suivre leurs parcours et rêves est un délice qui se savoure au fil des pages de la très jolie édition qu'a conçu les éditions <i>ki-oon</i>. De plus, l'univers crée regorge de surprises qui laisse un délicieux arôme de fête flotter et qui vous enivrera jusqu'à vous laisser aux portes de <i>Neo-Venise</i> et ce, au rythme et merveilles cachées des saisons. À offrir et se faire offrir cette année par le vieux bonhomme en rouge, sans hésiter. <br /></div><div><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #8e7cc3; font-family: Quicksand; font-size: x-large;"><u><b>Jour 11 : LA LANTERNE DE NYX</b></u></span></div><div><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp0gZv4cdt4eqfs53eIw7kPGKjr8CMIOIQi-t2vmkzZ0fCLD4MsMS29IGcHwFv2CgKlhZ14H7Erx1K_hs5TbIsJATrVBdJYcIJsMUya_xAAlzbcbFMxRSebNO2UdRN02PdAEDTwVfkfPDb/s629/Jour+11.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhp0gZv4cdt4eqfs53eIw7kPGKjr8CMIOIQi-t2vmkzZ0fCLD4MsMS29IGcHwFv2CgKlhZ14H7Erx1K_hs5TbIsJATrVBdJYcIJsMUya_xAAlzbcbFMxRSebNO2UdRN02PdAEDTwVfkfPDb/s16000/Jour+11.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de TAKHAMA Kan, 5 tomes publiés aux éditions Glénat (en cours - 10€75 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><br /><span> </span>1878, tandis que la France est à l'aube de l'exposition universelle, le Japon s'ouvre au reste du monde après sa fermeture de près de 200 ans. A <i>Nagasaki</i> s'entrechoquent ainsi des cultures et œuvres d'art si différentes de ce qu'elle connait que <i>Miyo</i>, orpheline ayant un étrange pouvoir de clairvoyance sur les objets qu'elle touche, en a la tête qui tourne. Employée dans une petite boutique d'import, elle découvre un univers qui la conduira à l'autre bout du monde... </div><div style="text-align: justify;"><br /> Si les débuts m'avaient plu sans pour autant me convaincre totalement, je trouve que <u style="font-weight: bold;">La lanterne de Nyx</u> est de ces titres qui s'apprécient et prospèrent au fur et à mesure de leur progression et de l'attachement grandissant que l'on éprouve envers ses personnages. Bref, c'est un titre qui a su se bonifier (bien que, soyons honnête, il est très bon dès ses premières pages, j'avais peut-être de trop grandes attentes) avec le temps et est désormais devenue une lecture dont j'attends la suite et dénouement prochain avec impatience. En effet, le titre est riche aussi bien d'un point de vue scénaristique que culturel. L'autrice dépeint avec passion et énormément de connaissances le Japon de cette époque, enrichissant le livre d'annotations diverses et très éclairées sur des objets ou lieux clés de l'histoire, transformant la série en un véritable puits de culture, avec le tour de force de n'être ni assommant, ni trop complexe pour qui tout ça n'intéresse pas vraiment (ce qui, au vu du talent de <i>Takahama</i>, m'étonnerait beaucoup). Ainsi, l'héroïne voyage et emmène un lecteur à la curiosité grandissante dans sa valise.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Mais <i>Kan Takahama</i> ne compte pas s'arrêter à un ouvrage instructif, elle compte bien ravir notre cœur en même temps, par le biais de protagonistes attachants oui, mais surtout avec un relief à faire pâlir les plus structures les plus réussies. Prenons l'exemple de <i>Miyo</i>, une héroïne somme toute ordinaire, peu de caractère. Au fil des pages, son "don" transforme notre vision du personnage, sa volonté de changer, qui échappe à sa compréhension peut-être, en fait une autre et fait compatir le lecteur. Si son patron, l'adorable <i>Momo</i> a aussi de bons arguments pour plaire, dernièrement, c'est la forte tête Judith et sa <i>back-story</i> très émouvante qui m'aura définitivement fait adopter le titre. D'un naturel très romantique, inutile de préciser que les histoires entremêlées de ces personnages complexes m'auront séduite. Une réussite sur bien des points. <br /></div><p></p>Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-89241989367764898702020-12-01T18:53:00.040+01:002020-12-11T16:52:41.469+01:00Calendrier de l'Hiver 2020 - partie I<div><div style="text-align: left;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><i><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEju5p8bvf9uFfr1SpuVADSoSbxu1uFl_XfOf49icq99a8hB6JsFznl17W0AuX8TPgJZWTIRqhvZVyaBZrVLPHV2Vg1uUSUWVZ-uZtvyqqo7GBChiM2fKeRJCheuMNTO_QUj4QvCiJSV0356/s629/Calendrier+1.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="320" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEju5p8bvf9uFfr1SpuVADSoSbxu1uFl_XfOf49icq99a8hB6JsFznl17W0AuX8TPgJZWTIRqhvZVyaBZrVLPHV2Vg1uUSUWVZ-uZtvyqqo7GBChiM2fKeRJCheuMNTO_QUj4QvCiJSV0356/s16000/Calendrier+1.jpg" /></a></div><br /></i><i>petit tour d'horizon de ce qui a ravi mon cœur en 2020</i></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"></div><a name='more'></a><div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;"><br /></div></div></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Cela faisait longtemps que je n'avais pas touché à ce blog qui, sans le voir venir, a fêté ses dix ans le mois dernier, sous une poussière que je n'avais pas l'habitude de laisser vivre sa vie. Le manque de temps dû au travail et les réseaux sociaux - tous deux coupables de beaucoup de meurtres de blogs, je pense -, sur lesquels il est plus simple de partager rapidement, ont acté ma décision de prendre du recul avec mes écrits, qui se font moins spontanés qu'auparavant, un fait que j'avais du mal à supporter. L'écriture a toujours été pour moi un exercice aussi libérateur que difficile, mais c'est un "art" que j'aime sincèrement et auquel il m'est impossible de renoncer. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>C'est pourquoi, bien qu'en tâtonnant, j'ai eu envie de me relancer dans cette activité si plaisante en vous parlant de tous les livres qui ont eu un impact sur la personne que je suis désormais, qui m'ont fait ressentir beaucoup d'émotions cette année et sur lesquelles j'avais des choses à partager. N'hésitez-pas, (<i>comme au bon vieux temps !)</i>, à me dire vos ressentis, positifs ou négatifs, sur les titres dont je parle ou alors de me parler de vos propres coups de cœur ! La section commentaires vous est ouverte ! </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> À l'instar de beaucoup de blogueurs ces jours-ci, cet article sera mis à jour quotidiennement tel un calendrier de l'avent. A noter qu'il ne s'agit pas d'un top, l'ordre des titres étant complétement aléatoire. Les titres sont choisis en fonction de mes propres lectures qui ne sont donc par conséquent pas forcément très fraiches, mais n'ont rien perdu de leur qualité. </span>Si vous êtes arrivés jusqu'ici, félicitations ! Nous pouvons commencer la sélection : </div><div style="text-align: justify;"><span><span style="color: #e06666;"><br /></span></span></div><div style="text-align: center;"><b><span style="color: #e06666; font-family: Quicksand; font-size: large;"><u>Jour 1 : HONEY & CLOVER</u></span></b></div><div style="text-align: center;"><b><span style="color: #e06666; font-family: Quicksand; font-size: large;"><u><br /></u></span></b></div><div style="text-align: center;"><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZ9eEKMPL_CdvzqHXrn9DWEQTKIgMlfxqD8PPJENYgz3G8otuiey9aJVI5ueDQIPwAZTMvuOuldOd7gjdcz2rGBdKBcj13m4Ai7_ke9p9lWfCZrjDEigTUoGr4EiLg_3WeVy7ZObhOGd77/s629/jour+1.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZ9eEKMPL_CdvzqHXrn9DWEQTKIgMlfxqD8PPJENYgz3G8otuiey9aJVI5ueDQIPwAZTMvuOuldOd7gjdcz2rGBdKBcj13m4Ai7_ke9p9lWfCZrjDEigTUoGr4EiLg_3WeVy7ZObhOGd77/s16000/jour+1.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de UMINO Chica, disponible aux éditions Kana et terminée en 10 tomes (6€85 l'unité)</i></td></tr></tbody></table></div><div style="text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><i><span> </span>Takemoto</i> est un jeune étudiant en art un peu paumé. Perdu entre ce qu'il veut devenir et ce qu'il souhaiterait produire, il ne semble pas trouver sa place dans cette université aux mœurs ultra-compétitives. Sa rencontre avec <i>Hagumi</i>, peintre prodige, va bouleverser sa vie, son cœur et ses envies et tout remettre en question. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Aujourd'hui connue du public pour l'immense <u><b>March comes in like a lion</b></u>, <i>Chica Umino</i> a écrit, quelques années auparavant, un petit bijou à bien des points de vue qui est, vous l'aurez compris, <u style="font-weight: bold;">Honey and clover</u>. A la fois carnet de parcours initiatique, récit de vie d'adolescents en proie au monstre de l'amour, dévorant tout et n'importe qui sur son passage, contemplation sur l'art et le poids qu'il peut peser sur qui sera assez courageux pour tenter de dresser cet ouragan; la série répondra à toutes vos envies. Mélange savoureux des genres, elle est aussi légère que parfois très dure et le lecteur se retrouve, sans y penser, à réfléchir à beaucoup de choses sur sa vie, quand bien même l'art n'est pas un milieu qui fait partie de son existence. Ce qui m'a le plus surprise, c'est ce regard très terre-à-terre sur l'art dans toute sa beauté et bienfaits, mais aussi la pression écrasante qu'elle peut exercer sur les artistes qui se cherchent encore, aussi bien que sur ceux ayant déjà rencontré le succès. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Et avec quel style l'autrice nous raconte son histoire ! C'est avec beaucoup de poésie, de nostalgie et une bonne grosse pincée d'humour que la <i>mangaka </i>a crée ce que j'ai trouvé être un livre sans défaut. Je me suis prise très rapidement d'affection pour ces personnages désœuvrés - forcément touchés par eux car, bien qu'insérée dans la vie active, je me sens toujours à la recherche de mon avenir rêvé, tout comme eux. Pendant plusieurs mois, la série aura été ce que j'aime à l'appeler : "une lecture doudou" qui m'a fait beaucoup de bien, émue de la bonne façon. En refermant le dernier volume, j'ai pu poser la série aux côtés de très grandes œuvres, de celles qui refaçonnent une vie, pour le meilleur. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #e06666; font-family: Quicksand; font-size: large;"><b><u>Jour 2 : RIVER'S EDGE</u></b></span></div><div style="text-align: center;"><span style="font-family: Quicksand; font-size: large;"><br /></span></div><table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1C_0izyl6gACpDhbzs30xPfNlDaeCl_Q3mfUiSDFQWqyuVW2T86pTMsXyzAtIUoTLjBuNLbf-KnO6g4eujL7oSpb3MCfR2NNXQK3cItJk0_DcvNUh807seAlczgYKq1cmcprEQ2FqFwbN/s629/jour+2.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1C_0izyl6gACpDhbzs30xPfNlDaeCl_Q3mfUiSDFQWqyuVW2T86pTMsXyzAtIUoTLjBuNLbf-KnO6g4eujL7oSpb3MCfR2NNXQK3cItJk0_DcvNUh807seAlczgYKq1cmcprEQ2FqFwbN/s16000/jour+2.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de OKAZAKI Kyoko, publié aux éditions Casterman et terminé en 1 volume (12€95)<br /></i><br /><div style="text-align: justify;"><br /></div></td></tr></tbody></table><div style="text-align: justify;"><i style="font-style: italic;"><span> </span>Haruna</i><i style="font-style: italic;">, Yamada </i>et<i style="font-style: italic;"> Kozue</i> sont trois adolescents qui, d'apparence, n'ont rien en commun, si ce n'est un mode de vie dans lequel ils ne se sentent pas à l'aise. C'est la découverte d'un cadavre, pourrissant sur les berges près de leur lycée, qui va curieusement les rapprocher. Cette morbide trouvaille sera l'élément déclencheur de leur construction aussi bien que de leur destruction. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Il est difficile de mettre des mots sur le ressenti que l'on peut avoir en lisant un ouvrage de <i>Kyoko Okazaki</i>. Il s'agit plutôt d'une expérience à vivre. Une expérience constituée d'un cadavre, de sexualités troubles et chamboulées, de pulsions violentes et morbides. Parfois d'émotions si fortes qu'elles représentent un véritable "tout". Puis parfois, un blanc, le silence, "rien". <i>Mangaka</i> encore maître absolu des années plus tard, <i>Okazaki</i> ne cesse de me donner, <i>manga</i> après <i>manga</i>, de gigantesques claques, pour lesquelles je tends sans arrêt volontiers la joue. Je trouve qu'elle dispose d'un talent sans égal pour représenter une jeunesse tordue, surtout sous son jour le moins plaisant, celui qu'on cache aux autres et aussi à soi-même. Une adolescence tournée vers l'autodestruction. Le dessin, le découpage, les décors et son utilisation du noir et blanc, tout est propice à donner au <i>manga</i> une ambiance indéfinissable qui donne au lecteur presque un sentiment de malaise de s'y sentir si bien. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Malgré le caractère très "brut" du livre, l'autrice parvient à rendre ces êtres désillusionnés par la vie et sans ambition envers elle, très touchants. Je trouve le personnage de <i>Haruna</i> particulièrement réussi, avec la résignation et la curiosité comme sentiments moteurs. Une perle qui ne vous laissera pas indifférent. <br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: center;"><b><u><span style="color: #e06666; font-family: Quicksand; font-size: large;">Jour 3 : MAISON IKKOKU</span></u></b></div><div style="text-align: center;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFp-mXBas8OA8u6Aj-ZpX9MB5nRTODvE8CaP3l7BdhwGwaB2Oj_qTDAecU4lCmrRrt3iY9iOkAwe5baOIhMISuxSrafG6wmV9jFgx11J5b8BNemt0X9dOb08XblMZUVtUB6rfTJ8b1nrxg/s629/jour+3.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFp-mXBas8OA8u6Aj-ZpX9MB5nRTODvE8CaP3l7BdhwGwaB2Oj_qTDAecU4lCmrRrt3iY9iOkAwe5baOIhMISuxSrafG6wmV9jFgx11J5b8BNemt0X9dOb08XblMZUVtUB6rfTJ8b1nrxg/s16000/jour+3.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de TAKAHASHI Rumiko, 5 tomes publiés aux éditions Delcourt/Tonkam (en cours - 12€50 l'unité)</i></td></tr></tbody></table><div style="text-align: center;"><br /></div><div style="text-align: center;"><div style="text-align: justify;"> <i> Godai</i> est un jeune étudiant raté vivant dans une pension un peu délabrée et surtout remplie de voisins envahissants. Alors qu'il s'apprête à tout quitter, il fait la rencontre de la nouvelle gérante, <i>Kyoko,</i> dont le charme va immédiatement l'envouter... <br /></div><div style="text-align: justify;"><span><br /></span></div><div style="text-align: justify;"> Après m'avoir amusée avec son irrésistible <u style="font-weight: bold;">Ranma 1/2</u>, j'avais forcément envie de renouveler ma confiance envers <i>Takahashi</i> avec cette nouvelle édition d'un titre souvent décrit comme étant un incontournable des années quatre-vingt. Mes attentes n'ont pas été déçues, la <i>mangaka</i> maitrisant parfaitement son humour ainsi que le quotidien souvent mouvementé de ses héros. J'y ai retrouvé non sans plaisir tous les éléments qui m'avaient conquise dans mes précédentes lectures; avec un schéma toujours similaire, des personnages taillés dans le même moule, l'autrice gère malgré tout ce petit monde de sorte à ce que la magie opère à chaque fois, sans lassitude. Victime de nostalgie, j'ai encore plus apprécié ce titre grâce aux similitudes que j'y ai trouvé avec <u style="font-weight: bold;">Love Hina</u>, un des livres qui a marqué mon entrée dans l'univers du <i>manga</i>. On ne se mentira toutefois pas, il faut parfois y adopter un regard indulgent - il est après tout vieux de plus de quarante ans, et survoler les quelques blagues sexistes qui se casseraient assurément la figure de nos jours. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Il serait toutefois dommage de s'y arrêter car si le personnage de <i>Godai</i> est un condensé de ce qui me déplait dans ce genre de comédie romantique, la jolie gérante, <i>Kyoko</i> m'a conquise. Sous un caractère très mignon et volontaire, l'autrice a parsemé le cœur de l'héroïne de petites ronces la rendant inaccessible, mais d'autant plus attachante. Sous un vernis épais de blagues rigolotes, la protagoniste ajoute un peu de farine au gâteau par les épreuves qu'elle vit afin de surmonter son deuil. Une jolie surprise pour un <i>manga</i> toujours très agréable à lire.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="color: #e06666; font-family: Quicksand; font-size: large;"><b><u>Jour 4 : LADY SNOWBLOOD</u></b></span><br /></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1c-sERosDN2dXFI3Gcxs9KGNXBcuTGQu1sQbSbLX5d_xWSj4q6Rb3OccC4L-aeovUOFKDadsdRWR_Aj7UxuzRkiiN-uSOBweD_5471Wc-2xt8m1IdWx2ojB8CX_JPWqcYV-XpY-D8tmiz/s629/jour+4.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1c-sERosDN2dXFI3Gcxs9KGNXBcuTGQu1sQbSbLX5d_xWSj4q6Rb3OccC4L-aeovUOFKDadsdRWR_Aj7UxuzRkiiN-uSOBweD_5471Wc-2xt8m1IdWx2ojB8CX_JPWqcYV-XpY-D8tmiz/s16000/jour+4.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de KAMIMURA Kazuo et KOIKE Kazuo, publié aux éditions Kana et terminé en un volume (19€99)</i></td></tr></tbody></table><br /><div style="text-align: justify;"><div><span> </span>Après avoir été enfermée à vie à tort, <i>Sayo</i> n'a plus qu'un désir : engendrer l'instrument de sa vengeance, un enfant dépourvu d'émotion et prêt à tout pour rétablir l'honneur de sa mère. Des années plus tard, armée de son redoutable maniement de sabre ainsi que de son charme mortel, <i>Yuki</i> suit le funeste chemin tracé par sa mère…</div><div><br /></div><div> D'ordinaire, j'ai une large préférence pour les titres où <i>Kamimura</i> œuvre seul, préférant ses notes de poésie lyrique qui ont toujours su me toucher comme il le fallait; tandis que je lui trouve une violence moins à mon goût, lorsqu'il est accompagné. Ce titre réalisé avec <i>Kazuo Koike</i> ne fait donc pas entorse à la règle; véritable périple au cœur de la férocité même, enrobée sous un emballage de sensualité qui se trouve sublimée par le personnage de <i>Yuki</i>, une créature fascinante par bien des égards. A mes yeux, ça n'est pas tant pour son scénario que le livre vaut le coup, mais bien pour sa mise en scène, cette sublimation de l'animosité à travers le regard hypnotique de son héroïne, un personnage très plaisant à suivre bien que peu attachant humainement parlant. Visuellement, <u><b>Lady Snowblood </b></u>est un régal qu'il serait dommage de rater, que vous soyez simplement amateur de cet art ou si vous souhaitez parfaire votre culture à l'aide de ce classique qui n'a pas manqué d'inspirer grand nombre d'œuvres par la suite.</div><div><br /></div><div><br /></div><div style="text-align: center;"><b><u><span style="color: #e06666; font-family: Quicksand; font-size: large;">Jour 5 : LE MONDE SELON SETCHAN</span></u></b></div><div style="text-align: center;"><b><u><span style="color: #e06666; font-family: Quicksand; font-size: large;"><br /></span></u></b></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghcpkuHUEzPWUfPtA-9_ODWKn_uQrKmpn7hjocDSjXvbpjetck2ocIrL3K_y7ljmFwB8gzRTlUI_v7yl305GEzD0CLDux3uOQfqMs1S7UYNdEw-ziA87h_VN1cX5cb-EX1csnFYZE2Mb7I/s629/Jour+5.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghcpkuHUEzPWUfPtA-9_ODWKn_uQrKmpn7hjocDSjXvbpjetck2ocIrL3K_y7ljmFwB8gzRTlUI_v7yl305GEzD0CLDux3uOQfqMs1S7UYNdEw-ziA87h_VN1cX5cb-EX1csnFYZE2Mb7I/s16000/Jour+5.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de OSHIMA Tomoko, publié aux éditions Le lézard noir et terminé en un volume (11€00)</i></td></tr></tbody></table><div><br /></div><div><div> <span> </span>Dans un Japon alternatif en proie à une jeunesse révolutionnaire s'exprimant à travers des manifestations dangereuses, deux êtres restent dans les marges. D'un côté <i>Setchan</i>, qui ne vit que pour des histoires sans lendemain. De l'autre <i>Akkun</i>, un étudiant ordinaire que sa rencontre avec <i>Setchan</i> va bouleverser. </div><div><br /></div><div> Comme beaucoup de lecteurs à sa sortie, <i>Setchan</i> m'a très rapidement conquise. Pour tout amateur des travaux de la géniale <i>Kyoko Okazaki</i>, l'ouvrage est un somptueux hommage, puisant ses forces dans l'amour sincère que l'autrice porte à son mentor. On y sent réellement toute cette inspiration et l'ambiance jusqu'ici propre à <i>Okazaki</i>. Le résultat en est donc forcément excellent, mais je ne m'étendrais pas davantage là dessus, car les qualités du titre vont bien au delà de ses similitudes avec d'autres - même très bons - mangas. <i>Tomoko Oshima</i> nous plante donc directement dans son univers, qu'elle décrit comme alternatif, mais avec lequel notre société trouvera beaucoup d'échos. C'est dans ce climat anxiogène, très bien réalisé, que l'on vivra aux côtés de deux personnalités à la fois fortes et effacées, que j'ai trouvé être une merveille d'écriture. </div><div><br /></div><div> Tous deux à la fois contraires et identiques, <i>Setsuko</i> et <i>Akkun</i> sont attirés l'un par l'autre du fait de leur désintéressement total pour ce qui se passe autour d'eux. L'un désire être du "bon côté", mais il se rendra rapidement compte que cette ligne est floue, tandis que l'autre a une peur bleue du changement et souffre simplement d'un grand manque de confiance en elle et en son avenir. <i>Setsuko</i> est un personnage qui parait presque irréelle, comme si elle allait s'évaporer à tout instant. Sa fragilité et son air désintéressé la rendent extrêmement touchante. Un manga actuel, parfois brut dans sa façon d'être, qui me restera longtemps sous la peau. </div><div><br /></div></div><div><br /></div><div style="text-align: center;"><b><span style="color: #e06666; font-family: Quicksand; font-size: large;"><u>Jour 6 : SPY X FAMILY</u></span></b></div><div style="text-align: center;"><u><b><span style="color: #e06666; font-family: Quicksand; font-size: large;"><br /></span></b></u></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMgX57707NKvb0zFjhOsY6jnlJqzWRjBCbGKN34c3s0SE4dAOJ7txXZeb0HCxLvsCoa1G5MrMSsplslQLMzoVv8EV1VDghwNZXnnzyMYLBhl4RkQuGUN3gdp_F55ujJFndq4-nPRmx3GuU/s629/Jour+6.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="214" data-original-width="629" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMgX57707NKvb0zFjhOsY6jnlJqzWRjBCbGKN34c3s0SE4dAOJ7txXZeb0HCxLvsCoa1G5MrMSsplslQLMzoVv8EV1VDghwNZXnnzyMYLBhl4RkQuGUN3gdp_F55ujJFndq4-nPRmx3GuU/s16000/Jour+6.jpg" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><i>manga de ENDO Tatsuya, 2 tomes publiés aux éditions Kurokawa (en cours - 6€80 l'unité)<br /><br /><br /></i></td></tr></tbody></table><span> </span>Au cœur d'une terrible guerre froide qui se profile, <i>Twilight</i> est le meilleur espion de sa génération. Les choses se compliquent lorsque, pour assurer la réussite d'une mission essentielle au sort du monde, il devra créer de toute pièce une famille et surtout se trouver femme et enfant afin d'intégrer une prestigieuse école d'aristocrates. Assuré de son succès, il ne se doute pourtant pas de la véritable nature de celles qu'il a choisies pour sa mission…</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"> Après avoir fait un terrible succès au Japon, c'est à mon tour d'être conquise par ce très sympathique <u style="font-weight: bold;">Spy x Family</u> qui s'est montré parfaitement conforme à ce que j'attendais de lui. J'ai dévoré son tome introductif qui régale avec des personnages hauts-en couleurs et surtout très charismatiques. Difficile de ne pas laisser fleurir au moins un petit sourire en suivant les aventures de ces êtres aux réflexes parfois surhumains et à l'intelligence hors normes.. mais parfois quelque peu inadaptés à la société, ce qui crée forcément un résultat plutôt comique. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span> </span>Si c'est l'humour qui porte le titre, le <i>mangaka</i> parvient à mélanger ses couleurs pour en faire un tableau tout en harmonie : on perçoit l'esquisse de relations qui vont se nouer entre les trois personnages, véritable petite famille en devenir, car s'ils sont tout d'abord liés par le poids de la nécessité, on devine qu'il en sera tout autre par la suite. Il y a des passages qui sont franchement mignons, principalement du fait de l'adorable <i>Anya </i>qui ne manquera pas de vous faire craquer.</div></div>Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com13tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-77691845070812451612019-04-28T18:56:00.000+02:002019-04-28T20:40:15.466+02:00 [Semaine du shôjo 2019] Quelle est la meilleure adaptation ?<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1GjnfeMOwMBYXkiGnE2dCygkvpEX67k3vjxGS7Ae67HqQlEDAdVX1k5M05AD7H0iu7Je8sXVRZhTIQnDAEAReMKFzT-wuoEF_wp_GZtO-1DaAntTrtyUmXiWVE8hRBXkoxkq24hMwOgMb/s1600/sh%25C3%25B4jo2019.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1GjnfeMOwMBYXkiGnE2dCygkvpEX67k3vjxGS7Ae67HqQlEDAdVX1k5M05AD7H0iu7Je8sXVRZhTIQnDAEAReMKFzT-wuoEF_wp_GZtO-1DaAntTrtyUmXiWVE8hRBXkoxkq24hMwOgMb/s1600/sh%25C3%25B4jo2019.jpg" /></a></div>
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Et c'est reparti, en avril, c'est la Semaine du Shôjo sur <a href="http://club-shojo.com/">Club Shôjo</a> ! Pendant sept jours, les rédactrices ont mitonné plusieurs articles sur le thème et ont de nouveau invité d'autres blogueur.ses au débat avec une question à réponses... multiples... </div>
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C'est ainsi pour moi la quatrième année que je me prête au jeu, et c'est toujours un exercice passionnant tant les thèmes me font me replonger non sans plaisir dans des séries que j'adore. En 2014, je parlais de ma <a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2014/04/semaine-du-shojo-qui-est-la-meilleure.html">mangaka shôjo préférée</a> (il n'y aura pas de grande surprise pour qui me suit depuis quelques temps). L'année suivante je revenais sur les <a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2015/04/semaine-du-shojo-lheroine-la-plus.html">meilleures héroïnes</a> du médium et il y a deux ans, j'écrivais sur les deux mangas ayant eu le plus grand <a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2017/04/semaine-du-shojo-2017-impact.html">impact sur ma vie</a> de lectrice et de tous les jours.</div>
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Ceci étant dit, le thème de cette année s'attarde sur <b><span style="color: #e06666;">les adaptations de nos mangas favoris</span></b> ! Quelle est donc la meilleure ?</div>
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A mon sens, le transition entre les deux supports est souvent houleuse et risquée. Quand j'aime une oeuvre, c'est de tout mon cœur et je m'y investis tellement que rien ne peut, pour moi, valoir les émotions que celle-ci m'a apporté. Alors quand un anime parvient à me tirer des sentiments similaires, c'est un petit miracle. </div>
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Les adaptations de shôjo sont de plus assez rares. Je pense en avoir regardé la majorité, par curiosité ou véritable intérêt, et au moins partiellement. Ces dernières années, j'ai quand même découvert de très belles choses, <b><u>Le rakugo ou la vie</u> </b>ou encore <u style="font-weight: bold;">Shirayuki aux cheveux rouges</u> me venant immédiatement à l'esprit. Ce sont deux œuvres chères à mon cœur et j'avais énormément envie de parler de la beauté de "<i>Showa genroku rakugo shinju"</i> qui a su rendre plus vivant que jamais des passages de trente minutes où le personnage... Ne bouge presque pas. Mais c'était palpitant, sans compter la tragédie absolument incroyable qui se dégage de ce chef-d'œuvre envoûtant. Mais j'ai eu envie de parler d'autres animes, ceux qui à mon sens restent les meilleurs représentants des deux éléments faisant une bonne adaptation à mes yeux.</div>
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Mais qu'est-ce qu'une bonne adaptation ? La définition variera d'un spectateur à l'autre, il n'y aura qu'à voir les réponses apportées par les autres participant.e.s ! </div>
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<span style="color: #e06666; font-size: large;"><b>KIDS ON THE SLOPE</b></span></div>
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<i><span style="color: #e06666;">- le jazz dans la peau -</span></i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRP0PkhUisHf1RpUI8jdhh1RLfjU6a5A1ONSCj0YCAUNDhYM4pVSr78gGTDScFofEdgwSqSm2WxAtBEBjKB00W9HxnNUX_BcP-e7TJ2VOh3ib6pfP-pYSjkmFggh7iG8ytxoSi_uRVF_B3/s1600/apollo_drum_anime.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="450" data-original-width="800" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRP0PkhUisHf1RpUI8jdhh1RLfjU6a5A1ONSCj0YCAUNDhYM4pVSr78gGTDScFofEdgwSqSm2WxAtBEBjKB00W9HxnNUX_BcP-e7TJ2VOh3ib6pfP-pYSjkmFggh7iG8ytxoSi_uRVF_B3/s320/apollo_drum_anime.jpg" width="320" /></a></div>
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Grave erreur commet celui qui ne connait pas encore <u style="font-weight: bold;">Kids on the slope</u>, œuvre intemporelle et délicate qui reste numéro une dans mon cœur depuis que j'ai fait sa rencontre ! Et pour avoir lu, relu, et encore relu le manga de <i>Yuki Kodama</i>, je peux aisément me montrer garante de la qualité de son adaptation, réalisée en 2012 au sein du studio <i>Tezuka Production</i>, associé à un <i>MAPPA</i> qui depuis, enchaîne les succès.</div>
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Mettant en scène l'amitié de deux amoureux de jazz dans le Japon fragile des années 60, "<i>Sakamichi no apollon</i>" est une merveille de sensibilité possédant le mystérieux pouvoir de faire sourire son interlocuteur de manière incontrôlable. Là où l'anime est réussi, c'est tout d'abord qu'il lui est d'une fidélité extrême, retranscrivant à merveille l'ambiance chaleureuse du <i>manga</i>, en premier lieu en utilisant beaucoup de couleurs chaudes (le jaune et le rouge principalement) dans sa charte graphique. Il nous transporte également aisément dans son époque en développant les décors et détails facilitant l'immersion dans les <i>sixties</i>. </div>
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C'est finalement le complément idéal au livre grâce à une raison qui semble assez évidente : la musique qui l'emploie, parfaitement dans le ton car 100% jazz. Si les puristes auront reproché les sonorités pop des génériques d'ouverture et de conclusion, je trouve en revanche que cela rend un joli hommage au deuxième pan de l'œuvre, à savoir les sentiments qui ne s'effacent jamais sous la musique. Il fallait compter pour cela sur toute la dextérité et le bon goût de <i>Shinichiro Watanabe</i>, légende de l'animation ayant fait ses preuves à de nombreuses reprises (<u style="font-weight: bold;">Cowboy Bebop</u>, <u style="font-weight: bold;">Samurai Champloo</u>...) lorsqu'il s'agit de mêler sentiments et amour de la musique. </div>
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Pour le fan de la première heure comme pour les nouveaux venus, cette version de <u style="font-weight: bold;">Kids on the slope</u> a su conserver toute l'émotion de son original. Par le biais de l'animation très fluide, des interprétations humaines des doubleurs, l'anime sublime l'original et ancre davantage dans notre cœur un manga déjà au sommet. </div>
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<span style="color: #e06666; font-size: large;"><b>ELLE ET LUI - KARE KANO </b></span></div>
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<span style="color: #e06666;"><i>- identité recherchée, morte ou vive -</i></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhtdjhYMDpPPdXNIZoffrEmKOlc_UDGvfFYBOT8FC38r9rI-OfgleCSBB1XXWGOfxbv5gU9STnGmvOQ1ll-Fph5F7Ei8wHtzXkxN3B5aC4xA3wwZG_zLB6SN_G5Cdy0VtLCQd_YUyw8IXpS/s1600/kk1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="455" data-original-width="600" height="242" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhtdjhYMDpPPdXNIZoffrEmKOlc_UDGvfFYBOT8FC38r9rI-OfgleCSBB1XXWGOfxbv5gU9STnGmvOQ1ll-Fph5F7Ei8wHtzXkxN3B5aC4xA3wwZG_zLB6SN_G5Cdy0VtLCQd_YUyw8IXpS/s320/kk1.jpg" width="320" /></a></div>
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Là où <u style="font-weight: bold;">Kids on the slope</u> était bon, c'était dans sa fidélité parfaite, qui aidait le téléspectateur à retrouver sans aucune peine tout ce qui l'avait fait vibrer dans sa lecture. Dans le cas de <u style="font-weight: bold;">Kare Kano</u>, c'est différent. Si l'anime est bon, c'est qu'il a parfaitement su se détacher du matériel de base. Le manga de <i>Masami Tsuda</i> a parfois l'air un peu vieillot et ses couvertures à fleurs le rendent tristement ciblé d'office "manga pour filles" par plus d'une personne. Au contraire, l'anime rend la série "mixte" aux yeux des personnes les plus bornées (le manga l'est déjà évidement, mais j'entends par là qu'il se débarrasse des codes visuels typiquement shôjo pour en faire quelque chose de plus universel). Un coup de "peps" qui a dynamisé visuellement l'œuvre pour la rendre intemporelle et bien plus accessible.</div>
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Cette comédie romantique est réalisée notamment par <i>Hideaki Anno</i> à qui on doit tout de même <u style="font-weight: bold;">Evangelion</u> juste avant (!!) et on sent son influence, cette envie de créer quelque chose de nouveau. On peut aisément imaginer que cette recherche de soi et ce mal-être intérieur qui sont développés dans l'histoire, l'auteur s'y retrouve quelque part, puisqu'il s'agit de thèmes également pré<span id="goog_1349126918"></span><a href="https://www.blogger.com/"></a><span id="goog_1349126919"></span>sents dans son chef-d'œuvre et qui justifieraient une implication plus personnelle. L'anime devient une oeuvre à part entière, avec son identité visuelle et bon nombre de plans originaux qui ravissent. </div>
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<u style="font-weight: bold;">Kare Kano</u> est donc différent, quelque part indomptable, indéfinissable, inclassable. Mais en même temps, je trouve difficile de trouver un anime qui à le pouvoir de parler à autant de monde. Avec une galerie de personnages tous très opposés les uns des autres, la série évoque plein de thèmes très profonds, qui font réfléchir sur soi-même, sans oublier d'être incroyablement drôle, touchante, adorable même ! Ce couple est un des plus matures et attachant que j'ai suivi. Il y a énormément d'humour et de tendresse entre eux et c'est un plaisir infini de les voir grandir ensemble. Je dirais que c'est un animé culte à voir à tout prix au moins une fois dans sa vie. Il y a un avant et un après <u style="font-weight: bold;">Elle et lui</u>. </div>
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Je vous laisserai prendre soin de visionner ces deux merveilles si ça n'est pas encore fait ... !! J'espère qu'elles sauront vous apporter autant de bonheur, de réflexion et de voyage qu'elles continuent à le faire pour moi. </div>
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Je vous laisse à présent aux textes des autres blogueurs ! </div>
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<a href="http://club-shojo.com/meilleure-adaptation-anime-drama/">Club Shôjo</a></div>
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<a href="https://miyunoyume.wordpress.com/2019/04/28/la-semaine-du-shojo-la-meilleure-adaptation-shojo/">Miyuneko no yume</a></div>
<div style="text-align: center;">
<a href="http://angel-chronicles.eklablog.com/">Chroniques d'un ange</a></div>
<div style="text-align: center;">
<a href="http://antrelouve.canalblog.com/archives/2019/04/26/37287906.html">L'antre de la louve</a></div>
<div style="text-align: center;">
<a href="http://mapetitemediatheque.fr/2019/04/la-semaine-shojo-2019-la-meilleure-adaptation-shojo/">Ma petite médiathèque </a></div>
<div style="text-align: center;">
<a href="https://shiawase.wordpress.com/2019/04/24/sujet-annexe-3/">Shiawase</a></div>
<div style="text-align: center;">
<a href="https://fouchapelier.wordpress.com/2019/04/24/la-semaine-du-shojo-2019-la-meilleure-adaptation-shojo/">Le chapelier fou</a></div>
<div style="text-align: center;">
<a href="http://moonyko.fr/semaine-du-shojo-2019-la-meilleur-adaptation-shojo/">Moonkyo</a></div>
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-6778630735434401012019-04-08T19:37:00.002+02:002019-04-08T19:37:19.899+02:00 Les nouveautés d'Avril 2019<div style="text-align: center;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgF-ZUZjKG5LMz_lIK6ivzq3Jr0ZllqqjSSI8qCLsna1JRwcJvVazeafs_hQ82HqfyEHefnmgK0KrJQdM4t3BkUT0Un3nhrUzLglvU89gL-JK1MDQ-7RbU-hwIMPxN0q7T6BdjPg8snTaD/s1600/nouveaut%25C3%25A90419.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgF-ZUZjKG5LMz_lIK6ivzq3Jr0ZllqqjSSI8qCLsna1JRwcJvVazeafs_hQ82HqfyEHefnmgK0KrJQdM4t3BkUT0Un3nhrUzLglvU89gL-JK1MDQ-7RbU-hwIMPxN0q7T6BdjPg8snTaD/s1600/nouveaut%25C3%25A90419.jpg" /></a></div>
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Après avoir côtoyé plus d'une semaine avril, il est l'heure de jeter un coup d'œil aux sorties qui vont ajouter de la couleur à nos journées ce mois-ci. Pas question d'un nettoyage de printemps tant les sorties sont nombreuses (est-ce vraiment une surprise si les curieux ont tendance à vouloir tout acheter... pas vraiment...) mais cela assure au moins un cœur léger !<br />
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<a name='more'></a><br />
Commençons par mes attentes principales, c'est-à-dire mon péché mignon, mon petit parfait au chocolat, aka le tranche de vie.<br />
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<table><tbody>
<tr><td><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhj3Skw1_iGbNeVwjj6v85VbG502cIfOgxkMn9FwcQxjJAgu5tMhFN1rngxC1lUekSU2ESanelWwzSVVKpHiEfKh50XGQ7qxudALHTDVykjZlhPv6tFFYtusqKN9hpFnyI0WRQKBQ6O_g7W/s1600/jardin-secret-1-kana.jpg" imageanchor="1"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="394" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhj3Skw1_iGbNeVwjj6v85VbG502cIfOgxkMn9FwcQxjJAgu5tMhFN1rngxC1lUekSU2ESanelWwzSVVKpHiEfKh50XGQ7qxudALHTDVykjZlhPv6tFFYtusqKN9hpFnyI0WRQKBQ6O_g7W/s200/jardin-secret-1-kana.jpg" width="131" /></a>
</td><td><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgE05AUGg0Z6KXK2eCRoB5fdj5PpnWmvpoIwR3Gqn1h63x6xJYsOyrNZA-Ld-cC7eL3DWqPkgELW2AjLyp06CmaCdbRNF98iPYDkF9wkmF8ypItz9uEuU6VbFPqkQdxae9IWa9DXFjujD1K/s1600/shine-1-nobi.jpg" imageanchor="1"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="575" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgE05AUGg0Z6KXK2eCRoB5fdj5PpnWmvpoIwR3Gqn1h63x6xJYsOyrNZA-Ld-cC7eL3DWqPkgELW2AjLyp06CmaCdbRNF98iPYDkF9wkmF8ypItz9uEuU6VbFPqkQdxae9IWa9DXFjujD1K/s200/shine-1-nobi.jpg" width="127" /></a>
</td><td><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqiE2ghYDWb9p_aZbcKfBBLhUJJsaK0pTu62LQ2C3fi4M_49HFVGDUFMhE1d6GR0AnnVPU280DcACWGMIUreaEjUdRSvRRKe10ZAsJpNDjSyVHs-R7OvZG9FcB-0-eze466oZbkLm6JiFt/s1600/Kakushigoto-1-vega.jpg" imageanchor="1"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="650" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqiE2ghYDWb9p_aZbcKfBBLhUJJsaK0pTu62LQ2C3fi4M_49HFVGDUFMhE1d6GR0AnnVPU280DcACWGMIUreaEjUdRSvRRKe10ZAsJpNDjSyVHs-R7OvZG9FcB-0-eze466oZbkLm6JiFt/s200/Kakushigoto-1-vega.jpg" width="144" /></a>
</td></tr>
</tbody></table>
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Un titre qui parle de mode, je ne peux tout simplement pas le refuser. Avec sa couverture façon magazine <i>fashion</i> (je n'en suis pas fan vis à vis de la vo, mais elle a malgré tout soulevé beaucoup d'enthousiasme), <u style="font-weight: bold;">Shine</u> ne laisse pas de doute quant à ses préoccupations. J'en attends beaucoup, sans toutefois espérer y trouver une consolation à <u style="font-weight: bold;">Paradise Kiss</u>, le <i>manga</i> ayant laissé un grand vide dans mes lectures. Plus que pour le mannequinat, j'aimerais y trouver un réel regard sur le stylisme et la dynamique entre cet art et les mannequins.</center>
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L'héroïne de <u style="font-weight: bold;">Jardin secret</u> a un petit air de <i>Akira </i>(<u style="font-weight: bold;">Après la pluie</u>) et on ne va pas se mentir, c'est principalement ce qui m'a attiré en premier lieu vers cette nouvelle romance qui me fait malgré tout de jolies promesses quant à ses qualités propres. Le langage des fleurs est un univers passionnant - et de saison - et pourrait faire un bon postulat de départ pour cette histoire entre un fleuriste enthousiaste et une jeune fille intouchable.</center>
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J'ai plus de réserves quant à ce que pourrait m'apporter <u style="font-weight: bold;">Kakushigoto</u>; je ne connais pas cet auteur et même si j'apprécie son trait décalé, cela reste un indice maigre jusqu'à mon appréciation possible. Le scénario me semble mignon et j'aime en règle générale les histoires simples comme celles-ci. A voir. </center>
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<tr><td><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKov7PIXRntdmJVR7TUQTZKc_8DaOpjQUzleW_lcM5BDdhEdSEFJbONh5x_TP1H6eTnk_GJIK3kcDzSc1jEBMNOWPaR2zsG8u376ZGjO2__-J_JtQGExghNzPtavHs6kUo_0XDhmpkRP9q/s1600/shirley-1-ki-oon.jpg" imageanchor="1"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKov7PIXRntdmJVR7TUQTZKc_8DaOpjQUzleW_lcM5BDdhEdSEFJbONh5x_TP1H6eTnk_GJIK3kcDzSc1jEBMNOWPaR2zsG8u376ZGjO2__-J_JtQGExghNzPtavHs6kUo_0XDhmpkRP9q/s200/shirley-1-ki-oon.jpg" width="144" /></a>
</td><td><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT9MoMmyNCb9W4WAYyx5kGV6kfwFSdRvqcXXOgClhbwrOLSjDse8oNYOgi14Ef91hO8XfySyZ-g1Io8NVVkqAC6hRuUxZ_q5P1nXhw7qCRss74SyDG0iIFo5s4xUmW38ygdyy3THIw01m3/s1600/Scribbles-1-ki-oon.jpg" imageanchor="1"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="662" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiT9MoMmyNCb9W4WAYyx5kGV6kfwFSdRvqcXXOgClhbwrOLSjDse8oNYOgi14Ef91hO8XfySyZ-g1Io8NVVkqAC6hRuUxZ_q5P1nXhw7qCRss74SyDG0iIFo5s4xUmW38ygdyy3THIw01m3/s200/Scribbles-1-ki-oon.jpg" width="146" /></a>
</td></tr>
</tbody></table>
<br />
</center>
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J'aime beaucoup le travail de <i>Kaoru Mori</i>, donc pas de tergiversation, <u style="font-weight: bold;">Shirley</u> sera à moi ! Je suis curieuse de découvrir cette série qui a donné naissance au superbe <u style="font-weight: bold;">Emma</u>. Je ne pourrais malheureusement certainement pas me procurer <u style="font-weight: bold;">Scribbles</u>, carnet de croquis commentés par l'autrice elle-même, car il m'est difficile d'obtenir les opérations commerciales... Que <i>Ki-oon</i> a de plus rendue un peu difficile d'accès (nécessite l'achat de <u style="font-weight: bold;">Shirley</u> et du tome 11 de <u style="font-weight: bold;">Bride Stories</u>). J'aurais personnellement vraiment aimé qu'ils en fassent un bel objet mais je ne fais pas les règles !</center>
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<table><tbody>
<tr><td><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhabKwC0XRy1KJNZy1Vhr9aZsaco7AvVFAFGGTWUy0tj-waa8FdI6Riir7XpzRI_uVdDNKuToXF0GvpljGggfIcuCD5gy8bdFNRoqkhiS3DKjoowor-HV6WUD8nPewRtrHPTItpjCV7RtCv/s1600/liens-du-sang-1-ki-oon.jpg" imageanchor="1"><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhabKwC0XRy1KJNZy1Vhr9aZsaco7AvVFAFGGTWUy0tj-waa8FdI6Riir7XpzRI_uVdDNKuToXF0GvpljGggfIcuCD5gy8bdFNRoqkhiS3DKjoowor-HV6WUD8nPewRtrHPTItpjCV7RtCv/s200/liens-du-sang-1-ki-oon.jpg" width="144" /></a>
</td><td><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSoscoMiB1OEjTpqOgS3sXVQG9KXYwnA0BTi3Y7_R4AgMs7k0FrEz9525SlUJN9JSCJWDfWTYaXq9BQ99kF5l9zDmgqwInqDzA-GroVgr_Fc16nIs3KrL5ztwUiezQvJyrh4AcYYip-l3U/s1600/poisons-pika.jpg" imageanchor="1"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="645" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSoscoMiB1OEjTpqOgS3sXVQG9KXYwnA0BTi3Y7_R4AgMs7k0FrEz9525SlUJN9JSCJWDfWTYaXq9BQ99kF5l9zDmgqwInqDzA-GroVgr_Fc16nIs3KrL5ztwUiezQvJyrh4AcYYip-l3U/s200/poisons-pika.jpg" width="143" /></a>
</td></tr>
</tbody></table>
<br /><center style="text-align: justify;">
C'est l'événement du mois, <i>Oshimi</i> sera de retour en France avec <u style="font-weight: bold;">Les liens du sang</u>. Je n'ai jamais trop accroché à ses mangas, tristement, mais j'aimerais donner sa chance à celui-ci, bien que je tenterai probablement plus <u style="font-weight: bold;">Happiness</u> avant de m'attaquer à ce poids lourd.</center>
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Je suis intriguée par <u style="font-weight: bold;">Poisons</u>... Malgré le fait que je n'ai jamais lu les œuvres principales de <i>Golo Zhao</i><u>,</u> j'avais eu un coup de cœur pour ses titres sortis dans cette même collection. Le lire dans un autre registre pourrait être intéressant voire surprenant, un caractère que partagera certainement <u style="font-weight: bold;">The red rat in Hollywood</u>, <i>ovni</i> présumé qui me laisse en même temps perplexe.</center>
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<table><tbody>
<tr><td><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8h59Q_4Hc-cNUNRI87TpsSx1jKG2r63XtiVV-k-2ewZN3gM05uMTj9_UVadT6wiMnK_MCuL_R9ylAusp0iG0D0ICLW37b11KtD6Ug1Praem4mmbpJWXKKWWqfz4qvElVW3Iims_YyiP24/s1600/the-red-rat-in-hollywood-1-vega.jpg" imageanchor="1"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="607" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8h59Q_4Hc-cNUNRI87TpsSx1jKG2r63XtiVV-k-2ewZN3gM05uMTj9_UVadT6wiMnK_MCuL_R9ylAusp0iG0D0ICLW37b11KtD6Ug1Praem4mmbpJWXKKWWqfz4qvElVW3Iims_YyiP24/s200/the-red-rat-in-hollywood-1-vega.jpg" width="135" /></a>
</td><td><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipmaV-vxVmG7ezu-1JG2Mm1s3AI_bvbfbbCY1jrguls9xOhTyZHR8BduxJKCMq6sJcnqMk0VcSdK7YLYXDRH7eP9bH5mc5ZS8b2FHlWNA0mMuK_2z1Zkb0P-LLpfWgs6HDM5bfPnLjiy7b/s1600/vampire-relie-1-lezard-noir.jpg" imageanchor="1"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="852" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipmaV-vxVmG7ezu-1JG2Mm1s3AI_bvbfbbCY1jrguls9xOhTyZHR8BduxJKCMq6sJcnqMk0VcSdK7YLYXDRH7eP9bH5mc5ZS8b2FHlWNA0mMuK_2z1Zkb0P-LLpfWgs6HDM5bfPnLjiy7b/s200/vampire-relie-1-lezard-noir.jpg" width="141" /></a>
</td></tr>
</tbody></table>
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Si à vue de nez, <u style="font-weight: bold;">Vampyre</u> n'est certainement pas ma tasse de thé, ma curiosité vampiresque (hihi) conjuguée aux recommandations de <a href="https://nostroblogs.wordpress.com/2013/07/21/les-vampires-vus-par-suehiro-maruo/">nostroblog</a><i> </i>me donne envie de me jeter à corps perdu dans ce titre à l'esthétique terrifiante et poétique, et cette réédition pourrait en être la parfaite occasion.<br />
<br />
<br />
S'en suit un planning plus détaillé de toutes ces sorties (comme je ne suis pas un gentil petit robot, j'ai surement omis des titres ou fait des erreurs, merci de ne pas en tenir rigueur !).<br />
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Dans quelle(s) nouvelle(s) aventure(s) allez-vous vous lancer ce mois-ci ?</div>
</div>
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<span style="color: #cc0000; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span>
<span style="color: #cc0000; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>
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<span style="color: #cc0000; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>PLANNING</b></span></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">03 avril 2019</span></u> : Buchimaru Chaos <i>(Doki Doki ; aventure - 7€50</i>) </div>
<div style="text-align: center;">
Love mission impossible ? <i>(Pika ; romance - 6€95) </i></div>
<div style="text-align: center;">
Our little secrets <i>(Pika ; romance - 6€95)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Secret desire stories <i>(Soleil ; romance - 6€99)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Shine <i>(Nobi nobi ; arts - 6€95) </i></div>
<div style="text-align: center;">
Too bad I'm in love <i>(Pika ; romance -6€95)</i></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">04 avril 2019</span></u> : Les liens du sang <i>(Ki-oon ; thriller - 7€90)</i></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">05 avril 2019</span></u> : Détective Conan - apprenti criminel<i> (Kana ; aventure - 6€85)</i></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">08 avril 2019</span></u> : Histoires courtes de Rem Sakahibara <i>(Black Box ; suspense - 12€99)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Monster kinematograph<i> (Black Box ; suspense - 12€99)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Ragnarok Gai <i>(Black Box ; science fiction - 12€99) </i></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">10 avril 2019</span></u> : Raisekamika<i> (Delcourt / Tonkam ; aventure - 7€99)</i></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">11 avril 2019</span></u> : Bless you <i>(Akata ; comédie - 6€99) </i></div>
<div style="text-align: center;">
Blue eyes sword<i> (Kurokawa ; action - 7€65)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Kakushigoto <i>(Vega ; tranche de vie - 8€00)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Peuple invisible <i>(Cornelius ; - historique 24€50)</i></div>
<div style="text-align: center;">
The red rat in Hollywood<i> (Vega ; thriller - 8€00)</i></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">12 avril 2019</span></u> : Sword art online ; Alternative - Gun Gale Online <i>(Ototo ; action - 6€99)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Ultramarine Magmell<i> (Ototo ; action - 6€99)</i></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="color: #cc0000;"><u>17 avril 2019</u> </span>: Poisons <i>(Pika ; suspense - 18€00) </i></div>
<div style="text-align: center;">
Psycho Bank <i>(Pika ; aventure - 8€20) </i></div>
<div style="text-align: center;">
Tokyo Revengers <i>(Glénat ; action - 6€90)</i></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">18 avril 2019</span></u> : Docteur Inugami<i> (Le lézard noir ; horreur - 19€00)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Scribbles<i> (Ki-oon ; art - opération commerciale)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Shirley (<i>Ki-oon ; historique - 7€90)</i></div>
<div style="text-align: center;">
Vampyre <i>(Le lézard noir (réédition) ; horreur - 21€00)</i></div>
<div style="text-align: center;">
<i><br /></i></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">19 avril 2019</span></u> : Jardin secret <i>(Kana ; romance - 6€85) </i></div>
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<i><br /></i></div>
<div style="text-align: center;">
<u><span style="color: #cc0000;">25 avril 2019</span></u> : Zodiac love (<i>Taifu ; romance - 8€99)</i></div>
</div>
Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-46520172420327040652019-02-08T20:17:00.000+01:002019-02-08T20:17:20.847+01:0020 mangas pour voyager parmi les étoiles en 2019<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjerhiUuvlZfg5g7h56CrVEsxR-skNm9UUL48IBxu01SvD1NdsDX9VSYNw7wHHnjG6kr-SQwqSBynkUtxjx4O3gwdVbz6Z_Os0Obw5g45kVZ5_EoUdMBw8wnXDwzL5dpQds2gDvYxUXiGuo/s1600/ban0.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjerhiUuvlZfg5g7h56CrVEsxR-skNm9UUL48IBxu01SvD1NdsDX9VSYNw7wHHnjG6kr-SQwqSBynkUtxjx4O3gwdVbz6Z_Os0Obw5g45kVZ5_EoUdMBw8wnXDwzL5dpQds2gDvYxUXiGuo/s1600/ban0.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
Bonne année ! Cela fait déjà plus d'un mois que 2018 a tiré sa révérence pour laisser place à une "nouvelle ère" qui semble tout bonnement pleine de promesses éclatantes... De mon côté, les projets fusent de toute part et parmi ceux-ci figure en tête de liste ce petit blog qui fêtera en 2020... Ses dix ans... Il serait donc temps de le faire vivre à nouveau, ce qui ne sera pas bien difficile au vu de la quantité d'œuvres sur lesquelles j'ai envie d'écrire. Et pour commencer, faisons un petit tour d'horizon de ce que promettent les premiers mois en terme d'édition ! </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
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<b><span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;">1. BARRAGE</span></b></div>
<div style="text-align: center;">
<i>(sortie le 03 janvier 2019 aux éditions Ki-Oon; 6€90) </i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_IfZ5yzZxkgpUo0ef-FfIu06hAlv3M9NXk4MG4J22A6UZTXecPEw-Tx5nOY0vXcO4bWg1bxOjhLP1kiz2xtDc9FCVkTvld0CNRos3WM1_8o1fQ-H4-1Kxz63XFEMGNVMJ1JugfB0Jd9TS/s1600/Barrage-1-ki-oon.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="606" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_IfZ5yzZxkgpUo0ef-FfIu06hAlv3M9NXk4MG4J22A6UZTXecPEw-Tx5nOY0vXcO4bWg1bxOjhLP1kiz2xtDc9FCVkTvld0CNRos3WM1_8o1fQ-H4-1Kxz63XFEMGNVMJ1JugfB0Jd9TS/s200/Barrage-1-ki-oon.jpg" width="134" /></a></div>
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On ne commence sûrement pas par le titre qui m'enthousiasme le plus... Mais j'ai beaucoup d'affection pour <u style="font-weight: bold;">My hero academia</u>, alors c'est avec bienveillance que je lirai un des premiers titres de <i>Kohei Horikoshi</i>, vendu comme un <i>space opéra</i> aussi rythmé que le désormais illustre succès futur de son auteur. J'en attends principalement concernant l'écriture des personnages, que l'on sait être le vrai point fort du <i>mangaka</i>.</div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗♡♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Dans une galaxie lointaine, la guerre entre hommes et envahisseurs interstellaires fait rage depuis 50 ans. Les habitants du royaume de la petite planète sont à bout face à des ennemis trop forts pour eux. Astro fait partie de ces orphelins de guerre qui vivent au jour le jour. Avec son maigre salaire, il soutient tout un groupe d'enfants sans parents. Ils ont formé une nouvelle famille, soudée face à la misère. Ses rêves de richesse deviennent réalité quand apparaît face à lui Balji, prince du royaume. Les deux garçons se ressemblent comme deux gouttes d'eau ! Balji en profite pour fuir son rôle de prince, et forcer Astro à prendre sa place. Il a juste le temps de lui accrocher au bras un bracelet royal... avant d'être abattu par un ennemi ! Astro saura-t-il assumer sa nouvelle identité tout en protégeant sa famille dans un royaume en guerre ?</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>2. FLEUR DE L'OMBRE</b></span></div>
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<i>(sortie le 04 janvier 2019 aux éditions Kana; 18€00) </i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNI-w0l8B7vf0oqaiw3UVisK93k-Rsk-_3-tGW87KhOtKRIZ3R4mmVYb_vKoBeZM1rUmplZGzW8F9w8wuhrT23vWOdtn8I7kKglMUnu0yibEe_clTV80G7-NA4qOc5tWVG6hOAyekwjItL/s1600/fleur-ombre-1-kana.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="566" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNI-w0l8B7vf0oqaiw3UVisK93k-Rsk-_3-tGW87KhOtKRIZ3R4mmVYb_vKoBeZM1rUmplZGzW8F9w8wuhrT23vWOdtn8I7kKglMUnu0yibEe_clTV80G7-NA4qOc5tWVG6hOAyekwjItL/s200/fleur-ombre-1-kana.jpg" width="141" /></a></div>
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Commencer l'année par un <i>manga</i> du maître des sentiments torturés va devenir une tradition, et ça n'est pas pour me déplaire ! Le titre annonce une héroïne dont la dualité intérieure, entre force et fragilité féminine; habituellement remarquablement représentée par l'auteur, saura irrévocablement séduire le cœur des lecteur.ices. Petit plus très appréciable, <i>Kana</i> continue sa lancée en nous proposant une très belle édition intégrale, assortie aux précédents titres ressortis depuis 2017. Le <i>mangaka</i> reviendra également cette année avec son <u><b>Les fl</b></u><u><b>eurs du mal</b></u> aux éditions <i>Le lézard noir</i>. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗💗</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Sumire est la fille illégitime d'un homme politique. Sa mère a été peu à peu délaissée par cet homme et s'est laissée gagner par la folie. A la mort de sa mère, Sumire décide de ne jamais vivre comme celle qui l'a élevée. Elle veut s'émanciper des hommes et faire de son corps un atout pour sa réussite personnelle. Mais pourra-t-elle se défaire de ses propres sentiments ?</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>3. THE WORLD'S BEST BOYFRIEND</b></span></div>
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<i>(sortie le 09 janvier 2018 aux éditions Soleil; 6€99) </i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGdITAzCAE0lzHBUUqZPGdURCRk40yINZhD8m1ueypxSio0-8ePA3lSKeU2ocqNGUfh7y1UvKz_qkasE1udTqm_G_mBeoduuA4WAK_ovn3uCmlO-zaJn-vetVMCAzr_COSNK8vhEqgLiXU/s1600/The-Worlds-Best-Boyfriend-1-soleil.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1372" data-original-width="901" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjGdITAzCAE0lzHBUUqZPGdURCRk40yINZhD8m1ueypxSio0-8ePA3lSKeU2ocqNGUfh7y1UvKz_qkasE1udTqm_G_mBeoduuA4WAK_ovn3uCmlO-zaJn-vetVMCAzr_COSNK8vhEqgLiXU/s200/The-Worlds-Best-Boyfriend-1-soleil.jpg" width="130" /></a></div>
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Malgré toute ma vigilance, je n'échappe jamais bien longtemps aux <i>shôjos</i> qui semblent <i>mimi</i>... Et celui-là est un ancien du magazine <i>Margaret</i> dont je suis en général friande des œuvres... En vérité, je ne vois pas bien pourquoi je me priverais, sans compter que c'est une série relativement courte terminée en sept volumes. Je n'en attends rien de révolutionnaire, mais je pense qu'il saura me faire fondre juste comme il faut. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗💗</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Yusa aime les bad boys, c’est pourquoi elle tombe sous le charme de Nishizaki, le meilleur joueur de l’équipe de basket. Mais lui est attiré par Nanami, sa meilleure amie, qui refuse d’aller plus loin sans l’accord de Yusa. Cette dernière, ne voulant pas se mettre en travers de leur bonheur, va leur faire croire qu’elle sort avec Haruta pourtant totalement à l’opposé de l’image du bad boy.</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>4. CELLE QUE JE SUIS</b></span></div>
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<i>(sortie le 10 janvier 2019 aux éditions Akata; 7€95)</i> </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgMQdl0IdUymOM9B_RDHjqf8YeKP6LndzJ0TqxbN4_JkoEbrlaQgrLmbicskykmOmbycoPaR4ud4VEn3mCYQchBEnrqyp9p7ycxAskT2I-NHxoHGU9jNGyHqN-Wfh4GiNqnRi1FxYZt2i_/s1600/celle-que-je-suis-1-akata.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="564" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgMQdl0IdUymOM9B_RDHjqf8YeKP6LndzJ0TqxbN4_JkoEbrlaQgrLmbicskykmOmbycoPaR4ud4VEn3mCYQchBEnrqyp9p7ycxAskT2I-NHxoHGU9jNGyHqN-Wfh4GiNqnRi1FxYZt2i_/s200/celle-que-je-suis-1-akata.jpg" width="140" /></a></div>
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Cela me paraît compliqué de toucher plus juste et plus émouvant que le sublime <u style="font-weight: bold;">Eclat(s) d'âme</u> sorti l'an passé, mais <i>Akata</i> continue de fournir des efforts dans la publication de titres engagés sur des thèmes <i>LGBT+ </i>et franchement, comment le refuser ? Car bien souvent cela touche absolument tout le monde, fait se remettre en question ou prendre conscience. J'ai quelques craintes concernant celui-ci, mais l'histoire se conclura au bout de deux tomes seulement, alors la prise de risques est assez minime. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗♡♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Années quatre-vingt, Tokyo. Yûji Manase est étudiant. Mais il vit au quotidien avec deux secrets dont il n’a jamais parlé à personne : d’une part, les sentiments qu’il éprouve pour son ami de longue date Masaki Matsunaga, et de l’autre, le malaise qu’il ressent vis-à-vis de son corps. Un jour, Yûji pose la main sur une robe que sa sœur a laissée dans son appartement, sans savoir que cet acte allait bouleverser sa vie…</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>5. LES RECETTES CHINOISES</b></span></div>
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<i>(sortie le 18 janvier 2019 aux éditions Urban China; 15€00) </i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcw0RmKj8cQc8qqmBKjWtWEMPTPOQd-n6dKUicp-qfgXiUfc4M4Y0i_hoSssidJKxcQN9JTr89t-alVVcX8SihABMUeM3t5z-VyM1icaAghlwHjxeU_JyIKJKXPmjmwF86ASiBiVEREuJ2/s1600/recette-chinoise-urban.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="640" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcw0RmKj8cQc8qqmBKjWtWEMPTPOQd-n6dKUicp-qfgXiUfc4M4Y0i_hoSssidJKxcQN9JTr89t-alVVcX8SihABMUeM3t5z-VyM1icaAghlwHjxeU_JyIKJKXPmjmwF86ASiBiVEREuJ2/s200/recette-chinoise-urban.jpg" width="141" /></a></div>
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Pour le coup, je triche sans honte, car cet ouvrage n'est pas un manga, mais bien un livre de cuisine... Hors j'aime habituellement beaucoup ce que sort les éditions <i>Urban China</i>, j'aime les petites aquarelles dont semble receler l'ouvrage et plus important... J'adore manger chinois. A feuilleter, mais je pense que ce livre aura de quoi combler ma faim ! J'espère qu'il saura partager des œuvres culinaires sortant un peu de l'ordinaire également. Dans la même veine, en mars prochain sortira un carnet de recettes de <u style="font-weight: bold;">La cantine de minuit</u> aux éditions <i>Le lézard noir</i>, et cela me semble être le parfait complément à ce joli <i>manga</i> (du moins, c'est l'image que je m'en fais car je ne l'ai à ce jour, tristement toujours pas lu). </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>La cuisine chinoise est reconnue comme étant l'une des plus riches et variée au monde, et c'est à cet art culinaire que veut nous initier Wang He. À l'aide de ses douces aquarelles, elle nous invite à un voyage aussi bien gustatif que culturel, car les douze recettes qui composent cet ouvrage sont autant d'occasions pour l'autrice de nous conter les légendes et qui entourent ces plats. Une découverte et un régal.</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>6. GRAINELIERS</b></span></div>
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<i>(sortie le 18 janvier 2019 aux éditions Ototo; 7€99)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNr-Mdk4zwAoL1JJ1Fjgn-QzGV2V1zCpc-1bOC-E7xQWMt3j3qRR4WWPGyxF1LZjmcxcFv3EKqx0zC8ayXlS9S7YOQcnlCo46yTc4WGcxyRob7ULAkTgz8w_8EcbfHz1qgOv7JSlGkNkaV/s1600/grainelier-1-ototo.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="659" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNr-Mdk4zwAoL1JJ1Fjgn-QzGV2V1zCpc-1bOC-E7xQWMt3j3qRR4WWPGyxF1LZjmcxcFv3EKqx0zC8ayXlS9S7YOQcnlCo46yTc4WGcxyRob7ULAkTgz8w_8EcbfHz1qgOv7JSlGkNkaV/s200/grainelier-1-ototo.jpg" width="146" /></a></div>
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Je l'attends et en même temps je ne sais pas quoi en penser... Je n'ai encore jamais lu <i>Rihito Takarai</i> dans un autre registre que celui qui l'a rendue célèbre -le <i>boy's love-</i>, mais je ne doute cependant pas de ses talents en terme d'écriture. Cette histoire a de quoi intriguer en tout cas et je suis sûre que, au pire des cas, elle saura être divertissante. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗♡♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Destiné à devenir un Grainelier de renom, Lucas va devoir cacher son secret afin de ne pas être arrêté. En effet, dans ce monde, le plus grand crime est de faire avaler à quelqu'un une graine qui risque de le transformer en plante. Toutes les victimes sont alors considérées comme mortes d’un point de vue civil. Pourquoi une telle décision ? Car même si certaines s’en sortent, leur vie en est bouleversée à jamais. Lucas est un de ces survivants. Humain en apparence, le jeune homme est conscient qu’à l’intérieur, il n’est plus le même. Aidé par Abel, un ami d’enfance, il décide de découvrir ce qui lui est arrivé. Débute alors une aventure au bout de laquelle il espère retrouver son père et avoir des réponses aux nombreuses questions qu’il se pose.</i></div>
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<b><span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;">7. ELIN, CHARMEUSE DE BÊTE</span></b></div>
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<i>(sortie le 23 janvier 2019 aux éditions Pika; 8€05)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiysAZRbYQ9JVQjlYn3nacSkH3YJCwe-k6tL6UCWY7n-XxqT07QxTWko6QbBkUm1WZtA4bbS3BV21re4nqadV3_mz7T7hwQI3xBxbjanUfYuVCK2luUbxr-gbV_-VBxBug2AzvAj19HoSMN/s1600/elin-charmeuse-betes-1-pika.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="650" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiysAZRbYQ9JVQjlYn3nacSkH3YJCwe-k6tL6UCWY7n-XxqT07QxTWko6QbBkUm1WZtA4bbS3BV21re4nqadV3_mz7T7hwQI3xBxbjanUfYuVCK2luUbxr-gbV_-VBxBug2AzvAj19HoSMN/s200/elin-charmeuse-betes-1-pika.jpg" width="144" /></a></div>
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Voilà un titre qui nous plongera certainement dans l'Imaginaire avec beauté et poésie. J'en attends beaucoup de ce <i>manga</i>-conte qui pourrait illuminer notre année de magie, tout comme <u style="font-weight: bold;">L'atelier des sorciers</u> l'a sublimement fait en 2018. Je n'exclus pas l'idée de la déception, qui va malheureusement souvent de paire avec les grandes attentes... Mais cela restera au moins une initiative courageuse de <i>Pika</i>, car les <i>mangas</i> fantaisistes comme celui-ci ne sont pas aussi nombreux que je le voudrais. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗💗</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Elin vit dans un village du royaume divin de Ryoza avec sa mère soigneuse de Tôda, des dragons-serpents dressés pour la guerre. Toutes deux sont liées au “peuple de la brume”, craint pour son savoir secret sur les bêtes sacrées. Le jour où, jugée responsable de la mort d’un troupeau de Tôda, sa mère est sauvagement exécutée, Elin connaît alors un destin tumultueux, qui la conduira au cœur d’un terrible conflit…</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>8. BEASTARS</b></span></div>
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<i>(sortie le 24 janvier 2019 aux éditions Ki-oon; 6€90)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGw7fyagPkZQLt_F7zirI5qZoURkbhSzhcGKxucYRdHaJOpnfWSLOAqSfe9ra3Q5cvrrmmGHhIYV-oK2Hg-q73rzLeiIMmz969mpcLuT08GWkXN9IHF7N-Lses86Q0r6pXvVmSZ76XRi0E/s1600/beastars-1-ki-oon.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="700" data-original-width="460" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGw7fyagPkZQLt_F7zirI5qZoURkbhSzhcGKxucYRdHaJOpnfWSLOAqSfe9ra3Q5cvrrmmGHhIYV-oK2Hg-q73rzLeiIMmz969mpcLuT08GWkXN9IHF7N-Lses86Q0r6pXvVmSZ76XRi0E/s200/beastars-1-ki-oon.jpg" width="131" /></a></div>
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L'événement de ce début d'année, c'est bien <u style="font-weight: bold;">Beastars</u> ! Après avoir renversé le Japon avec son lycée animal plus humain que humain, <i>Paru Itagaki</i> fait son entrée en force, <i>Ki-oon</i> ayant appuyé son arrivée dans leur catalogue en invitant l'autrice à Angoulême. J'ai pendant un certain moment boudé ce titre, sans savoir pourquoi. Mais plus on m'en parle, plus je suis intriguée et j'ai même désormais carrément hâte de l'avoir entre les mains et de craquer pour ces petites bouilles. En tout cas, je suis convaincue que le titre a de belles heures devant lui, par chez nous également. </div>
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<u style="text-align: justify;">Niveau d'impatience</u><span style="text-align: justify;"> : 💗💗💗</span><br />
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<u>Résumé éditeur</u> :<i> À l’institut Cherryton, herbivores et carnivores vivent dans une harmonie orchestrée en détail. La consommation de viande est strictement interdite, et les dortoirs sont séparés en fonction des régimes alimentaires. Tout pourrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes… mais la culture ne peut étouffer tous les instincts. Quand le cadavre de l’alpaga Tem est retrouvé déchiqueté sur le campus, les méfiances ancestrales refont surface ! Legosi est la cible de toutes les suspicions. Parce qu’il était proche de Tem, parce qu’il est une des dernières personnes à avoir été vues en sa compagnie, et surtout… parce que c’est un loup. Pourtant, sensible et timide, il fait son possible pour réprimer ses instincts. Hélas, ses efforts sont vains face au vent de discrimination qui souffle sur le pensionnat… Le seul qui pourra apaiser ce climat de terreur est le Beastar, le leader de l’école. Pour l’heure, les candidats se préparent, les élections approchent... Le favori n’est autre que le cerf Louis, étoile incontestée du club de théâtre auquel appartient Legosi. Bien décidé à remettre les carnivores à leur place, il fait mine de ne pas craindre les crocs acérés du loup gris. Mais peut-être serait-il mieux avisé de ne pas le sous-estimer ! Allégorie frappante de notre société, Beastars renverse toutes les conventions ! Quand l’herbivore fait preuve d’une ambition carnassière, le loup devient le paria... Au cœur de jeux de pouvoir impitoyables, jusqu'où peut-on refouler sa vraie nature ?</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>9. MON EX</b></span></div>
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<i>(sortie le 1er février 2019 aux éditions Kana; 6€85)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj47vE3b_KRVWBnS-ma71Vex8ydtE73lveIhHH-6COZsvjXALVsFHsKiy2ZEQvRssy5pwRJO1GdUwTHRmIkP3lX22JfyonhGk1WCZvTXwGGZXLZyoxc2hzsbSiYzfl4WHEP0phZ9pD2-gsV/s1600/mon-ex-1-kana.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="394" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj47vE3b_KRVWBnS-ma71Vex8ydtE73lveIhHH-6COZsvjXALVsFHsKiy2ZEQvRssy5pwRJO1GdUwTHRmIkP3lX22JfyonhGk1WCZvTXwGGZXLZyoxc2hzsbSiYzfl4WHEP0phZ9pD2-gsV/s200/mon-ex-1-kana.jpg" width="131" /></a></div>
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Pas que le résumé soit forcément accrocheur, ni même le nom de l'autrice qui signe ici son premier titre... Mais je me fie assez aveuglément, sûrement naïvement aux licences de <i>Kana</i> dans ce genre... Alors pourquoi pas ? Ici aussi, cette histoire d'amour qui sera certainement mignonne et rien de plus, se conclura en deux tomes. Je n'ai pas de hautes attentes, mais je sais d'avance que ce titre saura nous laisser un arrière-goût de marshmallow. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗♡♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Momori et Eisaku sont sortis ensemble au collège. Mais à cause d’un comportement exécrable d’Eisaku, ils se sont séparés au bout de peu de temps... Deux ans après, alors que Momori peine à trouver un nouvel amour, Eisaku refait son apparition devant elle. Mais le garçon de ses souvenirs ne correspond pas à celui qu’elle a devant ses yeux. Aurait-elle fait l’erreur de ne pas voir le véritable Eisaku ? Serait-il encore temps de recommencer ?</i></div>
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<b><span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;">10. MISS HOKUSAI</span></b></div>
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<i>(sortie prévue le 07 février 2019 aux éditions Picquier; 19€50)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_ThPtGYdxXF9j6QqGaKkYSjUkI1yNhVraoXm3-gkSiAVmqSiX-b2XEp0M-hj3kttaSHdNyH-TWwBuNVpwqTPYeWey-ZyapanTj-2AHymtr_zjnSukNaR68FAV9YDfpwwqYw1R8Obx4bpv/s1600/miss-hokusai-1-picquier.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="614" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_ThPtGYdxXF9j6QqGaKkYSjUkI1yNhVraoXm3-gkSiAVmqSiX-b2XEp0M-hj3kttaSHdNyH-TWwBuNVpwqTPYeWey-ZyapanTj-2AHymtr_zjnSukNaR68FAV9YDfpwwqYw1R8Obx4bpv/s200/miss-hokusai-1-picquier.jpg" width="136" /></a></div>
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J'attends ce manga depuis des années, alors j'espère ne pas finir par être déçue ! J'adore les récits d'époque et surtout le trait de <i>Hinako Sugiura</i>, parfois proche des fameuses estampes du maître, est si délicat... Je suis conquise par avance en fait ! Espérons que cet émerveillement perdure, même après ma lecture... </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗💗</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>L'histoire commence au Japon en 1814, pendant la période d'Edo (l'actuelle Tokyo). O-Ei tient de son père son talent et son obstination. Elle peint très souvent à sa place, sans signer son travail, afin de boucler les commandes. D'autres figures d'artistes font leur apparition dans le manga, en particulier Ikeda ou Utagawa. Le manga évoque aussi la relation entre O-Ei, Hokusai et la demi-soeur d'O-Ei, une petite fille aveugle de naissance. Hokusai, meurt à 90 ans. O-Ei lui survit pendant neuf ans mais nul ne sait où elle est morte.</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>11. LIFE</b></span></div>
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<i>(sortie prévue le 21 février 2019 aux éditions Taifu; 8€99)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCvGhXoDrfJjmMt9f1fzRU45woN19zRMw1vA8vSUofrkxgcbIKrvS0dSyUQm4Lun9eLhk463U_e_N7XuydmFd_hdoha14lnI3Gqg9pI2B3cZBoDFx7CUZJCowemuAR05aJIiA6Ob1kXWLc/s1600/yaoi-life-tokokura-jp.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="598" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjCvGhXoDrfJjmMt9f1fzRU45woN19zRMw1vA8vSUofrkxgcbIKrvS0dSyUQm4Lun9eLhk463U_e_N7XuydmFd_hdoha14lnI3Gqg9pI2B3cZBoDFx7CUZJCowemuAR05aJIiA6Ob1kXWLc/s200/yaoi-life-tokokura-jp.jpg" width="140" /></a></div>
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Au vu du manque de communication à son sujet, le titre ne paraîtra malheureusement probablement pas à la date prévue, mais cela reste un manga que je suivrai de près, tant il me semble contenir tout plein de surprises. S'il est vrai que le synopsis a été le déclencheur d'une réelle attente, c'est surtout les nombreux éloges que le livre reçoit depuis des années par les lecteurs qui a achevé ma décision. Je suis vraiment pressée d'en savoir plus !</div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗💗</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Deux jeunes lycéens ont un hobby : marcher sur les lignes blanches tracées au sol en imaginant que le monde qui les entoure est infesté de dangers. Que ce soit une mer de requins ou un gouffre remplit de piques aiguisées, Itô et Nishi savent qu’une chute leur serait fatale. Un jour, perdus dans leur imaginaire, ils se retrouvent face à face. Ils ne le savent pas encore, mais cette rencontre marquera le début d’une aventure unique dont ils seront les héros. Une histoire qui s’écrira sur toute une vie.</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>12. HISTOIRES SANS FIN</b></span></div>
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<i>(sortie prévue le 21 février aux éditions Ki-oon; 9€65)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5R3Of8EtqaDP2wD_eCXkq8bbdjOVnNLJTCTkxtlWDwjjATidFR_ZTN7AOyxsZMKJQvsjCxqMKXZqggQiRdLIBwTCqWVnmHQKcfWvVlZ7wFh3xa0AuPZssC_OCw6rXgObzydT20UqeYInu/s1600/Histoires-sans-fin-1-ki-oon.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="650" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5R3Of8EtqaDP2wD_eCXkq8bbdjOVnNLJTCTkxtlWDwjjATidFR_ZTN7AOyxsZMKJQvsjCxqMKXZqggQiRdLIBwTCqWVnmHQKcfWvVlZ7wFh3xa0AuPZssC_OCw6rXgObzydT20UqeYInu/s200/Histoires-sans-fin-1-ki-oon.jpg" width="144" /></a></div>
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Voici un résumé qui devrait accrocher les amoureux de livres ! Qui parmi nous n'a jamais rêvé de se plonger corps et âme dans un scénario dans lequel il n'est habituellement que spectateur ? Je pense que ce manga peut être excellent tout comme... mauvais... En tout cas j'aime le graphisme très "propre" de <i>Geco Hirasawa</i> et cela laisse présager dans tous les cas une aventure rigolote et pleine de fantaisies. Reste à voir si les promesses de l'éditeur quant à la qualité du manga seront tenues. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Marie est une jeune fille fantasque et exubérante qui n’a pas sa langue dans sa poche. Lancée à la poursuite de son chat fugueur, elle se retrouve aspirée dans les pages d’un étrange magazine de bandes dessinées ! </i><i>Elle se réveille aux côtés du rédacteur en chef, lui aussi coincé dans le désert des histoires sans fin du Nomad Comics. Il attend depuis des lustres la venue d’un élu doté du pouvoir de relancer la dynamique de ces récits en suspens… et Marie semble répondre à tous les critères ! Pour retourner dans le monde réel, elle va tout chambouler à sa manière. Première étape, un univers d’heroic fantasy en perdition, où la demoiselle se retrouve dans le camp… des démons !</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>13. QUENOTTE ET LE MONDE FANTASTIQUE</b></span></div>
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<i><u>(</u>sortie prévue le 27 février 2019 aux éditions Casterman; 23€95)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTuPa3y06saIiz3fEVtH9fQ8N-3XeleWJYkavFN4SINbOWK7PNYHJQHSQjsr6Ucp3pmIiGbWb3OaypEeoj2heDmyOVI3IWeyHUVSBztOHQX8ztxqlIXxl6DkSBdlTkYPranLNrx2vitABS/s1600/Quenotte_et_le_Monde_Fantastique_1_casterman.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1542" data-original-width="1078" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTuPa3y06saIiz3fEVtH9fQ8N-3XeleWJYkavFN4SINbOWK7PNYHJQHSQjsr6Ucp3pmIiGbWb3OaypEeoj2heDmyOVI3IWeyHUVSBztOHQX8ztxqlIXxl6DkSBdlTkYPranLNrx2vitABS/s200/Quenotte_et_le_Monde_Fantastique_1_casterman.jpg" width="139" /></a></div>
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Dans la case curiosité de l'année, je veux bien volontiers placer <u style="font-weight: bold;">Quenotte et le monde fantastique</u> en tête de file ! A réserver à un public ouvert et amateur d'étrangetés, ce <i>manga</i> à l'apparence enfantine me séduit d'ores et déjà sur bien des points, à commencer évidement par un graphisme à croquer... Je veux dire, le compagnon de l'humain dans cette histoire, c'est bien... une dent toute choupi ! Ce que laisse entrevoir le résumé est tout aussi aguicheur, laissant supposer un sous-texte poussant à la réflexion des lecteurs plus âgés. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗💗</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Les grands voyageurs avaient raison d’y croire : la Terre est creuse ! C’est là que vivent un petit garçon, Biko, et son fidèle ami Quenotte. Poussés par leur curiosité, ils s’aventurent un jour hors de leur forêt et découvrent un monde extraordinaire : mers paradisiaques et plaines hostiles, montagnes désolées et mégalopoles surpeuplées… Leur voyage va les plonger au coeur d’un conflit pour le contrôle des ressources en eau de la terre creuse !</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>14. UNE DRÔLE DE FAMILLE</b></span></div>
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<i>(sortie prévue le 27 février 2019 aux éditions Delcourt/Tonkam; 9€35)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8m01OBeuTLEF7_1kPYfNwlzW0x59KRYyan9OtuKGhYI3h7BeYejAq0lhY4afW9fM-6bfksBs7qMvOioiHjxH9Et-9QHQf_DrvEuNFXzEmLzZrY5ntzNdoOYXE-2d2wY8Wugi4GnHF4xX-/s1600/drole-de-famille-1-delcourt.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="351" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh8m01OBeuTLEF7_1kPYfNwlzW0x59KRYyan9OtuKGhYI3h7BeYejAq0lhY4afW9fM-6bfksBs7qMvOioiHjxH9Et-9QHQf_DrvEuNFXzEmLzZrY5ntzNdoOYXE-2d2wY8Wugi4GnHF4xX-/s200/drole-de-famille-1-delcourt.jpg" width="140" /></a></div>
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Est-ce que <i>Yumi Unita</i>, après son classique <u style="font-weight: bold;">Un drôle de père</u>, a encore beaucoup de choses à raconter sur la parentalité ? Je ne le sais pas, mais elle l'avait si bien écrit (faisons comme si les derniers tomes étaient un mensonge) que cela m'attire beaucoup vers la suite de son parcours. Comment dire non à une seconde portion d'adorables bambins bêtisiers et câlins avec leurs parents ? Le ton semble en tout cas résolument plus solaire et mignon, il n'en faut pas plus pour dire "oui" à ce manga. Argument bonus, la série s'est conclue en cinq tomes au Japon. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗💗</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Suivez le quotidien heureux mais pas toujours paisible de la famille Honda ! Taro et Chiharu, un jeune couple qui, avec Yuki et son petit frère Kotaro, forment une famille ordinaire, avec ses joies mais aussi ses problèmes… De petites histoires courtes et souvent cocasses à travers lesquelles on observe Yuki et Kotaro grandir sous le regard inquiet et bienveillant de leur maman.</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>15. SLAMN DUNK</b></span></div>
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<i>(sortie prévue le 1er mars 2019 aux éditions Kana; 9€90)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhttE70vj4Oscam1E6k_99c6wrEb4w_NpNHfE9SkaBQz9HYPiQec0NFku2V88DjyzZyuL2-6GWho4l8TMbqAc358pZMNSzk0WnCKvESf357yU9xxcBCnhEuGITd_QZZyvMXhMyWt67mrzJ1/s1600/slam-dunk-new-edition-1-jp.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="316" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhttE70vj4Oscam1E6k_99c6wrEb4w_NpNHfE9SkaBQz9HYPiQec0NFku2V88DjyzZyuL2-6GWho4l8TMbqAc358pZMNSzk0WnCKvESf357yU9xxcBCnhEuGITd_QZZyvMXhMyWt67mrzJ1/s200/slam-dunk-new-edition-1-jp.jpg" width="126" /></a></div>
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Le sport ça n'est franchement pas mon truc, alors difficile d'avoir la bonne réaction positive quand nos héros sautent de joie après une victoire dans un match serré. Mais au fil de mes lectures, il y a quand même eu des exceptions ! J'espère que <u style="font-weight: bold;">Slam Dunk</u> en sera une, mais rien que pour sa flatteuse renommée, j'ai envie de découvrir ce titre, d'être émerveillée par les traits si nobles des sportifs, puis de m'enthousiasmer au même titre que les personnages de leurs petites et grandes victoires... </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗💗</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>D'un côté, Hanamichi Sakuragi, un grand rouquin, voyou, rebelle à ses heures et dont la principale caractéristique est d’être malheureux en amour. De l’autre, la jolie Haruko, très grande fan de basket… dont Hanamichi tombe éperdument amoureux! Il n’en faut pas plus à notre héros pour se jeter à corps perdu dans ce sport dont il ne connaît absolument rien. Mais un amour n’est pas forcément réciproque… C’est ce que Hanamichi va d’abord découvrir et c’est ce qui va ensuite le motiver à donner le meilleur de lui-même.</i></div>
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<b><span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;">16. POLAR BEAR IN LOVE</span></b></div>
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<i>(sortie prévue le 06 mars 2019 aux éditions Soleil; 11€95)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitRTU3eGuV4H_KM9Y7KJ01D6XPX0LZUu31BqcnhyeZSSZHRWfp7lDyuelYEB8ysnJIMv0BjjaC4xy-YSLHmpU8vRwEGmTa1plg5NMqYI0eBWFT4WKrv5zGveAzP5eBiIC5OCMVcuGsBe_I/s1600/Polar-Bear-In-Love-1-soleil.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="357" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitRTU3eGuV4H_KM9Y7KJ01D6XPX0LZUu31BqcnhyeZSSZHRWfp7lDyuelYEB8ysnJIMv0BjjaC4xy-YSLHmpU8vRwEGmTa1plg5NMqYI0eBWFT4WKrv5zGveAzP5eBiIC5OCMVcuGsBe_I/s200/Polar-Bear-In-Love-1-soleil.jpg" width="142" /></a></div>
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Le manga dans toute sa diversité... C'est aussi ça ! Ne boudons pas notre plaisir sur ce gag-manga, genre dont les publications françaises sont si rares. Je ne me porte absolument pas garante de la qualité, ni de l'humour de ce manga, qui peut finalement être très douteux... Mais tout ce que j'ai envie de dire, c'est pourquoi pas. C'est le genre de mascotte que je porte dans mon cœur, ça semble aussi mignon qu'absurde et en plus Soleil remet le couvert avec <u style="font-weight: bold;">Un shiba en plus</u> le même jour. Je suis faible pour ce genre de petites bestioles... </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗♡♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Lorsqu’un phoque rencontre un ours polaire, généralement cela laisse peu de place au suspense. Proie naturelle du plantigrade, son destin se résume généralement à finir dévoré. Mais cette fois, c’est le coup de foudre. Mr Ours tombe follement amoureux de cette adorable boule de poils blancs, duveteux et terrorisé, qui ne pense qu’à fuir. L’amour ne peut-il pas briser toutes les frontières ?</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>17. LA LANTERNE DE NYX</b></span></div>
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<i>(sortie prévue le 06 mars 2019 aux éditions Glénat; 10€75)</i></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjiKw2S_HtB6YlNSxzTvcsmqj5jrHbe2wy6hA07S8JgOGfhI4Un5e5LwMmacK5h5PriDrfB6gOizGFxCH7RinkL7ZAip_xl7HQj8om8fculzn2m38tcvPqH4ZSnuoxJMjlo0gujv-fD2by8/s1600/nyukusu-no-kakuto-jp-1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="499" data-original-width="352" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjiKw2S_HtB6YlNSxzTvcsmqj5jrHbe2wy6hA07S8JgOGfhI4Un5e5LwMmacK5h5PriDrfB6gOizGFxCH7RinkL7ZAip_xl7HQj8om8fculzn2m38tcvPqH4ZSnuoxJMjlo0gujv-fD2by8/s200/nyukusu-no-kakuto-jp-1.jpg" width="140" /></a></div>
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C'est un peu le grand point d'interrogation de ma sélection; je ne connais pas du tout l'autrice et, à la lecture du synopsis, j'ignore quel sera le genre de ce manga (aventure, contemplations, quelle part tiendra le fantastique ?). Cela ne m'empêche pour autant pas d'y placer de hautes attentes. La couverture est somptueuse, les thématiques séduisantes et il est toujours intéressant de lire un manga sur la France. Cela pourrait être un joli dépaysement. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>1878, la France fait rayonner sa puissance industrielle et culturelle en organisant des expositions universelles, tandis que le Japon s’ouvre au monde après 200 années d’isolationnisme. À Nagasaki, Miyo, orpheline qui a pour seul talent le don de clairvoyance au travers des objets qu’elle touche, parvient à trouver un emploi chez Ban, commercialisant des objets importés d’Europe. Au contact de l’Occident, elle découvrira un monde nouveau qui la conduira jusqu’à Paris…</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>18. SOLANIN</b></span></div>
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<i>(sortie prévue le 15 mars 2019 aux éditions Kana; 19€90)</i></div>
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<table><tbody>
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<td><div style="text-align: center;">
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7lvspnTA_4flSvsZzNXCR2mijDzPJ8bAhHIiwHJiagqKLlKIrKZo9tShj3pvmTRRsgAxbukDEFoNaOGNAk7HGEiVcnzo5Ltpc1EwrTDgJlOmOloks9NuTprY0_qPblJ1YLHJjHtqpxbD-/s1600/solanin-asano-deluxe-jp.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1024" data-original-width="722" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7lvspnTA_4flSvsZzNXCR2mijDzPJ8bAhHIiwHJiagqKLlKIrKZo9tShj3pvmTRRsgAxbukDEFoNaOGNAk7HGEiVcnzo5Ltpc1EwrTDgJlOmOloks9NuTprY0_qPblJ1YLHJjHtqpxbD-/s200/solanin-asano-deluxe-jp.jpg" width="140" /></a></div>
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</td>
<td></td>
</tr>
<tr>
</tr>
</tbody></table>
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<u style="font-weight: bold;">Solanin</u> est un manga qu'il me tient à cœur de lire, un jour. Je voudrais voir dans quelle mesure ce manga qui a marqué une vie, l'a transformée, atteindra mon cœur. Je sais d'avance que ce sera une expérience très particulière; très émouvante pour plusieurs raisons, je n'en doute pas, mais aussi très chaleureuse. D'autant plus que je ne serai pas seule dans cette aventure. Cette année, c'est la bonne !</div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗💗💗</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Meiko qui exècre son boulot de secrétaire d'une grande entreprise, vit depuis un an avec Taneda, illustrateur occasionnel pour un magazine, et guitariste amateur. Très cynique, la jeune femme n’envisage pas l’avenir de manière positive et entrevoit même la possibilité de "sortir du circuit" en donnant sa démission… Ses amis, Jirô et Katô, ressentent également un malaise quand ils songent à leur avenir…</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>
19. LES LIENS DU SANG</b></span></center>
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<i>(sortie prévue le 4 avril 2019 aux éditions Ki-oon; 7€90)</i></center>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEha4rdmfJlGkhaamhT6LqQkpA37N_JWnEcyB1V8h6Lsof_wXifS2Mt-veAR7nZ0rYP8HaCGGs6IVwY9zWUPkoYWIJHXiz01xqUVH98EYgl9jBMeTlFOevo5O8ysfaOzDcewPUmetN5FJVZn/s1600/liens-du-sang-1-ki-oon.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEha4rdmfJlGkhaamhT6LqQkpA37N_JWnEcyB1V8h6Lsof_wXifS2Mt-veAR7nZ0rYP8HaCGGs6IVwY9zWUPkoYWIJHXiz01xqUVH98EYgl9jBMeTlFOevo5O8ysfaOzDcewPUmetN5FJVZn/s200/liens-du-sang-1-ki-oon.jpg" width="144" /></a></div>
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Je pense qu'avec le style de <i>Oshimi</i>, ça passe ou ça casse... Malheureusement pour moi, il semblerait que je rentre plus dans la seconde catégorie. Je n'ai pas détesté les morceaux de ses œuvres qui sont passés sous mes yeux critiques, disons que je m'y suis étrangement trouvée imperméable. Mais je n'ai pas baissé les bras, je veux en lire davantage, comprendre. Car je sens malgré tout l'ampleur du talent de cet auteur qui comble son lectorat de visages au regard d'une vérité de plus en plus troublante. La couverture de sa nouvelle sortie est obsédante. Peut-être suis-je déjà un peu envoûtée ?</div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗♡♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Vue de l’extérieur, la famille du jeune Seiichi est des plus banales : un père salarié, une mère au foyer, une maison dans une ville de province… L’adolescent va à l’école, joue avec ses amis, est troublé quand il pose les yeux sur la jolie fille de la classe. Tout est normal… ou presque. Il ne s’en rend pas compte lui-même, mais sa mère le couve beaucoup trop. Seiko traite encore son fils comme un bébé et, avec un mari toujours absent, son monde est d’autant plus centré autour de Seiichi. Ce dernier est incapable de résister : il se laisse lentement emprisonner dans le cocon. Trop jeune, il ne décèle pas la folie cachée derrière l’amour maternel. Jusqu'à ce qu’il soit trop tard…</i></div>
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<span style="color: #45818e; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: large;"><b>20. BAKEMONOGATARI</b></span></div>
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<i>(sortie prévue le 08 mai 2019 aux éditions Pika; 7€20)</i><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQAIQPalp1QY5INxucIW7IRClxPzrvdIhyG8KFJwXtzD4FkqEDkRahchmfBhuzxWRtE6q_25ctdPVRSQtmZEO5166cDUBf4569fOSA2f_zRRoLPpTlonO4x0yO0fWrWjkw1rT6STljJHp7/s1600/bakemonogatari-1-pika.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="650" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQAIQPalp1QY5INxucIW7IRClxPzrvdIhyG8KFJwXtzD4FkqEDkRahchmfBhuzxWRtE6q_25ctdPVRSQtmZEO5166cDUBf4569fOSA2f_zRRoLPpTlonO4x0yO0fWrWjkw1rT6STljJHp7/s200/bakemonogatari-1-pika.jpg" width="144" /></a></div>
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Je suis particulièrement fan de l'univers <i>Monogatari</i> alors à priori, l'arrivée du manga en France (et potentiellement des romans !!) est une bonne nouvelle. Bizarrement, je n'arrive pas à être enthousiaste. Si les adaptations animées ont parfaitement retranscrit l'ambiance des écrits de <i>Nisioisin</i>, même ajouté une identité inséparable de l'œuvre, la retransposition en un support figé me parait étrange. Stupide, puisque l'histoire en provient, mais je n'arrive pas à me réjouir pour cette raison. Le trait de <i>Oh ! Great</i> me plait pour cette licence en tout cas, alors tout n'est pas perdu. A noter que la nouveauté aura droit à son édition collector. </div>
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<u>Niveau d'impatience</u> : 💗♡♡</div>
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<u>Résumé éditeur</u> : <i>Koyomi était un lycéen banal jusqu’à sa rencontre avec une vampire légendaire qui, en le mordant, lui transmet les mêmes pouvoirs qu’elle. Un jour, il rattrape Hitagi alors qu’elle chute dans les escaliers. Quelle n’est pas sa surprise quand il découvre son étrange secret : elle ne pèse pratiquement rien ! Très vite, Koyomi réalise qu’une entité chimérique a pris possession de sa camarade. Il va alors tout mettre en œuvre pour lui venir en aide !</i></div>
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Je termine ici ma sélection, certains titres sont déjà sortis et <u style="font-weight: bold;">Beastars</u>, pour ne citer que lui, rend déjà fous les lecteurs français. L'année démarre donc en beauté dans le petit monde des <i>mangas</i>. Vingt titres, c'est pourtant une bien faible représentation de tout ce qui sortira cette année. Beaucoup de titres annoncés il y a quelques jours seulement me paraissent indispensables à ma collection. </div>
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La mode est pour moi une passion indissociable de ma vie alors comment dire non à un manga comme <u style="font-weight: bold;">Shine</u> (<i>Nobi Nobi</i>, sortie prévue en avril) ? Annoncé aujourd'hui même, <i>Kana</i> fait monter les espérances avec <u style="font-weight: bold;">Jardin secret</u> (sortie prévue en avril). D'autres curiosités sont également annoncées (<u style="font-weight: bold;">Magus of the Library</u> chez Ki-oon en mars, <u style="font-weight: bold;">Blue Flag</u> en mars chez <i>Kurokawa</i> ...), sans compter des collections qui commencent à avoir belle allure (la collection des <i>artbooks</i> des longs-métrages Ghibli chez <i>Glénat</i>, les ressorties de <i>Tezuka</i> du coté de <i>Delcourt/Tonkam</i>...). </div>
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Je n'ai personnellement lu qu'une seule nouveauté de l'année... C'est un départ lent, bien dans mon genre, mais 2019 me fait déjà de belles promesses de voyage... Parmi les étoiles.</div>
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<br />Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-73043693139416421802018-09-11T18:47:00.000+02:002018-09-11T18:53:37.205+02:00Les nouveautés de septembre<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhljouycMArQ8GnriMwnG5yxx5bjoy5iswm6IGyoTR-5YTlMNepSS0xOKX-Ksik3zk1IUATiSYLBlvMSmOmzgvkh_kP9xijU1PTroF2qkIzs8U2QfgbVEyf8W7GwvVQgYGirXmttvDbc3RO/s1600/N09.18.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhljouycMArQ8GnriMwnG5yxx5bjoy5iswm6IGyoTR-5YTlMNepSS0xOKX-Ksik3zk1IUATiSYLBlvMSmOmzgvkh_kP9xijU1PTroF2qkIzs8U2QfgbVEyf8W7GwvVQgYGirXmttvDbc3RO/s1600/N09.18.jpg" /></a></div>
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Planning de sorties des nouvelles séries mangas de Septembre 2018</div>
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<a name='more'></a><div style="text-align: justify;">
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Bonsoir ! Entre deux articles consacrés au <a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">Challenge de lecture</a>, je me replonge dans l'actualité avec une belle liste de récits qui promettent des destinations assez différentes. N'hésitez-pas à me dire en bas de cet article lesquelles ont vos faveurs ! </div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>05 SEPTEMBRE 2018</b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgE7zcD0aTp6N_x_LTkSKQr0AabDT18YjNu63C4n8dvEi7jxoBL1nZinKvYqAHwHaTFf8atlL-F-1PIi0fK4JWSqBudORy9ALycLK4RQqjBPguKyJSgDNLxmljaA57wnScoy7WTBaKDRJYT/s1600/signal-100-manga-volume-1-simple-311804.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1126" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgE7zcD0aTp6N_x_LTkSKQr0AabDT18YjNu63C4n8dvEi7jxoBL1nZinKvYqAHwHaTFf8atlL-F-1PIi0fK4JWSqBudORy9ALycLK4RQqjBPguKyJSgDNLxmljaA57wnScoy7WTBaKDRJYT/s200/signal-100-manga-volume-1-simple-311804.jpg" width="140" /></a></div>
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<span style="font-size: x-small;">M.Shimobe, professeur principal et souffre-douleur d’une classe indisciplinée, leur diffuse un jour un film étrange. Ses élèves réalisent alors qu’ils viennent d’être hypnotisés ! Pour parfaire sa vengeance, M.Shimobe se suicide après leur avoir dévoilé une dernière information : Il existe 100 actions à ne pas réaliser sous peine de mort ! Leur vie prend un tournant macabre.</span></div>
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Publié aux éditions Soleil (7€99)</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9auhPNWflwURtOm39kuphStQGoAk9JyeV1vHPD4RBRQMgGRLTotOr61ebdLeIy-Wnby2PTXXtBfeUDpXLzFmCinBobgc77j3rQ5mpzGSA7SfaT7auHCFw__WnXtCPJbZjblh13AVTlRpr/s1600/twelve-demon-kings-manga-volume-1-simple-308415.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1156" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9auhPNWflwURtOm39kuphStQGoAk9JyeV1vHPD4RBRQMgGRLTotOr61ebdLeIy-Wnby2PTXXtBfeUDpXLzFmCinBobgc77j3rQ5mpzGSA7SfaT7auHCFw__WnXtCPJbZjblh13AVTlRpr/s200/twelve-demon-kings-manga-volume-1-simple-308415.jpg" width="144" /></a></div>
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<span style="font-size: x-small;">Dans un monde où les démons sèment le chaos et la destruction, l'humanité a perdu tout espoir et vit ses derniers instants. Seul un mystérieux individu ne baisse pas les bras. Son nom : Adu. Rassemblant une équipe d'habiles combattants, il s'est mis en tête d'éliminer un à un les surpuissants douze rois-démons qui règnent sur l'Enfer. Mais ce chevalier n'est pas celui qu'on croit et cache un secret des plus terrifiants…</span></div>
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Publié aux éditions Pika (7€50)</div>
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<span style="font-size: x-small;">Daikichi, instituteur à la retraite et veuf, vit avec Tama, un chat de 10 ans. Ou bien est-ce Tama qui veille sur son vieux maître pour honorer une promesse faite à son épouse disparue ? Au fil des saisons et d’un quotidien fait de promenades paisibles, de repas partagés entre voisins de toujours et d’évocations des années passées, Daikichi et son chat s’entraident, se chamaillent, et s’adorent.</span></div>
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Publié aux éditions Casterman (15€00) </div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>06 SEPTEMBRE 2018</b></span></div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijEKHDQBBvjH9iWpiNAY0S1hmRL34ld_xnB-x21VXecTyJiTdThyphenhyphenflCQ0xtohuyQ4ZqGYUcxNeEdcsKM_m6d8MCWMqO2w-kuAi-QCQ7KMKWAcKA3uOudMnoUohhzYYh6P0H3W4iy-zqGBg/s1600/errances-d-emanon-manga-volume-1-simple-308869.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1128" data-original-width="800" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijEKHDQBBvjH9iWpiNAY0S1hmRL34ld_xnB-x21VXecTyJiTdThyphenhyphenflCQ0xtohuyQ4ZqGYUcxNeEdcsKM_m6d8MCWMqO2w-kuAi-QCQ7KMKWAcKA3uOudMnoUohhzYYh6P0H3W4iy-zqGBg/s200/errances-d-emanon-manga-volume-1-simple-308869.jpg" width="141" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">À bord du Sun Flower, Emanon a confié son étrange histoire à un étudiant qui lui rappelait son époux défunt. Mais cette traversée en bateau n’était qu’une infime partie du voyage de la jeune femme à la mémoire de trois milliards d’années : pour elle, une vie ne dure qu’un instant ! Cette passagère du temps poursuit inlassablement sa route, toujours prête pour de nouvelles rencontres. À la recherche d’un mystérieux trésor enfoui ou d’un frère perdu de vue, retrouvez-la dans ses errances…</span><br />
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Publié aux éditions Ki-oon (15€00)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvwE1l0DfonXHlShrB41_lA2MY_qaH_hE-712T_yj537F6PgNiU6iAqt5xk6xBZaJDAVo-Ntt3af79HA5j7U5MzKe_XoJy9i_a3lvsRwTJiEogoHQJ8OmUCYSc0GAcMywhAQLWiGEuYbUE/s1600/noise-manga-volume-1-simple-310614.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1108" data-original-width="800" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvwE1l0DfonXHlShrB41_lA2MY_qaH_hE-712T_yj537F6PgNiU6iAqt5xk6xBZaJDAVo-Ntt3af79HA5j7U5MzKe_XoJy9i_a3lvsRwTJiEogoHQJ8OmUCYSc0GAcMywhAQLWiGEuYbUE/s200/noise-manga-volume-1-simple-310614.jpg" width="144" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Dans un village que la dépopulation condamne à disparaître, une lueur d’espoir naît : Keita, un agriculteur du coin, a créé une nouvelle espèce de figues qui fait sensation dans tout le Japon grâce aux recommandations d’une star du web ! Avec la couverture médiatique, l’économie locale repart. Keita espère que ce renouveau permettra de rouvrir l’école, ce qui pourrait convaincre sa femme partie à la grande ville de revenir avec leur fille. Mais la paisible bourgade voit son quotidien bouleversé par l’arrivée d’un inconnu à la mine patibulaire, Mutsuo Suzuki. Il dit vouloir travailler comme journalier, seulement son attitude bravache et ses mensonges évidents inspirent la méfiance. Les doutes de Keita se confirment quand son meilleur ami lui apprend qu’il a reconnu l’étranger : condamné il y a plusieurs années pour une affaire de harcèlement et de meurtre, c’est un criminel fraîchement sorti de prison ! Que faire s’il s’installait dans la région ?</span><br />
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Publié aux éditions Ki-oon (7€90)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgPkcS-lVLI_OiuENrUJknyGamrD2tPgiSMgANo43BHT8kBhmiYwpobV2MFV6S5wUfUfIZ2ezV3qqpUdTKnVkO1b5slKhVRLrvp5X0VDEpGOqu9MSybSRoqlAPaCFyRP73CbGOCrsTE_A_4/s1600/princesse-mana-3d.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="656" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgPkcS-lVLI_OiuENrUJknyGamrD2tPgiSMgANo43BHT8kBhmiYwpobV2MFV6S5wUfUfIZ2ezV3qqpUdTKnVkO1b5slKhVRLrvp5X0VDEpGOqu9MSybSRoqlAPaCFyRP73CbGOCrsTE_A_4/s200/princesse-mana-3d.jpg" width="121" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Lorsque Ian devient le garde du corps des prêtresses jumelles Emma et Nico, il s’attend à entamer une quête épique à la recherche du héros qui pourra sauver l’Arbre Mana. Seul problème : les deux sœurs n’ont aucune envie de partir à l’aventure… Forcé à prendre part à cette mission, le groupe improbable enchaînera les rencontres rocambolesques avec des personnages hauts en couleur.</span><br />
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Publié aux éditions Mana Books (6€90) </div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>12 SEPTEMBRE 2018</b></span><br />
<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjS_SfQ_7FJ0xuc9gyJvEjdhks1F7t9oRUaCIgRWT5mh1E7FK50xsdP_EKqcVYIJrhACVmMP3dz3gqY2WCYN2Y-k0wsuTCC9omW_VbeNwXtvTjXj1a8rZMKPX5DKFtDh-PWXIos2aRF1fD/s1600/we-never-learn-manga-volume-1-simple-311935.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1021" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjS_SfQ_7FJ0xuc9gyJvEjdhks1F7t9oRUaCIgRWT5mh1E7FK50xsdP_EKqcVYIJrhACVmMP3dz3gqY2WCYN2Y-k0wsuTCC9omW_VbeNwXtvTjXj1a8rZMKPX5DKFtDh-PWXIos2aRF1fD/s200/we-never-learn-manga-volume-1-simple-311935.jpg" width="127" /></a><br />
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<span style="font-size: x-small;">Nariyuki est un élève de terminale, aussi brillant que pauvre, qui rêve d’obtenir une bourse pour poursuivre ses études dans l’université de son choix. La chance lui sourit lorsque le proviseur propose de la lui accorder... mais à une condition ! Devenir le tuteur des deux génies du lycée, Rizu et Fumino. La tâche aurait dû être des plus faciles, mais les belles demoiselles lui réservent une surprise de taille !</span></div>
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Publié aux éditions Kana (6€79) </div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>13 SEPTEMBRE 2018</b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1vrlYBBlJYBfgCet_BHM2ShUzJurQoMy2w_XdUI8GM7YlSaLuq6K6aGtTjcKRr0-2jfib5ZdVs_Pi_v1a7SFTrm4WrkRhAQ-YuFYZrsHSFbzl9kuMS91XR69N7V8v-mL_eYIYcuAj1rDD/s1600/cobra-couleur-manga-volume-1-simple-311022.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="566" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1vrlYBBlJYBfgCet_BHM2ShUzJurQoMy2w_XdUI8GM7YlSaLuq6K6aGtTjcKRr0-2jfib5ZdVs_Pi_v1a7SFTrm4WrkRhAQ-YuFYZrsHSFbzl9kuMS91XR69N7V8v-mL_eYIYcuAj1rDD/s200/cobra-couleur-manga-volume-1-simple-311022.jpg" width="141" /></a><span style="font-size: x-small;">Cobra est de retour ! Avec toujours la guilde des Pirates à ses trousses. Le célèbre pirate, à la recherche d'un fabuleux trésor, s'introduit dans un musée d'art antique mais le bâtiment se retrouve attaqué par la guilde des Pirates. En effet, Gipsy Doc et ses troupes sont à la recherche d'Utopia More, une jeune chercheuse qui étudie un mystérieux fossile... Cobra parvient à contrecarrer les plans de la Guilde et s'échappe avec la jeune femme. C'est le début d'une aventure qui le mènera face à son pire ennemi...</span><span style="white-space: pre;"> </span></div>
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Publié aux éditions Isan Manga (29€90)</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmjx5dg00HqoH7fNOiFk6zhv4CKLcngJHetiKZv799KezikoKeNkrvxrI-eQWc9oLSSEUKE7YMTl6BiuFr1AlgniduYpdMUWmYhWWddF0cMLNaElaMlsUHQTjYT8JE1-YgyCitDEDvpXZu/s1600/goblin-slayer-manga-volume-1-simple-308823.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1138" data-original-width="800" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmjx5dg00HqoH7fNOiFk6zhv4CKLcngJHetiKZv799KezikoKeNkrvxrI-eQWc9oLSSEUKE7YMTl6BiuFr1AlgniduYpdMUWmYhWWddF0cMLNaElaMlsUHQTjYT8JE1-YgyCitDEDvpXZu/s200/goblin-slayer-manga-volume-1-simple-308823.jpg" width="140" /></a></div>
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<span style="text-align: center;"><span style="font-size: x-small;">La jeune Prêtresse fraîchement devenue aventurière découvre, dès sa première mission, à quel point des monstres aussi faibles que des gobelins peuvent représenter une menace effrayante. Heureusement, un homme en armure se décrivant comme le Goblin Slayer – un crève gobelins – fait son apparition et abat un par un, sans aucune pitié, tous les gobelins qui lui font face pour la tirer de cette mauvaise posture.</span></span></div>
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Publié aux éditions Kurokawa (7€65) <span style="white-space: pre;"> </span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjClU8b7OHCaflyk8uAfYyofIq6nl7xAT0Aj1U5Ty6HCQ6eh5QID6ArJzVGJKqejrqmOnu9n7BNUMiYkK_qIh_vZ2TwLJifQu6AWRwrrU7DRh3fZ3BawybnjpfQYvptUe1jqN3caZy2H6Q4/s1600/good-night-i-love-you-manga-volume-1-simple-312704.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1134" data-original-width="800" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjClU8b7OHCaflyk8uAfYyofIq6nl7xAT0Aj1U5Ty6HCQ6eh5QID6ArJzVGJKqejrqmOnu9n7BNUMiYkK_qIh_vZ2TwLJifQu6AWRwrrU7DRh3fZ3BawybnjpfQYvptUe1jqN3caZy2H6Q4/s200/good-night-i-love-you-manga-volume-1-simple-312704.jpg" width="140" /></a></div>
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<span style="font-size: x-small;">Pour répondre aux dernières volontés de sa mère décédée suite à un cancer, Ozora, étudiant japonais, s’envole pour l’Angleterre avec une lourde tâche : annoncer à ses anciens amis londoniens la mort de cette dernière. À l’occasion de ce voyage forcé en Europe, il découvrira tant de choses, à commencer par le secret de son frère, parti vivre en France il y a quelques années. Réalisant alors qu’il ignorait tout du passé de sa propre famille, Ozora débute une quête identitaire, de pays en pays, de rencontre en rencontre… Véritable road trip initiatique et bienveillant, Goodnight, I Love You… s’impose comme une invitation à découvrir les autres cultures, pour apprendre à se retrouver soi-même.</span></div>
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Publié aux éditions Akata (8€05)</div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>15 SEPTEMBRE 2018</b></span></div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKuSFaOsn_ttinja-E_jFQUkknNRCJgRULqghrmuVPZXgrMeiLz1KiQkBnYFYQVctYw7MO5uwdY_-L66EeTR5ZsOl2VfOsDEWydPGq06zdlnmpEqTU8nFZBicTBqVOtD5l4tKvnyCKA3eT/s1600/kingdom-manga-volume-1-simple-311292.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1131" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKuSFaOsn_ttinja-E_jFQUkknNRCJgRULqghrmuVPZXgrMeiLz1KiQkBnYFYQVctYw7MO5uwdY_-L66EeTR5ZsOl2VfOsDEWydPGq06zdlnmpEqTU8nFZBicTBqVOtD5l4tKvnyCKA3eT/s200/kingdom-manga-volume-1-simple-311292.jpg" width="141" /></a><span style="font-size: x-small;">Dans la Chine de l'époque des Royaumes Combattants qui va du Ve siècle av. J.-C. jusqu'à l'unification des royaumes chinois par la dynastie Qin en 221 av. J.-C), on suit le jeune Shin dans son chemin vers l'accomplissement de son rêve : devenir un Grand Général. Shin est originaire de l'état de Qin, en proie à de nombreux soubresauts aussi bien à l'intérieur du royaume qu'à l'extérieur. À travers l'histoire de Shin, on suit aussi notamment l'histoire de Ei Sei, l'homme qui sera par la suite connu sous le nom de Qin Shi Huang, unificateur de la Chine.</span></div>
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Publié aux éditions Meian (6€95) </div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>19 SEPTEMBRE 2018</b></span><br />
<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiylA2_scVxTB-qtfyxXN3WPcmpRFidAxTwmquCKLOdhyxGTO_KzJhWy__UzQLYT1aN5WYx43v8OAfP3_oAqcFa9eQH97IUq0qyz2fmeVKPBipa9Zw-ViSWh7Gkhv0tdmFTBu-zuwDF2ri6/s1600/le-comte-de-monte-cristo-classiques-en-manga-manga-volume-1-simple-311940.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1168" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiylA2_scVxTB-qtfyxXN3WPcmpRFidAxTwmquCKLOdhyxGTO_KzJhWy__UzQLYT1aN5WYx43v8OAfP3_oAqcFa9eQH97IUq0qyz2fmeVKPBipa9Zw-ViSWh7Gkhv0tdmFTBu-zuwDF2ri6/s200/le-comte-de-monte-cristo-classiques-en-manga-manga-volume-1-simple-311940.jpg" width="145" /></a><span style="font-size: x-small;">Une conspiration et une erreur judiciaire transforment le noble Edmond Dantès en un implacable agent du destin : le Comte de Monte-Cristo. Obsédé par la vengeance et le pouvoir donné par la providence, le Comte prend sa revanche sur ceux qui l’ont enfermé dans un sombre cachot pendant quatorze années. Cependant, s’agit-il de justice ou d’orgueil démesuré ? Le Comte le sait-il lui- même ? Une trépidante saga aux multiples rebondissements mêlant intrigues et trahisons, dans un conflit entre le bien et le mal !</span></div>
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Publié aux éditions Nobi Nobi (10€75) </div>
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<div style="orphans: 2; text-align: justify; text-decoration-color: initial; text-decoration-style: initial; text-indent: 0px; widows: 2;">
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; color: black; font-family: "Times New Roman"; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
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<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; color: black; font-family: "Times New Roman"; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
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<div style="font-style: normal; letter-spacing: normal; margin: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<div style="text-align: center;">
<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>20 SEPTEMBRE 2018</b></span></div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>
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<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; color: black; font-family: "Times New Roman"; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKLoVdT6NgaODnulcDW_s-7aKI3xk__6N3S_X-QVFNfseGHNxdP9sU1wCcjKPsjt9JId1Xoeh9UjxcP7dc8NC3FJhDksdxfht0ub-sLutzoGNRzSEZzKqkgPMxtXyrUwipd4cu4b8hwLhr/s1600/L%25E2%2580%2599Auto-ecole_Moriyama-chu.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="598" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKLoVdT6NgaODnulcDW_s-7aKI3xk__6N3S_X-QVFNfseGHNxdP9sU1wCcjKPsjt9JId1Xoeh9UjxcP7dc8NC3FJhDksdxfht0ub-sLutzoGNRzSEZzKqkgPMxtXyrUwipd4cu4b8hwLhr/s200/L%25E2%2580%2599Auto-ecole_Moriyama-chu.jpg" width="140" /></a><span style="font-size: x-small;">L'Auto-école Moriyama-chû (Moriyama-chû kyôshûjo) évoque les déboires d'un jeune homme apathique qui s'éveille aux autres grâce aux marginaux qui fréquentent une auto-école non-homologuée.</span></div>
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Publié aux éditions Le lézard noir (13€00) </div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>21 SEPTEMBRE 2018</b></span><br />
<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfWWu6XCnzM4wynVItpYndoE4ooY180cae2ZyA5y1IcB2Xl7c9hyphenhypheny6_qJVnqLzcKQeov5sYYxDnWkRB1ojBUswn3VfbSC8JWK9Uqu5TwqlClW0W-3ahSxuj8vvhLaE7YqLNpZFRzG4o3l1/s1600/fool-s-paradise-manga-volume-1-simple-307248.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1136" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfWWu6XCnzM4wynVItpYndoE4ooY180cae2ZyA5y1IcB2Xl7c9hyphenhypheny6_qJVnqLzcKQeov5sYYxDnWkRB1ojBUswn3VfbSC8JWK9Uqu5TwqlClW0W-3ahSxuj8vvhLaE7YqLNpZFRzG4o3l1/s200/fool-s-paradise-manga-volume-1-simple-307248.jpg" width="141" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">La super-idole Sela Hiiragi a été gravement blessée dans un attentat à la bombe. Tout le monde pense que l'auteur des faits pourrait être Kazutaka Nichiya, un garçon ayant commis plusieurs attentats à la bombe quelques années plus tôt, alors qu'il avait 13 ans. Après cet incident, l'amour qu'éprouvent les fans pour Sela fait place à une haine collective à l'égard du criminel. Comment empêcher que le chaos se propage ? Dans un pays devenu incontrôlable, la police aura fort à faire pour retrouver le criminel et apaiser les tensions...</span></div>
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Publié aux éditions Kana (prix de lancement 5€95) </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhumC7VpBbSQI40K_YfDJAH8V2PSwZA7IJwhwK9fADfUbas62PDPpOnTNG8QCuatrQ1KflrGnowJ8ELDbBIU4PYAYNK9hXk-XSwz2bW_sXWL1cJAKNoPIT9aSSSMPlSZnurVexde7Ndtj9T/s1600/my-teen-romantic-comedy-is-wrong-as-i-expected-manga-volume-1-simple-282834.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1000" data-original-width="721" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhumC7VpBbSQI40K_YfDJAH8V2PSwZA7IJwhwK9fADfUbas62PDPpOnTNG8QCuatrQ1KflrGnowJ8ELDbBIU4PYAYNK9hXk-XSwz2bW_sXWL1cJAKNoPIT9aSSSMPlSZnurVexde7Ndtj9T/s200/my-teen-romantic-comedy-is-wrong-as-i-expected-manga-volume-1-simple-282834.jpg" width="143" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">« La jeunesse, c’est le mal ! » Le jeune Hachiman a une vision des plus pessimistes de la vie. De toute façon, sa situation actuelle ne le pousse guère à déborder d’optimisme : pas d’amis, pas de petite amie et sa capacité à envisager l’avenir est totalement nulle. Pour le faire changer, sa conseillère d’orientation le pousse à rejoindre le « Club des Volontaires » qui vise à aider les lycéens à résoudre leurs problèmes et à réaliser leurs rêves. Néanmoins, ses ennuis ne font que commencer : déjà forcé à se remettre en question, Hachiman apprend qu’il doit coopérer avec Yukino, une élève, aussi brillante que sarcastique et antipathique, qui ne lui laissera aucun répit. La rencontre de ces deux lycéens aux caractères si différents risque de créer des étincelles.</span></div>
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Publié aux éditions Ototo (6€99) </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgx__pvdGOoVQg-r8GF2mgKXEMLShSIc0bufbpmbaInmI_aDOhp6mn4SZhwDGNh5t-N39RfTy2A5YX1aoSXNiVFNlyjB1HhYpW70XQ7KHQQIcdIffyCxt5cLS2OU7OHj-hIdZsFVC_hGyT-/s1600/psycho-pass-2-manga-volume-1-simple-307244.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1129" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgx__pvdGOoVQg-r8GF2mgKXEMLShSIc0bufbpmbaInmI_aDOhp6mn4SZhwDGNh5t-N39RfTy2A5YX1aoSXNiVFNlyjB1HhYpW70XQ7KHQQIcdIffyCxt5cLS2OU7OHj-hIdZsFVC_hGyT-/s200/psycho-pass-2-manga-volume-1-simple-307244.jpg" width="140" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Même après avoir apprit la véritable nature du système Sybil, Akane Tsunemori choisit de lui obéir et de croire en l’humanité et à ce système juridique. La société est donc toujours régie par le « Psycho Pass », un procédé de numérisation des émotions et des inclinaisons psychologiques humaines. Au sein de la brigade de Sécurité Publique, chargée d’arrêter les criminels qui enfreignent cette réglementation numérique, Akane Tsunemori et ses équipiers vont être confrontés à une personne pouvant ébranler le système tout entier.</span></div>
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Publié aux éditions Kana (7€45) </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjDSdlE_4N3237I9TfsduF5M_ovQlaWLAGwHm7p00MBl2tMFOMTRaOEEhEP15chc9L2RWzBt2PhhdlkQcUEnqSOa-ydmvfobET8Zi1ZkSApFRFUEYCsgoJAR1HIO4K_8myk5nsIy7IC6xk/s1600/hanaotoko-manga-volume-1-simple-307235.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1132" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjDSdlE_4N3237I9TfsduF5M_ovQlaWLAGwHm7p00MBl2tMFOMTRaOEEhEP15chc9L2RWzBt2PhhdlkQcUEnqSOa-ydmvfobET8Zi1ZkSApFRFUEYCsgoJAR1HIO4K_8myk5nsIy7IC6xk/s200/hanaotoko-manga-volume-1-simple-307235.jpg" width="141" /></a></div>
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<span style="font-size: x-small;">Shigeo est un élève très studieux qui vit seul avec sa mère. Alors que les vacances d'été débutent, il est contraint d'aller vivre chez son père, Hanao. Ce dernier est un trentenaire qui a quitté le foyer pour devenir joueur de base-ball professionnel dans l'équipe des Tokyo Giants. Tout oppose ce père rêveur qui est resté un grand enfant et son fils, plus terre-à-terre, qui ne pense qu'à ses études. Finalement, il se pourrait bien que Shigeo découvre que l'apprentissage de la vie ne se fait pas qu'à l'école...</span></div>
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Publié aux éditions Kana (12€70) </div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>24 SEPTEMBRE 2018</b></span></div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpy_GCPYvyf85CZ0yRAFMbRrryYrdeg91M3LYiSFbep_fXsqLHArHRfPd1rulOy4ts93C4C_Xp9pM-kaBctuq-vmc2bj1JKkjtrbu2W7ynZ2fmO6_L5sT-H6Lv3CgCw8Vp8SK-6RKINEAd/s1600/Blue-Sky-Complex-1-idp.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="614" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpy_GCPYvyf85CZ0yRAFMbRrryYrdeg91M3LYiSFbep_fXsqLHArHRfPd1rulOy4ts93C4C_Xp9pM-kaBctuq-vmc2bj1JKkjtrbu2W7ynZ2fmO6_L5sT-H6Lv3CgCw8Vp8SK-6RKINEAd/s200/Blue-Sky-Complex-1-idp.jpg" width="144" /></a><span style="font-size: x-small;">Tout ce que désire Narasaki, c'est un endroit où lire ses bouquins tranquillement. Son voeu est exaucé lorsqu'un professeur lui demande de travailler à la bibliothèque après les cours mais le hic, c'est qu'il n'est pas seul. Il devra tenir compagnie à Terashima, un délinquant dont la réputation n'est plus à faire au sein de l'établissement. Contre toute attente, les deux jeunes hommes ne prononcent pas un seul mot durant des heures. Au fil des jours, l'étrange ambiance qui règne dans la bibliothèque va intriguer Narasaki, qui va petit à petit s’intéresser à Terashima. Mais les vacances d'été arrivent et, avec elles, la fin de leur surveillance à la bibliothèque. Les deux garçons ne se fréquenteront probablement plus... à moins qu'un des deux ne décide de faire un pas vers l'autre.</span></div>
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Publié aux éditions IDP (7€95) </div>
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<span style="font-size: x-small;">Suite aux recommandations de son ami Ishihara, Kobayashi change de boîte, des étoiles plein les yeux. Malheureusement, tout ne se passe pas comme prévu et le jeune homme est très vite déçu. Alors qu’il raconte ses déboires à Ishihara dans un bar, ce dernier en profite pour lui suggérer de ses changer les idées… Akaishi n’est pas seulement beau. Il possède également un étrange pouvoir qui lui permet de communiquer avec les défunts. C’est d’ailleurs la célébrité locale dans le petit village de Tadano, où tous les habitants le surnomment « Dieu ». Dans une mini-série en plusieurs chapitres, découvrez les aventures paranormales de « Dieu » et de son entourage.</span></div>
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Publié aux éditions IDP (7€95) </div>
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<span style="font-size: x-small;">Rikiya Higuchi est un jeune étudiant de dix-huit ans timide qui rêve d'avoir un petit ami. Pour décider de changer sa vie, il s'inscrit sur un site de rencontres. Malheureusement, sa première expérience est un véritable désastre, et Rikiya se retrouve piégé par celui qu'il pensait être son ami. Involontairement, il passe un contrat avec démon qui lui promet de réaliser un de ses voeux... Mais une fois le vœu réalisé, le démon décide de rester sur Terre... et surtout, chez Rikiya ! Commence alors une vie mouvementée pour Rikiya, qui va devoir jongler entre sa vie avec un démon et son majordome et son quotidien d'étudiant à l'université...</span></div>
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Publié aux éditions IDP (7€95)</div>
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<span style="font-size: x-small;">Dans ce monde où humains et vampires cohabitent en paix, Yayoi éprouve des sentiments pour Chitose Hyûga, un vampire au sang pur de sa classe. Succombant au charme du vampire en question, Yayoi le laisse se nourrir de son sang. Sentir ses crocs se planter dans sa chair et sa langue courir délicatement sur sa peau ne le laisse pas indifférent même si, pour Chitose, le jeune homme ne représente rien d’autre que « son repas »…</span></div>
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Publié aux éditions IDP (7€95) </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1sjvyuXvy-QjQJ3gtvvPF-veJK6xcup7VO7Ib-Q1jrMOZjTechgqA9akDbfZrsps1zzSwIiB9aHiwo6EEVaoPMSbSpvUx2SI2euTMAlFr45IqXy2e0iZorD5zQgX3i8TSqgPLiw8Rhy1O/s1600/how-to-keep-lonely-dog-idp.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="614" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1sjvyuXvy-QjQJ3gtvvPF-veJK6xcup7VO7Ib-Q1jrMOZjTechgqA9akDbfZrsps1zzSwIiB9aHiwo6EEVaoPMSbSpvUx2SI2euTMAlFr45IqXy2e0iZorD5zQgX3i8TSqgPLiw8Rhy1O/s200/how-to-keep-lonely-dog-idp.jpg" width="144" /></a><span style="font-size: x-small;">Shirose, élève d'une université prestigieuse, a aussi une autre facette. Il est en vérité "Yûto", un sadique célèbre dans le milieu des bars gays. Alors que tout le monde est à son service aujourd'hui, il fut néanmoins victime de brimades au collège. Un jour, il rencontre dans son bar préféré un de ses anciens camarades. Son nom est "Yûto Maki"… Que va faire Shirose face à cet homme qui a tant compté pour lui à l'époque, mais qui est également à l'origine de son plus grand traumatisme…?</span></div>
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Publié aux éditions IDP (7€95) </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuEouORbLXSJkjvgYiXdtgE_IY9NJ0QPaVryBj_h2BKvyqOlkXy7uCP9JRdHcEYBcgq-kLhf24guhZmdgxcyyMfFA4AlCU9wHZIFKz-4d2cBuc2-jCXhs7MoZfDpyK0F9wn7EioLL-TYU6/s1600/Kakurenbo_Honey_idp.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; display: inline !important; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="1066" data-original-width="770" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuEouORbLXSJkjvgYiXdtgE_IY9NJ0QPaVryBj_h2BKvyqOlkXy7uCP9JRdHcEYBcgq-kLhf24guhZmdgxcyyMfFA4AlCU9wHZIFKz-4d2cBuc2-jCXhs7MoZfDpyK0F9wn7EioLL-TYU6/s200/Kakurenbo_Honey_idp.jpg" width="144" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Abandonné par sa mère lorsqu’il était encore enfant, Mitsurô a juré de vouer sa vie au clan Hachi. À présent, il s’occupe de leur futur héritier, sans jamais penser à lui. Rembourser sa dette au clan est tout ce qui compte pour lui. Il ne s’est d’ailleurs jamais intéressé à Suzume Amatobi, héritier du clan Amatobi, qui lui fait pourtant ouvertement des avances depuis plusieurs années. Mais ça, c’était avant que les événements ne tournent en sa défaveur, l’empêchant de prendre son traitement alors qu’il se trouvait seul avec le jeune homme… Replongez-vous dans l’univers d’Abarenbo Honey et explorez le passé de Mitsurô, qui ne croit pas du tout en l’amour. La sincérité et l’obstination du jeune Suzume parviendront-elles à le faire changer d’avis ?</span></div>
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Publié aux éditions IDP (7€95)</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgM0yDCwWLZn4nsYCTfS7Mh_berEV97-kQ0O044ml73Ow-PArXEXZVYXjfCGtS2Pc-z6QnUT8PXf_C40q4MazWAR95kn3gmzvlf98AJbBR5BkbdrdOi4mfIxvFnhTljM2GfeTvTKy6Uo1we/s1600/reve-de-coucou-1-idp.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="614" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgM0yDCwWLZn4nsYCTfS7Mh_berEV97-kQ0O044ml73Ow-PArXEXZVYXjfCGtS2Pc-z6QnUT8PXf_C40q4MazWAR95kn3gmzvlf98AJbBR5BkbdrdOi4mfIxvFnhTljM2GfeTvTKy6Uo1we/s200/reve-de-coucou-1-idp.jpg" width="144" /></a></div>
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<span style="font-size: x-small;">Depuis des années, Natsuka est amoureux de son ancien camarade d'école, Hakushima. Mais son amour a toujours été à sens unique, et Natsuka n'a jamais osé lui avouer son homosexualité de peur de perdre également son amitié. Pour échapper à ses sentiments persistants, il fréquente quelqu'un d'autre, un garçon de son âge nommé Seno, qu'il ne voit que pour le sexe. </span><span style="font-size: x-small;">Mais lors d'un accident, Hakushima et Seno tombent tous les deux dans le coma. Natsuka attend avec impatience le réveil de Hakushima, mais c'est Seno qui reprend conscience en premier… jurant ses grands dieux qu'il s'appelle Hiro Hakushima ! L'amour de Natsuka pour Hakushima va-t-il au-delà du corps que celui-ci occupe ? Quel futur peut bien les attendre ?</span></div>
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<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: justify; text-decoration-color: initial; text-decoration-style: initial; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px;">
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<span style="font-family: inherit;">Publié aux éditions IDP (7€95) </span></div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>26 SEPTEMBRE 2018</b></span></div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLmcgeBmIoakeOIhksrsxC3HU9ksjWFYnw95VAcZf7LhUHlv_jD-DDZqIJj_vcdUWb3QoYhzhgWtxno6IkR-QIiN5-WFXj-jdwiSXlg8OZu0CFiJZ4MSvJIigVZYyiGgGW7h0hm2LxOivb/s1600/descendants-rotten-the-core-1-nobi.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="567" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLmcgeBmIoakeOIhksrsxC3HU9ksjWFYnw95VAcZf7LhUHlv_jD-DDZqIJj_vcdUWb3QoYhzhgWtxno6IkR-QIiN5-WFXj-jdwiSXlg8OZu0CFiJZ4MSvJIigVZYyiGgGW7h0hm2LxOivb/s200/descendants-rotten-the-core-1-nobi.jpg" width="133" /></a></div>
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<span style="font-size: x-small;">Afin d’être punis, tous les pires méchants de l’histoire sont désormais prisonniers de l’île de l’Oubli, un endroit sans magie dont il est impossible de s’échapper. C’est pourquoi les enfants de Maléfique, la Méchante reine, Jafar et Cruella d’Enfer n’ont jamais pu s’aventurer à l’extérieur de l’île... jusqu’à aujourd’hui ! Invités dans le par fait royaume d’Auradon, ils vont en effet se retrouver à devoir aller dans la même école que les enfants de nos héros Disney préférés. Mais Mal, Evie, Jay et Carlos auront surtout pour tâche d’exécuter le plan machiavélique de leurs parents pour que ces derniers puissent répandre la terreur à nouveau. Nos jeunes adolescents rebelles vont-ils suivre les traces de leurs horribles parents ou choisiront-ils d’écouter la bonté de leur cœur et de sauver le royaume ?</span></div>
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Publié aux éditions Nobi Nobi (9€90) </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4IaN-WaHIz-_Z7_Y26fx_6OBlW1QYRgh1a21bU_d6k7MOvjes1vsOoHi9KiKrFNUdV3B9tW_5R8qMW59l2ktFQWrNS5LsHE1sc6Av3MVpC2B8EF0R7bkp-LCGG4038V7X-CgHbjpQulXU/s1600/la-fille-du-temple-aux-chats-manga-volume-1-simple-311172.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1132" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4IaN-WaHIz-_Z7_Y26fx_6OBlW1QYRgh1a21bU_d6k7MOvjes1vsOoHi9KiKrFNUdV3B9tW_5R8qMW59l2ktFQWrNS5LsHE1sc6Av3MVpC2B8EF0R7bkp-LCGG4038V7X-CgHbjpQulXU/s200/la-fille-du-temple-aux-chats-manga-volume-1-simple-311172.jpg" width="141" /></a><span style="font-size: x-small;">Gen décide de quitter son cocon familial et d'intégrer un lycée à la campagne où il a vécu étant tout petit. Il retrouve sa grand-mère et s'installe dans le vieux temple où vit déjà Chion, une jeune femme d'une vingtaine d'année. Cette cousine éloignée a pris la succession de la grand-mère et garde un excellent souvenir de Gen, enfant. Leur complicité enfantine aurait-elle survécu à toutes ces années ?</span></div>
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Publié aux éditions Soleil (7€99) </div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>27 SEPTEMBRE 2018 </b></span></div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b><br /></b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJfGF0iyc6dlh2Dpt5KLXqTJBs6zcpg6u1-uosB3P5HMMmaVmHzjQ-sFpkJ9HvHjU9CgUh0EmlpXzgqBHFZzuSGaJ0aCSy09G1Ls2qRyyOQTKhCLpbu9PKkv3aKvMpTw3MeVlUD9u4fg-S/s1600/ginza-neon-paradise-taifu.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1000" data-original-width="722" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJfGF0iyc6dlh2Dpt5KLXqTJBs6zcpg6u1-uosB3P5HMMmaVmHzjQ-sFpkJ9HvHjU9CgUh0EmlpXzgqBHFZzuSGaJ0aCSy09G1Ls2qRyyOQTKhCLpbu9PKkv3aKvMpTw3MeVlUD9u4fg-S/s200/ginza-neon-paradise-taifu.jpg" width="144" /></a><span style="font-size: x-small;">Trois ans ont passé depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, mais Aoi n’a toujours aucune nouvelle de son ami d’enfance parti au front : Takahito. Pourtant, un soir comme tant d’autres, un homme apparaît à l’entrée du club qu’il fréquente. Cette silhouette qui lui semble si familière n’est autre que Takahito. D’abord surpris, Aoi ne peut contenir sa rage quand ce dernier lui dit avec un certain détachement qu’il est rentré il y a de ça deux ans, mais qu’il n’a pas trouvé le temps de prévenir ses proches. En l’espace de quelques secondes, Aoi laisse alors éclater toute la souffrance qu’il a dû supporter durant ces deux dernières années. Qu’est-il arrivé à son ami après la guerre ? Pourquoi il n’a donné aucun signe de vie ? Désormais, Aoi veut des réponses aux nombreuses questions qui le tiraillent.</span></div>
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Publié aux éditions Taifu (8€99) </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVo1T535YiFBuitqrid7IdQImOEXimlZv7c3hb0RK2kFPySev7p1su1E4M2N4Amuvit72S6_7Ji_Kmh99sDF0vPfAxceiLzMq4EKtCp7yezLQICnQHSPBIEeC1GGKVpF9N74kLT3iWXG0R/s1600/marion-1-komikku.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgVo1T535YiFBuitqrid7IdQImOEXimlZv7c3hb0RK2kFPySev7p1su1E4M2N4Amuvit72S6_7Ji_Kmh99sDF0vPfAxceiLzMq4EKtCp7yezLQICnQHSPBIEeC1GGKVpF9N74kLT3iWXG0R/s200/marion-1-komikku.jpg" width="144" /></a><span style="font-size: x-small;">Paris, 1940. Marion est une môme des rues. Montée à la capitale pour de mauvaises raisons, elle est la meneuse d'une bande de garnements qui détrousse les gens. Mais un jour, son destin va basculer. Aaron Rosenberg est compositeur et il est le directeur musical du Doelion, un des plus prestigieux music-halls de Paris. Il monte un spectacle sur Jeanne d'Arc, mais à un mois de la première il n'a toujours pas de chanteuse principale. Alors qu'il se promène dans la rue, il entend Marion chanter et il est totalement époustouflé par sa voix. Il lui propose le rôle sur un coup de tête, mais la jeune fille est très méfiante. Alors que l'armée allemande est aux portes de Paris, une aventure incroyable va débuter pour Marion !</span></div>
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Publié aux éditions Komikku (8€50) </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZt4yPhOIP1tw1GODm9deP5M3C3hGZlYxNXwiofh5KnU_aKMqIoKHDTLeTH8E-oMQV13nGwKiO-Dv296sDqWaW3NCxjZNavW920EzxAd75nw9-lVbS7LKRDkjxEJ9F3g7_wiixz9x3TTiJ/s1600/mon-pere-alcoolique-moi-akata.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="571" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZt4yPhOIP1tw1GODm9deP5M3C3hGZlYxNXwiofh5KnU_aKMqIoKHDTLeTH8E-oMQV13nGwKiO-Dv296sDqWaW3NCxjZNavW920EzxAd75nw9-lVbS7LKRDkjxEJ9F3g7_wiixz9x3TTiJ/s200/mon-pere-alcoolique-moi-akata.jpg" width="140" /></a></div>
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<span style="font-size: x-small;">Mariko est aujourd'hui autrice de mangas. Mais sa vie n'a pas été facile : élevée dans un foyer peu aimant, entre un père alcoolique et une mère embrigadée dans une secte, elle a dû grandir trop tôt… Découvrez dans son autobiographie comment, de la petite enfance jusqu'à sa vie d’adulte, elle a lutté quotidiennement pour trouver sa place dans ce monde. Mariko Kikuchi raconte donc sa vie, son quotidien, de la petite enfance jusqu'à aujourd'hui. Au détour de la question de l'alcoolisme, de nombreuses autres thématiques seront abordées ou évoquées, de manière plus ou moins approfondies : violences faites aux femmes, société patriarcale, hypocrise du monde des adultes, pression sociale pour faire des enfants, dérives sectaires, déni, enfermement psychologique, culpabilité… et pardon ?</span></div>
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Publié aux éditions Akata (9€65) </div>
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>DIVERS</b></span><br />
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- <u>07 septembre 2018</u>: roman "Boruto - Naruto next generation" aux éditions Kana (8€75)<br />
- <u>13 septembre</u> : light novel "Goblin Slayer" aux éditions Kurokawa (9€90)<br />
- <u>19 septembre</u> : anime comics "Dragon Ball Z - 8e partie" aux éditions Glénat (7€60)<br />
- <u>20 septembre</u> : guide book "The Ancient Magus Bride" aux éditions Komikku (9€90)<br />
- <u>27 septembre</u>: guide book "Minuscule - World Guide" aux éditions Komikku (10€90)<br />
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<span style="color: #783f04; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: large;"><b>MES ATTENTES </b></span><br />
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Je dois avouer être assez séduite par le <i>pitch</i> et les graphismes de <u style="font-weight: bold;">Goodnight, I love you...</u>, un titre qui a tout pour me plaire. Je confesse avoir un faible pour ce genre de scénario où deuil et réalisation de soi dans "l'après" se confondent, car cela donne majoritairement des choses touchantes. Difficile de ne pas craquer pour l'adorable couverture de <u style="font-weight: bold;">La fille du temple aux chats</u>, bien qu'ici le synopsis en dit moins sur le contenu. Je pense donner sa chance à ce <i>manga</i> qui pourrait être mignon ou apaisant, voire les deux si la pêche est bonne. Pour finir, je prends avec des pincettes <u style="font-weight: bold;">Marion</u>, car je ne peux pas affirmer être une grande amatrice des <i>mangas </i>de <i>Komikku</i> dont la qualité des titres à me toucher laisse souvent à désirer, pour ma part en tout cas. Malgré tout, je suis toujours très intéressée par les récits se déroulant sous l'occupation, aussi, je ne peux refréner ma curiosité. Conclu en seulement deux tomes au Japon, le titre a de plus peu d'arguments qui le feraient pencher du mauvais côté de la balance. </div>
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Après avoir été séduite par <u style="font-weight: bold;">L'île errante</u>, j'ai une grosse envie de me procurer <u style="font-weight: bold;">Les errances d'Emanon</u> (suite des <u style="font-weight: bold;">Souvenirs d'Emanon</u>, sorti en début d'année chez nous), qui m'a l'air d'être un ouvrage vraiment renversant. Avec plus de réserves, je ne pense pas que <u style="font-weight: bold;">Kingdom</u> sera mien, mais son scénario magistral et surtout son succès retentissant au Japon me donne envie de m'y pencher. Le tout nouvel éditeur <i>Meian</i> semble en tout cas y croire en y mettant les moyens avec de jolis coffrets "intégrales" qui devraient faire de belles décos de bibliothèque. Pour finir, je place enfin mon petit titre romantique (pourquoi corriger cette habitude ?) avec <u style="font-weight: bold;">Rêve de coucou</u>... Je trouve la couverture sublime. Le scénario, je ne sais pas trop, mais ce <i>manga</i> m'attire beaucoup. Le titre pourrait délivrer un joli message s'il va aussi loin que le sous-entend le synopsis de l'éditeur. </div>
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Sur ce, je vous souhaite de jolies lectures ce mois-ci également 🕮</div>
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-2726674244022623492018-08-26T17:14:00.001+02:002018-08-26T17:14:33.444+02:00 Challenge Manga Suki : Juin Partie II<div style="text-align: justify;">
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbUokivMpH7190mqZMLi0cz2SukhsBWmzU-RE8hDZL_6hyphenhyphenlNSf_gtmGmy7Sqw84nhcqrudmV0MRfmU8qKOUh3OxehV7CJPUwOL27Q-ns0WU-NASXOYWzoUq3J0qqZYUtK9GWLpkO1vxguA/s1600/p20618.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbUokivMpH7190mqZMLi0cz2SukhsBWmzU-RE8hDZL_6hyphenhyphenlNSf_gtmGmy7Sqw84nhcqrudmV0MRfmU8qKOUh3OxehV7CJPUwOL27Q-ns0WU-NASXOYWzoUq3J0qqZYUtK9GWLpkO1vxguA/s1600/p20618.jpg" /></a></div>
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<a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">présentation du challenge</a></div>
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< <a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2018/08/challenge-manga-suki-juin-partie-i.html">partie précédente</a></div>
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<a name='more'></a><div style="text-align: justify;">
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Suite à une première partie enflammée, nous conclurons ce petit bout de challenge par six textes, dont le mien, parlant de découvertes en ce mois où le sport était au centre des recherches. </div>
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Bonne lecture !</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsoPEfVjQxH751yb9D0RYwZELYCtaZQgKKwm7lGmgfslGemtAMFl3WNBd3pQ1X87P1Vsa_ZA6kw_n3lbd1VYNL3gzOFX_N3L0d8lWfjTj2qXKEcKaJ1TJoHCeHv8zPBKbLAATQriBFlvDi/s1600/Chihayafuru+%2528Aki%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsoPEfVjQxH751yb9D0RYwZELYCtaZQgKKwm7lGmgfslGemtAMFl3WNBd3pQ1X87P1Vsa_ZA6kw_n3lbd1VYNL3gzOFX_N3L0d8lWfjTj2qXKEcKaJ1TJoHCeHv8zPBKbLAATQriBFlvDi/s1600/Chihayafuru+%2528Aki%2529.jpg" /></a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBpJT5TqQIr5dZEnHXO5nBkO9c63_8yReGirz1ekZKFcocqwb5hrDF98nXreh8QRPAVrwLi5Hv-tUQTr2eKm6VmH-xrqq3MpyNFhOd2A3OIdPmWTTHE-a4qMucxtQE95SvMFYsYIhVdPL3/s1600/chihayafuru-1-pika.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="399" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBpJT5TqQIr5dZEnHXO5nBkO9c63_8yReGirz1ekZKFcocqwb5hrDF98nXreh8QRPAVrwLi5Hv-tUQTr2eKm6VmH-xrqq3MpyNFhOd2A3OIdPmWTTHE-a4qMucxtQE95SvMFYsYIhVdPL3/s200/chihayafuru-1-pika.jpg" width="132" /></a></div>
Avez-vous déjà entendu parler du <i>karuta </i>? Il est fort probable que non car il s’agit d’un jeu typiquement japonais, bien souvent méconnu de nous autres occidentaux. Le <i>karuta</i> est un jeu de cartes sur lesquelles on retrouve les 100 poèmes <i>hyakunin isshu</i>. Un récitant lit la première partie d’un des 100 poèmes, tandis que les 2 joueurs doivent trouver la carte correspondant à la deuxième partie du poème en train d’être lu : le plus rapide gagne. Je ne vous en dis pas plus car malgré cette brève présentation, ce jeu se révèle être un sport bien plus complexe qu’il n’en a l’air ! Mémorisation, rapidité, stratégie, technique, adaptabilité : le<i> karuta</i> fait appel à toutes ces composantes. Devenir la meilleure joueuse du Japon ne sera pas chose aisée pour notre héroïne <i>Chihaya</i> !</div>
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<i>Chihaya</i> débute comme nous lecteur et lectrice, en totale novice. Elle va découvrir le <i>karuta</i> grâce à un de ses camarades de primaire, <i>Arata</i>, qui va lui transmettre sa passion pour ce sport. Bien vite va se former un petit trio d’amis, composé de <i>Chihaya</i>, <i>Arata</i> et <i>Taichi</i>, réunis autour de leur nouvelle passion commune. Malheureusement la réalité va les rattraper et ils seront séparés car allant dans des collèges différents, mais <i>Taichi</i> et <i>Chihaya</i> se retrouvent au lycée, ce qui réveillera en eux les souvenirs de cette douce époque.</div>
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<b><span style="color: #76a5af;"><u>Chihayafuru</u> est un manga à la frontière des genres. Il possède les composantes d’un manga sportif avec les explications sur le <i>karuta</i> et ses différents aspects et tactiques</span></b>, la volonté de gagner, le dépassement de soi, l’esprit d’équipe… mais pas uniquement ! Car en effet quand on ne regarde que les couvertures il est difficile de deviner que <u><b>Chihayafuru</b></u> parle de sport. Colorées, douces et florales, les premières de couverture renvoient l’image d’un <i>shojo</i> et c’est ce même style de dessin que l’on va retrouver à l’intérieur des tomes. Le trait est fin, voire presque raffiné pour certains personnages et les visages très expressifs. À cela s’ajoute un découpage dynamique qui sait nous tenir en haleine durant les matchs. Fan de <i>shojo</i> ou de <i>shonen</i>, <u><b>Chihayafuru</b></u> saura vous ravir dans tous les cas !</div>
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Un autre point qui me semble important d’aborder est la mixité du <i>karuta</i>. Bien sûr ce sport peut être pratiqué par les femmes comme par les hommes, mais une de ses particularités est que les matchs peuvent être mixtes ! C’est le cas dans la plupart des compétitions, et ça fait du bien de voir hommes et femmes sur un pied d’égalité dans un sport. </div>
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Comme les tournois sont mixtes, cela donne des occasions au trio de s’affronter en compétition officielle. L’intrigue est centrée sur les trois amis, et plus particulièrement sur <i>Chihaya</i>, mais d’autres personnages importants gravitent autour d’eux, apportant plus de profondeur au récit. Tous ces personnages ont quelque chose bien à eux qui nous permet de les différencier des autres en un coup d’œil, je pense par exemple aux autres membres du club de <i>karuta</i> du lycée de <i>Chihaya</i> et <i>Taichi</i>, leur ancien professeur de <i>karuta</i> au primaire ou encore leurs adversaires en compétition.</div>
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Avec ses trente-huit volumes parus au Japon et vingt-quatre en France, commencer <u><b>Chihayafuru</b></u> peut faire peur. Malgré les dix ans de publication, la série ne s’essouffle pas et on prend toujours plaisir à suivre les péripéties de <i>Chihaya</i> et ses amis. Tous les tomes ne sont pas au même niveau, mais il y a toujours un petit quelque chose qui redonne de l’attrait pour ce titre. Alors n’hésitez plus, vous avez toutes les cartes en main pour commencer <u><b>Chihayafuru</b></u> !<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifRwDcqaHUZhz_y0fERKTOlGBYgAM8fzX0tSjq19j22svygqu2pcIrYyoOJOHYxlZR-CCIDrZ8GFrifZF7f5A6dp59VLwtTQHZfxwr0FS9FuNKGy29-gwGlIaQmPT05xhkhpws10VM09MG/s1600/Effleurer+le+ciel+%2528Euphox%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifRwDcqaHUZhz_y0fERKTOlGBYgAM8fzX0tSjq19j22svygqu2pcIrYyoOJOHYxlZR-CCIDrZ8GFrifZF7f5A6dp59VLwtTQHZfxwr0FS9FuNKGy29-gwGlIaQmPT05xhkhpws10VM09MG/s1600/Effleurer+le+ciel+%2528Euphox%2529.jpg" /></a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhz-wAxoT1ZW1rhn6JYlzUrr9BLQ7oR1n9gI38gcCdlVBLlJdRqmqz4H8fw08pKn92KbrOU-oWEagZ0nknzHnHQO2gDks4QZXHbEA9NXanyZMmmGWZDKyg16B0vkziB7FAcTDIHjGuxvBJS/s1600/Effleurer-le-ciel-mari-okazaki-delcourt.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="382" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhz-wAxoT1ZW1rhn6JYlzUrr9BLQ7oR1n9gI38gcCdlVBLlJdRqmqz4H8fw08pKn92KbrOU-oWEagZ0nknzHnHQO2gDks4QZXHbEA9NXanyZMmmGWZDKyg16B0vkziB7FAcTDIHjGuxvBJS/s200/Effleurer-le-ciel-mari-okazaki-delcourt.jpg" width="126" /></a>Bien le bonjour jeunes gens, aujourd'hui nous nous retrouvons en ce milieu de challenge. Et oui, nous sommes déjà au mois de juin, et je n’ai pas vu ce challenge passer. Cependant, trêve de mondanité, passons directement à la thématique du mois. Alors, concernant l’opus que je compte vous présenter, je dois vous avouer me l’être procuré dès le début de l’année. Et c’est en ce mois de transition entre le printemps et l’été, que je décide de vous emmener quelques mois en arrière, où les températures étaient moins festives.</div>
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Il s’agit de « <u><b>Effleurer le Ciel</b></u> » de <i>Mari Okazaki</i>, publié par la maison d’édition <i>Delcourt</i> dans les années 2000. Dans cet opus (vous l’aurez sans doute compris) nous allons aborder le patinage artistique. C’est un sport qui m’a toujours fasciné, sûrement par son élégance et sa grâce lorsque le patineur danse sur la glace, mais également ce sentiment de ne jamais rien laisser paraître quant à la douleur et la dureté des figures. </div>
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Ici, nous nous centrons sur <i>Ery</i>, une jeune lycéenne qui, lors d’une journée typique, croisa le regard d’un jeune homme répondant au nom de Monsieur <i>Kobayashi</i>. Il s’avère que le jeune homme est un entraîneur indépendant, et dont ses honoraires sont exorbitants. Mais notre jeune protagoniste ne manque pas d’audace, et pour le pousser à l’entraîner, elle n’hésite pas à conclure un marcher. Si celle-ci réussit un <i>triple axel</i> (rien que ça !), celui-ci loue ses services gratuitement. </div>
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Je ne m’étalerai pas plus concernant l’histoire, mais je compte revenir sur certains éléments. Tout d’abord, je m’attendais à ce que le patinage artistique soit au cœur du récit. Bien que celui-ci soit présent, il accentue simplement (en partie) les sentiments de la jeune lycéenne. Cependant, même si je m’attendais à tout autre chose, ce ne fut pas dérangeant.<b><span style="color: #76a5af;"> Le sport se lie de manière harmonieuse aux changements d’Ery</span></b>. <b><span style="color: #76a5af;">Le patinage artistique lui permet de se révéler, de prendre conscience de ses atouts et ses forces.</span></b> Les différents protagonistes jouent un rôle essentiel à la construction personnelle de notre lycéenne. </div>
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Bien évidemment, elle connaîtra l’échec, mais s’en relèvera plus forte, et plus déterminée. Son professeur, Monsieur<i> Kobayashi</i> est un personnage qui aurait sans doute mérité plus de profondeur. Je l’ai beaucoup aimé, de par son vécu, mais également de par ce qu’il véhicule. Ressentant en permanence le poids de l’échec, il ne doutera jamais de son élève, et retrouvera même du plaisir grâce à elle. </div>
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Le dernier point à aborder, c’est le magnifique coup de crayon de l’autrice. <i>Mari Okazaki</i> dégage un tel charisme de ses personnages. L’émotion en est d’ailleurs plus décuplée, par les différents mouvements des patineurs, la grâce dans leurs gestes, l’expression sur leurs visages, et l’ardeur qui les consume. J’ai découvert cette<i> Melle Okazaki </i>avec l’œuvre <u><b>Complètement Affectif</b></u>, mais qui est malheureusement difficilement trouvable dans le commerce. </div>
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Pour conclure, je dirai que cette histoire en un seul volume est un indispensable. Il traite différents sujets, tels que l’avancement, la maturité, la recherche de soi, l’acceptation, mais surtout l’amour innocent permettant le dépassement de soi.</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIWWfRaJWin6zlpxAq9Po66pR_RtHZ1052Si8T-OEYPhI5jcOQAxUZgQeiQqHIWTyU15y2voRt67UHIrP8Qy47wMpuO7cRYYVoa0UVLJ7axjE2TSWfDa8qdfzoWKMV2Hrh4nrpcK22WhwJ/s1600/Evil+Heart+%2528Gala%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIWWfRaJWin6zlpxAq9Po66pR_RtHZ1052Si8T-OEYPhI5jcOQAxUZgQeiQqHIWTyU15y2voRt67UHIrP8Qy47wMpuO7cRYYVoa0UVLJ7axjE2TSWfDa8qdfzoWKMV2Hrh4nrpcK22WhwJ/s1600/Evil+Heart+%2528Gala%2529.jpg" /></a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-GNDtOQEg7bZhdfS9Zjobx7kSYtYKny1m2IoCB2HHFCH5pgj01BMbftDJRsqK17aAaUAvcwwuGsQL8-Ans_EDQkxqKXeilKP5MviC5nnDb9cED31i13nNs4ZcKG-v6XZeSgST9TT8Piij/s1600/CVT_Evil-Heart-Tome-1-_7950.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="589" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-GNDtOQEg7bZhdfS9Zjobx7kSYtYKny1m2IoCB2HHFCH5pgj01BMbftDJRsqK17aAaUAvcwwuGsQL8-Ans_EDQkxqKXeilKP5MviC5nnDb9cED31i13nNs4ZcKG-v6XZeSgST9TT8Piij/s200/CVT_Evil-Heart-Tome-1-_7950.jpeg" width="135" /></a><u><b>Evil Heart</b></u> est un manga de <i>Tomo Taketomi </i>publié en France en 2006 chez <i>Big Kana </i>et terminé en 6 volumes. Nous nous plaçons dans la peau d’<i>Umeo Masaki</i>, un adolescent de 12 ans issu d’un contexte familial très difficile ayant mené à la mort de son frère et l’emprisonnement de sa mère. Mal dans sa peau, peu encadré, et subissant du harcèlement scolaire dû aux rumeurs circulant à propos de sa famille, <i>Umeo</i> a du mal à se trouver une place et perd souvent le contrôle de lui-même. Cependant, son entrée au collège va le mener à la rencontre de Daniel, un professeur venu du Canada mais aussi <i>Aïkidoka</i> chevronné, qui va lui faire découvrir cet univers.<br />
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<b><span style="color: #76a5af;">Les thèmes de ce court manga sont nombreux, mais l’<i>Aïkido</i> en est toujours le catalyseur</span></b>. Avec une toile de fond pourtant dure, l’auteur ici nous fait découvrir ce sport, ses techniques mais aussi et surtout ses grands principes. La violence d’<i>Umeo</i> se heurte à la pratique de Daniel, à ce sport strictement défensif dont le maître mot est le contrôle de soi.<br />
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Ce manga ayant aujourd'hui un peu plus d’une décennie, j’ai eu du mal à le retrouver pour ce challenge. Je l’avais saisi au hasard il y a quelques années, et il m’avait beaucoup touchée. Cette relecture du premier tome a changé un peu mon avis mais m’a bien confirmé que ce manga est une pépite qui mériterait un peu plus de visibilité.<br />
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Si je m’y suis intéressée c’est d’abord parce que les couvertures sont magnifiques, les couleurs sobres et les grandes courbes puissantes produisant un effet assez unique. En effet, le style du <i>mangaka</i> est tout en courbes et en rondeur. Ce qui donne des émotions très bien retransmises d’un côté, et d’un autre côté de magnifiques scènes d’action qui sont très claires et ont un côté « temps suspendu ». Au final c’est <b><span style="color: #76a5af;">un ensemble très harmonieux, presque serein malgré l’omniprésence de la violence</span></b>.<br />
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La sérénité, c’est presque le thème principal du manga. Ou plus exactement, <b><span style="color: #76a5af;">la canalisation de l’énergie : c’est déjà le principe de base de l’<i>Aïkido</i></span></b>, et c’est ce qui va devenir aussi la quête principale du personnage principal. <i>Umeo</i> à 12 ans, il est jeune, il est violent, il est impulsif, et pourtant on s’attache à lui très vite : alors qu’il aurait pu être un personnage insupportable cherchant simplement à « devenir plus fort pour protéger les siens » comme il le dit lui-même, l’auteur réussi à lui donner une vraie profondeur très vite. On ne suit que son monologue intérieur, les autres personnages étant tous perçus de son point de vue, et grâce à ça on perçoit beaucoup plus vite son désarroi face à lui-même, en somme il est aussi perdu face à son comportement que nous. Ainsi, <b><span style="color: #76a5af;">on s’investi avec lui dans sa quête de calme</span></b>, et on est aussi avide que lui d’apprendre tous les détails de ce sport étonnant. Et on sent que l’auteur transmet ici une passion, faisant preuve, au travers du personnage de Daniel, d’une remarquable pédagogie. L’<i>Aïkido</i> est vraiment mis en valeurs par tous les aspects de ce manga, il en ressort une passion et un profond respect qui sont contagieux, et qui nous donnent envie, même si l’on est loin de se reconnaître dans les personnages.<br />
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Ainsi c’est un manga très touchant et qui transmet un enthousiasme communicatif sur un sport peu connu. Cependant, il n’est pas sans maladresses : dès le premier tome, on peut sentir des ficelles de scénario très grosses, beaucoup de coïncidences qui arrangent bien dès les trois premiers chapitres et qui influent peut-être sur le côté dramatique. La seule chose qui me gêne dans ce manga pourrait se résumer à un manque de finesse : aucun problème n’est simple, mais les solutions le sont toujours, et on sent que l’auteur a du mal à mener un rythme régulier. En fin de compte, l’ensemble manque d’équilibre et peut être de maturité pour être un vrai chef d’œuvre, néanmoins, il reste extrêmement touchant et garde un style très personnel.<br />
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Ce n’est peut-être pas le manga du siècle, mais c’est<b><span style="color: #76a5af;"> une œuvre singulière, touchante et passionnée, vibrante et sereine à la fois</span></b>. Je salue une fois de plus le dessin assez unique et les personnages très vrais, et tout ceci, avec la représentation de l’Aïkido, valent assez largement que l’on s’intéresse à cette pépite cachée !<br />
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Ça n’a pas été bien dur de choisir le manga du thème de ce mois-ci (Sport) puisque je possède uniquement deux séries, <u><b>Suzuka</b></u> et <u><b>My Lovely Hockey Club</b></u>. Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu MLHC, j’ai demandé si le thème était respecté pour que je puisse le lire et en faire un article. Le feu vert je m’empresse donc de le lire, c’est dans l’édition<i> Pika</i> Édition et c’est un <i>Shôjo</i>. Oui vous avez bien lu, un <i>Shôjo</i> ! Si vous ne me connaissez pas, je ne suis pas une grande friande de cet univers cul-cul la praline, l’héroïne chiante qui tombe amoureuse d’un garçon et que c’est des clichés qui m’agacent tout particulièrement. Et pourtant j’ai accroché à Club au collège et même aujourd'hui j’adhère toujours à ce manga.</div>
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<i>Hana</i>, une jeune fille des plus ordinaires a une seule et unique passion dans la vie : dormir. Elle aura tout fait pour intégrer le lycée qui est à même pas 200m de chez elle. Tout se déroula comme prévu selon ses plans pour gratter le moindre sommeil et être fidèle à son cher lit. Malheureusement, un matin en somnolant dans la rue, elle se fait « renverser » par une voiture d’un jeune bourgeois de son école scolaire. Ce qu’elle ne savait pas, c’est quand elle est dans son mode « somnambule » elle devient extrêmement agile et forte. Le jeune homme est surpris et décide de lui faire du chantage pour qu’elle intègre son club de hockey. Prise de force, elle se retrouve dans un club réservé aux garçons (des plus canon #ArèneBoy) et à devoir sacrifier ses précieuses heures de sommeil. Dans ce tragique destin, heureusement, ce club fait fréquemment des voyages dans diverses villes pour disputer des matchs et également profiter des sources thermales !</div>
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Sans grande surprise, vous avez compris que j’ai apprécié le manga. Déjà parce que je me reconnais dans <i>Hana</i> : j’adore dormir et si je pouvais vivre dans un lit toute ma vie (enroulée dans des plaids avec mon monsieur -mon copain-) je le ferais. J’ai d’ailleurs eu la chance au collège d’habiter que à 5 min à pied de chez mes parents. Qui fait qu’en général je me levais vers 8h10/15 pour qu’à 25 je pars pour arriver en cours à 30 piles ! Et je n’ai jamais été en retard pour ça (sauf deux ou trois fois due aux pannes de réveil). Deuxième point, notre héroïne adore manger et a aussi ses étranges rituels : manger une tarte à la petite cuillère où des repas tout faits de la gare si elle doit prendre le train. J’avoue que j’ai aussi mes petits rituels comme elle et c’est ça que j’ai accroché, elle est loin de l’héroïne classique des <i>Shôjo</i> niaise et maladroite. Au contraire elle a un fort caractère et elle ne va pas se faire prier pour dire ce qui ne va pas. </div>
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L’humour de ce <i>shôjo</i> est vraiment atypique et drôle, ils partent dans des délires complètement utopiques. C’est-à-dire que leur club de hockey leur sert uniquement de prétexte pour aller faire des sources thermales et qu’ils ne savent pas du tout jouer du hockey ! Chaque membre a une personnalité différente et qui complète le groupe. Ils ne sont pas du tout affamés à voir <i>Hana</i> la seule fille du club. Parce que combien de fois j’ai vu des animes / mangas où un seul homme se retrouve avec des nanas en chaleur ou vice versa, c’est relou et inintéressant. Pourtant pendant longtemps j’affectionnais ce style d’univers, depuis je suis passé à d’autres délires. J’aime bien aussi les suppositions qui pourrait y avoir entre <i>Hana</i> et <i>Izumi Oda</i> (le jeune homme bourgeois) un petit quelque chose même si pour l’instant ils se chamaillent constamment !</div>
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Il y a une dizaine de tome et il n’est plus commercialisé depuis quelques années mais vous pouvez encore trouver ce manga sur internet ou dans les boutiques d’occasions à des prix intéressants (normalement). J’avoue que j’aurais pu prendre <u><b>Suzuka</b></u> qui respect plus le thème du sport mais honnêtement, je l’avais vu en hiver 2017. Je n’avais pas envie de le lire de sitôt.</div>
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Et vous, avez-vous des mangas sur le sport et si oui lequel ? N’hésitez pas à participer à son challenge, ça en vaut le détour ! On se retrouve à très vite pour de prochains articles. D'ici là, bonne lecture à vous mais surtout, prenez soin de vous!<br />
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En effet, notre héroïne, <i>Ayako</i>, y rencontre <i>Zakuro</i>, qui tous les soirs danse dans le restaurant turque où elles travaillent. Les costumes changent en fonction des danses, car selon l’origine et les influences nous apprenons qu’il existent DES danses orientales. Vivre de son art est un des buts de <i>Zakuro</i>, mais le chemin n’est pas aisé, pas plus que celui <i>d’Ayako</i> qui étudie la mode. <b><span style="color: #76a5af;">Sa rencontre fortuite avec la culture turque va cependant l’inspirer et l’aider à évoluer</span></b>.</div>
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Autour de ces deux thèmes, c’est toute la civilisation turque que nous découvrons à travers les yeux d’<i>Ayako</i>. <b><span style="color: #76a5af;">De la cuisine à la religion, des arts à la langue, en passant par la politique ou la place des femmes, <u>Les nuits d’Aksehir</u> nous invite au voyage mais aussi à la tolérance</span></b> et au respect des différences. Sans être un manga inoubliable, son histoire courte en trois tomes est à la fois une belle évasion mais aussi le terreau de réflexions sur notre vision du monde.</div>
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Bien que très centré sur l'art qu'il met en scène, on retient davantage de <u style="font-weight: bold;">10 Dance</u> cette relation explosive, cocktail de jalousie et de très forte attirance entre les deux danseurs. Deux hommes pour lesquels la fierté est maîtresse sur aussi bien qu'en dehors de la piste. Ces deux rivaux, habitués à leur partenaires de danse ainsi qu'à leur propre style, vont en effet s'échanger leurs secrets professionnels pour permettre à l'un et l'autre de participer au 10 Dance, une compétition qui consiste à maîtriser dix styles de danse différents. Tous deux très bornés, le premier volume se concentre en grande partie à les faire s'affronter, renier le style de l'autre, tout en étant poussé par une rage de sortir victorieux de toute situation, leur empêchant l'abandon. Ces différents vont permettre à la <i>mangaka</i> de faire ressortir de façon agréable pour les néophytes les particularités du style standard comme dans la danse latino-américaine, mais aussi bien évidement de se faire s'approcher ces deux hommes passionnés avant toute chose, par le biais d'un humour efficace. Le comique se basant sur les différences de caractère, on connaît, mais cela n'empêche pas <i>Satou Inoue</i> de le faire avec fraîcheur, mettant ainsi parfaitement en avant les singularités et points forts de chacun. Cerise sur le gâteau, leur relation ne s'embarrasse pas d’hypocrisie, les personnages s'apprécient au fond, et cela se voit rapidement, créant une relation toute neuve qui sent bon la romance.<br />
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Documenté sur la forme comme sur le fond, <u style="font-weight: bold;">10 Dance</u> n'en est donc pas pour autant indigeste. Indulgente envers ceux pour qui la danse n'évoque que de jolis pas, la <i>mangaka</i> profite de ce double apprentissage pour évoquer les bases aussi bien que les difficultés à changer de style. Ainsi, les nombreux essais de <i>Suzuki</i> envers la danse standard entraîneront indubitablement la déchéance d'un ego qui l'empêchait de devenir meilleur. Seul petit point noir, les partenaires féminines sont si peu présentes qu'on en oublierait presque leur existence. J'aurais apprécié voir leurs cours également, bien que surement moins amusants. Néanmoins, la maîtrise de <i>Satou Inoue</i> pour croquer cet art nous ferait bien tout oublier. Pleine de sensualité, de gestes délicats mais précis, la plume de l'autrice est sans faille. On a l'impression de voir les personnages bouger devant nos yeux tant ses postures sont dynamiques et précises !<br />
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Sexy, sensuel et amusant en même temps, le premier volume de <u style="font-weight: bold;">10 Dance</u> semble amener vers un excellent <i>boy's love </i>charmant et original.<br />
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<div class="separator" style="clear: both; color: black; font-family: "times new roman"; font-size: medium; margin: 0px; text-align: center;">
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<span style="font-family: inherit;">Je profite de cette fin d'article pour remercier à nouveau mes fidèles chroniqueurs; vos mails remplis de jolis mots passionnés font du tri de mon courrier un véritable plaisir. On se retrouve bientôt pour la publication des articles de juillet, qui portaient sur un manga écrit avant les années 90 ! Merci à tous et bonne soirée 🍉</span></div>
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-1905177053260917302018-08-23T19:26:00.001+02:002018-08-23T19:26:56.094+02:00 Challenge Manga Suki : Juin Partie I<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMmUhUOv0j2yV7OT86JDWIFc7XlSUQRiVO9SiPS1ZNRsCKOS6hOVFRM76lrsznlnP_wc1ZhjOm1VaPDF-vCpl_FT2ZGCdeLMAK7clK3q1hKWxNRJGZ2RaK6AU8ywfZo0UIyYwwvnAZ5YS2/s1600/p10618.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMmUhUOv0j2yV7OT86JDWIFc7XlSUQRiVO9SiPS1ZNRsCKOS6hOVFRM76lrsznlnP_wc1ZhjOm1VaPDF-vCpl_FT2ZGCdeLMAK7clK3q1hKWxNRJGZ2RaK6AU8ywfZo0UIyYwwvnAZ5YS2/s1600/p10618.jpg" /></a></div>
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<a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">présentation du challenge</a></div>
<a name='more'></a><div style="text-align: justify;">
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En juin (oui, je sais que l'on est fin août..), je vous proposais avec mon petit challenge de se mettre au sport, mais également de rechercher une discipline moins médiatisée, ou du moins peu représentée dans les mangas. En ressort plusieurs jolies découvertes, dont des textes passionnants écrits par des passionnés dont on ressent l'amour pour le support comme le sujet. </div>
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Bonne lecture, je vous laisse avec cette première fournée : </div>
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<b><span style="color: #76a5af;">Si <u>Amanchu</u> donne clairement l'envie de se mettre à la plongée, le sport n'est pas le seul intérêt du manga. C'est une œuvre avant tout positive qui véhicule de bons sentiments</span></b> à travers la rencontre entre<i> Teko </i>et <i>Pikari</i>. La première a tendance à se laisser aller à la déprimer, à abandonner ce qu'elle entreprend. C'est lorsqu'elle fait la connaissance de l'enthousiaste <i>Pikari</i> qu'elle prend confiance en elle. Se laissant entraîner par la pile électrique, elle découvre le monde de la plongée et trouve la motivation nécessaire pour aller au bout de sa nouvelle passion. Le relation n'est donc pas uniquement basée sur la discipline, puisque le manga de <i>Kozue Amano</i> est une ode à la vie. En prenant des situations attristantes comme la peur de manquer ses vacances, la <i>mangaka</i> nous montre comment les renverser, souvent à travers le personnage de <i>Pikari</i> et sa débordante envie de s'amuser. Devant la crainte de la page blanche, elle nous propose un autre regard : il ne faut pas avoir peur de ne rien faire mais être heureux d'avoir des choses à réaliser. Des messages dans ce genre, on en trouve tout le long d'<u><b>Amanchu</b></u>. Ils peuvent paraître enfantins et même naïfs mais ils sont si bien mis en scène par l'artiste qu'on a envie d'y croire. <b><span style="color: #76a5af;">La bonne humeur de <i>Pikari</i> est contagieuse, jusqu'à nous, lecteurs</span></b>, qui nous sentons bien grâce aux aventures des petites plongeuses.</div>
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Comme c'était le cas pour <u><b>Aria</b></u>, la nouvelle série de <i>Kozue Amano</i> brille également pour son ambiance et ses décors. La lecture est rendue très agréable par <b><span style="color: #76a5af;">son rythme laissant une grande place à la contemplation</span></b>. À travers son manga, <b><span style="color: #76a5af;">l'autrice nous pousse à être attentif à la beauté du monde qui nous entoure</span></b>, et c'est sans doute pour cela que le thème de la plongée sous-marine sied parfaitement à l'œuvre. Mais même en dehors des fonds marins, la nature a son importance. C'est notamment le cas lorsque <i>Pikari</i> profite de la saison des pluies, pourtant déprimante pour tout le monde, afin de prendre le train juste pour y observer une fleur qui ne pousse qu'à cette période. Définitivement, <u><b>Amanchu</b></u> est un manga qui fait voir le monde autrement, avec une once de positivité et surtout beaucoup de douceur. Dans la pure lignée d'un <u><b>Yotsuba</b></u> - ma référence du genre -, c'est un manga qui rend heureux.</div>
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Champion japonais de danse latino-américaine, <i>Suzuki Shinya</i> a choisi de rester à l’écart des concours internationaux. Peu intéressé par la compétition, réussir à vivre de son art lui suffit. Cependant, il éprouve aussi un mélange de colère et de fascination vis-à-vis de <i>Sugiki Shinya</i>, l’éternel second du championnat du monde de danse standard. Lorsque ce dernier<b><span style="color: #76a5af;"> lui propose de participer au tournoi international <i>10-Dance</i>, qui demande aux participants de maîtriser cinq danses standards et latinoaméricaines</span></b>, <i>Suzuki </i>commence par refuser. Mais poussé par les provocations de l’autre danseur, il décide de relever le défi ! Ravi, <i>Sugiki </i>accepte sa décision tandis que <i>Suzuki</i> regrette déjà d’avoir répondu trop vite… </div>
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Accompagné de sa partenaire<i> Tajima Aki</i>, <i>Shinya</i> va découvrir la danse standard en suivant l’entraînement strict d’un professeur très différent de lui. Les deux hommes ont beau avoir le même prénom, ils semblent chacun incarner leur danse de prédilection. De prime abord, <i>Sugiki</i> se montre froid et peu expressif, quand il ne se cache pas derrière un sourire de façade. C’est un maître sévère et sa façon d’enseigner déstabilise son élève. Depuis son plus jeune âge, <i>Suzuki</i> a appris à bouger instinctivement sur la musique. D'un caractère emporté, il dit ce qu’il pense avec franchise et ne dissimule pas ses sentiments.<b><span style="color: #76a5af;"> La danse latino lui permet de révéler toute sa sensualité</span></b>, au point qu’un tel <i>sex-appeal </i>perturbe au départ <i>Sugiki</i>. </div>
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Même si les deux <i>Shinya </i>s’accordent aussi bien que l’eau et le feu, un lien paraît se développer entre eux.<i> Suzuki</i> suit depuis plusieurs années les prouesses de <i>Sugiki</i>, ce qui ne l’empêche pas de trouver son nouveau partenaire insupportable. De plus, il rencontre de grandes difficultés dans son apprentissage de la danse standard. Pourtant, lorsqu'il parle de renoncer au <i>10 Dance</i>, <i>Sugiki</i> refuse obstinément son départ. Il est difficile de deviner ce que ce <i>Shinya</i> très réservé a en tête. C’est à travers les propos de ses proches, comme sa partenaire <i>Yagami Fusako</i>, que l’on comprend ce qu’il ressent et ce qu’il cherche à atteindre. Au fond, il est tout autant passionné que <i>Suzuki</i> et, dans un autre genre, sa danse est aussi éloquente que la sienne.<br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<span style="font-family: inherit;"><b><span style="color: #76a5af;"><i>Inoue Satou</i> a apporté beaucoup de soin au tracé des corps, étudiant chaque mouvement des danseurs</span></b>. La position des mains, très importante pour la danse standard, est dessinée avec une grande précision. Sous son trait, le déhanchement caractéristique de la danse latino montre ses côtés les plus sensuels. Par leurs postures, les couples emportés par la danse dégagent de l’amour, du désir ou de l’agressivité quand les choses se passent mal. Le jeu des regards est aussi vital que celui des gestes. C’est peut-être par ses yeux que <i>Sugiki</i> s’exprime le mieux, même si l’on ressent encore sa retenue dans les moments de tension. C’est d’ailleurs son regard qui bouleverse complètement <i>Suzuki</i> lors d’une scène de danse inoubliable. </span></div>
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<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
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<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
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<br />
Dans ce manga, les choses se mettent très rapidement en place : à peine arrivé, <i>Mori</i>, un adolescent taciturne, va devoir grimper la façade du lycée, suite au défi lancé par <i>Miyamoto</i>, énervé par son comportement. Sauf qu'il va y arriver. Et c<b><span style="color: #76a5af;">ela va même provoquer chez lui une véritable passion, que dis-je, une rage, de l'escalade</span></b>. Cette rage est parfaitement retranscrite par le dessin de <i>Sakamoto Shinichi</i>, avec des mises en pages hallucinantes dès le premier volume. Le trait est fin, extrêmement expressif, dynamique, d'une qualité impressionnante, bref, parfait pour un manga du genre. Les détails sont extrêmement précis et travaillés, notamment au niveau des mains (indispensable à tout grimpeur), mais aussi des muscles (principalement dos et bras dans ce volume), et du paysage. On a vraiment l'impression d'y être, et <b><span style="color: #76a5af;">on vit la passion naissante de <i>Mori</i>, ainsi que sa fusion petit à petit avec ce nouvel élément.</span></b> Il est totalement captivé par ce nouvel environnement. Et surtout, on a l'impression de sombrer avec lui (ou alors c'est parce que je connais déjà ce sentiment).<br />
<br />
Comme vous l'avez compris, la découverte de l'escalade est au cœur du premier volume. Il se pourrait d'ailleurs que vous soyez un peu perdu comme lui : les termes spécifiques au milieu pleuvent dès le début. Mais ne vous inquiétez pas, un petit dictionnaire est disponible à la fin (ce qui peut être un peu gênant, puisqu'il faut jongler entre la fin du volume et la lecture en cours) ! La passion vire à l'obsession très rapidement : tout ce que <i>Mori</i> veut, c'est grimper, grimper, grimper. Sa vie est en danger ? Tant pis. Une montagne en particulier l'obsède, et il veut absolument arriver au sommet. On comprend vite que la grimpe va devenir vital pour lui. La suite ne peut qu'être passionnante, surtout pour tous les amoureux de ce sport et de la montagne.<br />
<br />
Bien évidemment, ce n'est pas parfait. On a quelques gros clichés. Le héros est un beau jeune homme ténébreux, <i>Miyamoto</i> est une brute jalouse, le prof est comme de par hasard un grimpeur d'exception.... Mais ça ne choque pas plus que ça, ça fait juste légèrement réagir. On peut remercier la capacité de <i>Sakamoto</i> à transmettre des émotions. On veut vite connaître la suite, on veut savoir comment <i>Mori</i> va évoluer. Sa passion nous est parfaitement transmise.<br />
<br />
La lecture est un véritable plaisir, mais ça va presque trop vite. J'ai hâte de pouvoir me procurer la suite un jour, et je ne peux que vous y encourager.<br />
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
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<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
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<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
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<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;">Les doutes se sont envolés quand le sport au centre de l'oeuvre se voit être le flamenco ! Ce que je crains plus actuellement, c'est surtout qu'au vu de l'actualité de celui-ci, je ne sois pas la seule à vous en faire des louanges... Au fond, ce n'est peut être pas si mal !</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;">La scolarité au Japon est bien connue pour être un terrain glissant, surtout pour des jeunes qui se découvrent. L'équilibre pour se tenir dans la normalité que les autres attendent de nous est si fragile. En un instant, l'élève peut basculer du côté des victimes, mal vu de ses camarades pour une simple différence. La cruauté et cette absence de tact chez les enfants frappe de plein fouet pouvant en une phrase, un mot... Ruiner une scolarité entière, une vie.</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><i>Kimitaka</i> aime le basket, il est endurant mais, son manque d'habilité le rattrape tout comme ses amis à qui il avait si fièrement transmis tout son savoir. Forcé de reconnaître que ses amis sont meilleurs que lui le jeune homme se renferme sur lui même. Parallèlement, <i>Takara Fujimoto</i> voudrait faire du flamenco, mais pour les autres son apparence de Kappa est inadapté pour pratiquer cette danse. Tous deux la confiance au plus bas vont se rencontrer pour la première fois sur le toit de l'école prêts à jeter les chaussures rouges du sport qu'ils aimaient tant. Les deux adolescents se proposent d'échanger leur chaussures afin de se promettre un nouveau départ, plus rayonnant.</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;">Malgré cet échange, c'est le destin de <i style="font-weight: 400;">Kimitaka</i> qui est mis en avant en grande majorité le long de l'oeuvre. Ce personnage rencontre une plus grande difficulté à se réadapter au monde qui l'entoure. Avec une grande volonté, il avance, il n'a pas pour vocation de devenir le plus grand danseur de Flamenco, il veut juste goûter de nouveau au bonheur et vivre heureux avec le flamenco pour allié. Sur son chemin, <i style="font-weight: 400;">Kimitaka</i> rencontre de nouvelles personnes en difficulté et ensemble à leur façon, ils se tirent vers le haut. Une joyeuse bande de loosers, mais cette belle brochette aussi n'a pas de raison de ne pas pouvoir vivre heureux.<b><span style="color: #76a5af;"> Le sport est un support dans l'oeuvre, la relation et l'évolution des personnages est à mettre au premier plan</span></b>.</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
</div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
</div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
</div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: justify; text-decoration-color: initial; text-decoration-style: initial; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px;">
<div style="margin: 0px;">
<span style="font-family: inherit;">Pour couronner le tout, le trait de <i>Mizu Sahara </i>est à tomber par terre. J'en suis amoureuse. En particulier sa façon de dessiner les cheveux chez la gent féminine, les longues coiffures s'apparente à un splendide bouquet de fleur. Son utilisation des trames est dessinée elle aussi et ne se contente pas de remplir un line. Le tout avec un cadrage qui respire, permettant une lecture fluide. Le sixième et dernier tome sort dans les jours qui vont suivre, vous n'avez plus aucune excuse pour ne pas vous lancer.</span></div>
<div style="font-style: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="font-style: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
</div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<div class="separator" style="clear: both; color: black; font-family: "Times New Roman"; font-size: medium; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEir9fvwTcOF0YadDAhiicPoXbbKCIp_J50PKiM9idHtnk7LDOEzNRb2J5meChtrEGskvvdzLohX8yElY3Xn8Bi0kOj3B8aqCxhTywuLAoa3pB5qODxsmSuXWMYpC0xPRodZXEiND2k80BHZ/s1600/Chihayafuru+%2528Lazu%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEir9fvwTcOF0YadDAhiicPoXbbKCIp_J50PKiM9idHtnk7LDOEzNRb2J5meChtrEGskvvdzLohX8yElY3Xn8Bi0kOj3B8aqCxhTywuLAoa3pB5qODxsmSuXWMYpC0xPRodZXEiND2k80BHZ/s1600/Chihayafuru+%2528Lazu%2529.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="color: black; font-family: inherit;"><a href="https://twitter.com/LazulyL?lang=fr">Twitter</a></span></div>
</div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfA8Hrh7o5KQDbXAi_go8gumi143G9nT_U6sXsYOavjwdpHJb2d4Y_Gj39cDT8zf0cQrAWU57h-X4vkHeN-kvkee6gtAh3B_Yqm8iQkXKH1aRU6zJGZves_4u-RfFLlK58mdvVk0bK05eN/s1600/chihayafuru-1-pika.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="color: black; font-family: inherit;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="399" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfA8Hrh7o5KQDbXAi_go8gumi143G9nT_U6sXsYOavjwdpHJb2d4Y_Gj39cDT8zf0cQrAWU57h-X4vkHeN-kvkee6gtAh3B_Yqm8iQkXKH1aRU6zJGZves_4u-RfFLlK58mdvVk0bK05eN/s200/chihayafuru-1-pika.jpg" width="132" /></span></a><span style="font-family: inherit;">Après quelques mois d’absence, je suis de retour ! </span><span style="font-family: inherit;">J’ai tout de suite su quel titre je voulais aborder pour ce mois de juin et son thème du sport ! Une série qui me fait de l’œil depuis longtemps à cause de ses magnifiques couvertures : </span><u style="font-family: inherit;"><b>Chihayafuru</b></u><span style="font-family: inherit;"> ! (en cours de parution chez </span><i style="font-family: inherit;">PIKA</i><span style="font-family: inherit;">, depuis 2013, avec 25 tomes).</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;">En sixième, la petite <i>Chihaya</i> fait la connaissance d'<i>Arata</i>, un nouvel élève qui vient de <i>Fukui</i>. C'est un jeune garçon mature et peu bavard qui cache un talent tout particulier : il excelle à un jeu appelé <i>karuta</i>, qui regroupe les cent poèmes traditionnels du <i>Hyakunin Isshu</i>. <i>Chihaya</i> est très impressionnée par sa capacité à ramasser les bonnes cartes en une fraction de seconde, avec une ardeur inégalée. Mais de son côté, <i>Arata</i> est cloué sur place par la disposition naturelle que semble présenter <i>Chihaya</i> vis-à-vis de ce jeu... Plusieurs déterminations très fortes vont se croiser au sein de ce récit qui prend sa source au beau milieu de l'enfance !</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;">J’avoue avoir lu ce premier tome, il y a quelques temps, pour assouvir ma curiosité avant de me rendre compte de la dimension sportive du titre. Le <i>karuta</i> est selon Wikipédia : « basé sur la compilation de poèmes <i>Hyakunin isshu</i>, et un jeu traditionnel du premier de l'an au Japon. Ce jeu est basé sur la mémoire : un orateur lit la première partie d'un des cent poèmes constituant le <i>Hyakunin isshu</i> et les joueurs doivent être les plus rapides à trouver la carte correspondant à la deuxième partie parmi les cent cartes placées entre eux. ».</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><b><span style="color: #76a5af;">La pratique du <i>karuta</i> demande énormément de concentration, de mémoire et une bonne condition physique </span></b>afin de faire fonctionner au maximum les deux conditions précédentes. L’entrainement, entre match et mémorisation, se rapproche de celui des échecs ou du <i>shogi</i> (échecs japonais), entre match d’entrainement et études (mémorisation des poèmes/études des stratégies aux échecs). Cela demande une certaine assiduité propre à la pratique sportive ! Il est d’ailleurs considéré comme tel au Japon avec ses compétitions, titres, et clubs. </span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;">Ce tome s’ouvre sur une scène dans le présent avant d’effectuer un <i>flashback</i> qui durera tout le premier tome. Il permet ainsi de planter le décor et les bases du récit. On y découvre l’origine de notre héroïne, son histoire et son caractère qui la mènera sur le chemin du <i>karuta</i>.</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;">L’histoire se centre très vite sur la force de caractère et le sens de l’amitié de <i>Chihaya</i>. Et je me suis par moment retrouvée dans cette héroïne. Ayant pratiquée pendant près de 10 ans l’équitation en club (et particulièrement le saut d’obstacles), je me suis vite revue enfant avec mes amis au sein du club à se soutenir sans faille. Cette jeune fille qui donne tout pour soutenir ses amis, me rappelle énormément l’entraide et le soutient que l’on distribuait à qui en avait besoin, retroussant nos manches pour aider les autres et les faire progresser.</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<span style="font-family: inherit;">La promesse de ce premier tome est forte. Les dessins sont beaux et soignés, l’histoire donne envie, même si pour moi ce premier tome est un prologue à la série qui s’annonce et me laisse un peu sur ma faim, les personnages sont bien introduits et leurs caractères vite identifiables. Ce premier tome est, malgré tout, efficace et je me laisserais bien tenter par cette série si mon compte en banque ne m’en voulait pas déjà de trop. Si l’occasion se présente en seconde main, pourquoi pas investir dans l’aventure du <i>karuta</i> !</span></div>
</div>
</div>
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<div style="text-align: justify;">
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhBCrW4lE4MZl9t4w0tmBli58l43zD2D940dghUddza2_2Z8mImiEh5-AZyioRUgrmwF7zZ-sM_j4b658P1QvyIN4gWYSwFI1bWaUSAA_RLigmBya8DWj1LN7_gisJEq9AOCK8cxcFt8SgL/s1600/523389.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="397" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhBCrW4lE4MZl9t4w0tmBli58l43zD2D940dghUddza2_2Z8mImiEh5-AZyioRUgrmwF7zZ-sM_j4b658P1QvyIN4gWYSwFI1bWaUSAA_RLigmBya8DWj1LN7_gisJEq9AOCK8cxcFt8SgL/s320/523389.jpg" width="198" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-49458006730917510432018-07-17T18:07:00.001+02:002018-07-17T18:19:30.957+02:00Les nouveautés de Juillet 2018<div style="text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgfopT28MKxiNwN6h9fpKfVC-fvABhcLp8KJMNf7bNLvvf_sq3KcpQOU2CPes5XmuMR7iJzSkK3wq_gVclZ2MH62Jg0mvCl_-zuEocVNuzrOt4_TNS3wYtqKoF4Wi7XOQe7SxhwJML93IH/s1600/N07.18.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgfopT28MKxiNwN6h9fpKfVC-fvABhcLp8KJMNf7bNLvvf_sq3KcpQOU2CPes5XmuMR7iJzSkK3wq_gVclZ2MH62Jg0mvCl_-zuEocVNuzrOt4_TNS3wYtqKoF4Wi7XOQe7SxhwJML93IH/s1600/N07.18.jpg" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
Planning de sortie des nouveautés manga de Juillet 2018</div>
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<a name='more'></a><br />
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C'est toujours sans pression que je publie ce petit billet mensuel qui a pour but de vous représenter les nouvelles séries qui ont ou vont affluer dans les prochains jours dans vos librairies. En espérant vous en faire (re)découvrir, bien que ce soit un mois "creux" pour ma part.<br />
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<div style="text-align: center;">
<b><span style="color: #8e7cc3; font-size: large;"> 04 JUILLET 2018</span></b></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcoxdAbJ_31-vyTcCr69RE34VsSttpk3SES1Vn5pp0Htrq_qGlvBmL72DPJEDj2lOtHglRdgnFmz-f0pV6RKvSHnHojRUEuAC2uYhgioWy-wLEFFoSZYyblywn9MBuLWIOcsCSLU1cwVt1/s1600/awakoi-manga-1-simple-309090.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1057" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcoxdAbJ_31-vyTcCr69RE34VsSttpk3SES1Vn5pp0Htrq_qGlvBmL72DPJEDj2lOtHglRdgnFmz-f0pV6RKvSHnHojRUEuAC2uYhgioWy-wLEFFoSZYyblywn9MBuLWIOcsCSLU1cwVt1/s200/awakoi-manga-1-simple-309090.jpg" width="131" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Trouver l’amour pour la première fois ? Pas si facile lorsqu’on qu’on a suivi toute sa scolarité dans des classes non mixtes... Yuka a 16 ans et n’a jamais eu de petit copain, mais elle a un plan diabolique pour que cela change : à son entrée au lycée, elle s’arrange pour intégrer LE groupe de filles cools de sa classe pour être invitée à un rancard commun. Malheureusement pour Yuka, le jour tant espéré arrive, mais rien ne se passe comme elle l’espérait. Il n’est pas toujours bon d’avoir recours à la ruse pour parvenir à ses fins et Kanan Minami va l’enseigner tout en douceur à sa nouvelle héroïne !</span></div>
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Publié aux éditions Panini (6€99)<br />
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<div style="text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQSBztC7qQ3F0VcQLa2BUchsoSJisidtaqyFKT4Uqoq2Zffhecn4C0ll4FskOIUI4N0w6E8adcRF9LoY3mRMTF6WvR_LXOKmSD8HnlRrE0yGN6HkTXWrGaiXJJvBZ79ej47zVyyprb5vCY/s1600/diver-manga-volume-1-simple-306883.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1000" data-original-width="703" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQSBztC7qQ3F0VcQLa2BUchsoSJisidtaqyFKT4Uqoq2Zffhecn4C0ll4FskOIUI4N0w6E8adcRF9LoY3mRMTF6WvR_LXOKmSD8HnlRrE0yGN6HkTXWrGaiXJJvBZ79ej47zVyyprb5vCY/s200/diver-manga-volume-1-simple-306883.jpg" width="140" /></a><span style="font-size: x-small;">Pour lutter contre la criminalité liée aux gangs, la police a créé les "Divers" : des enquêteurs infiltrés dans les plus hautes sphères mafieuses. Hyogo Kurosawa, considéré comme le meilleur "Diver" car il est le pire des pourris de la police, infiltre la Team A, un gang d'escrocs extrêmement intelligents et issus de grandes écoles. Ils ruinent des personnes âgées par le biais d'arnaques par virement bancaire !</span></div>
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Publié aux éditons Delcourt / Tonkam (7€99)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOlmlme76hspycmS9LjARm8BmLetEwB57w8dM6OiMG6AQRayGK_JcA6yWzvIJLu8WIfPwbDKG1yZWns2h8-HzyrL2Ig0-PmhCbEzEa68WnJgMU1JqN9NDi4a1qgUe2C8VkaL2XXNZNzvBf/s1600/fairy-tale-battle-royale-manga-1-simple-309164.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1130" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOlmlme76hspycmS9LjARm8BmLetEwB57w8dM6OiMG6AQRayGK_JcA6yWzvIJLu8WIfPwbDKG1yZWns2h8-HzyrL2Ig0-PmhCbEzEa68WnJgMU1JqN9NDi4a1qgUe2C8VkaL2XXNZNzvBf/s200/fairy-tale-battle-royale-manga-1-simple-309164.jpg" width="140" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Régulièrement harcelée par ses camarades, Aoba découvre par hasard un étrange contrat : ce dernier stipule qu’un de ses vœux se réalisera si elle accepte un pacte, ce qu’elle fait sans tarder pour mettre un terme à ses soucis. Mais la jeune fille se retrouve alors propulsée dans un monde étrange et lugubre. Horrifiée, elle est accostée par une personne ressemblant à la célèbre Alice des contes de fées, qui lui annonce que son monde est désormais le sien, avant de tomber en poussières ! Peu après, un mort-vivant se lance à l’attaque... Aoba, qui endosse désormais le costume d’Alice, parviendra-t-elle à survivre dans ce conte de fées cauchemardesque ?</span></div>
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Publié aux éditions Doki Doki (7€50)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYcZz394EV-Cx0YGFSQvvIHWE4s83wzSwuVZMu-iUZ_krjJ6gqJnWlGyKi5n_oplBc_29KTmJY5mdjlS97NyLsjrKX3jJPMhBtKrcQYZgmqkLBn18o9RZgh5Y-ZX3V-Hgi57FK_GtD-4md/s1600/gambling-school-twin-manga-volume-1-simple-306422.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1132" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYcZz394EV-Cx0YGFSQvvIHWE4s83wzSwuVZMu-iUZ_krjJ6gqJnWlGyKi5n_oplBc_29KTmJY5mdjlS97NyLsjrKX3jJPMhBtKrcQYZgmqkLBn18o9RZgh5Y-ZX3V-Hgi57FK_GtD-4md/s200/gambling-school-twin-manga-volume-1-simple-306422.jpg" width="141" /></a><span style="font-size: x-small;">Le passé de Mary est enfin dévoilé ! Une année avant l'entré au lycée de Yumeko, l'établissement Hyakkaô accueille une jeune boursière ambitieuse, Mary. Elle devient rapidement une cible pour ses camarades. Mais son sang-froid, sa ténacité et son ambition vont très vite jouer en sa faveur même si elle n'éprouve aucun plaisir dans le jeu. Accompagnée par sa riche, mais pleutre amie Tsuzura Hanatemori, elle est prête à tout pour s'élever </span>!</div>
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Publié aux éditions Soleil (7€99)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4yQ7iKQ77C8PA3118QNQQyzvtHWEFDvR02QL3tA8bQXNpFo4WhDkrY7Pk6HaXg4yfOysumF0NFpubPBnTN2dNh0L2FqzMavisn-4ZNpzFUMOQE04rKnvN6AboPYP54aGWLKcw7oWT1SeX/s1600/le-livre-de-la-jungle-classiques-en-manga-manga-volume-1-simple-310819.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1168" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4yQ7iKQ77C8PA3118QNQQyzvtHWEFDvR02QL3tA8bQXNpFo4WhDkrY7Pk6HaXg4yfOysumF0NFpubPBnTN2dNh0L2FqzMavisn-4ZNpzFUMOQE04rKnvN6AboPYP54aGWLKcw7oWT1SeX/s200/le-livre-de-la-jungle-classiques-en-manga-manga-volume-1-simple-310819.jpg" width="146" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">La loi de la jungle est sans appel, et chaque habitant se doit de la suivre. Mowgli, le petit d’homme adopté par les loups, va en faire la douloureuse expérience en étant banni de son clan, tout en menant de front une guerre personnelle contre Shere Khan le tigre boiteux qui a juré sa perte. Kotick, le phoque blanc, va partir en quête d’un endroit sûr pour son peuple après avoir été témoin du massacre de ses semblables. Quant à Rikki- Tikki-Tavi, la mangouste, elle va chasser les serpents du jardin afin de protéger sa nouvelle famille...</span></div>
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Publié aux éditions Nobi Nobi (10€75)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0-MJvxRoMjwdDebtqZY6pN3WoAz6jzPNRF9kYUsV5Ph0Xrvf2BtXqih6KhVPRuUKLhdxrpvxG5hRB4ONk4IokPfu3Qc-6R95rFpVXcYyCgDg-theIHo4VD3ZB1uJXs06Lu-bukgyipne2/s1600/my-teacher-my-love-manga-volume-1-simple-307055.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1051" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0-MJvxRoMjwdDebtqZY6pN3WoAz6jzPNRF9kYUsV5Ph0Xrvf2BtXqih6KhVPRuUKLhdxrpvxG5hRB4ONk4IokPfu3Qc-6R95rFpVXcYyCgDg-theIHo4VD3ZB1uJXs06Lu-bukgyipne2/s200/my-teacher-my-love-manga-volume-1-simple-307055.jpg" width="131" /></a><span style="font-size: x-small;">Ayu Samaru, 16 ans, rêve d’avoir un petit ami comme toutes ses copines. Alors qu’elle mange dans un combini pour oublier son énième rejet, elle se rend compte qu’elle n’a pas assez d’argent pour payer ! Un beau garçon paye alors pour elle. Le lendemain, elle découvre qu’il est son odieux nouveau professeur de mathématiques. Il est aussi décidé à lui rendre sa confiance en elle pour séduire les garçons.</span></div>
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Publié aux éditions Delcourt / Tonkam (6€99)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZHGDCJU4BkLNTQED7MyqwzfUfRXB7jb9z66w13Fgye4Z9BPiTyhnORFRI7Wcxx0ENqlWB49-cNqVRJmJ-4mXP6GIWw9C0v-maTizUgL46AVvK94Rrfzs5-F5Rtm8eSMBA3Ob4tUC-KvXF/s1600/seven-deadly-sins-seven-days-manga-volume-1-simple-307303.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1067" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZHGDCJU4BkLNTQED7MyqwzfUfRXB7jb9z66w13Fgye4Z9BPiTyhnORFRI7Wcxx0ENqlWB49-cNqVRJmJ-4mXP6GIWw9C0v-maTizUgL46AVvK94Rrfzs5-F5Rtm8eSMBA3Ob4tUC-KvXF/s200/seven-deadly-sins-seven-days-manga-volume-1-simple-307303.jpg" width="133" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Ellaine et les autres membres du peuple féérique vivent paisiblement dans la forêt. Son frère Harlequin, le roi des fées, met régulièrement son meilleur ami Helbram en garde contre les humains, qu'il juge indignes de confiance. Un jour, Helbram se fait effectivement piéger par des humains peu scrupuleux et Harlequin se rue à son secours. Restée seule, c'est désormais à Ellaine de protéger la forêt. Sept cents ans plus tard, son frère n'est toujours pas revenu et la petite fée repousse désormais farouchement les humains qui convoitent la Fontaine de jouvence, une source miraculeuse qui offre l'immortalité à celui qui la boit. Jusqu'au jour où arrive un voleur un peu particulier : Ban le Bandit. Il n'est pas comme les autres humains. Et Ellaine a envie qu'il reste encore un peu avec elle...</span></div>
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Publié aux éditions Pika (6€95)<br />
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<div style="text-align: justify;">
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Publié aux éditions Soleil (6€99)<br />
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<div style="text-align: center;">
<b><span style="color: #8e7cc3; font-size: large;">05 JUILLET 2018</span></b></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsteSrAJn_pdiYVLF42Tizwn3znIW61drqnSTj-p2DDzQWhUdQYsgZL5ZKCdrmSA0eW-6b9XbAw1GdYLTzFvE-iRdkv4K2ztz29ARqj_nyl2fTmmsG464Ztd_EjdY67CQ99Gr36t4AOY_S/s1600/beyond-the-clouds-manga-volume-1-simple-305873.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1145" data-original-width="827" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsteSrAJn_pdiYVLF42Tizwn3znIW61drqnSTj-p2DDzQWhUdQYsgZL5ZKCdrmSA0eW-6b9XbAw1GdYLTzFvE-iRdkv4K2ztz29ARqj_nyl2fTmmsG464Ztd_EjdY67CQ99Gr36t4AOY_S/s200/beyond-the-clouds-manga-volume-1-simple-305873.jpg" width="144" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Dans la Ville jaune, les usines crachent leur fumée jour et nuit, cachant le ciel et ses astres. Le jeune Théo n’a jamais vu les étoiles, ni passé les portes de la ville. Enfant, il rêvait de partir à l’aventure, à la poursuite des créatures fantastiques de ses livres préférés, mais la réalité l’a rattrapé. Son travail à l’atelier de réparation Chikuwa devient son quotidien. Sa routine est chamboulée le jour où il tombe sur une fillette pas comme les autres : c’est une humaine ailée, une espèce appartenant pourtant au monde des légendes ! Inconsciente après être tombée du ciel, elle a perdu une de ses ailes, ainsi que la mémoire… Théo fera tout pour percer le mystère de cette rescapée des cieux !</span></div>
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Publié aux éditions Ki-oon (7€90)<br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcq8Adh0jhSWrz75NBflwAFKdVsQOLNIxGOTmdPyqLwlXIXsS9a_yKAkppZxAoGP8-4s5cMJ5b59ObhQYL9UyXl48qzC8BiWb9t-ZUEPRg3NBIs1iOleKaohU7uKSofl_HxQw8Tvr5WSmg/s1600/dragon-quest-les-heritiers-de-l-embleme-manga-volume-1-japan-expo-2018-311396.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="835" data-original-width="551" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcq8Adh0jhSWrz75NBflwAFKdVsQOLNIxGOTmdPyqLwlXIXsS9a_yKAkppZxAoGP8-4s5cMJ5b59ObhQYL9UyXl48qzC8BiWb9t-ZUEPRg3NBIs1iOleKaohU7uKSofl_HxQw8Tvr5WSmg/s200/dragon-quest-les-heritiers-de-l-embleme-manga-volume-1-japan-expo-2018-311396.jpg" width="131" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcq8Adh0jhSWrz75NBflwAFKdVsQOLNIxGOTmdPyqLwlXIXsS9a_yKAkppZxAoGP8-4s5cMJ5b59ObhQYL9UyXl48qzC8BiWb9t-ZUEPRg3NBIs1iOleKaohU7uKSofl_HxQw8Tvr5WSmg/s1600/dragon-quest-les-heritiers-de-l-embleme-manga-volume-1-japan-expo-2018-311396.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><br /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcq8Adh0jhSWrz75NBflwAFKdVsQOLNIxGOTmdPyqLwlXIXsS9a_yKAkppZxAoGP8-4s5cMJ5b59ObhQYL9UyXl48qzC8BiWb9t-ZUEPRg3NBIs1iOleKaohU7uKSofl_HxQw8Tvr5WSmg/s1600/dragon-quest-les-heritiers-de-l-embleme-manga-volume-1-japan-expo-2018-311396.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><br /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Il y a 25 ans, les héros légendaires ont vaincu le roi des démons. Mais la paix fut de courte durée… Deux décennies plus tard, le jour de la grande fête du royaume, une nouvelle tragédie bouleverse le monde : la magie s’éteint d’un coup. Au même moment, tous les habitants du château royal disparaissent sans laisser de traces… Tous, sauf un : le prince Aros. Amnésique, inconscient de son statut, le jeune garçon est recueilli par une bande de brigands, qui profitent de son talent de guerrier pour attaquer les villages alentours. Sans le roi et sa cour, le pays est livré au chaos. Aros devient hors-la-loi, et, s’il sent bien qu’il n’est pas fait pour cette vie, sait qu’il doit survivre avant tout. Son destin bascule quand son groupe s’attaque à deux voyageurs experts en combat. L’un d’eux semble le reconnaître ! Pourrait-il l’aider à retrouver le chemin qui devait être le sien, et à percer le mystère de la tragédie qui a bouleversé sa vie ?</span></div>
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Publié aux éditions Mana Books (5€00)<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY5XGEbSwsKYA36tMINgUzpjPwYEZqliT4gb3YvmYzMwyB_SmMo3zrSq77BGEc7I62eeiWAvSAWL3UC7PQVaZUPFYyrEog2ovUTfZNBOnwbltNOOqk0zhrbxRWHSrd44XlMwgMp6tNdol5/s1600/les-heros-de-la-galaxie-manga-volume-1-simple-305649.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1131" data-original-width="800" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY5XGEbSwsKYA36tMINgUzpjPwYEZqliT4gb3YvmYzMwyB_SmMo3zrSq77BGEc7I62eeiWAvSAWL3UC7PQVaZUPFYyrEog2ovUTfZNBOnwbltNOOqk0zhrbxRWHSrd44XlMwgMp6tNdol5/s200/les-heros-de-la-galaxie-manga-volume-1-simple-305649.jpg" width="141" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhY5XGEbSwsKYA36tMINgUzpjPwYEZqliT4gb3YvmYzMwyB_SmMo3zrSq77BGEc7I62eeiWAvSAWL3UC7PQVaZUPFYyrEog2ovUTfZNBOnwbltNOOqk0zhrbxRWHSrd44XlMwgMp6tNdol5/s1600/les-heros-de-la-galaxie-manga-volume-1-simple-305649.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><br /></a><br />
<span style="font-size: x-small; text-align: justify;">En 3586, la galaxie voit s’affronter deux grandes puissances de force égale : l’Alliance des Planètes libres et l’Empire Galactique. C’est dans ce dernier que vivent paisiblement Reinhard Von Müsel et Siegfried Kircheis. Jusqu’au jour où le comte Kaiser Friedrich IV fait irruption chez Reinhard et enlève sa sœur afin d’en faire sa concubine. Le comte étant dans son droit, Reinhard est impuissant. Révolté qu’une telle chose soit possible dans l’Empire Galactique, qu’il pensait pourtant garant de libertés, il décide de s’engager dans l’armée afin de gravir les échelons le plus vite possible et de renverser l’empereur en place. Mais un nom pourrait bien se dresser sur son chemin : celui de Yang Wen-Li, héros incontesté de l’Alliance des Planètes Libres pour laquelle il a remporté nombre de batailles. De leurs combats découlera l’avenir politique de l’humanité : la république ou la dictature.</span><br />
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Publié aux éditions Kurokawa (7€65)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMy-N-JA-H0oesmi0mNz6oVQY2NZT49CuPJ0ybodeYprLsWVFzjSbIQSVYR2SAcxGVObrATLSqN5yM3GxAe0bi05bTxRNuVl3t4Mysqo3vagc1TwkH0ZGiJ_vXEwaRFaQ6VVTQ6_boQLCS/s1600/magical-girl-holy-shit-manga-volume-1-simple-306909.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1134" data-original-width="800" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMy-N-JA-H0oesmi0mNz6oVQY2NZT49CuPJ0ybodeYprLsWVFzjSbIQSVYR2SAcxGVObrATLSqN5yM3GxAe0bi05bTxRNuVl3t4Mysqo3vagc1TwkH0ZGiJ_vXEwaRFaQ6VVTQ6_boQLCS/s200/magical-girl-holy-shit-manga-volume-1-simple-306909.jpg" width="140" /></a>
<span style="font-size: x-small; text-align: justify;">Quand l’humanité est en danger, elles sont le dernier rempart pour nous sauver... Les adorables et pures magical girls, de tout temps, ont veillé avec foi et amour sur leurs semblables. Cette fois encore, tandis que se lèvent les terribles stremons, une belle et valeureuse justicière au cœur sincère va leur faire face... Ou pas !!! Parce que Kayo, elle n’en a pas grand-chose à foutre, du sort de l’humanité. Tout ce qu’elle souhaite, c’est qu’on la laisse tranquille. Mais une chose est sûre : ne venez pas lui chercher des noises quand elle est en manque de nicotine, au risque de vous prendre une belle rouste !</span><br />
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Publié aux éditions Akata (8€05)<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7jkVeFEF2SJv5TvLQ8k6GepoK9mIzKHRQUIVCPzjKWU5zsCCt9bor2DW4a9Zu2KWzGLf0Nf4zHGnkUDcaQhzL484KmGCg2YHbiRg6MNnPIBfKcHeHYxAXCh-kItwHOajuucqln-2gfS7Q/s1600/the-dungeon-of-black-company-manga-volume-1-simple-307505.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1108" data-original-width="800" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7jkVeFEF2SJv5TvLQ8k6GepoK9mIzKHRQUIVCPzjKWU5zsCCt9bor2DW4a9Zu2KWzGLf0Nf4zHGnkUDcaQhzL484KmGCg2YHbiRg6MNnPIBfKcHeHYxAXCh-kItwHOajuucqln-2gfS7Q/s200/the-dungeon-of-black-company-manga-volume-1-simple-307505.jpg" width="144" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;"><br /></span></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Kinji est un bon à rien de classe mondiale. Après de nombreuses opérations financières qui lui ont beaucoup rapporté, il n'a plus besoin de travailler et se délecte de voir les autres se tuer à la tâche. Mais un jour, il est tout à coup transporté dans un autre monde peuplé de créatures humanoïdes. Il se retrouve alors criblé de dettes et il doit travailler dans une mine de pierres magiques. Des horaires interminables aux conditions de vie exécrables, il touche le fond et se retrouve au plus bas de l'échelle sociale. Il découvre cependant un passage secret qui peut le mener vers les profondeurs de la mine où se trouvent les pierres les plus précieuses. Il entraine un collègue dans cette expédition, mais ils tombent vite sur un monstre géant et avide de chair fraiche. Kinji qui a plus d'un tour dans son sac passe un marché avec ce dernier : il les protègera contre les autres monstres et en échange ils le nourriront. Mais dans ce monde, même les plus travailleurs ne sont pas toujours récompensés et Kinji va connaître de nombreuses déconvenues. Excédé contre cet univers esclavagiste, il va lancer une révolte dans son propre intérêt !</span></div>
<div style="text-align: justify;">
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Publié aux éditions Komikku (7€99)<br />
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<div style="text-align: center;">
<span style="color: #8e7cc3; font-size: large;"><b>06 JUILLET 2018</b></span></div>
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<div style="text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifPA4Ca2gn6K33y_il-TE6wEqtYI_TU_KKHINCmufCCw-_Mk8DRV3Sc2-Da-uLKfLcmyjglkMoUUEvxccInQx0YS8DSJrctvzZJ1XQ9AOaxiuUrHo7eVeMK1vAPPVZtovCtg4gr2lhE9Fx/s1600/arcanum-manga-volume-1-simple-307180.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1054" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifPA4Ca2gn6K33y_il-TE6wEqtYI_TU_KKHINCmufCCw-_Mk8DRV3Sc2-Da-uLKfLcmyjglkMoUUEvxccInQx0YS8DSJrctvzZJ1XQ9AOaxiuUrHo7eVeMK1vAPPVZtovCtg4gr2lhE9Fx/s200/arcanum-manga-volume-1-simple-307180.jpg" width="131" /></a><span style="font-size: x-small;">Il y a dix ans, des Idra, créatures dont l'origine reste encore inconnue, ont dévasté Washington D.C. Paralysé depuis ses 5 ans, Ilya Kravitz ne vit que pour devenir un jour pilote d'un Arcanum, la seule arme capable de détruire ces monstres. Grâce au soutien de sa soeur, Anna, il est aujourd'hui sur le point de réaliser son rêve. Mais ce qui se cache vraiment derrière ces armes est impitoyable et la guerre ne fait que commencer..</span>.</div>
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Publié aux éditions Kana (6€85)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKZIUuBZyQFRKzmaKYSebvpBVireZMli1k0MrCYntW3D_IF1GelOQH9KZKBVrqM_vKNhPZti76iT6FRsIjcBGn3Tdnw8I_6SJ9TQIb_VqbG97ZFeQpxR3e3Luj7FjLE8MgV19YnUeVPTmk/s1600/koro-quest-manga-volume-1-simple-306482.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1052" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKZIUuBZyQFRKzmaKYSebvpBVireZMli1k0MrCYntW3D_IF1GelOQH9KZKBVrqM_vKNhPZti76iT6FRsIjcBGn3Tdnw8I_6SJ9TQIb_VqbG97ZFeQpxR3e3Luj7FjLE8MgV19YnUeVPTmk/s200/koro-quest-manga-volume-1-simple-306482.jpg" width="131" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Et si Assassination Classroom se déroulait dans un monde de jeu vidéo RPG ? C'est avec ce pitch de départ qu'a été créé ce spin-off. Ainsi, M. Koro est-il devenu le roi démon, possédant une vitesse surnaturelle à la suite d'un bug du système. M. Karasuma est ici le Lord Commandant des Chevaliers de la Cour et Mme Pouffe une « sorcière de la tentation »... Les élèves de la classe E appartiennent à une école de magie à qui l'on confie la mission d'assassiner Koro, car ils maîtrisent des magies ressemblant à des bugs. Comme dans le manga original, au lieu de menacer la vie de ses étudiants, M. Koro s'efforce de tirer le meilleur de ses élèves, il leur apprend à coopérer, à s'améliorer, à avoir une vision positive d'eux-mêmes afin qu'ils réussissent à s'accepter tels qu'ils sont. À travers des confrontations contre des monstres-parodies des jeux RPG, les élèves apprennent petit à petit à maîtriser leurs « bugs » et à s'épanouir !</span></div>
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Publié aux éditions Kana (6€85)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUtyzdWNM5mHuTElgAoEaTjoR0EFFfkwA3m2bQWeGeD0AwI5tm3nRZq7e1qt7DwCLHjdPeO7PV0ung8VjTjvh7v4by1nhSJbYXspfesRvvuEEJIB6ugyFiUU7TsyF5Hrou0Nyryu4K7mDU/s1600/re-zero-kara-hajimeru-isekai-seikatsu-daisansho-truth-of-zero-manga-volume-1-simple-307481.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="364" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUtyzdWNM5mHuTElgAoEaTjoR0EFFfkwA3m2bQWeGeD0AwI5tm3nRZq7e1qt7DwCLHjdPeO7PV0ung8VjTjvh7v4by1nhSJbYXspfesRvvuEEJIB6ugyFiUU7TsyF5Hrou0Nyryu4K7mDU/s200/re-zero-kara-hajimeru-isekai-seikatsu-daisansho-truth-of-zero-manga-volume-1-simple-307481.jpg" width="145" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUtyzdWNM5mHuTElgAoEaTjoR0EFFfkwA3m2bQWeGeD0AwI5tm3nRZq7e1qt7DwCLHjdPeO7PV0ung8VjTjvh7v4by1nhSJbYXspfesRvvuEEJIB6ugyFiUU7TsyF5Hrou0Nyryu4K7mDU/s1600/re-zero-kara-hajimeru-isekai-seikatsu-daisansho-truth-of-zero-manga-volume-1-simple-307481.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><br /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUtyzdWNM5mHuTElgAoEaTjoR0EFFfkwA3m2bQWeGeD0AwI5tm3nRZq7e1qt7DwCLHjdPeO7PV0ung8VjTjvh7v4by1nhSJbYXspfesRvvuEEJIB6ugyFiUU7TsyF5Hrou0Nyryu4K7mDU/s1600/re-zero-kara-hajimeru-isekai-seikatsu-daisansho-truth-of-zero-manga-volume-1-simple-307481.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><br /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUtyzdWNM5mHuTElgAoEaTjoR0EFFfkwA3m2bQWeGeD0AwI5tm3nRZq7e1qt7DwCLHjdPeO7PV0ung8VjTjvh7v4by1nhSJbYXspfesRvvuEEJIB6ugyFiUU7TsyF5Hrou0Nyryu4K7mDU/s1600/re-zero-kara-hajimeru-isekai-seikatsu-daisansho-truth-of-zero-manga-volume-1-simple-307481.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><br /></a><span style="font-size: x-small;">Après un mois passé au manoir Roswaal, Subaru Natsuki est de retour à la capitale, lieu où tout a commencé. Cette nouvelle aventure signifie-t-elle le début d’une nouvelle boucle mortelle pour notre héros ? Si rien n’est moins sûr, celui-ci commence néanmoins à comprendre que la Mort réversible, le pouvoir qu’il a obtenu en arrivant sur ces terres, lui réserve un destin des plus funestes. Appelé à combattre la mort encore et encore, Subaru doit résoudre les mystères qui entourent son invocation dans ce monde. À la capitale de Lugnica il rencontra de nouveaux protagonistes, en retrouvera d’autres et... découvrira que toutes ses actions auront des incidences sur la vie de ses proches</span><br />
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Publié aux éditions Ototo (6€99)<br />
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<b><span style="color: #8e7cc3; font-size: large;">12 JUILLET 2018</span></b></div>
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<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Hara Keisuke est un lycéen qui va vivre une situation bien gênante... Alors qu'il se changeait pour assister à son cours de sport, celui-ci se retrouve à enfiler un collant resté dans son survêtement. La raison ? Sa grande soeur bien aimée lui avait emprunté son jogging la veille... Heureusement pour lui, son meilleur ami et camarade de classe Shimoda se rend compte de la situation et l'exfiltre discrètement direction l'infirmerie. En sécurité, à l'abri des regards indiscrets, Keisuke peut retirer cet invité surprise qui a bien failli lui rendre sa scolarité infernale. Mais... Quand Shimoda voit son ami s'exécuter, il ne peut s'empêcher de vouloir l'aider et de lui révéler par la même occasion son fétiche... Celui-ci voue une véritable passion aux belles jambes vêtues de collants noirs </span>!</div>
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Publié aux éditions Taifu (8€99)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhnvuNN36rlhjYlEyfF0tcXBuSB0QkxuB8453k8yf0yNvRttU3MuuNWVnXeyxQq3eF9IjLRP82pM3t22G8rgn0DXhaiTUO-kDHsMAmEakKCRCfQtWOgasBho9DgUlzhJoiSWkw_aAjr0o3t/s1600/minori-no-te-manga-volume-1-simple-311030.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="369" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhnvuNN36rlhjYlEyfF0tcXBuSB0QkxuB8453k8yf0yNvRttU3MuuNWVnXeyxQq3eF9IjLRP82pM3t22G8rgn0DXhaiTUO-kDHsMAmEakKCRCfQtWOgasBho9DgUlzhJoiSWkw_aAjr0o3t/s200/minori-no-te-manga-volume-1-simple-311030.jpg" width="147" /></a><span style="font-size: x-small;">Shigefuji Minori est un chiropraticien qui a tout pour lui. Jeune, beau et talentueux, il attire toutes sortes de personnes qui espèrent bénéficier de ses dons de masseur pour se relaxer et retrouver leur énergie. Capable de soigner aussi bien le corps que le coeur de ses clients, Minori reste pourtant un homme blessé qui ne semble pas avoir encore trouvé la voie de la guérison</span>.</div>
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Publié aux éditions Taifu (8€99)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5J5mUAGXQ8l00ZHuPCaKBiP_a_vKhMYXuW450EN8LSDkugw7BmFWEL_ohvZSXVb6NOWrrD8cGA-iZNzQeEuQJhTqcvpQV1FVNO-L7R7-ZoT2wB511vz_G6tLA2YRUWEPRYUieCfr3DCpm/s1600/le-theatre-des-fleurs-manga-volume-1-simple-306342.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="360" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5J5mUAGXQ8l00ZHuPCaKBiP_a_vKhMYXuW450EN8LSDkugw7BmFWEL_ohvZSXVb6NOWrrD8cGA-iZNzQeEuQJhTqcvpQV1FVNO-L7R7-ZoT2wB511vz_G6tLA2YRUWEPRYUieCfr3DCpm/s200/le-theatre-des-fleurs-manga-volume-1-simple-306342.jpg" width="143" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Sôgorô est l'héritier d'une des familles les plus connues du monde Kabuki. Le jeune homme n'a aucun intérêt pour d'autres acteurs de son âge à l'exception de Gensuke qu'il reconnaît comme son rival. Obsédé par l'idée de ne pas se laisser dépasser par ce dernier, il fait tout ce qu'il peut pour maintenir son statut de prodige de la scène. Cependant, le destin lui joue un tour cruel et nos protagonistes se retrouvent camarades de classe Pire ! Ils vont devoir travailler ensemble pour une représentation Est-ce que leur entente restera si cordiale ou se dépasseront-ils ?!</span></div>
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Publié aux éditions Taifu (8€99)<br />
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<span style="color: #8e7cc3; font-size: large;"><b>24 JUILLET 2018</b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHQdOqjTi0BpO9-Y1kJKLJNoUSAxliNfvf3mBuLsXhYB2EofoA2aUKp0N9kK16jcrsDnd4ozM2ho6JUfPGeQ3OU2EZly8ZbZ9H9Dcj5apIz9pr3cxtjCW8wHWM5JMvWhuZDAeDtRGrVB-m/s1600/abarenbo-honey-manga-volume-1-simple-311836.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: justify;"><span style="font-size: x-small;"></span></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHQdOqjTi0BpO9-Y1kJKLJNoUSAxliNfvf3mBuLsXhYB2EofoA2aUKp0N9kK16jcrsDnd4ozM2ho6JUfPGeQ3OU2EZly8ZbZ9H9Dcj5apIz9pr3cxtjCW8wHWM5JMvWhuZDAeDtRGrVB-m/s1600/abarenbo-honey-manga-volume-1-simple-311836.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1120" data-original-width="770" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHQdOqjTi0BpO9-Y1kJKLJNoUSAxliNfvf3mBuLsXhYB2EofoA2aUKp0N9kK16jcrsDnd4ozM2ho6JUfPGeQ3OU2EZly8ZbZ9H9Dcj5apIz9pr3cxtjCW8wHWM5JMvWhuZDAeDtRGrVB-m/s200/abarenbo-honey-manga-volume-1-simple-311836.jpg" width="137" /></a><span style="font-size: x-small;">Champion de baston et un peu crétin sur les bords, Kuma vit tranquillement sa petite vie de délinquant. Suite à un différend avec Hachi, héritier d’un clan de yakuza, Kuma est bien décider à lui régler son compte... jusqu’à ce que ses toutes premières chaleurs d'Oméga ne viennent lui mettre des bâtons dans les roues ! Son corps devient brûlant, sa tête se vide, puis, une douleur inconnue le submerge entre les jambes. Complètement démuni face à son plus grand rival, le jeune homme est loin de se douter du destin qui l'attend ! Aussi agressifs et fougueux en sexe qu'en baston, l'amour est pour eux un véritable combat !</span></div>
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Publié aux éditions IDP (7€95)<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvsuITmLUtvwtpJDJC3cuJIezSKSlmSYK1rqmvgtqO2nFxJkK9hzxIFxniBrbwvPdNgQ3lF6SC-BoFQp4Ligl80j3_OljFBhZEPwEzxLXRdD9VspqDKGXHXwwAG2IDuVQpGozfk8ewgBfy/s1600/la-foret-des-roses-manga-volume-1-simple-311837.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1066" data-original-width="770" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvsuITmLUtvwtpJDJC3cuJIezSKSlmSYK1rqmvgtqO2nFxJkK9hzxIFxniBrbwvPdNgQ3lF6SC-BoFQp4Ligl80j3_OljFBhZEPwEzxLXRdD9VspqDKGXHXwwAG2IDuVQpGozfk8ewgBfy/s200/la-foret-des-roses-manga-volume-1-simple-311837.jpg" width="144" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Yô vit avec un vampire. Un vampire bien loin des clichés fictifs qui, s'il boit du sang, préfère cultiver de magnifiques rosiers. Derrière leur relation, il y a un mystérieux système de réincarnations, la malédiction des êtres immortels, et beaucoup de choses encore que Yô ignore. Pourtant, il a déjà choisi sa voie. Mais ce n'est pas tout... Dans d'autres aventures, vous pourrez visiter Monte Carlo au bras d’une mystérieuse beauté, pénétrer dans les bains chauds aux côtés de deux fougueux jeunes gens, et même apprécier de jolies gambettes là où vous ne pensiez pas en trouver ! Retrouvez le trait énergique et sensible de Kumota Haruko dans cette série d’histoires courtes toutes plus attendrissantes les unes que les autres !</span></div>
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Publié aux éditions IDP (7€95)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0CbdhPkfqcJqs7E-j7FfqM57kXEN4cHBYsv8ml_tM4qx8rljrYaNL8thHVp7oMZ1_FbM-OeXGw3x7V8moY4U2zMSK_fDYKUK5fND0a1mNXWOZWLcgOTlcwFVk7I_4LJtyih-2n_K3XrXQ/s1600/sur-un-malentendu-ca-peut-marcher-manga-volume-1-simple-311839.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1120" data-original-width="770" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0CbdhPkfqcJqs7E-j7FfqM57kXEN4cHBYsv8ml_tM4qx8rljrYaNL8thHVp7oMZ1_FbM-OeXGw3x7V8moY4U2zMSK_fDYKUK5fND0a1mNXWOZWLcgOTlcwFVk7I_4LJtyih-2n_K3XrXQ/s200/sur-un-malentendu-ca-peut-marcher-manga-volume-1-simple-311839.jpg" width="137" /></a><span style="font-size: x-small;">Kurono travaille en tant que délégué médical pour une industrie pharmaceutique. Poussé par un médecin avec qui il fait régulièrement affaire, il décide de se rendre à Teizan, un immense hôpital, où il fait la connaissance du docteur Hôjô. Malheureusement pour lui, celui-ci est glacial au possible et l'envoie balader sans aucune autre forme de procès. Mais Kurono ne se décourage pas et, au prix de nombreux efforts, parvient à se faire inviter à un congrès par le docteur Hôjô lui-même. C’est le moment ou jamais pour tenter un rapprochement ! Mais quand il découvre qu'ils partagent la même chambre et qu'il n'y a qu’un seul futon, l'esprit de Kurono se met à travailler à vive allure. Serait-ce une invitation ? Doit-il prendre ça pour des avances... ou pas ? Quel est le bon comportement à adopter !? Parfois, un malentendu peut être l’élément déclencheur qui fait naître un amour sincère !</span></div>
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Publié aux éditions Taifu (7€95)<br />
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<span style="color: #8e7cc3; font-size: large;"><b>25 JUILLET 2018</b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMWnoU0-nC50U71rDKyZSvBeq9hf75PRYrfywi9uhYJPvZC7V2kuYTr1Pler-sY5QpyioC2L6DQvZv8xf95Wbp2_OiP38LZDh6twueJvqG_xJWgT2i4WQYtH1brJ7SZ5ZUnFESYN8fMe1r/s1600/getter-robot-manga-volume-1-simple-284949.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="357" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMWnoU0-nC50U71rDKyZSvBeq9hf75PRYrfywi9uhYJPvZC7V2kuYTr1Pler-sY5QpyioC2L6DQvZv8xf95Wbp2_OiP38LZDh6twueJvqG_xJWgT2i4WQYtH1brJ7SZ5ZUnFESYN8fMe1r/s200/getter-robot-manga-volume-1-simple-284949.jpg" width="142" /></a><br />
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Trois adolescents sont sélectionnés pour piloter chacun un vaisseau de combat afin de protéger la terre d’un danger à venir : Ryoma Nagare, jeune lycéen au sang chaud pilotera Eagle, Hayato Jin, grand sportif au tempérament solitaire aura Jaguar pour vaisseau et Musashi Tomoe, capitaine du club de judo sera en charge de piloter Bear. Ces vaisseaux, conçus par le professeur Saotome peuvent s’associer en un seul super robot... Le Getter Robot. Série révolutionnaire dans le genre Mecha, ce manga introduit pour la première fois le concept de différentes machines s’associant pour former un super robot. Getter Robot est un must pour les amateurs du genre.</span></div>
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Publié aux éditions Isan Manga (29€90)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiG05UtgShLkG3nfTfLSz3FM3Ybd2ElwCDFQZFR3oLJR9P41wZ_KNzn3vf9uNAyJv_lhUe1_bOfKT1cPJrJYyCrsYDhfj9Cq9Ue8qSRJ2tJ7cHNtJMKPYJi6g2JVcORhXnQLSPe0d5UG9Ip/s1600/go-ranger-manga-volume-1-simple-279250.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="357" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiG05UtgShLkG3nfTfLSz3FM3Ybd2ElwCDFQZFR3oLJR9P41wZ_KNzn3vf9uNAyJv_lhUe1_bOfKT1cPJrJYyCrsYDhfj9Cq9Ue8qSRJ2tJ7cHNtJMKPYJi6g2JVcORhXnQLSPe0d5UG9Ip/s200/go-ranger-manga-volume-1-simple-279250.jpg" width="142" /></a><span style="font-size: x-small;">Tsuyoshi Kaijô, fils héritier du dojo Kaijô, découvre un jour que son père est le responsable de l'une des cinq sections de l'Earth Guide League (EGL) au Japon, groupe créé par les Nations Unies pour combattre l'Armée de la Croix Noire, organisation terroriste menaçant la paix mondiale. Le père de Tsuyoshi lui montre alors la nouvelle arme secrète des EGL, un costume décuplant les capacités physiques de celui qui le porte. Mais lors d'une attaque de l'Armée de la Croix Noire, le père du jeune homme et ses disciples sont tués. Tsuyoshi jure alors d'utiliser le costume pour venger son père et rejoint alors les rangs de l'EGL pour former un escadron secret de cinq soldats, chacun équipé d'un costume spécial : Les Go Ranger</span></div>
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Publié aux éditions Isan Manga (29€90)<br />
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<span style="color: #8e7cc3; font-size: large;"><b>DIVERS</b></span></div>
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- <u>04 juillet</u> : global manga "4Life" aux éditions Glénat (7€60)</div>
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- <u>04 juillet</u> : global manga "Everdark" aux éditions Pika (7€50)</div>
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- <u>04 juillet</u> : global manga "Mortician - the dark feary tales" aux éditions Glénat (7€60)</div>
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- <u>04 juillet</u> : volume double écrin "The rising of the shield hero" aux éditions Doki Doki (15€00)</div>
<div style="text-align: justify;">
- <u>05 juillet</u> : "Buichi Terasawa - aux frontières de l'imagination" aux éditions Isan manga (40€00)</div>
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- <u>12 juillet</u> : "Teen's pleasure" aux éditions Taifu (13€99) (+18)</div>
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<b><span style="color: #8e7cc3; font-size: large;"><br /></span></b></div>
<div style="text-align: center;">
<b><span style="color: #8e7cc3; font-size: large;">MES ATTENTES</span></b></div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Peu d'annonces me semblent intéressantes ce mois-ci. Tant mieux, cela sera l'occasion de me consacrer à des séries qui attendent d'être lues depuis un moment, notamment quelques œuvres de <i>Kamimura</i> (!!).</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
La nouveauté sur laquelle je me suis jetée ce mois-ci... C'est une œuvre qui ne sera surement pas publiée en France pour des raisons qui me semblent très regrettables, telles que l'âge du titre et ses problématiques. Il s'agit de <u style="font-weight: bold;">Claudine</u>, un livre de <i>Riyoko Ikeda</i> à qui l'ont doit le sublime <u style="font-weight: bold;">La rose de Versailles</u>. Un titre qui se calquera sur les mêmes grandes thématiques, mais en plus poussé je pense, à savoir le genre et l'identité d'un homme né avec un corps de femme. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pour ce qui se passe par chez nous, je suis intriguée par plusieurs titres en raison des auteur.ice.s plus que par le sujet. Dans cette liste rentre <u style="font-weight: bold;">My teacher my love</u> de <i>Momoko Koda</i> qui nous avait bien amusé.e.s avec l'indécrottable héroïne de <u style="font-weight: bold;">No longer heroine</u>, puis <u style="font-weight: bold;">Les héros de la galaxie</u> sur lequel j'ai encore plus de réserves vu l'effet soporifique qu'a eu sur moi le premier épisode de l'anime sorti cette année. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Je testerai avec moins d'appréhensions <u style="font-weight: bold;">Beyound the clouds</u> qui a l'air d'être une jolie histoire, ainsi que <u style="font-weight: bold;">La forêt des roses</u>, parce que soutenir <i>Kumota Haruko</i> en France devrait être notre devoir à tous et à toutes.<br />
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
<i><u>Et vous, que lirez-vous ce mois-ci ?</u></i></div>
</div>
Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-33240278013195359802018-06-25T20:22:00.001+02:002018-06-25T21:00:26.616+02:00 Challenge Manga Suki : Mai Partie II <div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9PIm53XzcQ7WLIVruzibokkfcvxWhWlE2NlfCTRapUJPTndbBaa9zc6YWEh_g-MvjJPpQuZ5E69vW8qXxnWEb7JtsbxhfEhe297bdWFb1umxAJHZiNNgrHu1xWXHk1nNRrNUfSsEZ7K7-/s1600/p20518.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9PIm53XzcQ7WLIVruzibokkfcvxWhWlE2NlfCTRapUJPTndbBaa9zc6YWEh_g-MvjJPpQuZ5E69vW8qXxnWEb7JtsbxhfEhe297bdWFb1umxAJHZiNNgrHu1xWXHk1nNRrNUfSsEZ7K7-/s1600/p20518.jpg" /></a></div>
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<a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">présentation du challenge</a></div>
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<<a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2018/06/challenge-manga-suki-mai-partie-i.html"> partie précédente</a></div>
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Après quelques temps d'attente (je m'en excuse encore auprès des personnes qui ont rédigé pour ce blog 😥), voici venu le temps de lire six textes de blogueurs qui vous emmèneront vers des destinations bien différentes. </div>
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J'ai également repris ma plume et quel plaisir inouï d'écrire enfin sur un de mes mangas chouchou dernièrement. Pas de suspense inutile, il s'agit de <u style="font-weight: bold;">Le monde de Ran</u>, un très joli titre à bien des niveaux. </div>
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Bonne lecture ! </div>
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<i>Coco</i>, jeune fille fasciné par la magie depuis son plus jeune âge, veut devenir une sorcière. Hélas, c'est un don qui n'est inné que depuis la naissance. Du moins, elle le pensait jusqu'à rencontrer un sorcier du nom de <i>Kieffrey</i>. Elle y découvre alors le secret des sorciers. La magie s'illustre sous forme de pentacle, enfin, à condition d'avoir les outils appropriés pour en effectuer.</div>
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<b><span style="color: #8e7cc3;">On suit donc une petite fille en plein apprentissage dans le monde magique qui ne cesse de l’émerveiller</span></b>. Et c'est réciproque pour nous aussi. Ses réactions sont adorables, quand bien même la magie est omniprésente, elle a toujours des étoiles dans les yeux et cette soif d'en apprendre d'avantage. Et c'est (encore) réciproque pour nous aussi ! Petite mention au côté décalé du visage de <i>Coco</i> durant certaines scènes, qui rend la série hilarante.<br />
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<span style="font-family: inherit;">Les éditions <i>Pika</i> misent gros sur cette série, et ils ont raison. Le tome 1 a bénéficié d'une éditions collector avec un <i>artbook</i> aux petits oignons. Le tome 2 aura une jaquette réversible et une <i>plumestylo</i> (outil indispensable pour les sorciers). Si cela n'est pas déjà fait, plongez-vous dans cette belle aventure. Elle mérite fortement d'être dans nos bibliothèques.</span></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; color: black; font-family: "Times New Roman"; font-size: medium; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: justify; text-decoration-color: initial; text-decoration-style: initial; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px;">
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Ce manga est une œuvre biographique : elle raconte l'histoire de <i>Tomoko Higa</i>, petite fille dont la photo, faite par le photographe militaire <i>John Hendrickson </i>en juin 1945, a fait le tour du monde. Elle avait d'abord écrit un roman autobiographique 40 ans après les événements, avant que <i>Saya Miyauchi </i>ne l'adapte en manga, en 2005. En 170 pages, la <i>mangaka</i> expose environ 2 mois de vie de l'enfant. Oui, seulement deux mois. Pourtant à la lecture, on a l'impression que ça dure très longtemps, c'est difficile à imaginer comment une enfant à trouver le temps long...</div>
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<i>Okinawa</i> ne subit pas la guerre du Pacifique tout de suite. Et c'est dans cette ambiance encore joyeuse (même si tout le monde est bien conscient que ce n'est que temporaire) que nous arrivons dans l'histoire. Même si <i>Tomoko</i> a perdu sa mère, son père, ses sœurs et son frère encore présents dans le domicile familial, l'aident à combler ce manque. Malheureusement, les choses changent vite, et alors que le père doit aller à <i>Makabe</i> pour faire le plein de provisions pour l'armée, il ne revient pas. C'est le début d'une véritable chute en enfer pour les 4 frère et sœurs, qui doivent fuir vers le sud et abandonner leur maison. Mais le pire est à venir, quand <i>Tomiko</i> est séparée du reste de sa famille, se retrouvant seule, <b><span style="color: #8e7cc3;">devant apprendre à survivre entre les bombes et dans la nature à seulement 6 ans</span></b>...</div>
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<b><span style="color: #8e7cc3;">La vision de la guerre n'est absolument pas édulcorée</span></b>. Les scènes de violence, de bombardements, les cadavres, les blessés, tout est montré. On voit la guerre dans toute son horreur. De plus, il n'y a aucun manichéisme : les américains ne sont pas les seuls méchants. Comme dit <i>Tomoko</i>, les soldats vivants font peur : les américains, certes, mais surtout les japonais, qui osent tuer des civils, se tuer entre eux (même si y'a une raison que <i>Tomoko</i> ne peut comprendre). <b><span style="color: #8e7cc3;">La petite fille doit faire face aux violences, et surtout à la folie humaine</span></b>.</div>
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C'est ce qui rend le tout déchirant : <i>Tomoko</i> n'est qu'une petite fille, mais elle doit survivre dans cet environnement. Et pour cela, elle s'attache à ce qu'elle peut pour tenir : les souvenirs des paroles de son père, le réconfort qu'elle arrive à trouver comme elle peut avec un lapin et même des fourmis... Le désespoir est partout, et il est impossible pour elle de se nourrir et de boire à cause des cadavres, mais aussi grâce aux cadavres (les soldats ont toujours de la nourriture sur eux...). Mais le plus horrible, c'est quand cette petite fille exprime son envie de mourir : c'est affreux. Elle finira par retrouver le courage grâce à une ultime rencontre...</div>
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Car oui, il n'y a pas que de l'horreur, de l'immonde, de l'intolérable. Il y a une petite dose d'espoir, de part le regard de cette petite fille qui cherche malgré tout à s'en sortir, qui croit au destin, à sa chance, et qui pense à sa famille, aussi bien décédée que vivante. Et son ultime rencontre avec un vieux couple, un homme tronc et une femme aveugle, va l'aider pour reprendre espoir en la vie.</div>
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Bref, je ne peux que conseiller ce manga, si vous aimez les témoignages, et si vous avez le cœur accroché. Mais il vaut le coup d’œil, pour tous les âges. Vraiment. Surtout qu'il est toujours extrêmement d'actualité, malheureusement. Les enfants sont des victimes des guerres, et nous en voyons bien trop souvent à la télévision...</div>
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<i>Tatsuya Kitazaki</i>, un jeune enfant des plus ordinaires va rencontrer sa nouvelle voisine arrivant tôt dans la matinée. Autant vous dire que la rencontre est des plus piquantes puisque notre jeune garçon était sur le point d’abattre un malheureux arbre qui aurait causé l’infirmité de la petite sœur. <i>Sarah Nishikujo</i>, la nouvelle voisine va l’en empêcher et essayer de comprendre ce qui c’est passé via l’esprit de l’arbre. En effet, notre jeune fille possède un don extraordinaire: communiquer avec les végétaux! Portant avec elle un autre lourd fardeau qui, quiconque le découvre, elle devra avec son père à nouveau déménager…</div>
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Que ce soit pour cette œuvre ou une autre de notre <i>mangaka</i>, je suis toujours aussi scotché par son dessin, ce dynamisme, ces mouvements et cette aura qui l’en dégage dans ces traits de plumes. Dans cette bande dessinée japonaise, <b><span style="color: #8e7cc3;">on retrouve le côté fraîcheur, la bonne enfance et l’ambition de ces enfants</span></b>. C’est un excellent dessinateur qui sait captiver ses lectrices et lecteurs! L’histoire est magnifique, on apprend via des petits chapitres qui sont les divers personnages à travers cette trilogie, le quotidien d’enfants de primaire partant à des aventures, malgré eux périlleuses parfois! J’aime beaucoup les messages qu’on nous fait passer sur les plantes, qu’elles sont vivantes et que si nous les délaissons elles ne périront qu’à l’inverse, si on en prenait soin d’elles, elles sortiraient des plus époustouflantes. </div>
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Dans ce premier tome, on va également voir naître le premier amour de notre héros et c’est honnêtement mignon. Comment ils vont réussir à s’entendre, entre lui et Sarah qui était mal partie au début. Parfois chien et chat par moments même, de toute façon ils sont obligés de se côtoyer puisqu'ils sont dans la même école primaire.</div>
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D’un autre côté, il y a quelque chose qui me dérange dans ce manga et c'est dû à la culture du viol (et harcèlement) qu’ont les Japonais. Nous avons un personnage qui est un professeur de leur établissement, habitant dans le même quartier que nos protagonistes. Le problème c’est que ce monsieur à une sale manie de prendre en photo les plus jolies filles de l’école (en plus de prendre en photo leurs culottes si l’occasion lui en est donnée) et la manière dont il se comporte avec Sarah est je trouve malaisante… Même si <i>Hojo</i> nous le montre de façon humoristique, en punissant cet homme de manière clownesque… Le problème c’est que dans la plupart des mangas ou animes trop nombreuses montre les harceleurs et violeurs de façon comique et c’est grave puisque n’oublions pas qu’être harcelé ou violer n’est pas drôle du tout! Et que la plupart du temps ces personnes ne sont pas punies ou que l’entourage de la victime va jusqu'à dire quelle la chercher (c’est scandaleux!). Je tenais quand même à en parler même si je pense faire un article à ce sujet un jour.</div>
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Bref, hormis ce personnage qui me dérange beaucoup, cela n’a pas empêché d’apprécier ma lecture. J’ai adoré les derniers chapitres de la fin du premier tome concernant le Papa de Sarah que j’apprécie beaucoup. J’ai l’impression de voir Mammouth (Umibôzu dans <u><b>City Hunter</b></u>) et comment c’est une vraie crème malgré son physique rustique. Je vous conseille chaudement cette lecture, c’est à mes yeux, des mangas à avoir dans sa collection de manga, où ne serait-ce de les avoir lus une fois dans sa vie. </div>
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J’espère vous avoir donné envie de lire ce titre et par la même occasion de faire ce challenge, que ce soit pour ce mois-ci ou un autre mois. Merci encore <i>Manga Suki </i>d’avoir validé ce manga et de faire des thèmes intéressants!</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsimCv_O9h8jR71ItJxwyG9jinCQlvUpzmHHiPSn0WdqRLXBnApZm8ygw_dqTUaSwLP8ZOSfyOgp1WRk4_oP2SiZEMWwNK6K3TF8URLwXWXDJ06eYDDNQm_olidUQkbHC5-PgntC5DJoZA/s1600/promised-neverland-1-kaze.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="589" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsimCv_O9h8jR71ItJxwyG9jinCQlvUpzmHHiPSn0WdqRLXBnApZm8ygw_dqTUaSwLP8ZOSfyOgp1WRk4_oP2SiZEMWwNK6K3TF8URLwXWXDJ06eYDDNQm_olidUQkbHC5-PgntC5DJoZA/s200/promised-neverland-1-kaze.jpg" width="130" /></a><u><b>The Promised Neverland</b></u> est un manga scénarisé par <i>Kaiu Shirai</i>, et illustré par <i>Posuka Demizu</i>, dans lequel on y suit Emma, une jeune fille qui a été placée avec d’autres orphelins dans un établissement spécialisé lorsqu'ils étaient tout jeune. Bien que leur liberté soit limitée et que les règles soient parfois un peu strictes, ils mènent une vie agréable tous ensemble et la femme qui s'occupe d'eux est généreuse. Cependant, une question anime Emma et tous les autres : pourquoi n'ont-ils pas le droit de sortir de l'orphelinat ?</div>
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J’ai découvert la série avant sa sortie française grâce à la blogueuse <i>Sayu</i> qui suit la série depuis ses tout débuts au sein du <i>Shônen Jump</i> et qui me l’avait vivement recommandée. Le manga ne me tentait pas énormément, mais avec son avis, j’avais envisagé de le commencer. Et c’est ce que j’ai fait suite à la sortie française du premier tome.</div>
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A l’occasion, <i>Kazé Manga</i> a fait pas mal de publicité pour ce titre. Pour certains c’était même un peu trop. Personnellement je me base rarement sur la promotion faite par les éditeurs puisque je trouve ça normal de leur part de vouloir faire vendre leurs séries. Et le fait qu’il soit énormément populaire au Japon ne dit pas forcément que ça va me plaire. Mais au vu des nombreux avis positifs qu’il avait, je me suis lancée dans la lecture du manga.</div>
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J’ai bien aimé la façon dont débute le manga. On y voit les enfants de l’orphelinat mener une vie paisible, bien qu’on se doute au vu des résumés que cela ne va pas durer. D’ailleurs <b><span style="color: #8e7cc3;">la transition est plutôt brutale</span></b>, j’ai trouvé ça assez violent pour les personnages qui ne sont que des enfants, plus que pour moi-même. Bien qu’en soi je ne suis pas très fan de l’aspect fantastique qu’on a sur cette série. A partir du moment où Emma, Norman et Ray prennent conscience de ce qui se passe réellement autour d’eux, une guerre psychologique débute entre eux et l’antagoniste principale du début de la série : Maman. </div>
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On un trio très sympathique et attachant. Emma a ce côté naïf et tête brûlée qu’on retrouve chez pas mal de héros de shônens, mais en aucun cas je l’ai trouvée agaçante, au contraire. Elle est de nature joviale, j’aime bien son côté grande soeur. Norman et Ray ont quand à eux des caractères différents mais sont plutôt calmes, et très intelligents (Emma aussi d’ailleurs fait preuve d’intelligence et de lucidité), peut-être même un peu trop à mon goût même si ça reste cohérent avec l’histoire. Ce qui fait que j’avais peur pour eux, mais en même temps, je me doutais qu’ils trouveraient un moyen de parvenir à leur fin. <b><span style="color: #8e7cc3;">Le manga est intéressant par la façon dont les personnages principaux doivent gérer leurs émotions</span></b>, par leur actions, mais je n’ai pas vraiment été prise par les différents raisonnements établis pour contrer Maman, j’ai même trouvé ça ennuyeux, voir prévisible par moments. J’ai été pas mal déçue sur cet aspect là, surtout vu les avis positifs de la série. J’ai trouvé que ça manquait de suspens. Sans compter que l’ambiance me rappelait surtout celle des mangas de type <i>horror survival </i>dont je suis peu fan.</div>
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Je n’ai donc pas vraiment accroché au premier arc, excepté que je trouvais ça plutôt original de suivre des personnages enfants dans ce genre d’histoire. Si ça avait été des adultes / jeunes adultes, j’en aurai peut-être abandonné la lecture. Cependant, j’ai trouvé que ça devenait plus intéressant passé le premier arc. Le rythme s’accélère, les personnages principaux réfléchissent de manière plus réaliste de mon point de vue. J’ai été surprise par certains événements, par certains personnages, leur décisions, leurs actions, mais aussi par ce qu’on apprend sur Maman. Car elle a beau être cruelle et effrayante, je trouve que c’est un personnage intéressant. Concernant le monde qui les entoure, on en apprend plus progressivement au fil de l’histoire. Je n’ai pas été trop surprise de ce côté là mais j’espère que cela continuera de m’intéresser jusqu'au bout.</div>
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Pour ce qui est dessins, je n’en suis pas trop fan. On est dans un style très <i>shônen</i> et pas hyper plaisant de mon point de vue, même si ça reste particulier. En revanche j’apprécie bien la façon dont les expressions des personnages sont réalisés. L’air menaçant de Maman, la peur sur les visages des enfants… Les décors sont quant à eux peu variés sur le début de la série, ce qui engendre une ambiance assez angoissante, et ce qui est normal au vu de l’histoire. Même arrivée au tome 5 je ne peux pas vraiment dire que ce soit très varié. A voir comment ça évoluera par la suite.</div>
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En tout cas, malgré quelques points qui m’ont dérangé, arrivée au tome 5 je trouve qu’il s’agit d’un bon manga. Je pense que le fait qu’on ait des enfants en tant que personnages principaux permet au lecteur de mieux s’y émerger. Car personnellement, même si je ne suis pas captivée par l’histoire, j’aime beaucoup le trio principal formé par Emma, Norman et Ray, mais aussi d’autres enfants de l’orphelinat qui ont bien leur rôle dans l’histoire. Je les trouve sympathiques, on ne peut que compatir vu la situation dans laquelle ils sont, et qu’aucun enfant mériterait de vivre. Je continue donc la lecture de ce manga, en espérant que les protagonistes réussiront à accomplir leur but.<br />
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Jusqu'à penser à une nouveauté (en retard) que je lis à petit rythme depuis quelques semaines. Un titre que je pensais réserver pour le dernier mois du Challenge. Mais en relisant le début, certains passage, ce fut l'ILLUMINATION. Ce titre convient parfaitement, alors même que le protagoniste n'est pas à proprement parler un enfant. Encore une fois, je propose un léger twist ! Héhé.<br />
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Trève de suspense. Il s'agit de <b><u>To Your Eternity</u></b>, <i>shonen</i> de <i>Yoshitoki Oima </i>publié par <i>Pika</i>, avec déjà 6 tomes parus. "Mais enfin !!! C'est n'importe quoi !!" vous exclamez-vous à tort "<i>Imm</i> n'est pas un enfant !!"<br />
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En effet, <i>Imm</i> n'est pas un enfant. Au début, c'est une sphère. Déposée sur Terre, elle devient un caillou. Puis, de la mousse. Peu de temps, elle prend la forme d'un loup. <b><span style="color: #8e7cc3;">Être protéiforme, <i>Imm</i> est indistinctement tout : objet inanimé ou animal (humain inclus)</span></b>. <i>Imm</i> peut prendre la forme de tout ce qui entre en contact avec lui.<br />
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Mais alors, pourquoi mon choix se porte sur ce manga ? Parce que <i>Imm</i> a tout d'un enfant, en plein apprentissage de la vie. Simple pierre au début, il devient loup, puis homme. Il apprend à se mouvoir, il ressent la chaleur et le froid. La douleur, première sensation.<br />
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Devenant humain, il apprend d'abord à marcher. Il ne mange pas, ne sait pas parler, ne sait pas écrire. Cela viendra, petit à petit. Au fil de ses rencontres, au fur et à mesure de ses itinérances. Bref, s'il n'en a pas l'apparence, <i>Imm</i> a le comportement et la maturité d'un enfant. Ce qui est normal, son existence terrestre ne se compte, au début du manga, qu'en mois. <b><span style="color: #8e7cc3;">Petit à petit, comme un enfant, il va grandir et s'ouvrir au monde qui l'entoure</span></b>.</div>
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Salut à tous ! Nouveau mois nouveau thème, me revoici aujourd'hui pour aborder le thème de Mai : un enfant en personnage principal.<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRRv7Xl2fS0Dh8D9cgdrqCHM78XGuIxHVjXPivQgp5FtvTqdqHpfPHpXgUYpfGGAVRyt7EhQCuT0Rs7XD9f3ggLSm3qyowKJY8RDcbdUPrnVa1-3t61ZBvTca0L2vsqbDP6cb04eGgcY16/s1600/Le_bonheur_cest_simple_comme_un_bento_de_yuzu-nobi.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="650" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRRv7Xl2fS0Dh8D9cgdrqCHM78XGuIxHVjXPivQgp5FtvTqdqHpfPHpXgUYpfGGAVRyt7EhQCuT0Rs7XD9f3ggLSm3qyowKJY8RDcbdUPrnVa1-3t61ZBvTca0L2vsqbDP6cb04eGgcY16/s200/Le_bonheur_cest_simple_comme_un_bento_de_yuzu-nobi.jpg" width="144" /></a><br />
Après quelques temps de recherches, mon choix s'est finalement porté sur un nouveau manga d'<i>Umetaro Ao</i>i, <u><b>Le bonheur c'est simple comme un bento de Yuzu</b></u>, ou plus simplement <i>YuzuBento</i>.<br />
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Sorti dans nos contrées chez <i>Nobi Nobi</i>, l'histoire nous raconte le quotidien de <i>Yuzu</i>, jeune fille de 5 ans qui vit dans la petite ville de <i>Mugi</i> chez sa grand mère et qui tient là bas une boutique de bento. Sa vie est agrémentée de la visite de plusieurs clients aux soucis divers et variés qui cherchent à échapper à ces derniers, mais heureusement,<i> Yuzu </i>est là pour eux !<br />
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Comme la plupart des oeuvres proposées par l'éditeur, <i>YuzuBento</i> est<b><span style="color: #8e7cc3;"> un manga simple et calme, qui nous entraîne doucement dans le quotidien et les soucis des personnages suivis tout en gardant une bonne dose de joie</span></b>.<br />
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<b><span style="color: #8e7cc3;">Mais, malgré ce ton joyeux et reposant, la série arrive à aborder aussi plusieurs sujets plus sérieux</span><span style="color: #674ea7;"> </span></b>tel que la solitude et la mort dans des chapitres plus intenses, mais sans jamais quitter son côté doux qui fait la force de la série.<br />
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Autre point important, le dessin, lui aussi simple, s'accorde pourtant parfaitement au récit, nous faisant parfaitement passer les émotions et ressentis, principalement grâce aux magnifiques sourires, remplis de joie et de vie, qu’arborent les personnages.<br />
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Je vais m'arrêter là car en dire plus ne ferait que spoiler ou gâcher la surprise, la série étant en seulement deux tomes. Mais ce dernier point vous donne une bonne raison de la commencer, elle n'est pas longue à finir et en plus est très plaisante à lire !<br />
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Sur ce ~<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg022kqSxmmK6F2XurkxbYD83ZI2DtX2Equm5IrRmP4i1iWp2Zpj5UbME2p-0kYHofrm7tIdirlT1o4h4q3BtHg2ssQF0iapv7ZWnolv7uH56pMyTNi5zLTbNw3EfE2r-hStsAEucuuqgae/s1600/Monde+de+Ran.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg022kqSxmmK6F2XurkxbYD83ZI2DtX2Equm5IrRmP4i1iWp2Zpj5UbME2p-0kYHofrm7tIdirlT1o4h4q3BtHg2ssQF0iapv7ZWnolv7uH56pMyTNi5zLTbNw3EfE2r-hStsAEucuuqgae/s1600/Monde+de+Ran.jpg" /></a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhRLQqCJIpo3KM3jq4k2D7liedRHbNCzZz-21qrRbSe2TuOYEUnkYlaDpdfBDbE8AnTQtBgkeE31gj-_pUJc0ItMua61OlhA2FGYgPgux86MLJT3EdzL3AnT1Ev8wWFBpPcdXZdICUgjbzs/s1600/monde-de-ran-1-black-box.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="548" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhRLQqCJIpo3KM3jq4k2D7liedRHbNCzZz-21qrRbSe2TuOYEUnkYlaDpdfBDbE8AnTQtBgkeE31gj-_pUJc0ItMua61OlhA2FGYgPgux86MLJT3EdzL3AnT1Ev8wWFBpPcdXZdICUgjbzs/s200/monde-de-ran-1-black-box.jpg" width="136" /></a>S'imposant comme un coup de cœur très fort dès les premiers jours de l'année, j'étais impatiente de parler de la petite <i>Ran</i> et de son excentrique famille, qui a fait naître tant d'étoiles dans mes yeux. Si tant soit peu que rêver soit votre sport favori, <u style="font-weight: bold;">Le monde de Ran</u> est tout indiqué pour figurer sur votre table de chevet.<br />
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Dans un autre style que <u style="font-weight: bold;">L'atelier des sorciers</u> (dont plusieurs blogueurs vous parlent justement dans ces billets), <i>Aki Irie</i> nous met face à une magie qui donne le sourire, entre les mains de l'adorable <i>Ran</i>, mais qui peut également être le point de départ de trépidantes aventures. Et pour représenter cet imaginaire qui en met plein la vue, la <i>mangaka</i> ne se refuse rien. Il n'est pas rare, pour les titres ayant pour thème cette discipline, d'avoir un aspect de déjà-vu, mais il n'en est rien ici. C'est un immense plaisir de tourner les pages, tant on se demande constamment jusqu'où va aller l'autrice pour émerveiller son lecteur. Et quelle joie de me répéter que je n'en suis qu'à la moitié de ma lecture ! Il y a énormément de points qui m'ont fait avoir de grands sourires de surprise en observant <i>Ran</i> maîtriser sa magie, puis en découvrant l'envers du décors avec les talents sans limites de ses parents. Au vu des éléments survenant là où je suis rendue dans ma lecture, le <i>manga</i> pourrait aussi prendre du sérieux et partir sur un scénario plus "grandiose", tout en montrant d'autres aspects de la magie.<br />
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J'ai choisi ce titre évidemment parce que <i>Ran</i>, l'héroïne, est en primaire mais aussi parce que c'est un livre parlant d'apprentissage de la vie (et de magie mais à force vous aviez compris). En enfilant ses baskets, <i>Ran</i> devient une adulte seulement en apparence, et le décalage provoquera plusieurs situations amusantes, notamment au niveau de relations "amoureuses" suscitées par sa jolie plastique. J'aime particulièrement le côté magique avec l'apparition de sa professeure délurée, puis son "apprentissage des autres" avec son camarade de classe, ce qui est en plus mignon comme tout !! Pour le moment, <i>Ran</i> sert davantage le côté humoristique du titre, mais cela serait intéressant de la voir grandir en même temps que ses pouvoirs. J'espère cela en tout cas.<br />
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On croise beaucoup de créatures fantastiques dans le <i>manga</i>, créatures que la <i>mangaka</i> s'amuse à humaniser le plus possible en nous montrant en parallèle leur quotidien plus ou moins ordinaire. On s'attache facilement à chacun et c'est un plaisir que de voir le récit se détourner du parcours de l'enfant assez régulièrement.<br />
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Le récit de <i>Aki Irie</i> regorge de détails, de paillettes et d'une beauté très "pure", comme en témoignent les sept superbes premières de couverture, mais sans jamais entraver la facilité de la lecture. L'autrice a le don de faire naître un émerveillement tout particulier en nous, nous envoûtant avec un succès magique.<br />
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Le mois prochain, le blog fera place à des titres qui bougent, avec pour thème central "un sport peu représenté ou peu connu". Merci de nous avoir lu 💖<br />
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-5803081130871191682018-06-17T19:45:00.001+02:002018-06-17T19:45:29.818+02:00 Challenge Manga Suki : Mai Partie I <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEwneuEFeKamB5TWPVe5NvOTZhuuBoLmrcn2Zq0xVnLJLm1utdricoqhQxaSWQc98kP4AjursIjwyuSSSldS83A2lnwM16o6yUkK50O9XABWBhyaKjvaJFskeA5_eQVSz0lmQjTxk_rMBy/s1600/p10518.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEwneuEFeKamB5TWPVe5NvOTZhuuBoLmrcn2Zq0xVnLJLm1utdricoqhQxaSWQc98kP4AjursIjwyuSSSldS83A2lnwM16o6yUkK50O9XABWBhyaKjvaJFskeA5_eQVSz0lmQjTxk_rMBy/s1600/p10518.jpg" /></a></div>
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<a href="http://manga-sukii.blogspot.com/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">présentation du challenge</a></div>
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Ce mois-ci, la consigne était simple : lire un <i>manga </i>présentant en personnage principal un enfant. Ce que j'ai adoré avec ce thème, c'est que mes beta-lecteurs sont partis "dans tous les sens", ce qui a prévu de prouver, si vraiment il y avait besoin de prouver, à quel point le <i>manga</i> est un support vaste et comme ses destinations peuvent être différentes. Récits dramatiques, comédie, aventure comme horreur se côtoient pour un joli pèle-mêle qui fait grossir nos listes d'envies. </div>
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Bonne lecture ! </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdwhQ7brucdukWr0wDLX00mEiig9JDy_dBW2MwfBerAzZaQOKBegikwrMuwq_hyphenhyphenx9vtHeWn8DJ9_Gn6qYLDqpiE9vMX4gUJROmMHnX99ShxEND6YBeyEAzBmcX2PYOrvoq0sazCijy3qXM/s1600/The+Promised+Neverland+%2528Joan%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdwhQ7brucdukWr0wDLX00mEiig9JDy_dBW2MwfBerAzZaQOKBegikwrMuwq_hyphenhyphenx9vtHeWn8DJ9_Gn6qYLDqpiE9vMX4gUJROmMHnX99ShxEND6YBeyEAzBmcX2PYOrvoq0sazCijy3qXM/s1600/The+Promised+Neverland+%2528Joan%2529.jpg" /></a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjILObLc8PCbZg3vH4Qd-4HvsVsWqw2e8-3uRzQgWLwX5vHrxhLf11UIGNfO5pAA5JBZ84vatJyyCpbZ7ixklIC5HqGl-yTCYaZTuhfeq3rpDPKTaU6yGA2PByRw3fnWCDIFKAss9ewNrTC/s1600/promised-neverland-1-kaze.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="589" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjILObLc8PCbZg3vH4Qd-4HvsVsWqw2e8-3uRzQgWLwX5vHrxhLf11UIGNfO5pAA5JBZ84vatJyyCpbZ7ixklIC5HqGl-yTCYaZTuhfeq3rpDPKTaU6yGA2PByRw3fnWCDIFKAss9ewNrTC/s200/promised-neverland-1-kaze.jpg" width="130" /></a>En me replongeant dans des œuvres qui ont marqué mon adolescence telles que <u><b>Hunter x Hunter</b></u> ou <u><b>Card Captor Sakura</b></u>, le moins que l'on puisse dire est que mon mois de mai a été marqué par l'enfance. Ce qui tombe bien, puisque c'est justement le sujet du <i>Challenge Manga Suki</i>. Plutôt que le choix de la fibre nostalgique, j'ai préféré tenter de retomber en enfance avec un manga actuel : <u><b>The Promised Neverland</b></u>. Présenter la série de <i>Kaiu Shirai</i> et <i>Posuka Demizu </i>serait un affront tant on nous rabâche les oreilles avec depuis le début de sa publication. Sans compter qu'<b><span style="color: #8e7cc3;">il vaut mieux découvrir l'histoire par soit-même tant elle regorge de mystères...</span></b> Alors plus que parler de l'histoire, je vais passer immédiatement à mon ressenti face à cette œuvre au doux parfum de nouveauté.</div>
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En suivant l'aventure d'<i>Emma</i>, <i>Norman</i> et <i>Ray</i>, on est confronté à <b><span style="color: #8e7cc3;">des enfants surdoués qui tentent de survivre dans un orphelinat hostile</span></b>. Aux nombreux mystères se mêle une tension que l'on pourrait presque qualifier d'horrifique, et tout l'intérêt de titre réside dans cette ambiance. Le moindre faux pas peut s'avérer fatal pour nos protagonistes... Alors comme eux, je me suis attardé sur le moindre détail, en cherchant des solutions pour optimiser la fuite. Étrangement, ils arrivent à déduire des choses improbables alors qu'ils passent à côté d'indices pourtant évidents... Bien sûr, j'imagine que les auteurs vont s'en servir plus tard, mais il en découle un côté artificiel qui retombe vite tant le l'histoire est bien rythmée.</div>
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<br /></div>
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Plus que le récit, <b><span style="color: #8e7cc3;">le véritable point fort de <u>The Promised Neverland</u> se situe dans son esthétisme</span></b>. L'illustratrice <i>Posuka Demizu</i> donne vie avec beaucoup de talent à cet univers aussi riche que cloisonné. Malgré les contraintes évidentes d'une publication hebdomadaire, le <i>manga</i> regorge de détails. C'est une case entière qui est en mouvement, et pas seulement l'action qui se déroule en son premier plan. Pour autant, s'attarder sur les dessins de l'autrice ne nuit pas au rythme de la série, car on se questionne tout en cherchant les moindres indices. Il y a également des effets de mise en scène assez grandioses lorsque le titre tend vers l'horreur, et il convient véritablement de les découvrir à la lecture afin que leur effet soit décuplé.</div>
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Malgré tout, <b><span style="color: #8e7cc3;"><u>The Promised Neverland</u> reste une œuvre enfantine par son traitement, ce qui est tout sauf un défaut tant j'aurais aimé la découvrir au collège</span></b>. Elle propose un jeu de survie assez nouveau, en convoquant et mélangeant des thématiques déjà bien traitées ailleurs comme un orphelinat de surdoués ou la présence de démons. Si on peut féliciter <i>Kaiu Shirai </i>d'oser donner libre cours à son imagination mais qu'on se le dise, l'originalité du titre vient surtout du style de <i>Posuka Demizu</i>.<br />
<br />
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Si certains lui reprochent son manque d’originalité - notamment en la comparant à <i>Harry Potter</i> -, je préfère le classique bien ficelé à l’original mal mené. Et ici tout fonctionne parfaitement : que ce soit l’univers créé par l’autrice - avec un système de magie bien pensé -, l’intrigue, les personnages ou la thèse soutenue à travers le parcours de <i>Coco</i>.</div>
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<br /></div>
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En effet, <u><b>L’atelier des sorciers</b></u> reprend de nombreux codes classiques de la fantasy et du récit initiatique. Ceux-ci sont teintés d’influences occidentales - sans doute le résultat du travail sur les comics de la <i>mangaka</i> - et l’<b><span style="color: #8e7cc3;">on est à la fois en terrain connu et plongé dans un autre univers</span></b>.</div>
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La jeune <i>Coco</i>, adorable fillette enthousiaste et curieuse, est fascinée par la magie qui est censée lui être inaccessible. Sa rencontre avec le beau et mystérieux <i>Kieffrey</i> (oui, mode <i>fangirl</i> on, j’ai eu un vrai coup de foudre pour lui, je dois avoir un truc pour les hommes aux cheveux blancs et yeux bleus) change la donne et lui permet de devenir apprentie sorcière. À partir de ce pitch, <b><span style="color: #8e7cc3;"><i>Coco</i> doit évidemment affronter diverses épreuves pour parfaire son apprentissage, que ce soit apprendre les bases de la magie qui lui font défaut, faire face à l’hostilité de ses pairs ou affronter les éléments</span></b>.</div>
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<br /></div>
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J’ai particulièrement apprécié la thèse défendue par <i>Kamome Shirahama </i>avec ce titre : ne laissez pas votre naissance déterminer ce que vous pouvez faire. À travers le parcours de <i>Coco</i>, nous découvrons un art qui n’est pas inné mais le résultat d’un travail acharné et obstiné, exactement comme pour le dessin - une idée qui me parle donc énormément.</div>
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<br /></div>
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<u><b>L’atelier des sorciers</b></u> est un titre enchanteur, magnifique - j’ai déjà dit à quel point c’est beau ? parce que c’est VRAIMENT beau -, aux personnages attachants. Une aventure pour l’instant plutôt légère mais l’on sent déjà quelque chose de sombre qui pointe à l’horizon et beaucoup de mystères, notamment du côté de <i>Kieffrey</i>, dont les motivations ne sont pas très claires.</div>
<br />
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<u><b>Amer
Béton</b></u> est un manga de <i>Taiyou Matsumoto</i> en trois tomes qui paraît
pour la première fois en <i>Delcourt-Tonkam</i>
en 1996 ; puis réédité en intégrale en 2007, après le succès plutôt remarqué de
l’adaptation en film d’animation sorti en 2006. <b><span style="color: #8e7cc3;">Le manga nous plonge dans les
ruelles de <i>Trésor-ville</i>, à la poursuite des deux frères <i>Blanc </i>et <i>Noir</i>,
âgés d’une dizaine d’années et orphelins, vivant tant bien que mal entre la
police, les yakuzas, les clochards et les entrepreneurs</span></b>. Les deux jeunes
garçons ont beau se heurter au froid, à la saleté et à la violence, cette ville
grouillante constitue leur foyer, qu’ils vont tenter de protéger à tout prix.</div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
Même
si ce titre se démarque surtout par son ambiance et ses différents personnages,
il s’agit avant tout de l’histoire de <i>Blanc</i> qui reste enfant et <i>Noir </i>qui
grandit trop vite. C’est l’histoire de deux frères qui grandissent en n’ayant
que l’autre pour seul repère et de la ville autour d’eux qui devient comme un
gigantesque parent.<i> Blanc</i> et <i>Noir</i> vivent dans les rues de <i>Trésor-ville</i>, mais
sont aussi surveillé d’un œil par ses habitants. Finalement, <u><b>Amer Béton</b></u>
c’est essentiellement une histoire de famille.<o:p></o:p></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
Après
plusieurs mois consécutifs à être sortie de ma zone de confort, je suis cette
fois tourné vers la facilité, en lisant un auteur que je connaissais déjà, dans
un genre qui me plaît souvent. Ce manga avait toutes les chances de me plaire,
et quel plaisir de le voir franchir avec aisance la barre que j’avais déjà
placé très haut !<o:p></o:p></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
D'abord,
le style graphique est magique. Le style de <i>Matsumoto </i>que j’avais adoré sur <b><u>Sunny</u> </b>est reconnaissable, mais sur cette série, il est encore un peu différent. On
retrouve les lignes un peu tremblantes et les perspectives tordues, mais dans
ce manga pas une seule trame, pas une seule hachure. L’ensemble ressemble plus
à de la BD qu’à du manga de premier abord, mais l’ensemble est au final assez
unique. Les cases sont très remplies, et pourtant on ne s’y perd jamais grâce à
des jeux habiles de répétitions, et l’absence de hachure rend les planches
étonnamment propres. <b><span style="color: #8e7cc3;">C’est un univers visuel à part, très psychédélique,
luxuriant sans être brouillon et plein d’énergie</span></b> ; et c’est un plaisir de
se laisser porter d’une page à l’autre.<o:p></o:p><br />
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
Dans
ce sens le visuel épouse parfaitement l’histoire : pas vraiment réaliste
mais très bien construite. <b><span style="color: #8e7cc3;">Le manga ne cherche pas du tout à être
« vrai » dans le sens « terre-à-terre », mais d’un autre
côté, mets en avant des personnages construits avec un relief étonnant.</span></b> Il y a
peu de personnages et chacun joue un rôle bien connu : on retrouve le gang
de bikers, le chef <i>yakuza</i>, le vieux flic, l’entrepreneur véreux, le lieutenant
ambitieux, etc… Et pourtant, en refermant le livre, on se souvient de chaque
nom et chaque visage. L’auteur leur insuffle un vrai but, une vraie
personnalité qui se dessine à travers leurs interactions avec les autres. <i>Le</i>
<i>Rat</i> veille sur <i>les Chats</i> avec tendresse, s’adresse à <i>Fujimura</i>
avec nostalgie et au <i>Serpent</i> avec méfiance, par exemple... Le manga est tissé par les multiples
discussions entre ce peu de personnages, qui forment une maille serrée, qui
créent une ville dans laquelle chacun à une vraie place, une vraie importance.<o:p></o:p><br />
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
Et
tous ces liens s’enroulent autour des deux personnages principaux, Blanc et
Noir, qui cristallisent tout ce que l’enfance peut être, d’une innocence
irritante (incarnée par Blanc) ou d’une cruauté sauvage (incarnée par Noir). On
reste dans les jeux de symbole, Blanc et Noir ne sont clairement pas conçus
pour être de « vrais » enfants (comme on a pu en trouver dans <u><b>Sunny</b></u>),
mais plutôt pour être les enfants de la ville, <i>l’enfance dans la ville</i>.<o:p></o:p><br />
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
Toutes
ces idées auraient pu vite devenir un gros fouillis, heureusement l’ambiance
est parfaitement maîtrisée, grâce aussi à un très bon rythme. Le découpage est
ingénieux, et les nombreux symboles sont intégrés aux décors, ce qui fait
autant de points de repères, et permet de suivre les nombreuses
course-poursuites dans les airs.<o:p></o:p></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
C’est
un univers évidemment très dense qui se dessine, mais aussi très masculin, les
femmes sont absentes ou en retrait. Cela apparaît comme un choix, pour décrire
un univers aux codes et archétypes effectivement très virils l’auteur utilise
des personnages masculins, aussi ça ne m’a pas gênée pendant ma lecture. Mais
en refermant le livre je me suis demandé qu’elle genre de personnages féminins <i>Trésor-ville</i>
pourrait-elle abriter, et c’est peut-être un peu mon seul regret.<o:p></o:p></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
Mais
<u><b>Amer Béton</b></u> reste avant tout un gros coup de cœur pour moi. Un style
visuel unique au service d’une histoire solidement ficelée grâce à ses
personnages et avec plein de symboles partout, c’est exactement ce que j’aime
et c’est exactement ce que <i>Taiyou Matsumoto </i>nous offre avec ce manga. C’est une
œuvre à la fois sombre et touchante, dans lequel on se plonge en retenant son
souffle du début jusqu'à la fin. En tout cas, l’atmosphère unique m’a
totalement emportée et je pense que c’est une œuvre à avoir lu au moins une
fois. Maintenant, je file me jeter sur le film !</div>
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<br /></div>
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<br /></div>
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Pour ceux qui n'auraient pas l'intrigue :<i> <span style="color: #8e7cc3;"><b>Shinichi Kudo</b></span></i><b><span style="color: #8e7cc3;"> est un détective lycéen qui en vient souvent à aider les forces de police à résoudre des enquêtes de meurtres...</span></b> Un jour, après une sortie au parc d'attraction avec son amie d'enfance <i>Ran</i>, celui-ci poursuit deux mystérieux hommes en noir. Sur le point de surprendre un trafic douteux, <i>Shinichi </i>se fait assommer et se voit forcé d'avaler un poison. Persuadé que la mort va le frapper, à son réveil une toute autre surprise l'attend. <b><span style="color: #8e7cc3;">Le lycéen se retrouve désormais dans le corps d'un enfant de primaire </span></b>! Sous cet aspect enfantin il réussi à trouver logement chez <i>Ran</i> dont le père est détective. Le jeune garçon n'a pas trouvé meilleure couverture pour retrouver ses malfaiteurs tout en résolvant les nombreuses enquêtes semées sur sa route.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Si je suis encore <i>Conan</i> aujourd'hui, c'est en grande partie par nostalgie. Merci maman d'avoir eu le courage (ou la non présence d'esprit) d'avoir commencer cette collection, alors qu'il y avait déjà 47 tomes... Aujourd'hui le chiffre à doublé, mais c'est toujours un plaisir d'aller chercher son petit tome et la collection est belle.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Alors oui, au bout de 92 tomes, l'histoire n'avance pas forcément. Les éléments sont donnés au compte goutte et il est vrai qu'avec une si longue série, le panel de personnages est vaste, il ne cesse d'augmenter, à se demander si viendra une fin ! On ressent clairement dans les premiers tomes que l'histoire n'était pas censé s'éterniser, ils sont agréables à lire et l'impression d'avancer se fait ressentir. Les enquêtes vont quand même vite prendre le dessus vu qu'il s'agit du thème central de l'oeuvre.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
En vu des centaines d'enquêtes présentent dans le manga, les issues sont variées. Je ne suis pas une grande amatrice d'enquête policière, à la limite ce que je regrette un peu, (mais la dessus personne n'y peut rien) c'est la non possibilité de pouvoir tenter d'en résoudre une majeure partie. Culture, nom japonais, kanji, villes... C'est dommage car c'est ce qui fait à mon gout, le charme d'une enquête.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Pour le reste, en ce qui concerne les personnages, je les aimes, j'ai réellement grandi avec, comment ne pas s'attacher à eux. Malheureusement, leur temps de développement me semble souvent trop court. Cela se ressent beaucoup plus après quelques tomes déjà lus. Le fil conducteur d'une nouvelle enquête commence par une introduction avec nos personnages, le crime, parfois une légère transition et assez vite le retour sur l'enquête pour finir par une ou deux pages de conclusion. <u><b>Détective Conan </b></u>n'est pas un <i>shonen</i> surnaturel action ! <b><span style="color: #8e7cc3;">Le manga joue sur un aspect réaliste</span></b> et donc beaucoup de textes. Depuis le début il y a une grande majorité de petites cases remplies de grandes bulles pleines d'explications. Les bulles de repos se retrouvent plus avec les personnages non liés au domaine de l'enquête comme <i>Ran</i>, qui accompagne son père et <i>Conan</i> un peu partout. Même si leur caractère se distingue, leur développement personnel stagne. <i>Kogoro</i> ne donne pas l'impression de devenir un plus grand détective (en même temps il dort, me direz-vous), les nombreuses histoires de romance subissent les nombreux clichés des <i>shojos</i> avec de l'attente de l'autre, de l'échec et de l'interruption...</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
</div>
<div style="text-align: justify;">
J'aime cette oeuvre de tout mon cœur, pourtant je ne la présenterai pas comme une oeuvre à lire absolument. Peut être que dans quelques années les plus curieux se pencheront sur la fin, pour voir ce que devient ce petit garçon qu'on aimait tant suivre à la télévision. Peut être même que l'oeuvre viendra attiser votre curiosité une fois terminée. Malheureusement, je crains de ne voir celle-ci trouver un nouveau grand public en tant que série longue toujours en cours. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
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La femme défigurée est<b><span style="color: #8e7cc3;"> un manga d’horreur où les enfants sont au centre de l’histoire</span></b>. La plupart des événements sont découverts par leurs yeux, même les passages les plus horribles. Le récit est orienté par leur volonté et leurs actes, mais ils sont aussi victimes des décisions des adultes. Lorsque leurs parents et leurs professeurs sont vaincus ou les abandonnent, ils ne peuvent compter que sur eux mêmes. Parfois, les voisins ou la police tentent de les aider. Cependant, ces instants sont à peine visibles dans l’ouvrage, comme s’ils n’avaient pas vraiment d’incidence. </div>
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Cet aspect renforce l’isolement de <i>Sakura</i>, tombée dans les griffes d’une femme manipulatrice. <b><span style="color: #8e7cc3;">Derrière un récit terrifiant, <i>Inuki Kanako</i> évoque l’emprise malsaine de certains parents sur leur progéniture et le poids des rumeurs, des mensonges et des non-dits qui finissent par détruire plusieurs existences</span></b>. Elle nous montre ce visage de l’enfance où les choses les plus incroyables semblent possibles, où les adultes sont des protecteurs tout puissants… Et où leur trahison laisse les plus jeunes sans recours. Vers qui un enfant peut-il se tourner quand ses points de repère disparaissent ? Ceux qui devaient le protéger ont-ils su lui donner la force de vivre sans eux ? </div>
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<b><span style="color: #8e7cc3;">La simplicité du style graphique offre un contraste brutal avec la cruauté des scènes d’horreur</span></b>. Les personnages sont dessinés de façon mignonne, avec un côté enfantin. Mais leurs grands yeux semblent sortir de leurs orbites quand ils sont effrayés. Très expressifs, les visages ronds des petits se déforment sous l’effet de la terreur. Les créatures menaçantes deviennent physiquement monstrueuses à mesure que l’histoire avance. L’humanité paraît quitter leur corps alors qu’elles s’enfoncent dans le mal. Ce graphisme baigne le manga dans une ambiance pesante, où explose ponctuellement une violence des plus gores.<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhP352jWkP3paOuHRRRJNVR1FFEepGib4hGJpNEhh9Qe1kwfz_tM6dlndzV8QPgIVjxk98cKUPb4nooabHaBYhnhkAMELvJR6sR04KPRypsMv-SAiLSZ1iJ9CPK0yRk4QeoGfD8t_rbbzto/s1600/Atelier+des+sorciers+%2528Euphox%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhP352jWkP3paOuHRRRJNVR1FFEepGib4hGJpNEhh9Qe1kwfz_tM6dlndzV8QPgIVjxk98cKUPb4nooabHaBYhnhkAMELvJR6sR04KPRypsMv-SAiLSZ1iJ9CPK0yRk4QeoGfD8t_rbbzto/s1600/Atelier+des+sorciers+%2528Euphox%2529.jpg" /></a></div>
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Vous vous en doutez, il s’agit de <u><b>L’atelier des sorciers</b></u>, aux Éditions <i>Pika</i>, et dont nous devons ce récit à <i>Shirahama Kamome</i>. Je ne sais pas si vous le savez, mais je suis quelqu'un qui apprécie grandement cet univers. Celui de la magie, de la sorcellerie, et de ce côté légèrement moyenâgeux que j’aime tant. Même si l’univers de la magie s’étend de manière plus étendue (comme vous pourrez le voir avec <u><b>Le monde de Ran</b></u>), cette œuvre sera sûrement ma favorite des nouveautés de cette année. </div>
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Alors, de mémoire j’ai lu ce premier opus sans prendre connaissance du synopsis. Mais difficile de vous partager mes propos sans connaître un minimum l’histoire, c’est pour cela que je vais tenter d’être concise. Dans cette aventure nous allons suivre les premiers pas de <i>Coco</i>, une jeune fille émerveillée par le monde qui l’entoure. En effet, celui-ci est gouverné par la magie, dont seuls quelques élus sont autorisés à la manipuler, on les appelle des sorciers. Cependant un jour, suite à malheureux événement,<i> Coco</i> va devenir une apprentie en devenir auprès de <i>Kieffrey</i>, un véritable sorcier.</div>
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Si cette œuvre m’est apparu comme une évidence, c’est que durant la lecture du premier opus, nous avons de nombreuses thématiques liées à l’enfance. Dans un premier temps, <i>Coco</i> va devenir l’apprentie de <i>Kieffrey</i>, et cela implique donc une formation et une éducation. <b><span style="color: #8e7cc3;">L’auteure prend bien soin de détailler au lectorat toutes les étapes nécessaires à exercer la magie</span></b>. Le jeune homme tient bien son rôle de professeur, et possède toutes les qualités requises, comme l’écoute, la compréhension, l’encouragement et la bienveillance.</div>
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Bien évidemment <i>Coco</i> n’est pas seule, elle se retrouve avec d’autres élèves, comme elle, et va devoir apprendre à vivre en communauté. Faire preuve de respect, d’impartialité, de reconnaissance et de sympathie. <b><span style="color: #8e7cc3;">Elle va aussi, au fil des pages, se redécouvrir, dépasser ses peurs, et se découvrir de nouvelles qualités</span></b>. Devenir plus fort, aussi bien physiquement que mentalement. On assiste donc à une évolution graduelle de la jeune fille. </div>
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Bien évidemment -pour revenir de manière plus globale- l’univers joue beaucoup à l’évolution de la jeune fille. Comme je le disais plus haut, on se retrouve dans l’ancien temps, avec ce côté médiéval. Et à l’époque, les castes sociales étaient plus soulignées, plus présentes. Et avant de devenir l’apprentie de <i>Keffrey</i>,<i> Coco</i> vivait dans la boutique de sa mère. Ainsi elle découvre un univers différent, et arrive à s’adapter à chaque situation.</div>
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Je pense avoir fait le tour de la thématique. Je souhaitais mettre en avant les thèmes abordés dans cet ouvrage, notamment ceux lié à l’enfance. Mais de manière plus générale<b><span style="color: #8e7cc3;"> l’univers est très enrichissant, le scénario prend le lectorat en haleine, avec beaucoup de questionnements</span></b>, et certaines notions se révèlent un peu plus sombres et montrent ainsi le côté <i>seinen</i> de l’œuvre.<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJmARnsIdYuW48gqkZo84MF-BQgJfsFaGGFMiM0nML7wyYPD__6TbJ_DAbWkub6f6RIwo0AdlOyjwsk-AtHPnSz72oD9BrIebJrOAVpv3tnBXRKm3lhgj-hV9nEGChLDvrBUfR9uFUvxn1/s1600/720897.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="313" data-original-width="500" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJmARnsIdYuW48gqkZo84MF-BQgJfsFaGGFMiM0nML7wyYPD__6TbJ_DAbWkub6f6RIwo0AdlOyjwsk-AtHPnSz72oD9BrIebJrOAVpv3tnBXRKm3lhgj-hV9nEGChLDvrBUfR9uFUvxn1/s320/720897.jpg" width="320" /></a></div>
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-82992717480162771302018-06-10T18:08:00.001+02:002018-06-10T18:08:52.154+02:00Les nouveautés de Juin 2018<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXLGtA0x8vLckiPawWalMBKO-7Fun2q2Z-xhKKUZ-qjFyQ-19ZKEskmVdVvb8slgwt9a7UAojyhKsrjGYxyKn5r3rXfhwM3WOAQ-0D7couEN5fv-_sgJhPaEqv4KqmiIz6KEIKmmVm435H/s1600/N06.18.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXLGtA0x8vLckiPawWalMBKO-7Fun2q2Z-xhKKUZ-qjFyQ-19ZKEskmVdVvb8slgwt9a7UAojyhKsrjGYxyKn5r3rXfhwM3WOAQ-0D7couEN5fv-_sgJhPaEqv4KqmiIz6KEIKmmVm435H/s1600/N06.18.jpg" /></a></div>
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Planning de sorties des nouveautés de Juin 2018</div>
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<a name='more'></a><div style="text-align: justify;">
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Avant la publication d'un petit top 5 et des textes de mes cobayes lecteurs, je profite des premiers jours de juin pour revenir sur les sorties qui se multiplient avant la fameuse <i>Japan Expo</i>. Jazz, magie, historique et classiques, les éditeurs ont de quoi régaler tous les palets. </div>
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<span style="color: #3d85c6; font-size: large;"><b><u>06 JUIN 2018</u></b></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEil_crjU0dDGk0-eNbc55iHlURnOjh3gpXytT8YGxrSn4KxmS3e4i9G6Rwqve8k2LGVng8A1wYxMn3-DgvHPEL82NrlU7k9DC6YOD2M6tpoFEEq6wJukGcB3P1cAgINw0vMlgzxDQKnByjp/s1600/blue-giant-manga-volume-1-simple-305937.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: justify;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1155" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEil_crjU0dDGk0-eNbc55iHlURnOjh3gpXytT8YGxrSn4KxmS3e4i9G6Rwqve8k2LGVng8A1wYxMn3-DgvHPEL82NrlU7k9DC6YOD2M6tpoFEEq6wJukGcB3P1cAgINw0vMlgzxDQKnByjp/s200/blue-giant-manga-volume-1-simple-305937.jpg" width="143" /></a></div>
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<span style="font-size: x-small;">Dai Miyamoto est en terminale. Il fait partie de l'équipe de basket, travaille à mi-temps dans une station service, et vit seul avec son père et sa petite sœur. Surtout, il s'est pris de passion pour le jazz depuis le collège. À tel point qu'il joue tous les jours sur les berges de la rivière, peu importe les conditions météo. Qu'il pleuve, qu'il vente ou que la canicule soit au rendez-vous, il joue. Il veut être un géant du jazz et reste persuadé qu'il peut y arriver. Seulement, pour cela, il va devoir se confronter à la réalité : entre les explications aux amis, les premières représentations chaotiques et les rencontres diverses, la détermination de Dai va être mise à rude épreuve...</span></div>
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<i>Publié aux éditions Glénat (7€60) </i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgELEKCodPWcKSbmm07s8RzBgRIMhuIVULpDqmaUT61J1-wA56ZwenetyVFXCceGbH-0KfX37LSkyVyEFAQtOUWBuXAiLoYSrn6QLI1ASDeqrEKfXyUGcVTqR5QxUnoTS5i1PHE-9pPcCpH/s1600/dragon-ball-forever-guide-volume-1-simple-302650.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1104" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgELEKCodPWcKSbmm07s8RzBgRIMhuIVULpDqmaUT61J1-wA56ZwenetyVFXCceGbH-0KfX37LSkyVyEFAQtOUWBuXAiLoYSrn6QLI1ASDeqrEKfXyUGcVTqR5QxUnoTS5i1PHE-9pPcCpH/s200/dragon-ball-forever-guide-volume-1-simple-302650.jpg" width="137" /></a></div>
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<span style="font-size: x-small;">L'univers de Dragon Ball est si vaste qu’un seul tome ne suffit pas à en faire le tour. Après le Dragon Ball Landmark, découvrez les arcs mythiques des cyborgs, de Cell et de Boo. Géographie du monde, duels entre personnages, techniques de combat, quiz, tout y est et plus encore. Avec Dragon Ball Forever, l’univers d’Akira Toriyama se révèle à vous dans toute sa richesse et sa profusion.</span></div>
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<i>Publié aux éditions Glénat (10€75) </i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHix2GEX5_BwFk4mTUwJQOyo1eONstMmRoayRxtwwO9FGs1quCyzOlz2s-0e2wMSST-yrIjmayI-nY0-OD46ov8z-mQ6_7EWNLOP8A6DMAMivqITVBy1Nlh3j13ik7qX5Eo0w63vT7kquX/s1600/origin-manga-volume-1-simple-301380.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1156" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHix2GEX5_BwFk4mTUwJQOyo1eONstMmRoayRxtwwO9FGs1quCyzOlz2s-0e2wMSST-yrIjmayI-nY0-OD46ov8z-mQ6_7EWNLOP8A6DMAMivqITVBy1Nlh3j13ik7qX5Eo0w63vT7kquX/s200/origin-manga-volume-1-simple-301380.jpg" width="144" /></a><i><br /></i>
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<i><br /></i><span style="font-size: x-small;"><br /></span>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHix2GEX5_BwFk4mTUwJQOyo1eONstMmRoayRxtwwO9FGs1quCyzOlz2s-0e2wMSST-yrIjmayI-nY0-OD46ov8z-mQ6_7EWNLOP8A6DMAMivqITVBy1Nlh3j13ik7qX5Eo0w63vT7kquX/s1600/origin-manga-volume-1-simple-301380.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: x-small;"></span></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Tokyo, 2048. La mégalopole est désormais le nid du terrorisme et du crime. Lorsque la nuit tombe, de mystérieux meurtres y sont perpétrés. C’est l’œuvre d’une poignée d’androïdes aux sombres desseins pour le genre humain. Mais l’un d’entre eux s’oppose au macabre projet. Son nom : Origin. Il est à l’origine de leur création… Sera-t-il leur perte ?</span><br />
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<i>Publié aux éditions Pika (7€75)</i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiV0ywHAQ1rJCIf1nRJmfBXg-YaIvkytNyNrgvbaS-jtHnQwOHJ2yhzcFs8uqhobxtlMdvQVKvcSGmqbY53ZpHn_sKReVvl3LEHGkIyNyEAGV1Bi_c7vxePhVj8GTnqKu1mLXACdxFFQpJY/s1600/talentless-manga-volume-1-simple-307048.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1130" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiV0ywHAQ1rJCIf1nRJmfBXg-YaIvkytNyNrgvbaS-jtHnQwOHJ2yhzcFs8uqhobxtlMdvQVKvcSGmqbY53ZpHn_sKReVvl3LEHGkIyNyEAGV1Bi_c7vxePhVj8GTnqKu1mLXACdxFFQpJY/s200/talentless-manga-volume-1-simple-307048.jpg" width="140" /></a><i><br /></i><i><br /></i>
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<span style="font-size: x-small;"><br /></span>
<span style="font-size: x-small;">Dans une école bâtie sur une île perdue au beau milieu de l'océan... De jeunes gens doués de super-pouvoirs, les Prodiges, suivent un entraînement intensif qui doit les aider à affronter une terrible menace appelée "les ennemis de l'Humanité". Une nouvelle élève débarque parmi eux, Nana, et se prétend capable de lire dans les pensées des gens. Un jour, elle reçoit un SMS : pour épargner des millions de vies, elle doit assassiner un de ses camarades... Derrière cette jeune fille a priori inoffensive se cacherait-il une redoutable meurtrière de super-héros ?</span><br />
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<i>Publié aux éditions Doki Doki (7€50)</i><br />
<i><br /></i>
<i><br /></i><i><br /></i>
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<div style="text-align: center;">
<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">07 JUIN 2018</span></b></u></div>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi04_8Ubgd4OO9ezlTZXrYrOa2wTNM5O0VrOAzu6URfwA4qqOUbKyCOOMLw2mzxsQcAOIMlWpWqDyoDOFVYktlcc7MCQwbjjawx0HHzKd7dzAlAsuuk4_txROZcEmz5ONrabBZfBipOCmB-/s1600/le-fantome-de-l-opera-manga-volume-1-simple-306295.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="349" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi04_8Ubgd4OO9ezlTZXrYrOa2wTNM5O0VrOAzu6URfwA4qqOUbKyCOOMLw2mzxsQcAOIMlWpWqDyoDOFVYktlcc7MCQwbjjawx0HHzKd7dzAlAsuuk4_txROZcEmz5ONrabBZfBipOCmB-/s200/le-fantome-de-l-opera-manga-volume-1-simple-306295.jpg" width="139" /></a></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJFqtEzn_W4MMIgZGaa-ziIc_1yIXOyMEaU8QHwLmIGBJurpdBqy0ggBabZjABaZgORXMIfU7ws7Fq_9S9ETL2IF558Ha1qEus7H7gbIGsUOLAnghULYONiImD9EUtG-wphFhWdQGUl6tD/s1600/holiday-junction-manga-volume-1-simple-304639.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1438" data-original-width="1000" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJFqtEzn_W4MMIgZGaa-ziIc_1yIXOyMEaU8QHwLmIGBJurpdBqy0ggBabZjABaZgORXMIfU7ws7Fq_9S9ETL2IF558Ha1qEus7H7gbIGsUOLAnghULYONiImD9EUtG-wphFhWdQGUl6tD/s200/holiday-junction-manga-volume-1-simple-304639.jpg" width="138" /></a><span style="font-size: x-small;"></span><br />
<span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;">D'étranges événements ont lieu à l'Opéra Garnier : un grand lustre s'effondre pendant une représentation, un machiniste est retrouvé pendu... La direction doit se rendre à l'évidence : le théâtre est hanté ! Certains affirment même avoir vu le visage déformé d'un être qui ne semble pas humain. Peu après, la direction de l'Opéra se voit réclamer pas moin de 20 000 francs par mois de la part d'un certain « Fantôme de l'Opéra » qui exige que la loge numéro 5 lui soit réservée...</span></span><br />
<span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><br /></span></span>
<i>Publié aux éditions Isan (29€90)</i><br />
<span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><br /></span></span>
<span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><br /></span></span><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: x-small;"><br /></span></span>
<span style="font-size: x-small;">En sept récits courts, l'auteur de T okyo Alien Bros raconte des tranches de vie plus ou moins mouvementées : deux amis jouant au tennis, un chat et son maître, une jeune fille et un retraité à la pêche, un couple surpris par le passage de Godzilla... Autant de rencontres remuant les désirs parfois inavoués, souvent confus, des uns et des autres. Le trait pétillant et tout en rondeurs de Shinzô croque avec subtilité une galerie de gens ordinaires, drôles et attachants, dont les coeurs insondables pourraient bien révéler au lecteur quelques secrets sur lui-même...</span><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQCjR5Z417mWFqom-KzOeWrj0zRNGKbdHdxb5o-_0x6AeuvRRVBJvSYOdDfoo2pUbBA-aqleN9mbpKvMewunuaYcdF3xQVyqXV7hLhIbrVt2Uj6qiKbHpnaNj0M3ajtS1LKUNqBN3LKIPP/s1600/mimikaki-manga-volume-1-simple-306294.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1443" data-original-width="1000" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQCjR5Z417mWFqom-KzOeWrj0zRNGKbdHdxb5o-_0x6AeuvRRVBJvSYOdDfoo2pUbBA-aqleN9mbpKvMewunuaYcdF3xQVyqXV7hLhIbrVt2Uj6qiKbHpnaNj0M3ajtS1LKUNqBN3LKIPP/s200/mimikaki-manga-volume-1-simple-306294.jpg" width="138" /></a><br />
<i>Publié aux éditions Lézard Noir (13€00) </i><br />
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<span style="font-size: x-small;">Les « mimikaki » désignent les cure-oreilles japonais, ces bâtonnets en bois ou en métal à l’extrémité recourbée. Pour beaucoup de Japonais, le mimikaki est un outil qui procure un plaisir indicible, surtout quand c’est quelqu’un d’autre qui le manipule ! À tel point qu’il existe des établissements spécialisés où le client peut payer pour une séance de nettoyage d’oreilles, en général effectuée la tête posée sur les genoux d’une femme.</span><br />
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<i>Publié aux éditions Lézard Noir (13€00)</i><br />
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<i>Publié aux éditions Ki-Oon (7€90)</i><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvw6Zfgx-zMcdgG3Vussw4oSWRjud-E9HqGiBFvtUqETZYLQJFBcfGFV4c61jIIkkaC6Kg8TbXTjNphHJdfp0GIwV0HD0YsyLjrmkX7G_mhkConZnnGAPoiunNt7qJwcl-w6OqgMYHf4Pd/s1600/tales-of-berseria-manga-volume-1-simple-307495.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1313" data-original-width="800" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvw6Zfgx-zMcdgG3Vussw4oSWRjud-E9HqGiBFvtUqETZYLQJFBcfGFV4c61jIIkkaC6Kg8TbXTjNphHJdfp0GIwV0HD0YsyLjrmkX7G_mhkConZnnGAPoiunNt7qJwcl-w6OqgMYHf4Pd/s200/tales-of-berseria-manga-volume-1-simple-307495.jpg" width="121" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: x-small;">Dans un monde gangréné par les démons, Velvet Crowe est une grande sœur aimante, dévouée à son frère malade Laphicet. Mais tout change pour elle un soir de lune rouge, quand un sacrifice pour empêcher la destruction de son village transforme la jeune femme en monstre. Emprisonnée loin de toute civilisation, Velvet a perdu toute humanité et n’est plus motivée que par un seul objectif : se venger de celui qui a détruit sa vie. Et lorsqu’une alliée inattendue l’aide à s’évader, son plan désespéré va enfin pouvoir se mettre en branle. Aux côtés de parias et autres marginaux hauts en couleur, elle s’embarque alors dans une odyssée meurtrière au cœur d’un monde où elle n’a plus sa place…</span><br />
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<i>Publié aux éditions Mana Books (7€90)</i></div>
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<b><u><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">08 JUIN 2018</span></u></b></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFc-5kc9BbyE4HjokU9hIgXCp1yFqy35USt_QFWSurdIgaXw8IINepYk3PBghM_7Xd9RQnqWF7ldnXDhauJgRfqI0hKfxlGwIRsivrneVFop8Itycxm86nkS3hiuOW9Yum4EulQTex0nQn/s1600/irresistible-manga-volume-1-simple-306592.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="584" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFc-5kc9BbyE4HjokU9hIgXCp1yFqy35USt_QFWSurdIgaXw8IINepYk3PBghM_7Xd9RQnqWF7ldnXDhauJgRfqI0hKfxlGwIRsivrneVFop8Itycxm86nkS3hiuOW9Yum4EulQTex0nQn/s200/irresistible-manga-volume-1-simple-306592.jpg" width="136" /></a></div>
<span style="font-size: x-small;">Serina remarque des paroles de chanson d'amour griffonnée sur un bureau... Sans en être tout à fait consciente, elle tombe amoureuse de celui qui a écrit ces mots. Elle va chercher l'auteur et découvrir qu'il s'agit de Mizukawa, son « senpai ». Rapidement, Serina fait sa déclaration alors qu'elle ne connaît rien de ce garçon. Tous deux vont apprendre à se connaître et chercher le moyen de vivre pleinement leur relation.</span><br />
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<i>Publié aux éditions Kana (5€45 - prix de lancement)</i><br />
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<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">13 JUIN 2018</span></b></u></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7hLYmHfNSZGk1aLnTiPexvjO4__ZIHzfE4xPH5Qtgmzy_eNa_99pqdLcoq8B1XruScRvwoxUKrRXvM8Ul96-UE7Wn0554zvdOtniPFPwfRRu0GTx1yfTHyrPY6OMZJEU-JMGUUjUeaidX/s1600/ma-petite-femme-1-soleil.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: x-small;"><img border="0" data-original-height="1370" data-original-width="900" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7hLYmHfNSZGk1aLnTiPexvjO4__ZIHzfE4xPH5Qtgmzy_eNa_99pqdLcoq8B1XruScRvwoxUKrRXvM8Ul96-UE7Wn0554zvdOtniPFPwfRRu0GTx1yfTHyrPY6OMZJEU-JMGUUjUeaidX/s200/ma-petite-femme-1-soleil.jpg" width="131" /></span></a></div>
<span style="font-size: x-small;">Hinata Nakagawa, ses 16 ans révolus, va enfin rencontrer l’homme qui lui a été promis. Selon les dires il est riche, gentil et à peine plus âgé qu’elle. Il est en fait plus jeune d’une année, a mauvais caractère et est plus petit qu’elle. Mais en apprenant à le connaître, elle découvre un garçon complexe et attachant. Pour autant leurs noces ne seront pas aussi paisibles que prévu.</span><br />
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<i>Publié aux éditions Soleil (6€99) </i><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3aNbImi5M7vzRQnRxfbklcCGshyQoKAS7sy3s14m-kJrYFEY3V1sWtJW95h4gLNL75yj34_gEc3PIp8SwB43gEfaiPbEDU2aW9TH-oj1pIUqIwU6bgyVrIBFqvArl1abXffxIWfbNZGvg/s1600/make-me-up-manga-volume-1-simple-306666.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: x-small;"><img border="0" data-original-height="1600" data-original-width="1066" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3aNbImi5M7vzRQnRxfbklcCGshyQoKAS7sy3s14m-kJrYFEY3V1sWtJW95h4gLNL75yj34_gEc3PIp8SwB43gEfaiPbEDU2aW9TH-oj1pIUqIwU6bgyVrIBFqvArl1abXffxIWfbNZGvg/s200/make-me-up-manga-volume-1-simple-306666.jpg" width="133" /></span></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Kobayakawa est un garçon particulièrement asocial, qui a en horreur l’attitude convenue de ses camarades du lycée. Mais le jour où il découvre le secret de la très populaire Hoshino, il va devoir la fréquenter quotidiennement ! Et pour cause : celle-ci se dissimule derrière le maquillage, la clef de sa popularité à ses yeux… sauf qu’elle est incapable de se maquiller seule ! Bien qu’il soit contre cette idée, Kobayakawa va respecter le choix de Hoshino et mettre ses talents artistiques à la disposition de cette tornade faite fille… Ce misanthrope va-t-il retrouver foi en l’être humain ?</span><br />
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<i>Publié aux éditions Kana (6€95</i><i>)</i><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhB34-3cKRdu7_iQBS4XoH4h3Tz7miCBP6zY1q2bMbcDeg3wmiLnbheTjEgx16T_cBYTlKimUThj-qNW1ICR3Q1coWA15ZNaiap3YT3GXUL-D1w-3Ae8GZjr4Rqi4b0ZPx3JeRwxU7t5HM-/s1600/zero-manga-volume-1-simple-308465.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="645" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhB34-3cKRdu7_iQBS4XoH4h3Tz7miCBP6zY1q2bMbcDeg3wmiLnbheTjEgx16T_cBYTlKimUThj-qNW1ICR3Q1coWA15ZNaiap3YT3GXUL-D1w-3Ae8GZjr4Rqi4b0ZPx3JeRwxU7t5HM-/s200/zero-manga-volume-1-simple-308465.jpg" width="143" /></a><br />
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<span style="font-size: x-small;">Boxeur professionnel d’un âge avancé, Miyabi Goshima est l’indétrônable champion du monde des poids moyens. Rendu apathique par l’absence d’adversaires à sa hauteur, il défend son titre en enchaînant les victoires sans enthousiasme. C’est alors qu’arrive Travis Bal, un jeune boxeur mexicain dont la réputation prometteuse réveille la rage de vaincre de Goshima. Que reste-t-il à espérer lorsque l’on n’a plus rien à prouver ?</span><br />
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<i>Publié aux éditions Pika (25€00) </i><br />
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<span style="color: #3d85c6; font-size: large;"><u><b>14 JUIN 2018</b></u></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi31qhqiHs8hLaXVEQB3jFJYoNwJbszfFOBHJAEdhTOVJuGk3c4zxk8ldc_ddAulzpO0AODmBvNjpZVFEfrRrCgKwqY6SD9J6OLOxa7macpwuwbEMbjr0ZYnrFANo3Ilr2R5ngpQdAVjzAK/s1600/malediction-finale-manga-volume-1-simple-307498.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1108" data-original-width="800" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi31qhqiHs8hLaXVEQB3jFJYoNwJbszfFOBHJAEdhTOVJuGk3c4zxk8ldc_ddAulzpO0AODmBvNjpZVFEfrRrCgKwqY6SD9J6OLOxa7macpwuwbEMbjr0ZYnrFANo3Ilr2R5ngpQdAVjzAK/s200/malediction-finale-manga-volume-1-simple-307498.jpg" width="144" /></a><span style="font-size: x-small;">Au retour d’un voyage de fin d’études, sept étudiants perdent le contrôle de leur véhicule et percutent quelque chose sur la route. Ils découvrent avec horreur une étrange bête dotée d’un corps de vache et d’une tête humaine ! Effrayés, ils tuent l’animal et s’enfuient. Mais ce dernier revient les hanter dans leurs rêves et leur révèle une terrifiante prophétie : il ne leur reste plus que sept jours à vivre ! Pour échapper à ce compte à rebours macabre, ils vont devoir percer le mystère de cette créature surnaturelle !</span><br />
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Publié aux éditions Komikku (8€50)<br />
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<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">15 JUIN 2018</span></b></u></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzmRYiGgR5azWGIW0ZHcszi2GJvmtzmfZTw1YUcxWtuxpl6XB4ASPK77s9QDtNgDZKQaDkcdztM1t7J_9LhwwuT7lFNJ_u0d_3O_33a6p3l56O-lCjqSuYs1l6BlhcbO0QOlMHaDRB5Ry-/s1600/sao-project-alicization-1-ototo.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1000" data-original-width="720" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzmRYiGgR5azWGIW0ZHcszi2GJvmtzmfZTw1YUcxWtuxpl6XB4ASPK77s9QDtNgDZKQaDkcdztM1t7J_9LhwwuT7lFNJ_u0d_3O_33a6p3l56O-lCjqSuYs1l6BlhcbO0QOlMHaDRB5Ry-/s200/sao-project-alicization-1-ototo.jpg" width="143" /></a><span style="font-size: x-small;">Kirito se retrouve livré à lui-même après s’être réveillé dans l’Underworld, un mystérieux monde virtuel. Incapable de rejoindre la réalité, il fait la connaissance d’Eugeo, un jeune habitant du village de Rulid rongé par les remords suite à la disparition de son amie d’enfance, Alice. À la recherche de réponses et d’une porte de sortie, les deux garçons se lancent dans une périlleuse quête aux enjeux bien plus importants qu’ils ne pouvaient l’imaginer. Quels secrets les habitants de l’Underworld abritent- ils ? Que cachent les Chevaliers Intègres, gardiens de l’ordre et de la paix dévoués corps et âme au Monde des Hommes ? Et que se trame-t-il donc dans la réalité ? La plus grande épopée de l’épéiste noir n’en est qu’à son commencement.</span><br />
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Publié aux éditions Ototo (6€99)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgrSudNbDiYGowVclr0dwgYxTbvh6clPmUYz1PwzOts63YLlNS7gw5pfT0PvbReA0GCSqiIJg3zOoiT5cYYsHN-qbKM0Uvv_M5Yja4_p64Oh1EzLgCA4dkSVHyUGKxmsEsR2csEIY1us7AX/s1600/Zettainaru_Kodokusha_1_jp.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1328" data-original-width="912" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgrSudNbDiYGowVclr0dwgYxTbvh6clPmUYz1PwzOts63YLlNS7gw5pfT0PvbReA0GCSqiIJg3zOoiT5cYYsHN-qbKM0Uvv_M5Yja4_p64Oh1EzLgCA4dkSVHyUGKxmsEsR2csEIY1us7AX/s200/Zettainaru_Kodokusha_1_jp.jpg" width="136" /></a><br />
<i>The Isolator</i><br />
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<span style="font-size: x-small;">Août 2019. Pour la première fois, l’humanité entre en contact avec des entités organiques extraterrestres. Ces orbes, appelés Third Eyes, confèrent des pouvoirs que la science ne peut expliquer à ceux qui les touchent. Se déplacer plus vite que le son. Avoir des dents capables de tout transpercer. Minoru Utsugi, un garçon de 17 ans, a aussi obtenu une capacité. Conformément à son seul désir, il a reçu le pouvoir de la solitude absolue.</span><br />
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Publié aux éditions Ototo (6€99)<br />
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<span style="color: #3d85c6; font-size: large;"><u><b>20 JUIN 2018</b></u></span></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="color: #3d85c6; font-size: large;"><u><b><br /></b></u></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjd5F0LVUM4Wuo6ihrbFr4ilscbf8yQ-nvSjHyqaBqGO7Xz3OQdJgMwG9OSNwWPwUtU0MDW05rQEGJAuBH90Yhb4QQLPY1kDiVtACz-JdB6IjeKdV4aLarI1t-ZLjuJYGLIfbxT_MLOWvYr/s1600/ayako-integrale-90-ans-delcourt.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="900" data-original-width="654" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjd5F0LVUM4Wuo6ihrbFr4ilscbf8yQ-nvSjHyqaBqGO7Xz3OQdJgMwG9OSNwWPwUtU0MDW05rQEGJAuBH90Yhb4QQLPY1kDiVtACz-JdB6IjeKdV4aLarI1t-ZLjuJYGLIfbxT_MLOWvYr/s200/ayako-integrale-90-ans-delcourt.jpg" width="145" /></a><span style="font-size: x-small;">Ayako est une fille de la honte. Née de l’union incestueuse de son père et sa sœur, elle devra vivre cachée dans la cave de la maison familliale de 4 à 18 ans. Comment peut-elle alors se construire? N’ayant pour seule visite que son frère, dont elle tombe amoureuse.</span><br />
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Publié aux éditions Delcourt / Tonkam (29€99)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYpJ3rr8aGgeKqo6yaiSrJHhI2sBbI-JSd5qEjuXTMkgTu0caq6qhnyxeDUr48XU7CXJ96FfPg2yaoxO-9UopjamdQ6vHmv99dqbHrxkLqLOR6JncLOoA96oB7aFGevMlUcaJBSECnYJsx/s1600/histoire-des-3-adolfs-90-ans-1-delcourt.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="718" data-original-width="507" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYpJ3rr8aGgeKqo6yaiSrJHhI2sBbI-JSd5qEjuXTMkgTu0caq6qhnyxeDUr48XU7CXJ96FfPg2yaoxO-9UopjamdQ6vHmv99dqbHrxkLqLOR6JncLOoA96oB7aFGevMlUcaJBSECnYJsx/s200/histoire-des-3-adolfs-90-ans-1-delcourt.jpg" width="140" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Berlin 1936. Hitler est au pouvoir depuis trois ans. Les Jeux Olympiques d’été sont pour lui l’occasion de conforter une dictature funeste. Sohei Togué est un journaliste sportif qui vient couvrir les J.O. et par la même occasion retrouver son frère Isao qui habite l’Allemagne. Mais Isao est angoissé. Il détient, dit-il, un terrible secret qui pourrait ébranler jusqu’à Hitler lui-même…</span><br />
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Publié aux éditions Delcourt / Tonkam (29€99)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhRJikBpJxg69EPIeXGohqkcOLxAOTi7xb2gpMZ1cMyuPN2RskyY0bEQYi_JyJ4NgGbidzs-6w6M0HRAIppmVVpWP6o0655LVQSpl2XimkkdqLiHoj-wGzF-Sj_S1ZmC-hpbrjxqr_IQyFv/s1600/hungry-marie-1-kaze.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="539" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhRJikBpJxg69EPIeXGohqkcOLxAOTi7xb2gpMZ1cMyuPN2RskyY0bEQYi_JyJ4NgGbidzs-6w6M0HRAIppmVVpWP6o0655LVQSpl2XimkkdqLiHoj-wGzF-Sj_S1ZmC-hpbrjxqr_IQyFv/s200/hungry-marie-1-kaze.jpg" width="126" /></a><br />
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<span style="font-size: x-small;">Taiga est amoureux de sa voisine Anna, dont le père est un prêtre catholique adepte de magie noire... Un jour, il la surprend en plein rituel visant à ressusciter Marie-Thérèse Charlotte, lle de la célèbre Marie-Antoinette et accepte de «collaborer» avec elle. Mais, avant la cérémonie, la foudre s’abat sur Taiga ! Son esprit se retrouve alors enfermé dans le corps de Marie-Thérèse... Et quand la jeune princesse a faim, le processus s’inverse ! Compliqué pour le lycéen d’avoir une vie normale après ça, sans même parler de conquérir le cœur d’Anna !!</span><br />
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Publié aux éditions Kazé (6€79)<br />
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<span style="font-size: x-small;"><br /></span>
<span style="font-size: x-small;">Hinana, une élève modèle, au quotidien réglé comme une horloge, nourrit l'espoir secret de vivre une histoire d'amour "comme dans les contes de fées". Un jour, un tournage a lieu dans son lycée et elle rencontre l'irrésistible acteur Kaede Ayase. Hinana est troublée au premier regard par ce beau gosse mais se rend très vite compte qu'ils n'ont pas du tout les mêmes préoccupations. La passion l'emportera-t-elle sur la raison ?</span><br />
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Publié aux éditions Pika (6€95)<br />
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<span style="font-size: x-small;"><br /></span>
<span style="font-size: x-small;">Akko admire depuis toujours Shiny Chariot, célèbre magicienne. Elle s'inscrit donc à l'école de sorcellerie de Luna Nova. Elle n'a aucune prédisposition pour la magie mais son optimisme ainsi que ses amies Lotte et Sucy, lui permettent de surmonter les épreuves : monstres faits de magie, forêts obscures et professeurs autoritaires.</span><br />
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Publié aux éditions Nobi Nobi (7€20)<br />
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<span style="font-size: x-small;">Naoto revient sur son île natale 7 ans après l’avoir quittée suite à la mort de la fille dont il était amoureux. À l’aéroport, il tombe sur la petite sœur de cette dernière et se remémore l’été qui a changé sa vie. On suit d’une part son histoire avec la petite sœur devenue grande, et d’autre part les évènements qui ont causé la mort de son premier amour durant ce tragique été 7 ans plus tôt...</span><br />
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Publié aux éditions Delcourt / Tonkam (7€99)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8a-z77fLUxdLO32GDW876-IC4WmNV8F6aFDcCRFeraK7_8ht8Go5g3biJPH_j1bAotb5hqemN-bR_66AHCxb6A06Dd3ZAAzaFB1viASGFCl1woIKbS9WL1A5aw0JijgEHFesg9AXLOMj_/s1600/princesse-et-la-bete-1-pika.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="543" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8a-z77fLUxdLO32GDW876-IC4WmNV8F6aFDcCRFeraK7_8ht8Go5g3biJPH_j1bAotb5hqemN-bR_66AHCxb6A06Dd3ZAAzaFB1viASGFCl1woIKbS9WL1A5aw0JijgEHFesg9AXLOMj_/s200/princesse-et-la-bete-1-pika.jpg" width="127" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;"><br /></span>
<span style="font-size: x-small;">Un territoire défendu, plongé dans une atmosphère impure... C'est là que vit un peuple de créatures étranges qui autrefois dominait et dévorait les hommes. Salifie est le 99e sacrifice offert à leur terrifiant roi. Or la jeune fille ayant été élevée pour devenir une offrande, ne craint pas le souverain et attend sagement la nuit de la cérémonie. Lorsque celle-ci découvre le secret de ce roi qui n'a pas de nom, une légende s'écrit...</span><br />
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<i>Publié aux éditions Pika (6€99)</i><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxg0qRnCMb59WxfdHPEOHjAZxkwfgzFD2mAOwvYjAAdRJAKTCWBorGFYWiDAuw5O9HOdgTd1WJ1DV4R5pI_rWeVhyphenhyphenR5poYwAdut7kgC4Ei4mPVV1U6aExDBWev-4djw5d6EGhRYaJRBshH/s1600/too-close-to-me-manga-volume-1-simple-305975.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="427" data-original-width="281" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxg0qRnCMb59WxfdHPEOHjAZxkwfgzFD2mAOwvYjAAdRJAKTCWBorGFYWiDAuw5O9HOdgTd1WJ1DV4R5pI_rWeVhyphenhyphenR5poYwAdut7kgC4Ei4mPVV1U6aExDBWev-4djw5d6EGhRYaJRBshH/s200/too-close-to-me-manga-volume-1-simple-305975.jpg" width="131" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;"><br /></span>
<span style="font-size: x-small;">Haruka Tachibana adore Setoka, sa soeur adoptive. Depuis tout petit, il a toujours cherché à la protéger. Mais avec l’adolescence, ses sentiments ont changé. La jeune fille refuse de franchir cet interdit et tente de lui résister. Mais elle constate assez vite que sa naïveté fait d’elle une proie facile pour ses camarades masculins et avoir un grand frère protecteur s’avère des plus utile !</span><br />
<i><br /></i><i>Publié aux éditions Soleil (6€99)</i><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_MiKA9-sqEsjKCw_X-7A01f1mwOC2cnHvVekVhJLruo0Pz_Gg5EDK9llwSq5PZPrSA46xS7YIM3hDW6uolKWrJYv_EJZfIEXy9KjyfFCA1YguOjeVyKmVfYYO3e2IrouHjzyqpKEkehuS/s1600/tsum-tsum-nobi.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="567" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_MiKA9-sqEsjKCw_X-7A01f1mwOC2cnHvVekVhJLruo0Pz_Gg5EDK9llwSq5PZPrSA46xS7YIM3hDW6uolKWrJYv_EJZfIEXy9KjyfFCA1YguOjeVyKmVfYYO3e2IrouHjzyqpKEkehuS/s200/tsum-tsum-nobi.jpg" width="133" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Les Tsum Tsum ne sont jamais les derniers pour faire des bêtises, et avec eux, c’est vite l’escalade ! Entre aventures et maladresses, il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. Pourtant, on peut toujours compter sur Mickey et ses amis en cas de souci. Un jeu de l’oie, une cascade, un spectacle de magie... Autant d’histoires mignonnes et amusantes dans lesquelles les gags s’empilent !</span><br />
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<i>Publié aux éditions Nobi Nobi (8€50) </i><br />
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<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">21 JUIN 2018</span></b></u></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVAJ2NUgyFKww-UfbcTMLpsiYmaGONjkn4036BMrr3Pv_tEHwQN069Le_ngGTLOBlK7EHqRRhnLDnOUsY_T2ghHzKLY6SGnXKdktg_sr3PuKucqw0OJk5r0_LYLuzKaxcP4CBTCj3g0Ekk/s1600/souvenirs-mer-assoupie-imho.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="595" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVAJ2NUgyFKww-UfbcTMLpsiYmaGONjkn4036BMrr3Pv_tEHwQN069Le_ngGTLOBlK7EHqRRhnLDnOUsY_T2ghHzKLY6SGnXKdktg_sr3PuKucqw0OJk5r0_LYLuzKaxcP4CBTCj3g0Ekk/s200/souvenirs-mer-assoupie-imho.jpg" width="140" /></a><span style="font-size: x-small;">Après les saynètes surréalistes de Tohu-Bohu, Shinya Komatsu revient avec un nouveau recueil de rêves éveillés, situés cette fois dans une petite ville ensoleillée où le temps semble figé à l’heure de la sieste. On y suit avec émerveillement le quotidien de la jeune Lisa, qui telle une Alice du bord de mer semble dotée d’un talent naturel pour faire de curieuses découvertes : un violon en verre d’écume, un pilote de parapluie volant, un phare en mal d’escapades…</span><br />
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<i>Publié aux éditions Imho (14€00)</i><br />
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<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">22 JUIN 2018</span></b></u></div>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4hcHk_tlfhtcNJZQwi-jH_Wi9uYYAuzpcPjkMwZkSdPCkPR8AOg5iOXUia-mPqeQyEjjGB2eGW2wIpg1xvtDI9IRp5k5A2_ex1bn_n7Lh4Xqv_EuluQ-oLb1b9rTT5QjuYeh6fh3TdZYy/s1600/aventuresyaya-tuduo-roman.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="751" data-original-width="533" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4hcHk_tlfhtcNJZQwi-jH_Wi9uYYAuzpcPjkMwZkSdPCkPR8AOg5iOXUia-mPqeQyEjjGB2eGW2wIpg1xvtDI9IRp5k5A2_ex1bn_n7Lh4Xqv_EuluQ-oLb1b9rTT5QjuYeh6fh3TdZYy/s200/aventuresyaya-tuduo-roman.jpg" width="141" /></a></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjujCm_LV1MOgnJ68JdjLxSphVNngfNFYq-uVV1IOC_heL7dq7omtj-0uHZ6nd3Md3uu7jh7W7thiXMQDNsjxBME4m4AyNv7roTCa8cSp-VAHfQT6TMhfEyTsphdqHX7ZU53VO3M0AQIyx3/s1600/moriarty-1-kana.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="799" data-original-width="524" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjujCm_LV1MOgnJ68JdjLxSphVNngfNFYq-uVV1IOC_heL7dq7omtj-0uHZ6nd3Md3uu7jh7W7thiXMQDNsjxBME4m4AyNv7roTCa8cSp-VAHfQT6TMhfEyTsphdqHX7ZU53VO3M0AQIyx3/s200/moriarty-1-kana.jpg" width="130" /></a><br />
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<span style="font-size: x-small;">Pour ceux qui connaissent la bande dessinée, nous avions laissé Yaya et Tuduo à Shanghai, après leur grand périple à travers la Chine du sud. Leurs nouvelles aventures se déroulent dans la grande demeure de Yaya où elle accueille les gamins déshérités des rues de Shanghai. Si la riche demeure est devenue un refuge pour ces pauvres enfants, l’immense cité reste un terrain d’aventures, parsemé d’embûches, où rôde encore l’ombre du terrible Zhu qui n’en a pas fini avec nos deux héros.</span></div>
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<i>Publié aux éditions Fei (10€85)</i></div>
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<span style="font-size: x-small;"><br /></span><span style="font-size: x-small;"><br /></span>
<span style="font-size: x-small;">Deux frères orphelins sont accueillis dans la famille Moriarty, grâce aux ambitions cachées du fils aîné Moriarty, Albert. Ce dernier abhorre l'aristocratie à laquelle il appartient et le système social qui régit la société britannique. Albert a vu en l'aîné l'intelligence et le charisme dont il avait besoin pour accomplir son rêve de nettoyer la société de ces "êtres inutiles et sales". Albert propose de leur offrir sa richesse et son influence à condition que les garçons mettent leur intelligence au service de son rêve. 13 ans plus tard, à côté de leurs activités officielles, les frères Moriarty sont devenus des "conseillers privés". Avec William à leur tête, ils aident les gens du peuple, victimes d'injustices, à se venger des riches qui les ont fait souffrir. </span><br />
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<i>Publié aux éditions Kana (6€85). Publication simultanée d'une version collector (9€90) </i><br />
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<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">25 JUIN 2018</span></b></u></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjLgwMvzK6i2-VmhJujuysnWtC8KAcstFURm1P32a5gR4Q1X82rG9h0VBGOP-2y3FsipRLSgtB9LDh00bcKRPrRp_z2NTslx6b2jy0boexkT5o-0-B5H_pggf3qseRLZHWdmoAHm5zCOWJp/s1600/baron-1-black-box.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1262" data-original-width="870" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjLgwMvzK6i2-VmhJujuysnWtC8KAcstFURm1P32a5gR4Q1X82rG9h0VBGOP-2y3FsipRLSgtB9LDh00bcKRPrRp_z2NTslx6b2jy0boexkT5o-0-B5H_pggf3qseRLZHWdmoAHm5zCOWJp/s200/baron-1-black-box.jpg" width="137" /></a><span style="font-size: x-small;">Suivez le parcours de Namirô Itsuki. Surnommé Baron à cause de sa taille impressionnante et sa force herculéenne, il mène une vie somme toute banale avec ses problèmes de famille. Il vient de demander sa petite amie, Yôko, en mariage quand elle se met à faire des rêves étranges. Sont-ils prémonitoires ? Que va-t-il arriver au frère de Yôko, témoin d'apparition d'OVNI en Australie ?</span><br />
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<i>Publié aux éditions Black Box (10€99) </i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEha6GDpSrQwMT_XamDYRntH5e0oXqsmN62qkFKW5GHMmiiHXUK78cyeQ2MEjMeoEycchBOFEC700OOi_hGLH1j8dFb8MCTb3sTzuy1PYZYaxX9mnZysd2l0ZZoS3-aAZuZy-zOGtr4e7g2a/s1600/billy-the-kid-21-1-black-box.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="850" data-original-width="578" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEha6GDpSrQwMT_XamDYRntH5e0oXqsmN62qkFKW5GHMmiiHXUK78cyeQ2MEjMeoEycchBOFEC700OOi_hGLH1j8dFb8MCTb3sTzuy1PYZYaxX9mnZysd2l0ZZoS3-aAZuZy-zOGtr4e7g2a/s200/billy-the-kid-21-1-black-box.jpg" width="135" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;"><br /></span>
<span style="font-size: x-small;">"Une série en 3 tomes aux graphismes époustouflants inspirée de la vie du célèbre hors-la-loi du Wild West américain." - Black Box</span><br />
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<i>Publié aux éditions Black Box (10€99) </i><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5s2iVxTP4OqHItXWXh6hHqwTOgbawuyQvfFHUI5Od7gIjFAmaBKTK1YbwLwwktGpjDSMXpadiCSqExEHoBeqQoopExsTlIk18hINv5LuLW3mijiQXKFt2y7fkE1oEptmU4fw-jo28b2wF/s1600/biki-maru-blackbox.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1274" data-original-width="880" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5s2iVxTP4OqHItXWXh6hHqwTOgbawuyQvfFHUI5Od7gIjFAmaBKTK1YbwLwwktGpjDSMXpadiCSqExEHoBeqQoopExsTlIk18hINv5LuLW3mijiQXKFt2y7fkE1oEptmU4fw-jo28b2wF/s200/biki-maru-blackbox.jpg" width="138" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Amour, tendresse et catastrophes ! Michi Tarasawa nous fait partager toutes les émotions de son quotidien avec Biki et Maru, deux adorables chats reçus en cadeau de son mentor, Yumiko Ôshima, la célèbre mangaka de Gu Gu, le chat</span><br />
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Publié aux éditions Black Box (10€99)<br />
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<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">28 JUIN 2018</span></b></u></div>
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<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;"><br /></span></b></u></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZp5OAE_uzfzf3B-NVj3PZtwo6wZuJILa0apD-dVe8Z3sEIwBU0NZcZWulT-urhrQcEOH4dmdaiFobaiQPkZfqsPJu6NblDJ8IFMh2QQnpr36Zm0rG429tWxnoA9wcVn6ETBUFc2zSgwNs/s1600/a-certain-magical-index-ln-1-ofelbe.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="812" data-original-width="541" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZp5OAE_uzfzf3B-NVj3PZtwo6wZuJILa0apD-dVe8Z3sEIwBU0NZcZWulT-urhrQcEOH4dmdaiFobaiQPkZfqsPJu6NblDJ8IFMh2QQnpr36Zm0rG429tWxnoA9wcVn6ETBUFc2zSgwNs/s200/a-certain-magical-index-ln-1-ofelbe.jpg" width="133" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Dans ce monde ultra hiérarchisé, gouverné par la technologie ainsi que par les capacités surnaturelles de ces habitants, les inégalités et discriminations font partie du quotidien d’une partie de la population. Véritable paradis pour certains, terrible enfer pour d’autres, la Cité Académique n’en reste pas moins une ville aux multiples facettes qui s’est attiré les foudres de l’Église ! Cette dernière maîtrise l’art de la magie et souhaite renverser l’ordre établi. Pour cela, elle compte sur Index et ses 103 000 sortilèges interdits. Heureusement, la jeune fille pourra compter sur l’aide du malchanceux Tôma et de son incroyable don... Sa malchance serait-elle la chance de ce monde ? Seul Tôma et Index pourront nous le dire.</span><br />
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Light novel publié aux éditions Ofelbe (20€90)<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsVzTDNBnNfAFPSztwLJN9gTxfSPkiZNvLavRzYiafSo-qBxYlVpx0zM04a3AXheqoiVAp5NFsHc6D_BatQj04o9Zj1uz048bvW28INWOvXr3RhqlA0sdlYetZWPkinKT7H5TJgEPkBdLs/s1600/GunAndHeaven_Jaq.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="359" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsVzTDNBnNfAFPSztwLJN9gTxfSPkiZNvLavRzYiafSo-qBxYlVpx0zM04a3AXheqoiVAp5NFsHc6D_BatQj04o9Zj1uz048bvW28INWOvXr3RhqlA0sdlYetZWPkinKT7H5TJgEPkBdLs/s200/GunAndHeaven_Jaq.jpg" width="143" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">J.B. et Roy sont deux tueurs à gages qui vivent ensemble. Répondant aux demandes de différents clients, ils mènent une existence isolée dans diverses villes à travers le monde en dissimulant leur véritable identité. « Un sniper ne doit laisser aucune trace de son passage. » Un jour, Roy enfreint cette règle en s’impliquant trop dans une affaire. J.B. ayant été témoin de la scène, le met en garde. « Il est peut-être déjà trop tard, mais on fait nos valises et on quitte ce pays. » N’en pouvant plus d’être infantilisé par J.B., Roy accepte sans lui en parler de s'infiltrer dans le serveur principal de l’ATF à la demande de la CIA. Voici enfin le spin-off tant attendu de la série Kizuna !</span><br />
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<i>Publié aux éditions Taifu (8€99) </i><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhevR15e5v-MullTOy4MdJuBA6xVCfr1uUu26flh5mA9RuuQfEkSI4LYvwfkgKp_lwpiRkGqbXcSBwC-XxO9oYLN5MwWPTQH4VAm5lVWCuTQR2xL7QUiE607lzyUG9-lBriLMlPKovr8jTU/s1600/OurDiningTable_Jaq.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="366" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhevR15e5v-MullTOy4MdJuBA6xVCfr1uUu26flh5mA9RuuQfEkSI4LYvwfkgKp_lwpiRkGqbXcSBwC-XxO9oYLN5MwWPTQH4VAm5lVWCuTQR2xL7QUiE607lzyUG9-lBriLMlPKovr8jTU/s200/OurDiningTable_Jaq.jpg" width="146" /></a></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGenJDJ5bqN_U5x2jfq-2MbzoMdSy0IbYDxNtaVGNf_pwUBKP5HnfG5189B6Ue2WjGZOMIJj_MU7u4RjCpk8ocW7zhK8hoQHWolUaIp0QO6Q4n1eoHhCPpTG_-7wSeDgaDi_gVzEmgU_G6/s1600/patissier-de-mesreves-1-akata.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="585" data-original-width="400" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGenJDJ5bqN_U5x2jfq-2MbzoMdSy0IbYDxNtaVGNf_pwUBKP5HnfG5189B6Ue2WjGZOMIJj_MU7u4RjCpk8ocW7zhK8hoQHWolUaIp0QO6Q4n1eoHhCPpTG_-7wSeDgaDi_gVzEmgU_G6/s200/patissier-de-mesreves-1-akata.jpg" width="136" /></a><span style="font-size: x-small;">Yutaka est un jeune salarié qui a excessivement de mal à tisser des liens avec ses collègues. Très introverti, il se retrouve toujours seul lors de ses pauses déjeuner. Mais allez savoir pourquoi, il est un jour invité chez Minoru et Tane, deux frères croisés dans un parc, pour leur enseigner sa recette des onigiri. Depuis, Yutaka mange de plus en plus souvent avec eux, et progressivement finit par attendre ces rendez-vous avec beaucoup d’impatience. Ces moments de convivialité lui permettront-ils de s’ouvrir un peu plus au monde qui l’entoure ?</span><br />
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<i>Publié aux éditions Taifu (8€99) </i><br />
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<span style="font-size: x-small;">Ce jour-là, tout aurait dû bien se passer pour Miu. Hélas, lors de son rencard, la lycéenne se fait larguer... Dépitée, elle décide de se consoler en s’adonnant à son passe-temps préféré : manger des gourmandises !! Ses pas la mèneront à l’entrée d’une pittoresque pâtisserie dont elle ignorait jusqu’alors l’existence. Pénétrant dans le mystérieux établissement, elle constate avec stupeur que le beau Hayato y travaille. Camarade de lycée connu pour sa froideur sans égale, ce dernier s’avère surtout être un apprenti pâtissier de talent, dont les créations effacent les soucis de tous ceux qui les goûtent ! Se découvrant un intérêt commun, Miu et Hayato deviennent amis. ils ne savent pas encore que la recette de l’amour est peut-être déjà en train de leur préparer des tours...</span><br />
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<i>Roman publié aux éditions Akata (12€99)</i><br />
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<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">29 JUIN 2018</span></b></u></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtlNDLbLn4ni558VkD-XwDuXCe-pfUCiWatuYbe6bB4R7_WXjr27991IFoRbU3BzjwNJxkXNkR8JWTKn93F4jmXQF13qv-kkWW1hQZd6mWOsWXz7acQ7nAA37K37qX1LOwPbR9RlMQVDrP/s1600/koro-quest-1-kana.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1036" data-original-width="683" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtlNDLbLn4ni558VkD-XwDuXCe-pfUCiWatuYbe6bB4R7_WXjr27991IFoRbU3BzjwNJxkXNkR8JWTKn93F4jmXQF13qv-kkWW1hQZd6mWOsWXz7acQ7nAA37K37qX1LOwPbR9RlMQVDrP/s200/koro-quest-1-kana.jpg" width="131" /></a><br />
<span style="font-size: x-small;">Et si Assassination Classroom se déroulait dans un monde de jeu vidéo RPG ?Ainsi, M. Koro est-il devenu le roi démon, possédant une vitesse surnaturelle à la suite d’un bug du système. M. Karasuma est ici le Lord Commandant des Chevaliers de la Cour et Mme Pouffe une « sorcière de la tentation »… Les élèves de la classe E appartiennent à une école de magie, dont les bugs pourraient bien venir à bout de celui de M.Koro ! Ils sont alors chargés de l’assassiner…</span><br />
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Publié aux éditions Kana (6€85)<br />
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<u><b><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">DIVERS</span></b></u></div>
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- <u>06 juin</u> : réédition de l'<i>artbook</i> de Mon voisin Totoro aux éditions Glénat (24€90)<br />
- <u>06 juin</u> : réédition du <i>comic book</i> de Mon voisin Totoro aux éditions Glénat (15€50)<br />
- <u>06 juin</u> : <i>comic book</i> One Piece - L'épisode de d'Alabasta aux éditions Glénat (9€60)<br />
- <u>13 juin</u> : global manga "Deep Scar" aux éditions H2T (7€95)<br />
- <u>13 juin</u> : album "Rady - un chat aux petits soins" aux éditions Nobi Nobi (12€50)<br />
- <u>20 juin</u> : coffret intégral "Gunm" aux éditions Glénat (63€00)<br />
- <u>20 juin</u> : réédition double de "Shugo Chara !" aux éditions Pika (10€75)<br />
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<b><u><span style="color: #3d85c6; font-size: large;">MES ATTENTES</span></u></b></div>
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On commence par ce que je prendrai à coup sûr, à savoir <u style="font-weight: bold;">Ayako</u> et <b style="text-decoration-line: underline;">L'histoire des 3 Adolf</b>, deux récits déjà bien connus... Sauf par moi. Cela fait depuis que j'ai testé <b style="text-decoration-line: underline;">Astro Boy</b> que je me languis de lire un autre <i>Tezuka</i> et les deux me semblent être une très bonne occasion de le faire, sans compter que je suis très friande des récits se déroulant pendant la guerre (drôle de passe-temps, je sais). J'espère juste qu'à ce prix là, la qualité sera au rendez-vous... Soyons optimiste. J'ai eu un petit coup de coeur pour ce qu'on peut voir de <u style="font-weight: bold;">Souvenirs de la mer assoupie</u> également. Sous réserve qu'il sort effectivement ce mois-ci, je me plongerai surement dans ce qui semble être une lecture estivale idéale. </div>
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Au rayon des curiosités, je nomme <u style="font-weight: bold;">Blue Giant</u> qui titille mon attrait pour le jazz, ou encore <u style="font-weight: bold;">Le fantôme de l'opéra</u> (vive le <i>vintage</i> !), <u style="font-weight: bold;">Holiday Junction</u> et <u style="font-weight: bold;">Our summer love</u> qui m'a l'air joli. A part si je subis sous l'influence du Tentateur ultime, je ne pense malgré tout pas m'y pencher dans l'immédiat. </div>
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Au rayon mignon, mon âme de gros bébé me fera surement tenter <u style="font-weight: bold;">Tsum Tsum</u>, même si ce sera probablement de très basse qualité. Mais en tant que collectionneuse, j'ai envie de le tenter. Je ferai également l'acquisition de <u style="font-weight: bold;">My little witch academia</u> qui, je l'espère, devrait être aussi adorable et merveilleux que l'<i>anime</i>. Pour passer un joli début d'été romantique, <u style="font-weight: bold;">Kiss me at midnight</u> (le nouveau titre de l'autrice de <u style="font-weight: bold;">Close to heaven</u>), <b style="text-decoration-line: underline;">Make me up</b> ou <u style="font-weight: bold;">Irrésistible</u> devraient être de bonnes solutions. </div>
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A contrario, je fais un petit blocage sur <u style="font-weight: bold;">Moriarty</u> qui ne me tente absolument pas. J'avais quelques attentes concernant ce titre au moment de l'annonce de sa publication française, mais finalement, plus je me suis renseignée, moins cela m'a tentée. </div>
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Pour finir, j'ai beau être fan de <i>Ichigo Takano</i> (<u style="font-weight: bold;">Orange</u>), je ferai surement l'impasse sur <u style="font-weight: bold;">Le patissier des mes rêves</u>, qui m'a l'air d'une histoire un peu trop banale vis à vis de ce que je recherche en ce moment. Puis cela fait peut-être cher payé pour seulement une couverture 😅</div>
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<i>Et vous, qu'allez-vous lire sous le soleil, avec un bout goûter ?</i></div>
</div>
Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-63230394762098113932018-05-22T21:46:00.001+02:002018-05-22T21:46:20.293+02:00 Challenge Manga Suki : Avril Partie II<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFTUJNH5SLXQquvaT3KbXgB5EeK0Yjbt9VHCMKc6TRZWFqGID4dn2grpdXFx0COlQrgs2SdRt7yEbR3yQF3oZKT_rcH9iIXsfmBRx_-q7NZpewdJTWJA8P8Iqxg-r0OrU8xp8HIlQy3-mE/s1600/p20418.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgFTUJNH5SLXQquvaT3KbXgB5EeK0Yjbt9VHCMKc6TRZWFqGID4dn2grpdXFx0COlQrgs2SdRt7yEbR3yQF3oZKT_rcH9iIXsfmBRx_-q7NZpewdJTWJA8P8Iqxg-r0OrU8xp8HIlQy3-mE/s1600/p20418.jpg" /></a></div>
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<a href="http://manga-sukii.blogspot.fr/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">présentation du challenge</a></div>
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< <a href="http://manga-sukii.blogspot.fr/2018/05/challenge-manga-suki-avril-partie-i.html">partie précédente</a></div>
<br /><a name='more'></a><br /><div style="text-align: justify;">
Et voici la deuxième et dernière partie de textes sur les mangas comiques qu'ont lus nos participants. Comme toujours, je remercie encore énormément tous ceux qui auront pris le temps, malgré des emplois du temps mega chargés pour certains !!, d'écrire pour mon petit blog. J'aime énormément lire autant de textes chargés du plaisir de votre lecture, j'espère que c'est aussi votre cas ! Bonne lecture !</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_qZCgl-Fn6dTou2h6uywvyYyikASVbIpCs-bhw7sD-j8QL_6eUOaYSnJWu0rxMT7nJEUIMjgbUrHaIMZPG7EOO1hdVshJKUL5B7Gw1BizTQIgztGZgqkLRUGwJAebKBhURYp2Kh5sdC3U/s1600/Magical+Girl+Boy+%2528Marine%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_qZCgl-Fn6dTou2h6uywvyYyikASVbIpCs-bhw7sD-j8QL_6eUOaYSnJWu0rxMT7nJEUIMjgbUrHaIMZPG7EOO1hdVshJKUL5B7Gw1BizTQIgztGZgqkLRUGwJAebKBhURYp2Kh5sdC3U/s1600/Magical+Girl+Boy+%2528Marine%2529.jpg" /></a></div>
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💻<a href="https://celebriannosekai.wordpress.com/">blog</a> • 🐦<a href="https://twitter.com/marinecelebrian">twitter</a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEja0-C3f3qpwd4st-KK22ibYTd-qJo3QzZFnFbjak64pQPMIvU-Ax3rAyw2ppAmsqznluXzEy8BsAQRFT5bqISGjLzj3lhu_9KWL-4madOTYRscF8mE5K47wgWnFcj4-wAkU8r3mYdS-gyv/s1600/ob_b673a0_magical-girl-boy-1-0.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="354" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEja0-C3f3qpwd4st-KK22ibYTd-qJo3QzZFnFbjak64pQPMIvU-Ax3rAyw2ppAmsqznluXzEy8BsAQRFT5bqISGjLzj3lhu_9KWL-4madOTYRscF8mE5K47wgWnFcj4-wAkU8r3mYdS-gyv/s200/ob_b673a0_magical-girl-boy-1-0.jpg" width="141" /></a><i>Saki Uno</i> est lycéenne, mais elle est surtout membre d'un duo de chanteuse pop : les<i> Magical Twin</i> ! Le problème, c'est que son groupe ne rencontre pas du tout de succès… Dépitée, un soir, alors qu'elle rentre d'un concert catastrophique, elle trouve devant chez elle un <i>yakuza </i>fou furieux. Ce dernier lui apprend une drôle de nouvelle : sa mère était autrefois une <i>magical girl</i>, et c'est désormais à son tour de signer un contrat avec lui, pour protéger l'ordre et la justice ! Le problème, c'est que <i>Saki</i> n'est pas du tout emballée à cette idée. À moins que pour protéger l'homme qu'elle aime, elle ne soit d'accord pour se <i>fighter</i> contre des ours bodybuildés ?! Sa nouvelle vie de <i>Magical Girl Boy</i> (rayez la mention inutile) lui réserve bien des surprises…<o:p></o:p></div>
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Alors, les gens qui me connaissent via les réseaux sociaux savent que je suis une amatrice d'humour absurde, un peu débile. Donc forcément, en lisant un tel résumé, je ne pouvais SURTOUT PAS passer à côté. Donc j'ai craqué. Est-ce que j'ai regretté ? Jamais de la vie. Par contre, je vous préviens : <b><span style="color: #e06666;">isolez votre cerveau quelque part, parce que vous n'en aurez pas besoin. De l'humour et de l'absurde, en veux-tu en voilà !</span></b><o:p></o:p></div>
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Le <i>mangaka</i> ne traîne pas pour nous faire entrer dans son univers. On arrive tout de suite dans l'histoire (oui, les premières lignes du résumé, ça fait la première vingtaine de pages!). L'aventure nous entraîne donc aux côtés de <i>Saki, idol </i>en devenir avec sa meilleure amie (du moins en théorie, parce que le succès ne semble pas être pour elles), qui se voit devenir <i>Magical Girl</i> pour protéger l'élu de son cœur... Mais en devenant un homme ultra musclé. Le manager du duo, un homme un peu trop franc qui n'a pas l'air de soutenir les deux jeunes filles plus que ça, devient fan de sa version masculine ! Et si c'était le seul, puisque même l'élu de son cœur semble aussi sous le charme de cette version pleine de testostérones... Et sa meilleure amie n'aurait pas que des sentiments d'amitié...<o:p></o:p><br />
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En fait, <b><span style="color: #e06666;">rien ne va, rien n'est logique, tout est bizarre, et c'est ça qui est bon !</span></b> L'auteur enchaîne les gags, sans pour autant être redondant. Et la grande majorité des blagues sont en lien avec l'univers, ou plutôt <b><span style="color: #e06666;">la parodie, des <i>Magical Girls</i></span></b>. Ainsi, alors que <i>Saki</i> est en <i>Magical Girl Boy</i>, donc en homme bodybuildé, on voit sa petite culotte mignonne. D'ailleurs, toute la tenue pourrait être mignonne si elle était portée par une jeune fille, pleine de froufrous et de rose... Oui c'est le stéréotypé, mais c'est pas grave, c'est fait exprès. De même, les armes sont mignonnes au premier abord, mais ont un effet bien trop violent et terre à terre ! Bien évidemment, il y a une mascotte, toute mimi, nommée <i>Kokoro </i>(« cœur » en japonais), mais... elle a une tête de <i>yakuza</i> (avec les cicatrices sur le visage et les grosses lunettes de soleil), même en taille miniature... Sans oublier l'aspect réaliste qui contrebalance totalement avec la magie : signer un bête contrat de travail, c'est presque vexant quand on devient <i>Magical Girl</i>... Oui, vraiment rien ne va, RIEN NE VA !<o:p></o:p></div>
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Bien évidemment, l'aspect comique ressort également via les dessins. Encore une fois, c'est une folie. Le style graphique du <i>mangaka</i> est tout aussi important que tous les gags : classique mais hybride, s'adaptant totalement au ton du manga. Tout est mignon quand <i>Saki</i> est une adolescente comme les autres, mêmes les ennemis. Mais dès que l'on passe du côté obscur de la force, ça change : il n'y a pas que Saki qui devient bodybuildés, les petites <i>bêbêtes</i> mignonnes qui servent d'ennemis le deviennent également, devenant totalement ridicules ! D'autres moyens sont utilisés pour accentuer ces effets : les visages sont parfois déformés, les émotions sont souvent exagérées et mis en valeur par des expressions irréalistes et ridicules, ce qui donne facilement le sourire. Enfin, comme dans beaucoup d’œuvres du même genre, le quatrième mur est souvent utilisé, histoire de rapprocher les lecteurs des personnages. Et comme tout bon manga comique qui se respecte (et merci à <i>Akata</i> d'avoir respecter ça), il ne faut surtout pas oublier de soulever la jaquette, le <i>mangaka</i> se lâche un peu...<o:p></o:p></div>
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Depuis le début du mois, l'anime est aussi en cours de diffusion et disponible sur <i>Crunchyroll</i>. Si vous ne voulez pas investir dans deux petits volumes, vous pouvez sauter sur l'occasion, je le trouve vraiment très bon jusque là !<o:p></o:p></div>
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En conclusion, <u><b>Magical Girl Boy</b></u> est un parfait exemple de ce que l'on appelle un manga comique. Par contre, pour l'apprécier, il faut vraiment être friand d'humour absurde, un peu débile. Si c'est le cas, foncez ! Entre la qualité de l'humour et la perfection de l'édition <i>d'Akata</i> (la jaquette brille, c'est trop mignon), vous ne pouvez qu'être satisfait !<o:p></o:p><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjn-djIjdjuETAN6TlT_eNa2_R3xq8k_9cGXAVSyiZ8MdQ37E9G6kQTC8kxEGi61NQ5sFcz40cjXvli-odtzz1ETd3ZL5X5MxYflni_3l42N14smZMBvBYVb3Tqdp9f1a8TaIljOJ5qD2TI/s1600/Mon+Histoire+%2528Angel%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjn-djIjdjuETAN6TlT_eNa2_R3xq8k_9cGXAVSyiZ8MdQ37E9G6kQTC8kxEGi61NQ5sFcz40cjXvli-odtzz1ETd3ZL5X5MxYflni_3l42N14smZMBvBYVb3Tqdp9f1a8TaIljOJ5qD2TI/s1600/Mon+Histoire+%2528Angel%2529.jpg" /></a></div>
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<b><br /></b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCXOMVjrzySAk7eLr9WCAygfZpzfGiMT2L6fcEh4iDB4IBPIFar6twL1W8_c9LFn5lTqc_ELs376k3P2Ty060srprpITAdY6-lrTbYyMPJz0bU9wtLzERljuzBJFm1z1KM5eK2ajNz3MTq/s1600/mon-histoire-1-kana.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="393" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCXOMVjrzySAk7eLr9WCAygfZpzfGiMT2L6fcEh4iDB4IBPIFar6twL1W8_c9LFn5lTqc_ELs376k3P2Ty060srprpITAdY6-lrTbYyMPJz0bU9wtLzERljuzBJFm1z1KM5eK2ajNz3MTq/s200/mon-histoire-1-kana.jpg" width="130" /></a>Pour cette seconde participation au challenge, j'ai décidé de lire <u><b>Mon Histoire</b></u>. Ayant vu il y a quelques temps l'anime que j'avais adoré, c'est avec joie que je me suis replongée dans cette histoire.<br />
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Mais <u><b>Mon histoire</b></u>, c'est quoi exactement ? Un manga plutôt banal à première vu qui compte une énième amourette de lycéens, en plus de ça c'est très niais et répétitif, pourquoi devriez vous le lire ? Tout simplement parce que <b><span style="color: #e06666;"><u>Mon Histoire</u> est un récit plein de bons sentiments qui nous permet de découvrir des personnages hauts en couleurs.</span></b><br />
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On suit tout d'abord <i>Takeo</i>, un personnage bien maladroit mais qui a un cœur énorme, toujours présent pour aider son prochain. <i>Takéo</i> est également quelqu'un d'hyper marrant. Je ne compte plus le nombre de fois ou il m'a fait rire parce qu'il n'est pas doué pour comprendre les autres, pourtant ce n'est pas faute d'avoir essayer !<br />
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De l'autre côté nous avons la mignonne <i>Yamato</i>, gentille, attentionné et qui aime sans complexe <i>Takeo</i>. A plusieurs reprises elle va défendre son amoureux contre les critiques acerbes de certaines personnes.<br />
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Les deux forment un couple extrêmement touchant qui va vraiment évoluer au fil des tomes. C'est un vrai plaisir de voir deux personnages s'avouer si facilement qu'ils s'aiment, qui ne vont pas hésiter pendant longtemps avant de pouvoir se révéler. Voir un couple si fort, si solide, fait du bien et change radicalement de certaines histoires d'amour auxquelles j'ai été confrontée lors de mes lectures.<br />
<br />
Mais d'autres choses superbes viennent s'insérer dans ce récit comme <i>Suwa</i> et l'amitié incroyable qu'il partage avec <i>Takeo</i>, qui nous montre qu'on peut être complètement différent mais tellement proche à la fois.<br />
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Bref, <b><span style="color: #e06666;"><u>Mon Histoire</u> est un récit simple mais dont la simplicité fait tout son charme. C'est émouvant, drôle, léger, mignon avec des personnages intéressants et très attachants</span></b>. Je suis si triste d'avoir eu à quitter ces personnages car ils vont terriblement me manquer mais je sais qu'un jour je les retrouverai à nouveau car ce n'est pas une oeuvre que je pourrai oublier.<br />
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De mon côté, alors que j'avais un titre en tête, j'ai propose <b><span style="color: #e06666;">un léger twist à la formule habituelle, en ne sélectionnant non pas un mais DEUX mangas</span></b>. Petite dérogation, puisqu'en plus je me permets de les confronter l'un à l'autre. Aujourd'hui, je vous propose un combat entre <u><b>Rinne</b></u> et <u><b>Ranma (1/2)</b></u> !!</div>
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En effet, ce sont deux titres qui ont beaucoup en commun, à commencer par leur autrice : <i>Rumiko Takahashi</i>, grand nom du manga à la longue carrière. Beaucoup de ses œuvres nous sont parvenues, mais certaines sont désormais difficiles à trouver, même en occasion. Aussi étrange que cela puisse paraître, <u><b>Rinne</b></u> en fait partie, alors même que la série est en cours chez <i>Kazé</i>, au rythme aléatoire de 2 ou 3 tomes par an. Ce <i>shônen</i> fleuve étant fini en 40 volumes, on devrait en voir le bout d'ici 6-9 ans... De son côté, <u><b>Ranma 1/2</b></u> est fini en 38 tomes, tous dispo, et est actuellement réédité en version double "<i>Perfect</i>" (soit-disant), avec un rythme désormais bimestriel (+ ou -).</div>
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Dans les deux cas, on a à faire à un <i>shônen</i> d'humour plus que d'action, où les combats sont surtout les conséquences de quiproquos improbables. Dans <u><b>Ranma 1/2</b></u>, ce dernier se transforme en fille ou en garçon selon la température de l'eau qui le mouille. Au fur et à mesure des tomes, la galerie de personnages secondaires lui tournant autour s'agrandira. Amis, ennemis, rivaux en amour, on est loin des simples triangles amoureux. Dans <u><b>Rinne</b></u>, ce dernier est un <i>shinigami</i> fauché qui tente de survivre en pratiquant des exorcismes. </div>
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Dans les deux cas, l'humour fait mouche. Cependant <u><b>Ranma 1/2</b></u> possède un avantage qui manque cruellement à son cadet : du liant. Ainsi, chaque histoire est la suite de la précédente, <i>Rumiko Takahashi </i>nous offre des arcs s'étalant sur plusieurs chapitres, là où <u><b>Rinne</b></u> a tendance à ne faire que des chapitres auto-conclusifs, sans conséquence sur la suite du récit. Par exemple, l'arrivée de <i>Shampoo</i> à la fin du tome 2 de <u><b>Ranma 1/2</b></u> entraîne une foultitudes de rebondissements : l'amnésie partielle <i>d'Akane</i>, le blocage de <i>Ranma</i>, le combat contre <i>Mousse</i>, la révélation d'une des faiblesses de <i>Ranma</i>, la pilule du Phénix... Et à chaque fois, <i>Rumiko Takahashi </i>prend son temps. Ces histoires ne se résolvent pas en seulement 20 pages, alors que dans <u><b>Rinne</b></u>, chaque chapitre offre une chute, et pas toujours hilarante... Du coup, le risque de voir se répéter des situations similaires est plus grand. En même temps, réussir à imaginer de nouveaux rebondissements inédits chaque semaine pendant plusieurs années, c'est mission impossible. Il n'empêche que c'est un défaut assez marquant, qui fait que <b><span style="color: #e06666;"><u>Rinne</u> manque d'ambition, et ne peut marquer les esprits autant que son aîné</span></b>, d'autant plus que les personnages de <u><b>Rinne</b></u> peuvent évoquer par leur caractère et leurs relations ceux de <u><b>Ranma</b></u> <u><b>1/2</b></u>... La <i>mangaka</i> se repose sur ses acquis, et cela se ressent à la lecture. Dommage.</div>
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Gagnant de ce combat fratricide : <u><b>Ranma</b></u>.</div>
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Bien le bonjour, c’est toujours avec un immense plaisir que je vous retrouve dans ce rendez-vous mensuel. Et sachez que je fais des découvertes à chaque nouvelle parution de la part de notre blogueuse ! Parmi les différents thèmes proposés au cours de l’année, je dois bien avouer que celui du mois d’avril m’avait laissé dubitative… En effet, je ne connaissais nullement avant ce challenge, l’existence des « <i>gag manga</i> » ou plus communément appelé les « <i>Yonkoma</i> ». Et après les multiples propositions de <i>Manga Suki</i>, il s’avérait que j’en possédais dans ma bibliothèque !<span style="font-size: x-small;"> (ndt : entre temps, le challenge du mois s'est ouvert à toutes "types" de mangas, du moment qu'ils soient humoristiques)</span><br />
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Ainsi, je vais vous parler brièvement d’une licence que j’affectionne particulièrement, pour sa légèreté, son humour et son audace. Il s’agit de <u><b>Les vacances de Jésus et Boudhha</b></u>, scénarisé et dessiné par<i> Hikaru Nakamura</i>, à qui nous devons également <u><b>Père fouettard Corproration</b></u> paru fin de l’année dernière. Pour la petite anecdote, j’ai découvert cette série par simple hasard dans un magasin d’occasion, et je dois avouer avoir été tout d’abord attiré par les couvertures colorées, qui donnent ainsi envie au lecteur de s’attarder sur son contenu. </div>
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Mais de quoi parle cette série ? Eh bien, après avoir accompli de nobles causes pour l’humanité, il est temps pour nos deux jeux hommes de s’octroyer du bon temps, et quoi de mieux que louer un petit appartement au sein de la capitale du soleil levant. Ainsi nous allons être plongés au cœur de la vie quotidienne des Japonais, et plus généralement de la vie sur Terre. Et au fil des pages, nous allons entrapercevoir le regard innocent et candide qu’ont nos deux jeunes hommes sur notre société actuelle. (D'ailleurs, cela me fait penser qu’est parue récemment une autre œuvre dans la même lignée, <u><b>Tokyo Alien Bros</b></u> !)<br />
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De plus, pour divertir le lecteur, la construction du récit est plus qu’importante dans ce cadre-là. En effet, les chapitres qui composent chaque tome relatent des événements indépendants, mais tout en gardant un fil conducteur. De ce fait, <b><span style="color: #e06666;">nous avons des multitudes péripéties, situations et saisons</span></b> ! Le lecteur ne s’ennuie jamais, et s’attache ainsi plus vite aux personnages, car nos deux protagonistes sont un peu comme le ying et le yang, très différents, mais qui se complètent merveilleusement bien.</div>
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Je dois avouer que, une fois la lecture du premier tome achevée, je me suis dit que l’autrice ne manquait pas de cran. Parler de religion sur un ton humoristique pouvait être une chose très délicate, mais elle arrive à glisser certaines notions avec une telle subtilité, que finalement, nous apprenons tout en s’amusant des situations. Et c’est sûrement pour cela que l’œuvre a tant de succès ! </div>
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On sent que Melle <i>Nakamura</i> a effectué de nombreuses recherches, autant théorique, vis-à-vis des religions, que sur le développement de ses propres personnages. D'ailleurs nous avons droit à certaines petites phrases anecdotiques, de temps à autre sur les rebords de pages. </div>
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Je suis actuellement au milieu de la série, et j’affectionne toujours cet univers charmant, où nous avons un tout autre regard sur cette société, ou nous prenons du recul, et où, parfois, nous nous questionnons sur telle ou telle chose. Ou alors on se surprend à être fière sur plusieurs éléments, comme des coutumes ou des manières de vivre. </div>
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Le graphisme est très féminin, subtil et colle parfaitement à l’univers. Sur certaines planches, je trouve que l’arrière-fond est très bien dépeint et détaillé. D'ailleurs nos deux jeunes hommes ont un style vestimentaire fort charmant ! (Que l’on pouvait observer sur les différentes couvertures)</div>
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Voilà, je pense avoir fait le tour du sujet, sans trop vous en dévoiler bien évidemment ! Mais si je devais conclure, je dirai que, <u><b>Les vacances de Jésus et Bouddha</b></u> a été une grande révélation sur l’originalité de ce support qui est le manga. Cela a été une bonne surprise, de par les différentes thématiques abordées, que part la construction du récit. »</div>
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<u><b>Yotsuba</b></u> est une petite fille de 5 ans perdue dans son monde, spontanée, curieuse, sociable et active (qui a dit hyperactive ?), qui me rappelle par certains côtés mes propres enfants. Elle est élevée par un père un peu bizarre lui aussi, qui rentre souvent dans son jeu - on se demande parfois qui est l’adulte - et s’est plus ou moins faite adopter par les voisins - une famille avec 3 filles plus grandes.</div>
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Ainsi on suit les personnages alors que <u><b>Yotsuba</b></u> découvre tour à tour le vélo, la plage, le « <i>réchofentimatique</i> », ou tente de remonter le moral d’une ado au cœur brisé (spoiler : pas efficace mais hilarant). C’est <b><span style="color: #e06666;">une lecture<i> feel-good</i> légère et mignonne, difficile de ne pas aimer cette adorable fillette et ceux qui l’entourent</span></b>.</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSvDQgsFDU518u7UOMPRENmpqWB1gjSpuNJGL6kqmjEi3UonGY_meQ4BE036ldWiYivfi5dLK0E5ITMJFnDHloK3i0-Cw7crwtASFRrEXlupma_Cb3HAmFZJpehnrAxbPfXTkFooDg5aVi/s1600/yotsuba-13.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1578" height="303" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSvDQgsFDU518u7UOMPRENmpqWB1gjSpuNJGL6kqmjEi3UonGY_meQ4BE036ldWiYivfi5dLK0E5ITMJFnDHloK3i0-Cw7crwtASFRrEXlupma_Cb3HAmFZJpehnrAxbPfXTkFooDg5aVi/s400/yotsuba-13.jpeg" width="400" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
Mon texte sur "Otaku Otaku" sera en ligne dans la semaine !</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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</div>
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<div style="color: black; font-family: "times new roman"; font-size: medium; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-align: justify; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<div style="margin: 0px;">
<div style="text-align: justify;">
C'est ainsi que le billet touche à sa fin. J'espère que vous aurez à nouveau fait de chouettes découvertes et aurez pris plaisir à lire ces textes ! On se retrouvera le mois prochain autour du thème de l'enfance, avec comme critique de lire un manga où le héros est un enfant. </div>
</div>
</div>
Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-31268986403809249552018-05-19T13:48:00.000+02:002018-05-19T13:48:06.341+02:00 Challenge Manga Suki : Avril Partie I<div style="text-align: justify;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0AjkWEbc1ue7ASG05NZ8Wy8v3i0Rmc7NagWW7LhFfwKA_wV8YiVW2poIujjx29SRqzUaMmIQ5o7_KB4I8C_nQdjpuNqv22ul1cVMuzUo8h_zsoqyEvhzGSLRdpP8pq8Qew3eVc-jC6v6C/s1600/p10418.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0AjkWEbc1ue7ASG05NZ8Wy8v3i0Rmc7NagWW7LhFfwKA_wV8YiVW2poIujjx29SRqzUaMmIQ5o7_KB4I8C_nQdjpuNqv22ul1cVMuzUo8h_zsoqyEvhzGSLRdpP8pq8Qew3eVc-jC6v6C/s1600/p10418.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://manga-sukii.blogspot.fr/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">présentation du challenge</a></div>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
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<a name='more'></a>Pour cette quatrième édition de l'année, j'avais demandé à mes <strike>cobayes</strike> participants, de se pencher sur un <i>manga yonkoma</i> ou tout simplement quelque chose de drôle et c'est avec beaucoup d'enthousiasme qu'ils s'y sont penchés à travers des chroniques enthousiastes où l'on sent, pour la plupart, encore une trace d'éclat de rire...<br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
Merci comme toujours à Joan pour son aide, ainsi qu'à tous les participants pour leur textes pleins de vie !</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
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<i><span style="font-size: x-small;">offre également un voyage entre les pages de Animeland...</span></i></div>
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Mon premier souci avec le manga de <i>Hisaichi Ishii </i>est qu'il est périmé... Oui, passé de temps si vous préférez. Le lire aujourd'hui ne présente que peu d'intérêt. <b><span style="color: #e06666;">Ce sont des <i>yonkoma</i> quotidiens, ils sont basés sur l'actualité du jour</span></b> : on y parle d'élections, de JO, de matches de <i>baseball</i>, de sumo... Mais ce n'est pas tout, la transition des saisons est importante par exemple puisqu'on retrouve quelques blagues sur la météo du jour... Alors lire un 17 avril 2018 une histoire qu'on est censée lire un 2 décembre 1992 est tout sauf passionnant. Mais malgré tout je suis arrivé à passer outre cette caractéristique de l'œuvre pour bloquer sur un défaut encore plus important : les personnages sont imbuvables. Le père est le prototype du chef de famille à qui l'on doit tout, la mère est une femme au foyer qui ne pense qu'au repas du soir, le fils est un crétin fini... Il reste que la grand-mère qui est amusante cinq minutes pour son côté décalé et la petite chipie qui est rigolote. <b><span style="color: #e06666;">Le schéma familial appartient donc à un autre temps, plus proche des années 50 que des années 90</span></b>... Il aurait été drôle que ce soit parodié mais non, c'est juste à chaque sa place : maman fait les courses pendant que papa va jouer au golf avec les autres cadres. C'est ce qui rend les personnages détestables au final. J'aurais aimé m'attacher à eux mais c'est impossible : ils ne sont jamais présentés ni même approfondis. Les <i>yonkoma </i>ne se suivant pas, il n'y a pas de développement d'une scène à une autre.<b><span style="color: #e06666;"> Et puis très honnêtement, lire 200 gags sur la mère qui se demande ce qu'ils vont manger le soir, c'est marrant deux minutes</span></b>. Enfin non, même pas.</div>
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C'est<b><span style="color: #e06666;"> en définitive un manga qu'il aurait fallu lire au jour le jour</span></b>, dans le <i>Asahi Shimbun</i>, pour l'apprécier à sa juste valeur. Mais bon, la merveilleuse (toute) petite hôtesse du blog n'était sans doute pas de ce monde en 1991 pour proposer son challenge. Moi j'y étais madame, hé oui !</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
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<br /></div>
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<b><span style="color: #e06666;">Ce sont justement les idées préconçues de <i>Junghyun</i> qui vont provoquer de nombreux malentendus et passages humoristiques</span></b>. <i>Hom</i> va d’ailleurs en profiter pour se payer sa tête sans qu’il ne s’en aperçoive, du moins pas tout de suite. En fait, le comportement de son colocataire est des plus banals. Comme tout le monde, il a ses petites particularités, notamment un amour immodéré pour le miel ou des goûts vestimentaires surprenants. Rien ne justifie les angoisses de<i> Junghyun</i>, dont l’imagination tordue part très loin et prête souvent à rire. Cependant, elle est aussi le reflet de la société dans laquelle il vit. Ses camarades de fac semblent désolés pour lui lorsqu'ils apprennent que son colocataire est gay. Cette scène est même gênante, car elle montre que <i>Junghyun </i>n’est pas un cas exceptionnel. La plupart des gens qu’il côtoie acceptent mal l’homosexualité. </div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<u><b>L’appart 305</b></u> souligne ainsi à quel point il est facile de blesser ou de rejeter les gens qui nous paraissent différents, alors que l’on pense ne ressentir aucune haine envers eux. Cette prise de conscience prend du temps pour<i> Junghyun</i>, mais son attitude commence à changer dans la seconde moitié du volume. La rencontre avec les amis de <i>Hom</i>, un moment très drôle, ou les discussions sur leurs goûts lui montrent tout ce qu’ils ont en commun. Pourtant, il n’est pas si facile de nouer des liens et c’est au tour de <i>Hom</i> de rester sur la défensive.<b><span style="color: #e06666;"> Il est dommage que la série se soit arrêtée au bout d’un tome en France, car on aurait aimé connaître l’évolution de ces jeunes gens</span></b>. </div>
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<br /></div>
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</div>
<div style="text-align: justify;">
Publié à l’origine en<i> webtoon,</i> <u><b>L’appart 305</b></u> comprend 171 chapitres en Corée. Tout en couleurs, ce <i>manhwa</i> est dessiné dans un style <i>SD</i> qui convient très bien à son côté humoristique. Certaines expressions de <i>Junghyun</i> sont tordantes, comme lorsqu'il est paniqué à cause de son colocataire ou qu’un quiproquo le plonge dans une gêne monstrueuse. Les réactions brusques de<i> Hom</i> donnent aussi lieu à des scènes hilarantes, surtout quand elles se conjuguent à la maladresse notoire de<i> Junghyun</i>. Les décors sont souvent absents ou dessinés en quelques traits. L’action se concentre sur les expressions et les gestes des personnages, qui rendent ce titre très vivant.<br />
<br />
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Pour ma première apparition sur <i>Manga suki</i>, je n'ai pas beaucoup hésité quant au choix du manga. J'ai tout de suite sélectionné une de mes œuvres préférées, <u><b>Azumanga daioh</b></u> ! Cela ne vous dit rien ? Pourtant vous connaissez surement son auteur, même indirectement, car il s 'agit de <i>Kiyohiko Azuma</i>, l'auteur du très apprécié <u><b>Yotsuba&</b></u>.<br />
<b><span style="color: #e06666;"><br /></span></b>
<b><span style="color: #e06666;">Pour le pitch c'est très simple, on suit les péripéties de 6 jeunes filles durant leurs trois années de lycée</span></b>.<br />
<br />
Attaquons maintenant la partie importante l'article ! Même si j'avoue ne pas savoir par où commencer. Je me suis lancé directement dans le challenge quand j'ai vu que je pouvais parler de <i>Yonkoma</i>, mais il est vrai que j'éprouve quelques difficultés à parler de comédie sans être redondant, je vais donc essayer de faire au mieux !<br />
<br />
Comme dit plus haut, c'est l'une de mes œuvres préférées, mais pourquoi donc ? Je pense que ce qui me parle vraiment dans <u><b>Azumanga Daioh</b></u> (Et dans les œuvres de l'auteur en général) ce sont les personnages. Faisons le parallèle avec son travail le plus d'actualité, <u><b>Yotsuba&</b></u>. Dans ce dernier, le personnage de <i>Yotsuba</i> arrive à nous faire rire dans des moments normaux de la vie, juste grâce au réalisme du personnage, de l'enfance. La scène en soit n'est pas drôle, les personnages le sont, l'héroïne l'est. Cette écriture ressemble à n'importe quel enfant de son âge qu'on pourrait croiser, avec à peine une pointe de fantaisie en plus (Et croyez moi je m'y connais en enfant ! J'en ai plein dans ma cave *tousse*).<br />
<br />
Dans <u><b>Azumanga Daioh</b></u>, c'est pareil, <b><span style="color: #e06666;">chaque personnage possède une personnalité propre et attachante qui rend amusant le quotidien lambda</span></b>. Même si je conçois que c'est bien plus romancé dans ce dernier. J'aime particulièrement <i>Osaka </i>et son côté débile. (Je suis friand de personnages débiles.)<br />
<br />
Mais venons en maintenant au point important, ce que j'aime par dessus tout, c'est le format <i>Yonkoma</i>. J'aurai pu choisir bien d'autres mangas, <u><b>K-on!</b></u> par exemple, dont je suis fan, ou encore <u><b>Mes voisins les Yamada</b></u>. Mais mon choix s'est directement porté sur <u><b>Azumanga Daioh</b></u> car son humour me parle plus. L'auteur a cette capacité à nous faire rire du quotidien sans même forcer, juste, comme je l'ai dit, grâce aux personnages. Une autre chose que j'aime dans son style, c'est cette capacité à préparer le terrain pour des blagues, plusieurs chapitres, voir plusieurs tomes en avance, quelque chose que l'on trouve anodin dans une vanne va se retrouver être l'élément déclencheur quelques temps après.<br />
<br />
Bien entendu, comme n'importe quel autre manga il n'est pas exempt de défauts, et je pourrais en citer pour être tout à fait impartial mais vu que je ne le suis pas et que je suis de mauvaise foi je n'en citerais que deux qui ne sont pas en rapport avec l'oeuvre en elle même. De un, la traduction française n'est pas toujours fameuse, et de deux, c'est quasiment introuvable dans le commerce à l'heure actuelle. C'est à peu près tout !<br />
<br />
Pour finir, <u><b>Azumanga Daioh</b></u> est vraiment une oeuvre à découvrir si ce n'est pas déjà fait, et même si vous êtes pas fan des <i>Yonkoma</i>, cela vous permettra de comprendre certains clins d'œil dans <u><b>Yotsuba&</b></u> ! Ah et y'a le père de <i>Chiyo</i> donc ça vaut le coup.<br />
<br />
LE PÈRE DE CHIYO<br />
<br />
Sur ce ~<br />
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Comics</i>, <u><b>CITY</b></u> de <i>Keiichi Arawi</i> nous entraîne sur les talons de <i>Midori
Nagumo</i>, une étudiante fauchée qui nous fait découvrir son quartier au fil de
ses plans foireux pour raccrocher les deux bouts. En voyageant sur quelques
pâtés de maison seulement, on rencontre des personnages de tous âges et toutes professions
à travers l’énergique <i>Midori</i>, découvrant peu à peu la petite communauté.<o:p></o:p></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<i>Arawi</i> est un nom qui apparaît vite quand on parle de <i>gag
manga</i>, cet auteur s’étant déjà fait largement remarquer pour sa série <u><b>Nichijou</b></u>
<i>/ </i><u><b>My Ordinary Life</b></u> (qui a bénéficié d’une excellente adaptation par
<i>Kyoto Animation </i>en 2011 – un <i>must-see</i>, au passage). <b><span style="color: #e06666;">Après les aventure
lycéennes de <u>Nichijou</u>, <u>CITY</u> s’attaque au quotidien étudiant et à
la vie de quartier</span></b>.<o:p></o:p></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
Le style particulier d’<i>Arawi</i> et ses forces sont toujours
aussi reconnaissables.<b><span style="color: #e06666;"> L’auteur a un excellent sens du rythme et surtout, c’est
un as du découpage</span></b> ! Et pourtant il n’expérimente pas vraiment, les cases
sont régulières, simples, mais on y trouve beaucoup d’astuces visuelles :
un zoom à travers un judas, des paysages logés dans des onomatopées… Malgré la
régularité du style et de la mise en page, le manga a un rythme fou grâce aux
alternances entre planches chargées et cases presque vides. <o:p></o:p><br />
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
Comme c’est un <i>gag manga</i>, c’est-à-dire un manga
comique, léger, on en oublierait presque de s’attarder sur le fond. Mais
pourtant c’est une des plus fortes qualités de ce manga ! La kyrielle de
personnages est composée de clichés assez communs, mais avec lesquels l’auteur
joue habilement. Même si on reconnaît vite les archétypes, ils prennent vite
plusieurs dimensions : notre héroïne « énergique mais
inconsciente » s’avère être aussi attentionnée et déterminée, la mamie
grincheuse devient fière et rigoureuse, … <b><span style="color: #e06666;">Et si on peut percevoir autant de dimensions
dans un manga qui est avant tout un enchaînement de courtes scènes comiques,
c’est parce que c’est une histoire d’une grande tendresse</span></b>. <i>Arawi</i> sublime le
quotidien et en fait un manga d’aventures, et de fait les personnages, qui sont
simples et banaux, deviennent des héros colorés. Et ainsi, on s’attache à eux
très vite !<o:p></o:p></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
Donc finalement, l’auteur reprend sa recette en magnifiant
le quotidien, peut-être avec encore plus de maîtrise que sur <u><b>Nichijou</b></u>. Mais le
pendant de ceci, c’est que si on connaît l’auteur, ce n’est évidemment pas une
œuvre très innovante. Ici <i>Keiichi Arawi</i> affine son style, mais on reste dans le
même univers, les même visuels, le même type de blagues que dans <u><b>Nichijou</b></u>.
L’auteur reste dans ses habitudes, et donc il ne faut pas s’attendre à une
nouveauté complètement différente quand on connaît <u><b>Nichijou</b></u><i> </i>ou <u><b>Helvetica
Standard</b></u>.</div>
<br />
<div class="MsoNormal">
Cependant, si c’est un style que l’on apprécie, je pense
qu’on peut apprécier encore plus <b><u>CITY</u> </b>que <u><b>Nichijou</b></u> : si<i> Arawi</i> nous avait déjà prouvé sa maîtrise
du comique de situation, ici il travaille encore plus ses personnages, et le
rendu final est très tendre, en plus d’être très drôle. Finalement ce n’est pas
une œuvre qui sort du style particulier d’<i>Arawi</i>, mais ce n’est que sa troisième
série, et dans <u><b>CITY</b></u>,<i> </i>on sent une vraie évolution. Donc en
conclusion, <b><span style="color: #e06666;">un manga drôle et léger mais surtout d’une sensibilité inattendue.
Pour moi c’est un succès sur toute la ligne</span></b>.<o:p></o:p></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnnZhoXvj0zo-s5bjGew1lCEPV_oX9mrxFvYBUcX1xv-nGMEy2xxI75f8goBd0QkFm13kEQji68VA7Tm0L4TdpuTyAFgstV5O0KNURI2qbJfQgOsqTKOokOVeQYI5A7apuLPkVnUI653Vi/s1600/desperate-housecat-1-akata.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="318" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnnZhoXvj0zo-s5bjGew1lCEPV_oX9mrxFvYBUcX1xv-nGMEy2xxI75f8goBd0QkFm13kEQji68VA7Tm0L4TdpuTyAFgstV5O0KNURI2qbJfQgOsqTKOokOVeQYI5A7apuLPkVnUI653Vi/s200/desperate-housecat-1-akata.jpg" width="126" /></a>Friand du genre humour dans sa globalité, bien que quelque peu sélectif, je prend du plaisir à lire des œuvres qui me font rire. Et je vous le demande, connaissez-vous <i>Desperate Housewives</i> ? Parce que je ne parlerai pas de cette série, mais de <u><b>Desperate Housecat & Co.</b></u>, licencié chez <i>Akata</i>. Un manga en cours en France comme au Japon.<br />
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Sans mentir, c'est du 50/50. J'apprécie mais pas trop. Il y a des situations drôles, par exemple avec le duo belle-maman et belle-fille. Comme moins prenantes, comme avec <i>Pitchou,</i> le pigeon. Et entre les deux, avec le <i>Kappa</i> exhibitionniste.<b><span style="color: #e06666;"> Globalement, c'est un bon moyen pour rire et pour découvrir une auteure totalement inédite dans nos contrées</span></b>. À savoir,<i> ARAI Rie</i>.<br />
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Publié dans un magazine de prépublication pour jeunes filles, <i>Shôjo</i> selon le jargon. Forcément, graphiquement c'est dans un style vu et revu. <b><span style="color: #e06666;">Mais c'est là qu'est l'intérêt de ce joyeux bordel. Des dessins <i>shôjoesque</i> pour un résultat déjanté, le cocktail idéal pour nous divertir</span></b>. Autant avec <i>Deneuve</i>, une vieille chatte de gouttière, qu'avec des lycéens qui discutent et débattent de leurs <i>Waifu</i>.<br />
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En bref, bonne lecture mais pas indispensable. Et les couvertures mettent en avant <i>Deneuve</i>, pour les amoureux des chats.<br />
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Aujourd'hui je vous parle d'un manga comique. À la lecture des thèmes ce petit bijou s'imposait de lui même se révélant être mon dernier gros coup de cœur en terme de lecture manga. <i>Kaguya sama wa kokurasetai</i> de <i>Akasaka Aka</i>, traduit en anglais par <u><b>Kaguya sama : Love is War</b></u> et par chez nous par... Une absence d'édition. Oui, je m'en excuse mais, malheureusement l'oeuvre n'a pas encore franchi nos frontières à mon plus grand désespoir. Cependant en vu de son succès au Japon et de son arrivée récente en version anglaise, une lueur d'espoir scintille toujours au fond de mes yeux. Alors gardez un peu d'argent de côté et laissez moi vous inciter à l'acheter dans un futur que j'espère proche !</div>
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Si au premier abord la couverture vous rebute au point de se demander si je ne me suis pas trompée de catégorie, je suis toujours au bon endroit ! Après tout, c'est aussi ce que j'ai ressenti la première fois. Or, une force mystérieuse m'attirait à commencer ce manga et, à ce jour je ne regrette rien ! <i>Kaguya </i>et <i>Miyuki</i> sont tous les deux des élèves brillants dans une des écoles les plus prestigieuses du Japon. En plus d'être à la tête du classement, ils occupent les fonctions de Vice-présidente et Président au bureau du conseil des élèves. Lieu parfait à l'abri des autres, on pourrait croire à l'endroit idéal pour une déclaration d'amour... La réalité est tout autre ! Bien que leurs sentiments soient réciproques, leur vision de l'amour l'est tout autant. "Le premier à tomber amoureux est considéré comme le <i>looser</i> du couple !" <b><span style="color: #e06666;">Les deux protagonistes se lance alors une guerre sans fin à l'aide de stratagèmes de plus en plus vicieux afin de recevoir une déclaration d'amour de l'autre</span></b>.</div>
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Il serait peut-être exagéré de dire que tous les chapitres m'ont fait rire, cependant c'est bel et bien le cas. TOUS les chapitres. Il arrive que dans certaines œuvres certaines situations se prêtent au comique, mais qu'une oeuvre en son intégralité me fasse autant rire, le cas est plus rare ! (Je tiens à signaler que je suis relativement bon public). L'un des premiers effet de comique réside dans la narration des chapitres. En effet, un chapitre va représenter pour une majorité de l'oeuvre une courte histoire, une courte tentative. Une blague qui s'éternise trop finira souvent par s’essouffler. Le chapitre se terminera par une victoire ou une défaite en fonction du programme des personnages centraux. Actuellement plus de cent chapitres sont sortis pour l'oeuvre originale, ce qui représente dix tomes. Et dix tomes pour une déclaration, il est probable d'imaginer une répétition dans les gags et trouver un aspect lassant au manga. Pourtant non, <span style="color: #e06666;"><b>l'oeuvre réussie toujours à se renouveler</b> </span>et pas seulement avec l'apparition de nouveaux personnages ou avec des<i> running gags</i>. Non, dans cette guerre psychologique l'apprentissage de l'un et de l'autre nous rapproche aussi bien en tant que lecteurs avec les personnages, que les personnages entre eux.</div>
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Ce n'est pas nouveau de voir dans beaucoup de mangas ou animés de type <i>shojo</i> à tendance romantique, le personnage féminin s'enticher rapidement d'un garçon pour une raison "héroïque". Et à force de rester avec, les sentiments vont se développer et se transformer en véritable amour. Dans <u><b>Kaguya Sama</b></u>, les deux personnages rêvent d'en apprendre plus l'un sur l'autre, or il ne franchisse jamais le pas et c'est par l'action des autres qu'ils se découvre plus et font grandir leur amour. Ce que j'apprécie tout autant, c'est cet aspect de guerre psychologique. On passe une majorité du manga à lire les pensées des personnages et quoi de mieux que des pensées pour refléter ce que l'on ressent vraiment. Je fais clairement partie de ces personnes qui imagine mille scénario, le genre de fille à ruminer mille ans dans son lit avant de trouver le sommeil. Réfléchir à tant de choses qui au final se passeront d'une manière que notre cerveau n'avait pas imaginé... Ce qu'il y a de fort, c'est la présence de ce personnage omniprésent dans lequel je m'identifie à merveille, encore plus que <i>Kaguya</i> ou <i>Miyuki</i> : le narrateur. À de nombreuses reprises je me suis entendu dire son texte avant que celui-ci n'apparaisse sous mes yeux. Il est la, invisible de tous, il est le nous encourageant mais invisible, avec un peu plus de connaissance sur le fin mot de l'histoire.</div>
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<u><b>Kaguya Sama : Love is war</b></u> innove dans son genre et me parle bien plus qu'une romance niaise, je me reconnais dans cette attente constante de l'autre. Pour une déclaration, le faire soi-même serait la solution à bien des problèmes bien que cela demande un effort d'un des deux, une fois fait, c'est fait. Mais au fond, on affectionne aussi cette période post-déclaration, on a envie que ça ne s'arrête jamais ! Je pourrais clairement parler de ce manga pendant des heures pour convaincre une poignée de personnes à se pencher ne serait-ce que sur un chapitre. Ne vous arrêtez pas non plus au visuel, il est loin d'un <i>shojo </i>classique vu que ce n'en est pas un. Le trait est souvent brut mais, il reflète à merveille l'expression et l'humeur des protagonistes. Le noir est souvent plus présent pour représenter l'aspect diabolique de leurs arrières-pensées. Cette oeuvre c'est un autre aspect de l'héroïne qui rêve de son prince, c'est moins glamour mais tellement plus parlant à mes yeux. Je recommande encore de tout mon cœur de garder ce titre et ce visuel en tête dans le cas d'une éventuelle édition !</div>
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Alors pourquoi vous proposer de découvrir <u><b>Kid I Luck !</b></u> dans le thème gag manga du mois d’avril ? Car plus qu’une histoire humoristique, il s’agit d’un manga qui va parler d’humour. Vous saisissez la différence ? Vous allez vite comprendre !</div>
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<i>Kinjiro </i>et son amie d’enfance <i>Kuriko</i> n’ont pas beaucoup en commun. Elle est la douceur incarnée et une fan de comiques, tandis que lui est un grand bagarreur, terreur du lycée, qui fonce dans le tas sans trop réfléchir, et surtout dépourvu de sens de l’humour. Tout bascule le jour où <i>Kuriko</i> se fait agresser en rentrant du lycée, suite à quoi la jeune fille traumatisée reste prostrée chez elle, n’osant plus sortir de sa chambre et n’adresse plus la parole à qui que ce soit… <i>Kinjiro</i> est alors rongé par la culpabilité : il n’a pas été là pour son amie, encore pris dans une de ses innombrables bagarres. C<b><span style="color: #e06666;">’est lorsque lui aussi est au fond du gouffre qu’une idée lui vient pour redonner le sourire à <i>Kuriko</i> : la faire rire comme le faisaient les comiques qu’elle aimait tant</span></b> ! Mais cela sera loin d’être facile pour notre héros au sens de l’humour inexistant…</div>
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C’est sur ce postulat de départ pas très joyeux que nous allons suivre <i>Kinjiro</i> tout au long de l’histoire, dans sa quête pour redonner le sourire à <i>Kuriko</i>. Beaucoup de thèmes sont abordés dans ce manga, la dépression, le repli sur soi, le dépassement de soi, l’humour, et c’est sur ce dernier que je vais me concentrer.<br />
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Être drôle n’est a priori pas donné à tout le monde, en tout cas pas à <i>Kinjiro</i> qui ne comprend rien à l’humour, dont les tentatives de blagues vont tomber à plat les unes à la suite des autres auprès de ces amis. Mais il n’est du genre à abandonner si facilement, et va chercher par tous les moyens à comprendre comment devenir drôle en cherchant des personnes qui seront capables de l’aider. <i>Kinjiro</i> va se montrer très touchant grâce à sa détermination sans faille et sa persévérance, alors qu’autour de lui, nombreux sont ceux lui disant d’abandonner. Envers et contre tout, et même si on se moque de lui, il est prêt à faire des sacrifices pour aider <i>Kuriko</i>. C’est principalement lui qui sera mis en avant dans l’œuvre, la jeune fille restant en trame de fond, comme pour rappeler au lecteur les raisons qui motivent le héros à percer dans l’humour. </div>
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Les fameux comiques dont <i>Kinjiro</i> va s’inspirer pratiquent<b><span style="color: #e06666;"> un humour très japonais, rempli de jeu de mots et de blagues absurdes</span></b>. Pas toujours le type d’humour auquel nous occidentaux sommes habitués, et certaines blagues ne font pas leur effet ce qui peut laisser une petite déception, car tous les personnages ont ri et pas nous ! Peut-être est-ce dû à la difficulté à traduire certains jeux de mots dans notre langue ?<br />
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Toutefois, ce qui vous fera le plus sourire seront certainement les tentatives de vannes de <i>Kinjiro</i>, qui sort des <i>punchlines</i> avec aplomb alors qu’elles n’ont rien de comique ! Et c’est la toute la force du manga à mes yeux, <b><span style="color: #e06666;">le caractère de son personnage principal qui fait que l’on s’attache à lui et qu’on d’identifie à ses échecs et ses réussites</span></b>.<br />
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Les graphismes contribuent énormément à poser la personnalité de <i>Kinjiro</i>. Malgré le ton pas toujours léger, les dessins sont résolument très « <i>shonen</i> » et apportent un dynamisme à l’œuvre qui va se dérouler sans temps mort, à l’instar des blagues du héros. <b><span style="color: #e06666;">Le point fort incontestable reste les expressions des visages, tellement parlantes qu’elles peuvent se passer de texte</span></b>. Grâce à cela, le tout est très rythmé et le lecteur est rapidement happé par l’histoire.</div>
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Ne passez pas à côté de ce manga atypique, terminé en 3 tomes, qui saura je l’espère vous faire rire et peut-être parfois vous faire verser une petite larme.<br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8iHC4hHoQJASs3VHcLIyLyc3IyV-BzOCXexKBj021M0OG1c9iF8eyDaID2tBZOxugmxlzAY2a9LjY8iFc79E7GrwxSpth1aD9tDPZFnLxox1jHAg6mpjKabYPcCsFyoEZ00HTKYRpXuqb/s1600/6944a68dbf366a8bccf536cbbb48f290.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1205" data-original-width="1280" height="376" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8iHC4hHoQJASs3VHcLIyLyc3IyV-BzOCXexKBj021M0OG1c9iF8eyDaID2tBZOxugmxlzAY2a9LjY8iFc79E7GrwxSpth1aD9tDPZFnLxox1jHAg6mpjKabYPcCsFyoEZ00HTKYRpXuqb/s400/6944a68dbf366a8bccf536cbbb48f290.jpg" width="400" /></a></div>
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On se retrouve lundi pour une autre fournée de textes bourrés d'humour !</div>
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-20549606570779470172018-05-07T14:20:00.002+02:002018-05-16T15:10:55.925+02:00Top 5 - Janvier à Avril 2018<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8FL-pcFJ_hGQSxjhVK9vYubzTkWp_Sq7Y-T8Hk3Pr44LHIL1Uz-seb8UwOQbSos20unsuSBirYa68w2xKniTx7JwM8g_8AnVU4MThMmDV2Q18eVSSX6YC8y7fpCMeliaBqPcbMaG2qc35/s1600/T1-318.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj8FL-pcFJ_hGQSxjhVK9vYubzTkWp_Sq7Y-T8Hk3Pr44LHIL1Uz-seb8UwOQbSos20unsuSBirYa68w2xKniTx7JwM8g_8AnVU4MThMmDV2Q18eVSSX6YC8y7fpCMeliaBqPcbMaG2qc35/s1600/T1-318.jpg" /></a></div>
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Pratiquement un an après mon dernier top cinq, c'est à la suite d'une absence que je ne saurai pas moi-même expliquer (si ce n'est l'habituel manque de temps causé par mon pire ennemi, le travail), que naît un top cinq du premier quart de l'année. Il est surtout chargé de belles découvertes en matière de lectures, qui auront eu un goût de variété particulièrement exquis sur mon palais. </div>
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<a name='more'></a><br />
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<b><span style="color: #3d85c6; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: x-large;">JANVIER 2018</span></b><br />
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5ème position : </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjG9-eLkMP5pYNahppVRwBnf_rgnU9ldBd4ToQX6cZawTmOrLq7NyuTCfzB48wATmMFSpBKbIYa_M-JRtEe4bfLaM9vZ8Ux9-sEPN4eDDeaUk36T6PIABBmA0bd2WsWgnZPsme5M2quIDlb/s1600/50118.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjG9-eLkMP5pYNahppVRwBnf_rgnU9ldBd4ToQX6cZawTmOrLq7NyuTCfzB48wATmMFSpBKbIYa_M-JRtEe4bfLaM9vZ8Ux9-sEPN4eDDeaUk36T6PIABBmA0bd2WsWgnZPsme5M2quIDlb/s1600/50118.jpg" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="color: #6fa8dc; font-size: large;"><i><b>CENTAURES</b></i></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Je n'attendais pour ainsi dire rien de <u style="font-weight: bold;">Centaures</u>, si ce n'est que je nourrissais à son égard une très grande curiosité. C'est si rare dans un <i>manga</i> (et même autres médias) de voir des créatures de la sorte poser en couverture que cela attire forcément l’œil. Mais le <i>manga</i> de <i>Sumiyoshi</i> a plus encore à proposer que son originale figure de héros. C'est une grande valse de genre, mouvementée, tragique et même curieusement rigolote. On s'attache rapidement aux personnages. A tester !</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
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<i>manga seinen de Ryo Sumiyoshi, en cours de publication. Deux tomes parus aux éditions Glénat (7€60). <a href="http://manga-sukii.blogspot.fr/2018/03/lectures-18-les-nouveautes-de-janvier.html">Critique complète</a>. </i></div>
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<br /></div>
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4ème position : </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBvuK547Q0jcqo_ChFeLtKQweC-Mmc3j-nB0afSsai_YHJNEkTPUmWnj7lA3M87puiSErMOa_Tv9tWZ0zHrPW-JV2KEDbX3WZ0m1GvCUJmuld_kc46twP9SsK36i4WFQssLPulsueVxfIS/s1600/40118.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBvuK547Q0jcqo_ChFeLtKQweC-Mmc3j-nB0afSsai_YHJNEkTPUmWnj7lA3M87puiSErMOa_Tv9tWZ0zHrPW-JV2KEDbX3WZ0m1GvCUJmuld_kc46twP9SsK36i4WFQssLPulsueVxfIS/s1600/40118.jpg" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="color: #6fa8dc; font-size: large;"><b><i>SI TU TENDS L'OREILLE</i></b></span></div>
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<br /></div>
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Unique oeuvre d'un réalisateur malheureusement méconnu, <u style="font-weight: bold;">Si tu tends l'oreille</u> est un <i>Ghibli</i> loin du voyage que nous proposaient des œuvres telles que <u style="font-weight: bold;">Le voyage de Chihiro</u>, mais il possède sa propre magie, bien ancrée dans le réel. C'est une ode aux rêves d'enfance et au courage que nécessite leur accomplissement. J'ai été très investie dans ce long métrage, sans compter que les aventures de la petite héroïne étaient comme un miroir pour moi. Le couple est adorable; voici un film qui mériterait bien plus que ce qu'on lui donne.</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<i>long métrage du studio Ghibli (1995), réalisé par Yoshifumi Kondo. Distribué en France par Disney. </i></div>
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<i><br /></i></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
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3ème position : </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9xKNy2Z_my3Y_o64QdlFoXi3fpCrO3hqY83CaLod1i92poSGsGSQ-Ci4KoJafZbCHWb15-YogilmoVm2GQpTp3K-pd4Sip3qSbL6N6cZb9IEs5guogUGIgkc93dxGldXnDjNmJ252NCD6/s1600/30118.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9xKNy2Z_my3Y_o64QdlFoXi3fpCrO3hqY83CaLod1i92poSGsGSQ-Ci4KoJafZbCHWb15-YogilmoVm2GQpTp3K-pd4Sip3qSbL6N6cZb9IEs5guogUGIgkc93dxGldXnDjNmJ252NCD6/s1600/30118.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<i><b><span style="color: #6fa8dc; font-size: large;">HOTARUBI NO MORI E</span></b></i></div>
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<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
Si vous avez le beau temps, l'amour des balades et les cigales qui résonnent à vos oreilles, il vous manque une chose pour passer un début d'été parfait : <u style="font-weight: bold;">Hotarubi no Mori e</u>. Oeuvre issue de l'imagination de l'incroyable <i>Yuki Midorikawa</i> (<u style="font-weight: bold;">Le pacte des Yokai</u>), cette fable poétique m'a fait passer par beaucoup d'émotions, surtout fait verser des larmes, tant cette histoire d'amour au creux de l'été est douce. Un chef d'oeuvre qui repose sur les sens, la nostalgie et la beauté. </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<i>moyen métrage du studio Bain's Base (2011), réalisé par Takahiro Omori sur une idée originale de Yuki Midorikawa. Inédit en France.</i></div>
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<i><br /></i></div>
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2ème position : </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilrpeSwMK7ipHabBrpaWdW8Eb9_fOtrdictxxG5LNHVXcnzagJqqF2KshF_IlZQnivFdXz71OjU3juxD3U3Jfpda3-7iGB_H60ShNICIL7CrI9DeblMfMf2xIEa7SH9JBpSp7cS1hHgJEn/s1600/20118.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilrpeSwMK7ipHabBrpaWdW8Eb9_fOtrdictxxG5LNHVXcnzagJqqF2KshF_IlZQnivFdXz71OjU3juxD3U3Jfpda3-7iGB_H60ShNICIL7CrI9DeblMfMf2xIEa7SH9JBpSp7cS1hHgJEn/s1600/20118.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="color: #6fa8dc; font-size: large;"><i><b>APRÈS LA PLUIE - TOME 4</b></i></span></div>
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<i><br /></i></div>
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Une fois n'est pas coutume, il fallait que ce nouvel opus du saisissant <u style="font-weight: bold;">Après la pluie</u> figure dans ce top. Rien que pour ses premières pages, je ne pouvais l'éviter. Je continue à découvrir <i>Akira</i> avec un œil toujours attendri, le cœur bien gonflé d'amour pour ces personnages. On se concentre ici sur sa relation devenue floue, dû à un grand coup d'effaceur, avec son amie <i>Haruka</i>. Encore une fois, on ne referme pas le volume sans avoir la tête remplie de scènes magnifiques, aidées par un découpage de plus en plus ingénieux. </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<i>manga seinen de Jun Mayuzuki, en cours de publication. Cinq tomes parus aux éditions Kana (7€45). Tome six à paraître le 06 juillet 2018.</i></div>
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<i><br /></i></div>
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1ère position : </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIT3Ia1GUrlEaEDsWIDY8oOFloz5pOyuwOrTrhrvoE_cpammpkggVqFsk1SmU0SlJ8kvRjurTGy1eT6yhciKCijn0FGXOxcF2GnzA0X755IjS9LcPKu3DD-VM8A9J0Z7Ihub0dEtj00AMK/s1600/01018.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIT3Ia1GUrlEaEDsWIDY8oOFloz5pOyuwOrTrhrvoE_cpammpkggVqFsk1SmU0SlJ8kvRjurTGy1eT6yhciKCijn0FGXOxcF2GnzA0X755IjS9LcPKu3DD-VM8A9J0Z7Ihub0dEtj00AMK/s1600/01018.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="color: #3d85c6; font-size: large;"><i>PARADISE KISS</i></span></div>
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<br /></div>
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Avant <u style="font-weight: bold;">Nana</u>, il y avait <i>Yukari, George </i>et toute sa clique de farfelus rêvant au grand jour de podiums et de paillettes. Etant particulièrement attirée par ce milieu, <u style="font-weight: bold;">Paradise Kiss</u> est certainement mon oeuvre de <i>Ai Yazawa</i> favorite, sans compter que l'évolution des personnages y est traitée avec réalisme et maturité. Un pas dans la vie active, la vie d'adulte et surtout dans un début d'estime de soi, ce sera le parcours de <i>Yukari</i>, durant cinq volumes passionnés et sensuels, portés par un <i>George</i> fantastique et fascinant. </div>
<br />
<div class="" style="clear: both; text-align: justify;">
<i>manga shôjo de Ai Yazawa, terminé en cinq volumes. Publié aux éditions Kana (7€45 le tome ou 19€00 l'édition intégrale). </i><a href="http://manga-sukii.blogspot.fr/2018/02/challenge-manga-suki-janvier-partie-iii.html">Critique plus complète</a></div>
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<i><br /></i></div>
<div class="" style="clear: both; text-align: justify;">
<i><br /></i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrx0iFDyqsWIh0M-DGWBEWFvURyPJMAeJb8ZoN1f3KU5sN4ekQAHloigCd0uM1lLMziTqLGNaGHCvgR13nsH1ibtmGjjIfk13cVcIDPcIHbNg1HpTAgqtcUjfxx50DjA1o_ccXC1VIsIUB/s1600/top0118.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="395" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhrx0iFDyqsWIh0M-DGWBEWFvURyPJMAeJb8ZoN1f3KU5sN4ekQAHloigCd0uM1lLMziTqLGNaGHCvgR13nsH1ibtmGjjIfk13cVcIDPcIHbNg1HpTAgqtcUjfxx50DjA1o_ccXC1VIsIUB/s1600/top0118.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
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Un début d'année riche en découvertes. Avec le lancement de mon <a href="http://manga-sukii.blogspot.fr/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">challenge interblog</a>, je me suis mise en tête toute une liste de séries à commencer cette année.</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="color: #f1c232; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: x-large;"><b>FÉVRIER 2018</b></span></div>
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<div style="text-align: center;">
<br /></div>
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5ème position :</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg95-jVMzhkIH3Ydt5umg3aa-2HQCCoY2hZwxIFbMAjN1IoDZIKgxE9flGAaRFDr318wo4uAbR3xy6pElqokcsZQmLmcBpL8TT0FUxWRcuHu0pRbNQ2wL0HWF3lyDjDNklxCOrhkA9D2rLQ/s1600/050218.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg95-jVMzhkIH3Ydt5umg3aa-2HQCCoY2hZwxIFbMAjN1IoDZIKgxE9flGAaRFDr318wo4uAbR3xy6pElqokcsZQmLmcBpL8TT0FUxWRcuHu0pRbNQ2wL0HWF3lyDjDNklxCOrhkA9D2rLQ/s1600/050218.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<i><b><span style="color: #f1c232; font-size: large;">MEI LANFANG - TOME 03</span></b></i></div>
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<i><br /></i></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
Après avoir traité de la rivalité enfantine entre <i>Mei Lanfang</i> et son ancien ami <i>Huixin</i>, ce tome se concentre sur l'évolution de la carrière de <i>Mei</i>. Certes, on suit de façon extrêmement condensée sa réussite, mais cela reste incroyablement plaisant de suivre toutes ces évolutions, allant des mœurs, des spectateurs, de la société aux inévitables changements que doit opérer l'Opéra de Pékin pour survivre. On fait alors la connaissance d'une des premières femmes actrices et c'est : beau. Bien que naïf dans son traitement, <u style="font-weight: bold;">Mei Lanfang</u> reste une lecture de toute beauté et passionnante pour un temps soit peu que l'on s'intéresse à un autre pan de la culture chinoise. </div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<i><br /></i></div>
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<i>manhua de Yin Ling, en cours de publication. Cinq tomes parus aux éditions Urban China (15€00). </i></div>
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<br /></div>
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<br /></div>
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4ème postion : </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgj4g6Gegh49IclP5PEg4Kzq5xsWIqLhU4RefmLbSrtq6aQxEQOfGRTXKzrU2cmUlbO-kUZ1bf8Ji5XZ2vnr40nj8i9wsqQ46fzkOt9nxWmy_iff6fFHxaYDwPgsBwY-wIWltkHnrZjgBUT/s1600/040218.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgj4g6Gegh49IclP5PEg4Kzq5xsWIqLhU4RefmLbSrtq6aQxEQOfGRTXKzrU2cmUlbO-kUZ1bf8Ji5XZ2vnr40nj8i9wsqQ46fzkOt9nxWmy_iff6fFHxaYDwPgsBwY-wIWltkHnrZjgBUT/s1600/040218.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<i><b><span style="color: #f1c232; font-size: large;">ÉPOUSES ET CONCUBINES</span></b></i></div>
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<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
A l'occasion du nouvel an chinois, j'avais envie de voir davantage de films de cette nationalité et c'est tout naturellement que j'ai jeté mon dévolu sur celui-ci, que je gardais sous le coude depuis longtemps. Si l'œuvre est difficilement recommandable de par sa fascinante absence d'action (élément magistralement utilisé pour nous faire ressentir l'ennui quotidien des héroïnes), elle reste une critique acerbe de la société chinoise et du sort qu'elle réservait aux femmes. Huit clos angoissant et passionnant, porté par des actrices sublimes et de magnifiques images. J'ai beau l'avoir adoré, je ne sais pas si je reverrais un jour <u style="font-weight: bold;">Epouses et concubines</u>, tant c'est une claque marquante. </div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<i>long métrage de Zhang Yimou (1991) avec Gong Li, Caifei He... </i></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<br /></div>
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3ème position : </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFxqMl-2a6ULbtcBC-OHlvA-nRn_4VvIY5hT4HtanT2Ii6kYKsNoxwglmLk677PZ3wpyQvjWCAkNAloJHQSfUQ2rAV3akbK9z8BQnRqOnt8sJnuqdsavy1GbaAbEWj5LHq2iQRWclF5eWt/s1600/030218.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFxqMl-2a6ULbtcBC-OHlvA-nRn_4VvIY5hT4HtanT2Ii6kYKsNoxwglmLk677PZ3wpyQvjWCAkNAloJHQSfUQ2rAV3akbK9z8BQnRqOnt8sJnuqdsavy1GbaAbEWj5LHq2iQRWclF5eWt/s1600/030218.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<i><b><span style="color: #f1c232; font-size: large;">BECAUSE THIS IS MY FIRST LIFE</span></b></i></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
Voici un <i>drama</i> à la fois atypique et incroyablement classique; un faux contrat de mariage, une romance qui s'installe doucement et douloureusement... Mais qu'importe, <i>tvN</i> fait les choses bien et profite de ce cliché scénaristique intemporel pour surtout parler de la pression de la société sur la femme trentenaire, du mariage, de la discrimination au travail.. Un <i>drama</i> féministe, mais pas que, puisque c'est aussi un vrai <i>feel good</i> très rigolo qui nous permet de suivre trois couples bien différents les uns des autres. J'ai adoré suivre ce tranche de vie aux personnages attachants, mais surtout identifiables. </div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<i>drama de 16 épisodes diffusé en 2017 sur la chaîne tvN. Disponible sur Viki. </i></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<i><br /></i></div>
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2ème position : </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEglFW4wCZrqZ5V2fnyHl5jer6Q5muVoJKVuq477mwLlhS3tdNBgrlcQKBO4PJsVVClsbhQyjCiGY7PYRxFYvpN4CCtRovrBiKSWUXcnprxMVpvsfhQrLV3znaf7-6rH6oLAXInKk_9VVwyy/s1600/020218.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEglFW4wCZrqZ5V2fnyHl5jer6Q5muVoJKVuq477mwLlhS3tdNBgrlcQKBO4PJsVVClsbhQyjCiGY7PYRxFYvpN4CCtRovrBiKSWUXcnprxMVpvsfhQrLV3znaf7-6rH6oLAXInKk_9VVwyy/s1600/020218.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="color: #f1c232; font-size: large;"><i><b>ADIEU MA CONCUBINE</b></i></span></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
Magistral, sublime, enchanteur et dramatique, quel chef d'œuvre ! Je pèse mes mots. <u style="font-weight: bold;">Adieu ma concubine</u> est une œuvre dure, crue et cruelle sur l'art de l'Opéra de Pékin, dans laquelle un acteur épouse totalement sa pièce principale... Jusqu'à la folie. J'ai juste eu l'impression de me faire brutaliser autant que le héros tant le film percute, fait battre fort le cœur. Je n'arrive toujours pas bien à en parler; peut-être suis-je encore sous son emprise. Le film de <i>Chen Kaige</i> est une romance forte et irréelle, amour de l'art et des corps qui envoûte dans sa façon de présenter l'Art, avec des couleurs éclatantes et le spectacle dévorant toujours plus les interprètes, en quête de célébrité, sinon rien. <i>Dieiyi</i>, perdu entre son amour pour son ami et ses désirs, ébloui sous les traits d'un <i>Leslie Cheung</i> hallucinant. A faire découvrir aux mordus d'Histoire comme aux amateurs d'âmes torturées.</div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<i>long métrage de Chen Kaige (1993) avec Leslie Cheung, Zhang Fengyi, Gong Li ... </i></div>
<div class="separator" style="clear: both;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: center;">
1ère position :</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9Os8lIuWyb022_223jYZJkLytMrYhyphenhyphenqAALeM681SSHhJAXMF7DxtfEoSahbPj-bY0226mdpCJFUk5DsIpFm3l-ZJsbHOhETzpkcGqoMuK0cxWjtyHXIBZsj4TLQt5How5sgS5M_-t_ehR/s1600/010218.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9Os8lIuWyb022_223jYZJkLytMrYhyphenhyphenqAALeM681SSHhJAXMF7DxtfEoSahbPj-bY0226mdpCJFUk5DsIpFm3l-ZJsbHOhETzpkcGqoMuK0cxWjtyHXIBZsj4TLQt5How5sgS5M_-t_ehR/s1600/010218.jpg" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<i><b><span style="color: #f1c232; font-size: large;">ÉCLAT(S) D'ÂME - TOME 01</span></b></i></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Quand <i>Tasuku</i> se fait "<i>outer</i>" de la pire des manières par ses camarades de classe, avant même qu'il ne réalise lui même sa propre sexualité, il pense que le suicide est la seule option. Mais en faisant la rencontre d'une énigmatique femme et des membres de sa résidence associative, c'est une nouvelle porte qui s'ouvre à lui. <u style="font-weight: bold;">Eclat(s) d'âme</u> est premièrement vu comme une œuvre difficile qui met le doigt là où ça fait mal, et bien que ce soit la vérité, j'aimerais insister sur son caractère extrêmement positif et lumineux. Avec poésie, métaphores et planches coups de poing, l'auteur.ice nous montre l'étendue de son talent et nous propose de nous reposer sur un petit îlot de bienveillance tout en traitant habilement de la discrimination et de la dépression. Sublime et tout en images marquantes, <u style="font-weight: bold;">Eclat(s) d'âme</u> n'a surement pas fini d'émerveiller autant qu'il peut indigner sur les comportements homophobes. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<i>manga de Yuki Kamatani, en cours de publication. Un tome paru aux éditions Akata (7€95). Tome deux à paraître le 17 mai 2018. </i></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHwvecQMOF6Wm0kPVyDYEGlJaNgyQiOYkg0Od125UYM_zl4N2yYttg8xSsjsiPQHUzCGtO16NHYNkuv6t4xaq960rrUk87f9K14Hr-U4-Qh_bpotYf9Sfkoml_qGkw-YIF1lAb0NnNnBuE/s1600/top0218.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="395" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHwvecQMOF6Wm0kPVyDYEGlJaNgyQiOYkg0Od125UYM_zl4N2yYttg8xSsjsiPQHUzCGtO16NHYNkuv6t4xaq960rrUk87f9K14Hr-U4-Qh_bpotYf9Sfkoml_qGkw-YIF1lAb0NnNnBuE/s1600/top0218.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
Beaucoup de belles découvertes avec des acteurs talentueux que je continuerai à suivre dans le futur. Surtout, des lectures et visionnages qui font encore battre fort mon petit cœur aujourd'hui. Un mois bouleversant à plusieurs niveaux.</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<span style="color: #6aa84f; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: x-large;"><b>MARS</b></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
5ème position :</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEif6K8r-RJWcuEvy4ShJ0RSfZ17ulwWXSBZqglj0ucL9qTI7Yzu3UypNdjFcqQmFZqqu33Stw9J_iXzHxvmenDECn2ZW1XoAwZFmwNUhPVUrbgtAdoerOuGJK1R7IeaLDq32lRCnWK24D8c/s1600/050318.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEif6K8r-RJWcuEvy4ShJ0RSfZ17ulwWXSBZqglj0ucL9qTI7Yzu3UypNdjFcqQmFZqqu33Stw9J_iXzHxvmenDECn2ZW1XoAwZFmwNUhPVUrbgtAdoerOuGJK1R7IeaLDq32lRCnWK24D8c/s1600/050318.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<i><b><span style="color: #6aa84f; font-size: large;">A PLACE FURTHER THAN THE UNIVERSE</span></b></i></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
Il ne faut pas se fier aux apparences : sous ses apparences de mignonne comédie, <u style="font-weight: bold;">A place further than the universe</u> a beaucoup plus de cordes à son arc qu'il n'y parait. Alors, <i>c'est</i> une mignonne comédie, avec des héroïnes vraiment rafraîchissantes et toutes attachantes à leur façon. Mais c'est également une ode au voyage, à la réalisation des rêves, à l'amitié et comportant une émouvante touche sur la relation parent-enfant. J'ai été étonnée d'être si émerveillée par toutes ses bonnes valeurs et surtout, de pleurer à chaudes larmes devant cet anime que je croyais ne pas payer des mines. C'est une vraie petite perle remplie de jolis messages et de scènes donnant le sourire. </div>
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<br /></div>
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<i>anime du studio Madhouse (2018), réalisé par Ishizuka Atsuko. 13 épisodes d'environ 24 minutes. Disponible légalement sur Crunchyroll. <a href="https://nostroblogs.wordpress.com/2018/04/15/retour-sur-les-animes-de-lhiver-2018-une-saison-en-enfer/">Un retour un peu plus détaillé ici</a></i></div>
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<i><br /></i></div>
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<i><br /></i></div>
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4ème place : </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4yyodl3BCFjqyjPjh2jRBhtL1QOstqoFGE1QhEezMwbd0KZXzMHSzhlV56y9eUL4LK_DR-Kz7kGRa2s2dqOwpCFL0XT4F9d2wzSefzZIy7A1wZ6yHo3E6hGg-wy_GerNAyAYnl4PV-vrn/s1600/040318.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4yyodl3BCFjqyjPjh2jRBhtL1QOstqoFGE1QhEezMwbd0KZXzMHSzhlV56y9eUL4LK_DR-Kz7kGRa2s2dqOwpCFL0XT4F9d2wzSefzZIy7A1wZ6yHo3E6hGg-wy_GerNAyAYnl4PV-vrn/s1600/040318.jpg" /></a></div>
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<span style="color: #6aa84f; font-size: large;"><i><b>DEVILMAN : CRYBABY</b></i></span></div>
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<br /></div>
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Comme le studio nous le promettait avec ses teasers furieux, <u style="font-weight: bold;">Devilman : Crybaby</u> a bien été une bonne grosse claque visuelle, avec des traits qui se tordent, des expressions que le réalisme n'est pas en mesure d'arrêter.. Mais au delà de cela, la série propose bien d'autres éléments pour lui créer une identité propre, celle d'un <i>anime</i> déjà classique tant il est riche est percutant. Alignant <i>cliffhanger</i> sur révélations choc, l'oeuvre s'enfile comme du petit lait. Jouissif ! </div>
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<br /></div>
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<i>anime du studio Science Saru (2018), réalisé par Masaki Yuasa. 10 épisodes d'environ 24 minutes. Disponible légalement sur Netflix. </i><i><a href="https://nostroblogs.wordpress.com/2018/04/15/retour-sur-les-animes-de-lhiver-2018-une-saison-en-enfer/">Un retour un peu plus détaillé ici</a></i></div>
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<br /></div>
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3ème place : </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnC_Pp19AJl-xMW7HjC9Gmgc6z_b-tYs6yzoD9X1VXGVXTWnbuUgLjRLysWEvn08dj3ndcUlnwNobvx1Mj2BoH7V82igGkWzf_kdwFlg-rp7or149XanqwFt3U_8FKaoAsZYBloobJKVky/s1600/030318.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnC_Pp19AJl-xMW7HjC9Gmgc6z_b-tYs6yzoD9X1VXGVXTWnbuUgLjRLysWEvn08dj3ndcUlnwNobvx1Mj2BoH7V82igGkWzf_kdwFlg-rp7or149XanqwFt3U_8FKaoAsZYBloobJKVky/s1600/030318.jpg" /></a></div>
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<b><span style="color: #93c47d; font-size: large;"><i>FRUITS BASKET - TOMES 1 ET 2</i></span></b></div>
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<br /></div>
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Avec le grand retour de <u style="font-weight: bold;">Fruits Basket</u> dans nos librairies, je n'eu rapidement qu'une envie : renouer avec les héros torturés mais si adorables de <i>Natsuki Takaya</i>. Après avoir dévoré la version animée il y a de cela quelques années, j'ai été très heureuse de lire les tribulations de <i>Tohru </i>auprès de cette famille maudite. Ce fut comme si je découvrais cette histoire pour la première fois et je fus séduite par plein d'éléments : la tragédie si bien contrebalancée avec beaucoup d'humour, les personnalités excentriques des membres de la famille <i>Soma </i>et surtout ce positivisme à toute épreuve émis par l'incroyable <i>Tohru</i>, à qui on aimerait bien tous ressembler. </div>
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<br /></div>
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<i>manga de Natsuki Takaya, édition deluxe en cours de publication. Six tomes parus aux éditions Delcourt / Tonkam (12€50). Tomes sept et huit à paraître le 06 juin 2018. </i></div>
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<br /></div>
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<br /></div>
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2ème place :</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDeWci9NTXRQ_HraxtZQs5SKlv9Mo8AatFh5iEQQ6tmBZRf_vIVYX5vEN3PUF86d4eGEgYB-kC_Oo2vm_MvyoVP1zjOn-2GkpO6JK00Vi9npc1KfIA5lyeIqsuiv84LuAHNqb-xUjoUsk6/s1600/020318.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDeWci9NTXRQ_HraxtZQs5SKlv9Mo8AatFh5iEQQ6tmBZRf_vIVYX5vEN3PUF86d4eGEgYB-kC_Oo2vm_MvyoVP1zjOn-2GkpO6JK00Vi9npc1KfIA5lyeIqsuiv84LuAHNqb-xUjoUsk6/s1600/020318.jpg" /></a></div>
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<i><b><span style="color: #6aa84f; font-size: large;">LA ROSE DE VERSAILLES - TOME 01</span></b></i></div>
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<br /></div>
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Coup de cœur immédiat pour cette oeuvre majestueuse et tragique comme il faut, dont le champ de sujets est si vaste qu'il est impossible de s'ennuyer. Revisiter l'histoire par la plume de <i>Riyoko Ikeda</i> est un plaisir qui fait tourner les pages plus vite que la lumière ; ce qui n'empêche pas de prendre le temps nécessaire pour craquer sur Oscar, aujourd'hui encore un véritable modèle comportemental pour tous les sexes. A mon sens, le titre ne souffre même pas de son âge, malgré un graphisme que certains pourraient voir comme vieillot (moi, je suis complètement éblouie). Réellement un classique à lire.</div>
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<br /></div>
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<i>manga de Riyoko Ikeda, terminé en trois volumes. Publié aux éditions Kana (19€00 le tome). <a href="http://manga-sukii.blogspot.fr/2018/03/challenge-manga-suki-fevrier-partie-iii.html">Critique plus complète</a>. </i></div>
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<br /></div>
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1ère position :</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_YTs4FJoWAkIHx4UYz7wKccbvrR0e8i4LlcNomNHM08UP9cGcY6Pb18ZF9-aaRZRqJoT5y7SGpOm7jXWeCAxay46HEoV5vBZtbHkJ0fgjtsi5QvAeKBheQMRYJXzHUMN58ZcC1KL5eel8/s1600/010318.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_YTs4FJoWAkIHx4UYz7wKccbvrR0e8i4LlcNomNHM08UP9cGcY6Pb18ZF9-aaRZRqJoT5y7SGpOm7jXWeCAxay46HEoV5vBZtbHkJ0fgjtsi5QvAeKBheQMRYJXzHUMN58ZcC1KL5eel8/s1600/010318.jpg" /></a></div>
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<i><b><span style="color: #93c47d; font-size: large;">L'ATELIER DES SORCIERS - TOME 01</span></b></i></div>
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<br /></div>
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C'est beau, c'est enchanteur, c'est magique, c'est éblouissant, c'est drôle, c'est <u style="font-weight: bold;">L'atelier des sorciers</u> ! A vrai dire, je n'ai jamais eu de craintes quant à la qualité de ce titre, j'étais convaincue que cela serait un formidable voyage et ce le fut, avec bien plus d'originalité et de merveilleux que prévu. L'adorable <i>Coco</i> m'a fait sourire à <i>plein</i> de reprises dans ce <i>manga</i> qui a définitivement un petit quelque chose qui sonne "nouveau" et rafraîchissant. L'imagination et la passion de <i>Kamome Shirahama</i> y font beaucoup pour faire de ce premier tome de <u style="font-weight: bold;">L'atelier des sorciers</u> une vraie pépite. Cela faisait longtemps que je n'avais pas attendu avec tant d'impatience une suite de <i>manga</i> ! </div>
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<br /></div>
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<i>manga de Kamome Shirahama, en cours de publication. Publié aux éditions Pika (7€50). Tome deux à paraître le 6 juin 2018. </i></div>
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<i><br /></i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVesa7Ov1RV8zHETVBHTW8BTxpmyhTKrtbz3ThRVcNqI_naowp9xfiw6yYfLZyX4Q_wDoedymXpPLbQPwm-b3DgWe0LQ1L-Z6lnhpswgBX86bhnenMmW9JvcL3Xddg0KD2iG9WCWr6LlQH/s1600/top0318.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="395" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVesa7Ov1RV8zHETVBHTW8BTxpmyhTKrtbz3ThRVcNqI_naowp9xfiw6yYfLZyX4Q_wDoedymXpPLbQPwm-b3DgWe0LQ1L-Z6lnhpswgBX86bhnenMmW9JvcL3Xddg0KD2iG9WCWr6LlQH/s1600/top0318.jpg" /></a></div>
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<br /></div>
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Des nouvelles séries encore et toujours ! Surtout beaucoup de classiques et de classiques en devenir dans ce top. </div>
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<i><br /></i></div>
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<span style="color: #c27ba0; font-family: "verdana" , sans-serif; font-size: x-large;"><b>AVRIL</b></span></div>
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<br /></div>
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5ème position : </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqWJRe7R1IXuEHGKKf4WCV3jFGJ3f_0qT-PnQASCDOE57iu9fUje-qmQCSQUmxkUa94SK0azmKQgC_1myY6Rt73e8fnMLc5KX5t3spTekI4SaA0oDazNnR123qSRaE06m7wUdZ981LTR2P/s1600/040418.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqWJRe7R1IXuEHGKKf4WCV3jFGJ3f_0qT-PnQASCDOE57iu9fUje-qmQCSQUmxkUa94SK0azmKQgC_1myY6Rt73e8fnMLc5KX5t3spTekI4SaA0oDazNnR123qSRaE06m7wUdZ981LTR2P/s1600/040418.jpg" /></a></div>
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<i><b><span style="color: #c27ba0; font-size: large;">TWICE - WHAT IS LOVE</span></b></i></div>
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<br /></div>
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Bien que peu novatrice, la nouvelle chanson du groupe phare de la <i>JYP</i> parvient comme toujours à diffuser sa bonne humeur sans effort, et surtout à s'incruster dans nos esprits pour faire de nous des zombies hurlant à toute heure "<i>What is love ?</i>". Proche de "<i>Heart Shaker</i>", le titre vaut peut-être davantage pour son clip très collé à ses paroles, multipliant les références cinématographiques pour un très joli rendu esthétique. </div>
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<br /></div>
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<i>"What is love", chanson titre du mini album éponyme, sorti le 09 avril 2018 en Corée du Sud. Inédit en France.</i></div>
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4ème position :</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgWPZPEIN4_p60xwTaQJCj-UsH1Iq3_-2rKlL_AsE1HLHKJzklchKNPOR7pOaV9Bn2Va55egOJ-BXpYHGWH6Dc0ypgcWLAJmWHMk2UJrtiXnkitKlegVC2qRsmnqI9NIAhosCQhJv8E-oak/s1600/050418.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgWPZPEIN4_p60xwTaQJCj-UsH1Iq3_-2rKlL_AsE1HLHKJzklchKNPOR7pOaV9Bn2Va55egOJ-BXpYHGWH6Dc0ypgcWLAJmWHMk2UJrtiXnkitKlegVC2qRsmnqI9NIAhosCQhJv8E-oak/s1600/050418.jpg" /></a></div>
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<i><b><span style="color: #c27ba0; font-size: large;">THE PROMISED NERVERLAND - TOME 01</span></b></i></div>
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<br /></div>
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Depuis des mois, ce nouveau <i>hit shônen</i> ne fait parler que de lui sur les réseaux sociaux. Avec autant d'avis enthousiastes et de "<i>hype</i>" de la part de lecteurs passionnés, j'avoue que je m'attendais déjà à avoir une petite déception pour <u style="font-weight: bold;">The Promised Nerverland</u>. C'est donc avec curiosité mais sérénité que j'ai débuté le <i>manga</i>, et grand bien m'a fait, j'ai beaucoup appréciée ma lecture. Vrai <i>page turner</i>, le tome se dévore et nous courons de surprise en surprise aux côtés d'enfants qui n'ont d'autres choix que celui d'être ingénieux pour assurer leur survie. Point bonus non négligeable : l'antagoniste est extrêmement intriguant. Je suis très curieuse de lire la suite...</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
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<i>manga de Kaiu Shirai (scénario) et Demizu Posuka (dessin), en cours de publication. Publié aux éditions Kazé (6€79). Tome 02 à paraître le 27 juin 2018. </i></div>
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<br /></div>
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3ème position: </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiB7BQfCraCA2XAtr_DKVZjhAm5Wk9R62r1MltLeYlb7sqjYwIuI4HeCIJGsnEnHkwlQjMR1KJaqGxAy6vLYmb27NhRax8GTaO5ETEx6cohwGuTZJ5bNUtW6U1pWHGt_i4SQGOj1SnpwBA4/s1600/030418.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiB7BQfCraCA2XAtr_DKVZjhAm5Wk9R62r1MltLeYlb7sqjYwIuI4HeCIJGsnEnHkwlQjMR1KJaqGxAy6vLYmb27NhRax8GTaO5ETEx6cohwGuTZJ5bNUtW6U1pWHGt_i4SQGOj1SnpwBA4/s1600/030418.jpg" /></a></div>
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<i><b><span style="color: #c27ba0; font-size: large;">PRETTY NOONA WHO BUYS ME FOOD</span></b></i> <i><span style="color: #c27ba0;">(ep. 01 à 06)</span></i></div>
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<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
J'ai eu un tel coup de cœur pour le début de ce <i>drama</i>, que je n'ai pas su résister à la tentation d'écrire déjà à son sujet. Surement, cela est prématuré de le faire figurer en tant que voleur d'âme parmi ce top, mais il faut dire, pour ma défense, que c'est un condensé de tout ce que j'aime voir à l'écran. A travers une romance tendre et rigolote, c'est surtout le réalisme de <u style="font-weight: bold;">Pretty noona who buys me food</u> qui me séduit. C'est vraiment un <i>drama</i> dans lequel énormément de femmes peuvent se retrouver, malgré les différences culturelles entre nos pays. On y évoque le harcèlement sexuel, la pression du travail et du mariage qui doit obligatoirement figurer parmi les priorités des trentenaires. Pour autant, la série parvient à rester légère, grâce, en partie, à l'alchimie fabuleuse régnant entre <i>Son Ye Jin </i>et <i>Jung Hae In</i>. Une série d'un naturel troublant et très enthousiasmante. </div>
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<i>drama de 16 épisodes diffusé depuis mars 2018 sur la chaîne jtbc. Disponible sur Netflix.</i></div>
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<br /></div>
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2ème position : </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpJvNZh8Z-rFWfd0pmfkWGrzxMjm2kbwUr8m4doQZbQ7CItAQ09HVko9uukmuYqyr86nI37maN9f50TV8BTqNNFtBFMc1aX2rOZ1LNYmFpOnx3Iady510N-Irbzztv_vGAVzTdR05vBvlQ/s1600/020418.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpJvNZh8Z-rFWfd0pmfkWGrzxMjm2kbwUr8m4doQZbQ7CItAQ09HVko9uukmuYqyr86nI37maN9f50TV8BTqNNFtBFMc1aX2rOZ1LNYmFpOnx3Iady510N-Irbzztv_vGAVzTdR05vBvlQ/s1600/020418.jpg" /></a></div>
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<i><b><span style="color: #c27ba0; font-size: large;">VIOLET EVERGARDEN</span></b></i></div>
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<i><br /></i></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
Voyage pour trouver un nouveau sens à sa vie, voyage pour comprendre le monde qui nous entoure, puis pour comprendre ce que signifie ces mots, ce "je t'aime" perdu dans les cendres et emporté par le vent... L'anime <u style="font-weight: bold;">Violet Evergarden</u> est d'une poésie incroyable et peut se targuer d'être un des animes les plus émouvants de cette décennie. Magnifique ode à l'écriture et aux sentiments dans leurs plus beaux habits, nous parcourons avec<i> Violet </i>un pays dans l'après-guerre, où les émotions sont plus vives encore. Notre protagoniste envoûte et sa progression vers une forme d'humanité est si touchante... Un <i>anime</i> à voir et revoir, sous peine de se dessécher de larmes, mais bon, <u style="font-weight: bold;">Violet Evergarden</u> a bien plus encore à proposer que sa superbe animation. </div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<i>anime du studio Kyoto Animation (2018), réalisé par Taichi Ishidate. 13 épisodes d'environ 24 minutes. Disponible sur Netflix. </i></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<i><br /></i></div>
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1ère position :</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgwOGV2ISgsGQH9dJ7d02ZR3OUNCzsOhvnVDDoJCSMOQuf1MnjzL-cAepSrL3UOALqYs5O-KKL97NfCFYa2YFOv9sB1f6xcWjtS027caf3U1Y0alkw7UKHME3n8f69jZwwP5oOl8iAzK7xL/s1600/010418.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="144" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgwOGV2ISgsGQH9dJ7d02ZR3OUNCzsOhvnVDDoJCSMOQuf1MnjzL-cAepSrL3UOALqYs5O-KKL97NfCFYa2YFOv9sB1f6xcWjtS027caf3U1Y0alkw7UKHME3n8f69jZwwP5oOl8iAzK7xL/s1600/010418.jpg" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<i><b><span style="color: #a64d79; font-size: large;">LORSQUE NOUS VIVIONS ENSEMBLE - TOME 01 </span></b></i></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Oeuvre phare du maître <i>Kamimura</i>, <u style="font-weight: bold;">Lorsque nous vivions ensemble</u> ne laisse pas indemne, comme l'épine d'une rose que l'on ne peut s'empêcher de trouver sublime malgré tout. Avec Poésie et de subtiles métaphores, le <i>mangaka</i> nous décrit la relation passionnelle de deux jeunes souhaitant vivre leur amour sans contrainte, dans les années 70. Encore terriblement d'actualité, je me suis beaucoup reconnue dans ce titre profond, qui offre plusieurs niveaux de compréhension et laisse place à l'introspection. Ça, c'est rare, et c'est un plaisir divin qui s'apprécie, beaucoup. En attendant, l'Art du <i>mangaka</i> prend souvent le pas sur les mots, car nul besoin de tout expliquer; quand il s'agit d'amour, les choses se ressentent avant tout. Et si vous hésitez encore, je vous invite grandement à lire <a href="https://nostroblogs.wordpress.com/2015/05/03/analyse-graphique-de-loeuvre-de-kazuo-kamimura/">l'article</a> qui m'aura fait succomber... Je vous défie de ne pas vous jeter sur le titre par la suite ! </div>
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<i>manga de Kazuo Kamimura, terminé en 3 volumes. Publié aux éditions Kana (18€00 le tome). </i></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjt1VjXExZP0LM_3T1J9nRr-CxMVy2T2mcXaKxlA73CBgaoI6GHgDdiBIaPJ16nCQwuKbzUwOYnOGY1h13CMj10iMNr0jgYZwDFHAuFihdoWX3sYzonc74BuP8bj9-SYBiMzJ4reirWbv9Z/s1600/top0418.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="395" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjt1VjXExZP0LM_3T1J9nRr-CxMVy2T2mcXaKxlA73CBgaoI6GHgDdiBIaPJ16nCQwuKbzUwOYnOGY1h13CMj10iMNr0jgYZwDFHAuFihdoWX3sYzonc74BuP8bj9-SYBiMzJ4reirWbv9Z/s1600/top0418.jpg" /></a></div>
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Et vous, qu'avez-vous lu et visionné pendant ces quatre premiers mois de l'année ?</div>
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-86459127126930719382018-04-16T19:59:00.002+02:002018-04-16T19:59:07.816+02:00 Challenge Manga Suki : Mars Partie II<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhl4igRCkCm8LddQvPY9676EU_z5XWA3KdjTonB2yLubDod0UDAjA4aYHYVUyLtmurvCJcHSKjum6JzjTp7R7TATZJLgMffm40YUieWfTk8i9pbZd8OSNLi6GB6oxDkFyk2RhK_hub-zUxd/s1600/p20318.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhl4igRCkCm8LddQvPY9676EU_z5XWA3KdjTonB2yLubDod0UDAjA4aYHYVUyLtmurvCJcHSKjum6JzjTp7R7TATZJLgMffm40YUieWfTk8i9pbZd8OSNLi6GB6oxDkFyk2RhK_hub-zUxd/s1600/p20318.jpg" /></a></div>
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<a href="http://manga-sukii.blogspot.fr/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">présentation du challenge</a></div>
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< <a href="https://manga-sukii.blogspot.com/2018/04/challenge-manga-suki-mars-partie-i.html">partie précédente</a></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvAWUwI5Y8IaTC5p71ZlAeoHiXzHub0CNZo7q010VofpSASQ-ZxmCcNV4n2cJjNmR35EAGkahZQMtCcTbkDxH6aUSosotP_fz2d8ZhFdendoQTlVXRKMOf3r9YxpWdZGqG4evOwN8MlD8W/s1600/Minuscule+%2528Euphox%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvAWUwI5Y8IaTC5p71ZlAeoHiXzHub0CNZo7q010VofpSASQ-ZxmCcNV4n2cJjNmR35EAGkahZQMtCcTbkDxH6aUSosotP_fz2d8ZhFdendoQTlVXRKMOf3r9YxpWdZGqG4evOwN8MlD8W/s1600/Minuscule+%2528Euphox%2529.jpg" /></a></div>
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Car c’est là, tout le charme de cette œuvre, l’amitié qui lie nos deux compères,<i> Hakumei </i>et <i>Mikochi</i>, pas plus haute que trois pommes. Toutes les deux sont complémentaires et différentes à la fois. En effet, <i>Hakumei </i>est d’un naturel plutôt téméraire, irréfléchi et écervelé. Tandis que <i>Mikochi</i> quant à elle, est plutôt calme, avisée et prévoyante. Elles se complètent, remplissant les peurs de chacune par le courage et le bon sens de l’autre ! (Je pense que les « minuscules » sont des espèces hermaphrodites, donc veuillez m’excuser si je leur donne une nature féminine ! ) De plus, j’ai pu remarquer que <i>Mikochi</i> a un sens plutôt aisé pour les affaires, et gère surement le porte-monnaie, tandis que <i>Hakumei</i> est plutôt agile de ses doigts.<br />
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On suit leurs aventures, et leur débrouillardise au quotidien. <b><span style="color: #93c47d;">Chaque élément de la nature leur permet de construire, de manger, de se protéger, et nous embarquons dans un monde naturel, ou différentes espèces cohabitent</span></b>, et où nous observons un monde, à 9 centimètres de hauteurs ! Tous les composants sont mis à l’honneur dans différents chapitres. L’habitation de nos deux petits êtres se situe dans un tronc d’arbre. Et j’ai beaucoup aimé cette philosophie, se fondre dans la nature, vivre en harmonie avec les animaux, les végétaux, les plantations. Bien que les thématiques soient souvent bonnes enfants, certains points moins joviaux sont abordés, comme le fait de subvenir à ses besoins, et apporter une entrée d’argent dans le foyer. Et c’est pour cela que j’apprécie autant <u><b>Minuscule</b></u>. L’ambiance est enjouée, mais reste tout de même réaliste. </div>
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Pour terminer, parlons du coup de crayon de l’auteur. Celui-ci permet une immersion totale dans ce petit monde de la faune et la flore, chaque élément est très bien représenté, l’auteur apport beaucoup de détails, et ce sur tous les plans. Ainsi, j’ai passé plusieurs minutes à contempler les planches, tellement minutieuses et poétiques. Et puis cette échelle de grandeur est respectée. Entre les différents édifices ou autres être vivant, par rapport à nos deux protagonistes, qui rappelons-le ne mesurent que 9 centimètres. Même leur habitacle est très bien dessiné, apportant beaucoup de détails. </div>
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<span style="font-family: "times new roman";">Pour conclure, c’est</span><span style="font-family: "times new roman";"> </span><b style="font-family: "times new roman";"><span style="color: #93c47d;">une lecture idéale pour accueillir le printemps comme il se doit</span></b><span style="font-family: "times new roman";">. Suivre les aventures quotidiennes de nos petits êtres est reposant et très sympa. </span></div>
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<b><span style="color: #93c47d;">L'histoire suit <i>Ginko </i>au travers de ses voyages, de village en village, où il aidera les gens qu'ils croisent dans leurs soucis avec les<i> mushi</i>.</span></b> Car<i> Ginko</i> est un <i>mushishi</i>, c'est-à-dire un expert en <i>mushi</i>, ces créatures primitives, visibles par très peu d'êtres humains. Volontairement ou non, ils sont responsables de phénomènes surnaturels, parfois sans conséquences néfastes, parfois à l'inverse rapidement mortel. Et c'est dans ces cas précis qu'intervient notre <i>mushishi</i>.<br />
<br />
Il peut s'agir d'un marais mouvant, se dirigeant petit à petit vers l'océan, conduisant à sa mort. Sauf qu'il entraîne dans son sillage une jeune femme... D'une montagne où les<i> mushi</i> prolifèrent et les phénomènes anormaux se multiplient suite à la disparition de son gardien... Une jeune fille qui doit enfermer sur le papier les <i>mushi </i>qui habitent sa jambe pour espérer pouvoir remarcher un jour...</div>
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Les histoires sont indépendantes les unes des autres, mais un lien discret se tisse petit à petit, notamment via, les veines de lumière, une multitude d'infimes <i>mushi</i> qui coule sous terre, telle une rivière infinie, apportant la vie sur son chemin. On a aussi des personnages qui reviennent de temps en temps, comme <i>Adashino</i>, l'antiquaire que l'on rencontre à la fin du premier tome.<b><span style="color: #6aa84f;"> </span><span style="color: #93c47d;">Les histoires n'ont pas toujours de morale, ni de <i>happy ending</i>, mais toutes veulent nous rappeler que la Nature nous entoure et qu'il faut composer avec, sans toujours chercher à la dompter.</span><span style="color: #6aa84f;"> </span></b>Quoi qu'il arrive, la vie trouve toujours un chemin...</div>
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<br />
<i>Ichiko</i> vient d’emménager à <i>Komori </i>(Petite Forêt), un petit village de la campagne du Nord du Japon dont elle est originaire. <b><span style="color: #93c47d;">Après une rupture difficile, elle décide de quitter la ville et revient sur ses terres</span></b>. Si chaque chapitre semble cintré sur une recette, un aliment typique de la région que<i> Ichiko</i> redécouvre, c’est surtout<b><span style="color: #93c47d;"> une ode à la nature, une invitation à la contemplation, à la redécouverte de la nature et des présents qu’elle a nous offrir.</span></b> Parmi les plats qu’<i>Ichiko</i> se prépare, nombreux sont ceux préparé avec des herbes sauvages, ou en communauté avec les autres habitant du village. Loin de la vie frénétique des ville et de la <i>junk food</i>, c’est au rythme des saisons qu’il faut vivre à <i>Komori</i>.<br />
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<b><span style="color: #93c47d;">Avec ce manga, <i>Igarashi </i>nous donne envie de goûter la nature, de la sentir et de la ressentir à travers ses parfums et ses goûts</span></b>. De la respecter aussi car c’est elle qui dicte son rythme à<i> Ichiko</i>. Cela nous invite aussi à ralentir, à décrocher. A sortir dehors, regarder le ciel, observer les planter et laisser le temps filer.</div>
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Comme dans beaucoup de manga prônant un retour à la campagne, <i>Igarashi </i>met aussi en évidence un mode de vie différent, plus communautaire, plus solidaire que celui des citadins. A <i>Komori</i> les habitant s’entraident, préparent ensemble les <i>mochi</i>, le <i>miso</i> et tous ces plats qui demandent de longues préparations.</div>
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Et c’est avec beaucoup de poésie et un dessin délicat que <i>Igarashi </i>nous donne envie de vivre plus proche de la nature mais aussi de l’humain.</div>
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<br />
Mais au fait, comment une série parlant de l'espace peut-elle bien traiter d'écologie et d'environnement ? La réponse se trouve au dessus de vos têtes, et à l'heure où j'écris ces lignes c'est d'autant plus intéressant de s'y pencher puisque sur nos frimousses, dégringolent les restes d'une station spatiale chinoise de près de 9 tonnes.<br />
<br />
L'espace n'est nettoyé par personne et se trouve être un endroit de plus en plus pollué par des décennies d'explorations spatiales. Entre les lanceurs de fusées laissés à l'abandon dans le vide jusqu'aux vieux satellite hors-d'usage en passant par des débris infimes résultant de collision comme dans <i>Gravity</i> (où quand la réalité dépasse la fiction). Le vide sidéral est une véritable poubelle cosmique que l'ont continue de remplir année après année. Ce soucis est connu de longue date et désormais il y a des entreprises privés telle que <i>Space X </i>qui tentent d'éviter de rajouter encore plus de déchet en l'air en récupérant les morceaux des fusées pour les réutiliser ensuite.<br />
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Dès le début des années 2000, <u><b>Planètes</b></u> met en lumière ce problème d'un nouveau siècle qui a même fait l'objet récemment d'un Essai sur le sujet « Pollution Spatiale : L'état d'Urgence ». Visionnaire donc.<br />
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<b><span style="color: #93c47d;">L'histoire de <u>Planètes</u> se déroule en 2075 et nous suivons une bande d'éboueur de l'espace</span></b>. Un métier dangereux et sous-payé ô combien nécessaire, dont le but est de récupérer les débris laissé par l'homme tout le long de sa conquête des étoiles afin de rendre ses voyages plus sûr. Mais pourquoi les voyages de l'homme dans l'espace sont-ils si fréquent me direz-vous ? Hé bien car en bon gros capitaliste que nous sommes nous avons totalement détruit l'écosystème terrestre et exploité toutes ses ressources, nous forçant à quitter la planète bleu pour trouver de nouveau horizon et de nouveau moyen de subvenir à nos besoins en énergie. Et si vous pensez que ça n'est que de la science-fiction, vous rigolerez moins en sachant qu'on file à toute allure vers ce scénario et que personne ne semble prendre conscience d'à quel point cela est grave.<br />
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Le monde géopolitique de <u><b>Planète</b></u> se veut réaliste, aussi est-il aussi pourri que le nôtre. Car même si on nettoie l'espace, nous sommes en passe de faire les mêmes erreurs que sur Terre. Le vide spatial, finalement, il est comme le plancher des vaches, y'a des multinationales, des gouvernements, des intérêts privés qui rejouent le spectacle de la lutte des classes. Moralité c'est pas parce que t'es astronaute que t'es pas un ouvrier exploité à la solde du Capital. Pas d'échappatoire ni de rédemption pour un monde en perdition, l'être humain continuera encore et toujours d'être une créature toxique pour lui-même et son environnement. Gageons qu'une course à la conquête spatiale, où nous nous installerions sur la Lune ou Mars, n'y changerait absolument rien et c'est fort dommage.<br />
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Toutefois <b><span style="color: #93c47d;">dans <u>Planètes</u> ce sujet n'est qu'une toile de fond pour parler des hommes, de l'humanité et de leur rapport à l'espace</span></b>. Car l'espace n'est pas un lieu de plaisance, c'est un endroit dangereux, froid et isolé de tout, avec personne pour vous entendre crier.<br />
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Comment les héros gèrent leurs vies, leurs sentiments, leurs doutes et leurs rêves, qu'est-ce qui les pousse à affronter la mort à des milliers de kilomètre de chez eux, comment ne deviennent t-ils pas fou à force de combattre la solitude du vide sidéral. C'est ça ce dont parle réellement <u><b>Planètes</b></u>. De <i>Hachimaki </i>et son rêve d'aller conquérir Jupiter au point de s'aliéner au travail, détruisant sa vie et ses relations jusqu'à atteindre les bords de la folie, à <i>Yuri</i> et sa quête du deuil, cherchant à enfin avancer dans une vie détruite. Ils ont tous une raison qui les amène à côtoyer l'abysse, à partir loin de tout, de leur maison, de leur famille durant des mois voire des années.<br />
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<b><span style="color: #93c47d;">L'Espace en lui même devient un personnage à part entière capable du pire comme du meilleur</span></b>. Il est la personnification de la mort, de la solitude ou même d'un être divin veillant sur les personnages. Et pour cause L'Espace est peut-être le protagoniste que les héros côtoient le plus durant leur quotidien. Espace qui peut se révéler magique, mystique et poétique, leur donner l'espoir d'un futur plus beau, un avenir radieux comme le soleil.<br />
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Au rythme où nous allons, ce manga deviendra une œuvre d'anticipation. Évitons que ça arrive en prenant conscience de son message dès aujourd'hui.<br />
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Le sous-titre <i>Please Save My Earth </i>ne laisse aucun doute quant aux liens avec le challenge du mois : ici l’environnement est un thème majeur, mais attaqué sous plusieurs angles. D'abord <b><span style="color: #93c47d;">la nature elle-même constitue presque un personnage de ce manga</span></b>, à travers le don d’Alice qui nous permet d’entendre les répliques des fleurs et des arbres. Ensuite, la communauté de scientifiques ne se contente pas de surveiller la terre, mais elle la vénère, chacun des personnages s’emploie à étudier dans les détails ce qui leur apparaît comme un véritable paradis, dans le sens sacré du terme.<o:p></o:p></div>
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J’ai attrapé ce manga un peu au hasard, parce que le titre avait l’air de correspondre au thème, et me voilà donc avec <i>shojo</i>, datant d’une trentaine d’années qui plus est – autant dire que je suis à <i>des années lumières</i> de ma zone de confort. Et pourtant, quelle bonne surprise ! Je n’ai lu que le premier tome, mais je ne m’attendais pas à me laisser emporter si facilement, ni si intensément dans l’histoire d’Alice !<o:p></o:p></div>
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La première chose qui m’a marquée dans ce manga, c’est que l’histoire avance très vite : <i>chaque</i> chapitre contient au moins une action importante, et chaque personnage introduit est (quasiment) immédiatement utilisé dans l’histoire. Cela permet d’avancer très vite d’une part, et d’autre part de ne pas nous perdre malgré le rythme effréné : au lieu de devoir retenir les noms et visages au début et de devoir fouiller sa mémoire ensuite (ou revenir en arrière…), on peut les associer directement à une action, ce qui rend le récit très clair. Et c’est essentiel dans ce manga, car l’histoire est tout sauf linéaire ! C’est l’autre atout principal de ce manga :<span style="color: #93c47d;"> <b><i>Saki Hawatari</i> crée un incroyable mélange de genres</b></span>. Dans ce premier tome seulement, on passe de petites histoires de lycée aux scientifiques de l’espace évidemment, mais on passe aussi par le drame, la romance, le fantastique, et puis on croise des yankees, dans une ambiance de thriller, le tout souvent teinté d’humour. En quelques chapitres seulement, l’autrice nous montre qu’elle n’a pas peur d’expérimenter, ce qui nous donne un récit très coloré. De plus, malgré cette histoire qui part un peu dans tous les sens, elle parvient à construire des personnages vraiment intéressants, ne serait-ce qu’Alice, l’héroïne. J’ai beaucoup aimé le personnage d’Alice, parce que l’introversion n’est pas sa seule caractéristique : la <i>mangaka </i>développe très vite ses relations avec sa famille, avec les autres élèves… en nous révélant ses pensées en détails. Alors qu’elle n’aurait pu être qu’une jeune fille silencieuse, Alice est pleine de vivacité d’esprit.<o:p></o:p></div>
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Cet ensemble très frais s’accompagne d’un dessin élégant et assez détaillé, l’autrice semble se faire régulièrement plaisir sur les fleurs, notamment. Après, on reste dans l’esthétique particulière de « l’époque », qui n’est pas vraiment ce que je préfère. On retrouve çà et là des scènes et des clichés aujourd'hui datés, ce qui est normal, mais nous rappelle de temps en temps que malgré la modernité du sujet, le traitement reste un peu vieilli.<o:p></o:p></div>
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Ceci-dit, ce n’est même pas un reproche, car <u><b>Réincarnations</b></u> est un manga d’un genre et d’une époque qui ne me plaisent pas, et qui a pourtant réussi à me captiver. C’est un premier tome très intriguant que j’ai lu, très bien rythmé et plein d’audace. Je ne m’attendais pas à aimer mais la fraîcheur de l’histoire m’a totalement emportée – c’est tout ce que j’espérais de ce challenge : trouver des perles inattendues ! Cette fois-là, c’est un succès.<o:p></o:p></div>
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Il m'a été difficile de parler de ce manga. Non pas qu'il n'est pas intéressant, au contraire, j'ai eu un petit coup de cœur. Mais il n'est jamais évident de parler des choses qu'on aime avec les bons mots. Et surtout, sans gâcher le plaisir d'une possible découverte. Mais tentons malgré tout...<br />
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La lecture de cette œuvre est particulière. Même en nous arrêtant à une première lecture superficielle, <b><span style="color: #93c47d;">on remarque que ce manga met en évidence de nombreuses oppositions. La plus frappante est la différence entre le monde réel, qui souffre d'une sécheresse intense, et ce monde onirique, que voit <i>Chinami</i></span></b>, qui subit des précipitations importantes depuis longtemps (semble-t-il). Il y a également la rupture entre la réalité et le rêve, dans lequel nous plongeons parfois assez abruptement dans le premier volume à cause (ou grâce) au découpage de la<i> mangaka</i>. Il se dégage des ambiances très différentes entre les deux : le monde réel est angoissant, étouffant, difficile à vivre, tandis que le monde onirique est calme, reposant, tranquille, et presque vide. On ressort presque aussi détendu de ce monde que <i>Chinami</i> lorsqu'elle se réveille. Enfin, on découvre petit à petit une opposition passé/présent. Mais je ne m'étalerai pas spécialement dessus. Disons juste que toute la saga familial de <i>Chinami</i> est traité dans ce manga. Mais petit à petit, toutes ses oppositions deviennent de moins en moins fortes, et une union entre chaque extrême se met en place, permettant d'actualiser et de comprendre la vie de la famille de <i>Chinami</i>.<br />
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Nous allons découvrir avec <i>Chinami</i> l'histoire de sa famille, qu'elle ignorait alors jusque là. Elle va découvrir des mensonges, des secrets, qu'elle ne pouvait envisager. Ces découvertes vont lui permettre de mieux comprendre la situation actuelle de sa mère et de sa grand-mère. <b><span style="color: #93c47d;">Cette chronique commence durant la Seconde Guerre Mondiale jusqu'à une période ressemblant à notre époque, et est naturellement poignante du début jusqu'à la fin</span></b>. La capacité de la<i> mangaka</i> à traiter des sentiments et des faits, et de les mettre en évidence rend le tout doux et fort à la fois. Cette histoire est merveilleuse et pleine d'émotions.<br />
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Bien évidemment, la famille reste le thème principal. Mais d'autres aspects ressortent lors de la lecture. Tout d'abord, il y a tout un développement autour du deuil, lié au secret de famille. Mais ce thème est aussi étendu jusqu'au deuil de son village d'origine : ce départ, douloureux, insoutenable parfois, mais contre lequel on ne peut rien. Tout ce que l'on peut faire, c'est se souvenir et réapprendre à vivre ailleurs. La douleur semble en effet aussi importante et insupportable dans les deux cas. Mais l’œuvre nous fait comprendre qu'il faut continuer de vivre malgré tout. Ceci rejoint un autre message, celui de vivre malgré les aléas de la vie et les épreuves qu'elle peut imposer. La vie est importante, que ce soit vivre avec soi ou vivre pour sa famille. Enfin, le manga rappelle l'importance de connaître ses origines.<i> Chinami </i>évolue, apprend, comprend, et semble heureuse de savoir la vérité.<br />
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<u><b>Underwater ~Le village immergé</b></u> est une œuvre de <i>Yûki Urushiba</i>, traitant avec douceur de nombreux thèmes aussi différents les uns des autres. Mais il se dresse aussi un message subtil : pour que cet univers, ce cocon, cette vie existe, encore faut-il que la vitesse de développement, le désir de s'étendre et de faire tout toujours plus grand de l'Homme ne détruise pas tout. Sans pour autant porter un véritable jugement critique, on peut remarquer <b><span style="color: #93c47d;">une pointe d'amertume au travers des personnages ne souhaitant pas abandonner leurs maisons, leurs souvenirs, pour le désir d'une société capitaliste </span></b>prête à détruire tout une zone pour répondre à une demande. Qui est vraiment en cause dans tout ça ? Nulle réponse ici, juste notre conscience qui nous interroge.<br />
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<b><u>Underwater ~ Le village immergé</u> </b>est une véritable petite fable, avec sa dose de surnaturelle. La <i>mangaka</i>, connue en France pour <u><b>Mushishi</b></u>, réutilise quelques thèmes de ce manga, de part son côté fantastique et la présence d'un Dieu de l'eau (nommé<i> Ryujin</i>). Le dessin est beau, les traits sont fins, et <i>Urushibara </i>joue très bien avec les nuances de gris. L'utilisation intelligente des trames nous permet de nous immerger dans les rêves de Chinami. Cela nous permet de douter comme elle, qui parfois ne sait plus si elle rêve ou non. Enfin, les décors sont précis et magnifiques. Bref, que ce soit par les dessins ou par la douceur de l'histoire qu'il raconte, ce manga est une petite pépite à lire de toute urgence !</div>
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Merci de nous avoir lu, on se retrouve le mois prochain pour converser autour de titres amusants !</div>
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Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-3553372438385150561.post-58676410754565604072018-04-16T19:59:00.001+02:002018-04-16T19:59:03.755+02:00 Challenge Manga Suki : Mars Partie I<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjf8MCGLCF9dJchpIseF6j2HW5UWoQYujM5DbKR22r-KNR5oF5oPsZWzAT_MDsG0rZ2lg4_VwMeI-acHwbVMdVzxppmkeya3EdZ6OAbAzgBT-ihDrTz7M9mZILZ8HCgMzbrXWNpPO8JZ3WH/s1600/p10318.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="251" data-original-width="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjf8MCGLCF9dJchpIseF6j2HW5UWoQYujM5DbKR22r-KNR5oF5oPsZWzAT_MDsG0rZ2lg4_VwMeI-acHwbVMdVzxppmkeya3EdZ6OAbAzgBT-ihDrTz7M9mZILZ8HCgMzbrXWNpPO8JZ3WH/s1600/p10318.jpg" /></a></div>
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<a href="http://manga-sukii.blogspot.fr/2017/12/challenge-manga-suki-2018.html">présentation du challenge</a></div>
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<a href="https://manga-sukii.blogspot.com/2018/04/challenge-manga-suki-mars-partie-ii.html">partie suivante</a> ></div>
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On se retrouve de nouveau en ce moi d'avril (sic, que le temps passe vite et que je ne suis pas douée avec les <i>deadlines</i>...) avec les textes de plusieurs lecteurs qui se sont réunis pour nous parler de l'environnement dans les mangas. </div>
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Voici une première fournée de textes qui donneront l'envie de se mettre au vert... </div>
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<span style="font-size: x-small;">offre également un voyage entre les pages de Animeland...</span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-_D5kqEQ5bRo1pgb63DG2hS4gByXwrAoizxTRJbhuiUjHzbIwYNa_LkdZCF6kcY8U1Oia1XC8RTy2YuqY8ObhrqykgoA1HGgHYFt6cWhbEmaLPAancVSHWH7OjrruutB3398SM73PtILi/s1600/petite_foret.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="358" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-_D5kqEQ5bRo1pgb63DG2hS4gByXwrAoizxTRJbhuiUjHzbIwYNa_LkdZCF6kcY8U1Oia1XC8RTy2YuqY8ObhrqykgoA1HGgHYFt6cWhbEmaLPAancVSHWH7OjrruutB3398SM73PtILi/s200/petite_foret.jpg" width="143" /></a>Si le mois de mars est synonyme de l'arrivée du printemps, il est aussi tristement lié à l'anniversaire de la catastrophe de Fukushima. Lorsque le thème de l'environnement a été évoqué pour le Challenge<i> Manga Suki</i>, je me suis donc mis en tête de choisir un manga évoquant le nucléaire ou directement influencé par la tragédie. Mais les beaux jours arrivant, <b><span style="color: #93c47d;">mon besoin de nature m'a fait me pencher vers un manga vert</span></b>. C'est pour cela que j'ai choisi <u><b>Petite Forêt</b></u> qui, comme son titre ne l'indique pas, est en réalité une série culinaire.</div>
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Avant de pondre des chefs d'œuvre tels que <u><b>Sorcières</b></u> ou <u><b>Les Enfants de la Mer</b></u>, <i>Daisuke Igarashi </i>s'est fait connaître avec un récit bien plus intimiste. Très inspiré de sa propre vie, l'auteur met en scène <i>Ichiko</i> qui, après avoir rompu avec son petit ami, retourne à <i>Komori</i>. <b><span style="color: #93c47d;">Dans ce village de campagne situé au nord du Japon, elle va vivre seule et de manière autonome</span></b>. Chaque épisode de <u><b>Petite forêt</b></u> nous présente une recette que réalise la jeune femme. Si le cœur du manga se situe dans la cuisine, ce n'est pas ce que j'en retiens. D'ailleurs, très honnêtement, rares sont les plats présentés à m'avoir fait saliver.</div>
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Il y a donc deux choses primordiales dans l'œuvre de <i>Daisuke Igarashi</i>, et la première d'entre elles consiste à <span style="color: #93c47d;"><b>nous présenter un mode de vie alternatif</b>.</span> Éloigné du rythme et des pré-occupations urbains, son manga nous montre le monde sous un autre angle, avec une autre mentalité. Rapprochant l'humain de la nature, l'auto-gestion occupe une place importante dans la vie d'<i>Ichiko</i>. Son quotidien est rythmé par ses besoins : elle doit couper son bois pour se chauffer, déblayer la neige devant chez elle ou encore bien évidemment se préparer à manger. Pour ses plats, elle compte davantage sur ce qu'elle cultive que sur ce qui est proposé à l'épicerie du village. Le petit bout de femme nous présente alors ses recettes au fil des saisons en fonction des produits du moment. <b><span style="color: #93c47d;">Sa vie est en quelque sorte dictée par la nature, de ses bienfaits à ses caprices</span></b>. L'intérêt réside donc en ce mode de production biologique et écologique, mais aussi aux questions qu'il soulève. Déjà, le rythme de vie est différent de celui de la ville. On ne vit pas au jour le jour, il est nécessaire de prévoir ce que l'on va manger sur le long terme, jusqu'à un an à l'avance. Le temps que les récoltes poussent, que les produits fermentent, c'est une vision à long terme de notre quotidien qui est prônée. Ensuite <i>Daisuke Igarashi </i>nous convie à nous pencher sur les merveilles de notre monde, et à prendre le temps de les observer. Que ce soit une buse qui survole un champ, un renard qui s'enfonce dans la forêt, une fleur qui éclot, la neige qui change le paysage ou bien un clair de Lune qui s'efface pour laisser place à la profondeur de la nuit, la nature est fantastique. <u><b>Petite forêt</b></u> nous rappelle sans cesse que ces détails sont si beaux qu'ils sont essentiels.</div>
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Le second point primordial mis en avant au sein du manga est l'indépendance. Bien sûr, on parle de mode de vie avant tout, le quotidien d'<i>Ichiko</i> étant géré par ses propres productions. Mais il est aussi important de souligner l'indépendance en tant que personne de cette jeune femme qui vit seule dans la campagne. Mine de rien,<b><span style="color: #93c47d;"> il s'agit d'un récit introspectif tant chaque plat nous plonge dans les interrogations de sa protagoniste</span></b>. C'est surtout son rapport à sa mère qui y est développé,<i> Ichiko </i>ayant été abandonnée dans son adolescence par celle-ci. En se remémorant des recettes en lien avec elle, la jeune femme comprend peu à peu les sentiments maternels et ce qui l'a poussé à cette décision. Le personnage principal se questionne également sur son retour <i>Komori,</i> en se demandant si elle y restera ou non. Elle semble chercher quelque chose, ou alors se fuir elle-même, et c'est dans sa proximité avec la nature qu'elle commence à entrevoir des réponses.</div>
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Servi par des dessins invitant quiconque qui s'y plonge à s'évader, <b><span style="color: #93c47d;"><u>Petite forêt</u> s'impose comme un délicieux plat de saison</span></b>. Par ses messages et la force de sa protagoniste, le manga invite à réfléchir sur soi-même et son mode de vie. L'œuvre de <i>Daisuke Igarashi</i> a donc bien des saveurs qui se mélangent sur notre palais de lecteur, et c'est ce qui la rend si succulente. Par ailleurs <u><b>Petite Forêt</b></u> se déguste au rythme prôné par la vie rurale, c'est à dire en prenant son temps d'apprécier les épisodes sans les enchaîner.</div>
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<i>Daisy</i> désigne le nom du groupe de musique de quatre lycéennes que l’on suit quelques mois après le séisme. Elles réagissent chacune avec leur personnalité et leur sensibilité aux suites de la catastrophe. Autour d’elles, une ville traumatisée, qui n’ose plus laisser ses enfants jouer dehors, s’affole à chaque averse, garde les yeux rivés sur les dosimètres. Les retombées économiques sont également énormes, obligeant nombre de familles à lutter d’une façon ou d’une autre pour subsister à leurs besoins.</div>
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<b><span style="color: #93c47d;">L’une des questions qui revient le plus se résume ainsi : partir ou rester ?</span></b> Il n’y a aucune bonne réponse, quitter la préfecture pour se mettre en sécurité et retrouver un emploi ou rester dans son pays natal pour le reconstruire, chaque choix est compréhensible et douloureux.</div>
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Dans le tome 2, <i>Fumi</i> étend sa conscience de la portée de la catastrophe nucléaire en découvrant la vie des réfugiés. Ces derniers vivaient au plus près de la centrale et ont tout perdu. Peu à peu la jeune fille comprend jusqu'où les vies qui l’entourent - et pas seulement celles de ses proches - sont impactées, leur sentiment d’être abandonnées par les autorités, les discriminations auxquelles elles doivent faire face.</div>
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Ce débat écologique est approfondi par les textes qui se trouvent en fin de volume. L’état des lieux sur la vie à Fukushima 3 ans après la catastrophe m’a de nouveau tiré des larmes, les informations sur le nucléaire m’ont donné matière à réflexion. Un titre important pour comprendre comment la vie quotidienne d’habitants d’un des pays les plus développé au monde a été bouleversée le 11 mars 2011.<br />
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L'oeuvre dont j'ai décidé de vous parler ce mois-ci est <u><b>La forêt millénaire</b></u> de <i>Jiro Taniguchi</i> ! Il s'agit d'un auteur que j'affectionne beaucoup et de son ultime oeuvre qui restera malheureusement à jamais inachevée.</div>
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Un très gros séisme a fait trembler la région de San'in et des mouvements de terrain ont provoqué l'émergence d'une ancienne forêt disparue. C'est le début des vacances d'été et <i>Wataru</i>, 10 ans, est forcé d'emménager chez ses grands-parents dans un petit village au cœur de la montagne. Très vite Wataru réalise qu'il perçoit des murmures en provenance de la forêt et des êtres qui la peuplent.</div>
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<b><span style="color: #93c47d;"><i>Jiro Taniguchi</i> a le don de créer des œuvres au charme incomparable, qu'elles soient poétiques et rêveuses ou bien très réalistes</span></b>. Ses personnages sont si profondément humains qu'il me semble impossible que vous ne sachiez pas trouver dans sa bibliographie des titres qui vous touchent en plein cœur. Il a créé de nombreuses œuvres incontournables dans lesquelles les thèmes de la vie quotidienne, des relations humaines et des relations des hommes aux animaux et à la nature sont ceux qui ressortent le plus souvent.</div>
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Avec<u><b> La forêt millénaire</b></u>, il s'agissait pour <i>Jiro Taniguchi </i>de créer une oeuvre qui lui tenait beaucoup à cœur. C'est sans doute la raison pour laquelle il a situé le récit dans sa région natale, à l'époque où lui-même était enfant.<b><span style="color: #93c47d;"> Son souhait au travers de cette oeuvre était de transmettre, d'abord aux enfants mais aussi aux plus grands, la nécessité d'une relation harmonieuse entre les êtres humains et la nature</span></b>.</div>
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Suite au décès de l'auteur, <u><b>La forêt millénaire</b></u> qui devait initialement compter plusieurs volumes est paru aux éditions Rue de Sèvres sous la forme d'un volume unique. Il s'agit d'un très bel ouvrage, tout en couleurs. Il est composé du premier tome du récit et d'annexes très intéressantes dans lesquelles on trouve notamment des informations détaillées sur l'origine du projet (avec interview de l'éditeur japonais) ainsi que des croquis. Parce que le <i>storyboard </i>du second tome était déjà terminé, des événements de la suite du récit sont partagés également.</div>
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Ce n'est, à mon sens, pas l'œuvre avec laquelle il est recommandé de découvrir l'auteur, par contre je la recommande chaudement à tous ceux ayant un attachement au reste de sa bibliographie. Je me répète mais l'ouvrage est magnifique et les suppléments sont passionnants. Ce livre constitue<b><span style="color: #93c47d;"> un très bel hommage à ce grand auteur</span></b>.</div>
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Leur première rencontre nous permet de découvrir les origines du comité <i>Iberico Pork</i>. <i>Irie</i> a commencé par ramasser les déchets seul, tout en remettant à leur place les gens malpropres. Même si cela lui a valu quelques coups, son attitude lui a surtout permis de rassembler des jeunes gens décidés à l’aider. Patrouiller en groupe est devenu un moyen efficace pour éviter les agressions et donner à leur discours écologique un côté plus percutant.</div>
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Par la suite, <i>Tsubaki </i>et <i>Irie</i> continuent de se fréquenter : ils mangent parfois ensemble, ils se battent, ou plus exactement <i>Iberico </i>apprend quelques trucs à son nouvel ami. Et, comme on pouvait s’y attendre dans un <i>BL</i>, ils tombent amoureux l’un de l’autre. Leur romance connaît plusieurs péripéties, mais ils finissent par trouver leur petit nid douillet, en bois recyclé évidemment. Après un premier <i>happy-end</i>, la série se concentre sur <i>Yoshimune</i> et <i>Genji,</i> gardes du corps d’<i>Iberico</i> et responsables des plastiques et des déchets recyclables.</div>
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A force d’entendre certaines rumeurs sur son collègue, <i>Gen</i> se sent de plus en plus attiré par <i>Yosshi</i>. Lorsque ce dernier lui demande d’éloigner de lui un jeune homme amoureux en se faisant passer pour son petit ami, <i>Genji</i> croit toucher le fond. Incapable de dissimuler ses sentiments, il n’est pourtant pas repoussé par <i>Yoshimune</i>. Mais s’il semble d’accord pour coucher avec lui, <i>Yosshi</i> garde son coeur bien fermé. <i>Gen</i> n’aura pas trop de deux tomes et demi pour vaincre les résistances et le lourd passé de celui qu’il aime, et goûter enfin à un bonheur mérité.</div>
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<u><b>Iberico Pork</b></u> est un manga plein d’humour, jalonné de petites phases de délire comme la séance de bowling, les dernières révisions des terminales ou les poses prises par <i>Irie</i> et <i>Tsubaki</i>, perdus dans leur nuage d’amour. Les pages sont émaillées de dessins rappelant la vocation première de la bande, à savoir l’entretien des rues. Ici, <i>Iberico</i> réprimande sévèrement un individu ayant sorti sa poubelle de combustibles le mauvais jour. Là, il entasse des ordures, armé d’une pince pour attraper les déchets, tandis qu’un de ses comparses transporte un sac. Plus loin, l’un des membres du personnel du lycée demande à <i>Genji</i> d’aller chercher <i>Yoshimune</i>, car les gens chargés du ramassage des déchets recyclables veulent leur parler.</div>
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Ces nombreux détails donnent une saveur particulière à ce <i>BL</i>. Ils rendent le récit plus vivant, l’inscrivent dans la vie quotidienne avec ses plaisirs et ses corvées. L’existence ne se résume pas à l’amour, elle est aussi faite de cours, de repas, de vacances, de moments de rigolade et de poubelles à vider. <b><span style="color: #93c47d;"><u>Iberico Pork</u> sait aborder l’écologie d’une façon légère, humoristique et comme une chose au fond banale, pouvant s’intégrer à n’importe quelle vie</span></b>.</div>
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Même si l'écologie n'est pas leur première fois (<u><b>Les Pommes Miracles</b></u> notamment), <i>Akata</i>, éditeur qui prône la diversité en regard de son catalogue et de ses labels, continue de surprendre. <u><b>Ma vie dans les bois</b></u> est de ces titres sur lesquels on ne va pas parier un kopeck ou qui ne fait pas partie du panorama habituel ne serait-ce qu'en terme d'esthétique mais qui pourtant n'a rien à envier et beaucoup à apporter.<br />
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<b><span style="color: #93c47d;">Le manga de <i>Morimura</i> est un plaidoyer pour la vie à la fraîche</span></b>. Celle qui ne pèse par sur les épaules. <u><b>Ma vie dans les bois</b></u> est un récit autobiographique. L'auteur lui-même héros de son aventure jusqu'alors<i> mangaka</i> urbain décide de sortir de la capitale bétonnée pour s'acheter un bout de terrain en campagne afin d'y faire son nid. Ambitieux mais pas impossible pour celui qui n'hésitera pas à se retrousser les manches pour convaincre sa femme de le suivre dans sa démarche.</div>
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En ce qui me concerne en trois volumes j'ai été définitivement conquis. Chaque petit pas dans son travail est partagé avec tous les détails possibles et imaginables comme s'il s'agissait d'un guide qu'il souhaite partager à ceux désireux de faire la même. <b><span style="color: #93c47d;">On suit avec plaisirs ses succès et ses déboires face à une nature pas si évidente à épouser</span></b>. On est également témoin de l'affection de ses éditeurs qui voient d'un bon œil sa démarche et décidant de lui donner sa chance. </div>
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Au delà des enseignements qu'il met sur la table <i>Shin </i>n'hésite pas à mettre en avant le lien fondamental qu'il établit avec la nature qui lui permet toutes ces prouesses. Qu'il s'agisse de recycler ses ressources et de respecter ce qu'elle lui offre.</div>
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<u><b>Ma vie dans les bois</b></u> figurait déjà partie mes coups de cœur l'an dernier et continue de m'émerveiller par l'ingéniosité et le capital sympathie qu'il suscite.</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZRkvduMQUEtNBd7rLcHjsSFVEFsxErbg5hE6VVqjQmdspz8Ibr_-bB-_rumoAzRdupgxsWA6yL__p36Tm9OfbHRhvXja5vQ-nCM420FYSIu2u3kB8sb9Z4VDoraXPutFXHlaYDgRBwGLT/s1600/5j-6Q6iq.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="728" data-original-width="1024" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZRkvduMQUEtNBd7rLcHjsSFVEFsxErbg5hE6VVqjQmdspz8Ibr_-bB-_rumoAzRdupgxsWA6yL__p36Tm9OfbHRhvXja5vQ-nCM420FYSIu2u3kB8sb9Z4VDoraXPutFXHlaYDgRBwGLT/s320/5j-6Q6iq.jpg" width="320" /></a></div>
<br /></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_yHoHHICVZ45-pLivbKkpvJy8Oyd_MWrP6nLUX_NAajoMak45jWusGfbz5xHjcJ3-f7DU3Bb67Eq2Yi2-h1nwsiCBj3wbEbQvR4UECpTLjB71xw37V5T-K3H3A-8kzMFbrWn9mMEY84LM/s1600/Underwater+%2528Mikki%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="152" data-original-width="419" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_yHoHHICVZ45-pLivbKkpvJy8Oyd_MWrP6nLUX_NAajoMak45jWusGfbz5xHjcJ3-f7DU3Bb67Eq2Yi2-h1nwsiCBj3wbEbQvR4UECpTLjB71xw37V5T-K3H3A-8kzMFbrWn9mMEY84LM/s1600/Underwater+%2528Mikki%2529.jpg" /></a></div>
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<i>Chinami</i>, membre du club de natation, doit supporter un entraînement
d’athlétisme. Les autres collégiens se plaignent aussi. Ça n’attendrit pas le
professeur tortionnaire : Courez ! <i>Chinami </i>court. Elle commence à
voir flou. Elle s’évanouit.<o:p></o:p></span></div>
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<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoNoSpacing">
<span style="font-family: inherit;"><b><span style="color: #93c47d;">La jeune fille se réveille
dans un étrange village, comme enfermé dans les eaux. Tout est calme et beau.
Silencieux</span></b>. Le village n’est habité que par un vieil homme et un garçon.<i>
Chinami</i> semble les connaître. Sous l’eau, tout lui paraît plus proche et plus
lointain. Un pas dans le passé, l’autre dans le présent. Une main serrant celle
du petit garçon dans la rivière, l’autre, lancée désespérément dans le vide de
demain.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNoSpacing">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoNoSpacing">
<span style="font-family: inherit;">L’écologie et la politique,
à jamais incompatibles ? L’on connaît les méfaits de l’action humaine sur
la nature ; déforestations et autres modifications topographiques la
contraignent. Elle tousse, s’époumone, vomit. Ce sont les tornades, les
cyclones, les tremblements de terre. Mais, a-t-on le choix ? Les
révolutions industrielles ont permis un véritable boom économique. A quel
prix ? Combien de villages, comme celui d’<u><b>Underwater</b></u>, sacrifiés, sur
l’autel de la fatalité et du progrès technique ? <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNoSpacing">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoNoSpacing">
<span style="font-family: inherit;">J’ai découvert la très belle
œuvre de <i>Yuki Urushibara</i> (<u><b>Mushishi</b></u>)
avec <u><b>Underwater</b></u>. Le dessin est doux.
Le rythme, lent et mélancolique, invite à l’introspection. A travers l’histoire
familiale de <i>Chinami</i>, le titre nous interroge. Faut-il toujours détruire pour
avancer ? Quand le politique voit d’en haut, en termes macro-économiques,
<i>Chinami</i> et les siens voient à leur hauteur : le village déserté, abandonné
sous les eaux. La famille dévastée. La marche forcée vers la ville. Mais il n’a
rien demandé, lui, le pauvre village. Et l’eau était présente avant nous. Il y
a certainement un moyen de s’arranger. Préserver l’araignée et le papillon
n’est pas si utopique.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNoSpacing">
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
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</div>
<div class="MsoNoSpacing">
<span style="font-family: inherit;">Avec <u><b>Underwater</b></u>, <b><span style="color: #93c47d;"><i>Yuki Urushibara</i> nous parle d’écologie, sans hargne</span></b>. Le
sujet soulève de tels débats qu’il est parfois difficile de l’aborder posément.
En choisissant l’angle du conte onirique, <i>Urushibara</i> nous invite doucement à
nous plonger, nous aussi, sous les eaux. Le ciel est aussi beau de l’autre
côté.</span><span style="font-size: 12pt;"><o:p></o:p></span></div>
<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggZXgfO8AnGQQGvCNCaYQdVKmwVyvpihB64d8XevsIRDqGS9BYqx9Sk5eynad5wSrmK3fyeeB2WnFArOeTYF-cGiz9p6SApb6unVu_skvARK2eXe6Y2Jm8P2XqmGIqq7QLpt8z2OpC4pjX/s1600/-%252B.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1010" data-original-width="1480" height="272" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggZXgfO8AnGQQGvCNCaYQdVKmwVyvpihB64d8XevsIRDqGS9BYqx9Sk5eynad5wSrmK3fyeeB2WnFArOeTYF-cGiz9p6SApb6unVu_skvARK2eXe6Y2Jm8P2XqmGIqq7QLpt8z2OpC4pjX/s400/-%252B.jpg" width="400" /></a></div>
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Encore une fois, maxi merci à Joan pour son aide précieuse, ainsi qu'à tous les autres participants qui m'ont offert des lectures passionnantes ♥</div>
</div>
Manga Sukihttp://www.blogger.com/profile/16933504114328057502noreply@blogger.com0